n° 12143 | Fiche technique | 13896 caractères | 13896Temps de lecture estimé : 8 mn | 02/01/08 |
Résumé: Je vais chez ma voisine pour un problème d'ordinateur, mais une fois chez elle... - Natascha fait à son copain un cadeau d'anniversaire original : leur voisine. | ||||
Critères: fh fplusag voisins anniversai fellation cunnilingu préservati fsodo -occasion -extraconj | ||||
Auteur : Nostradamus Envoi mini-message |
Certains jours, on se dit qu’on aurait mieux fait de ne pas se lever. Et d’autres jours, c’est le contraire. Ce jour-là, je ne sais pas pourquoi, je sentais que ça allait être une bonne journée.
Je venais à peine de sortir de chez moi pour faire quelques courses quand je vis par terre un billet de vingt euros. Ce n’est pas grand-chose, me direz-vous, mais j’étais quand même bien content de l’avoir trouvé. J’y allai d’un pas nonchalant, pas trop tout de même, pour ne pas me le faire piquer sous les yeux. Je le ramassai, ni vu ni connu. C’est ce que j’ai cru en tout cas. J’allai pour me redresser lorsque mon ascension fut stoppée par une magnifique paire de jambes.
Je n’avais pas besoin de relever la tête pour reconnaître la personne qui avait prononcé cette phrase et savoir à qui appartenaient ces jambes. Je les aurais reconnues entre mille. Leur charmante propriétaire n’était autre que ma voisine du troisième. Elle était blonde, les cheveux courts, la quarantaine, mère au foyer. Avec l’aide du vent, j’aurais pu voir ce qu’elle portait sous sa robe. Elle m’avait toujours fait tourner la tête. De mon adolescence à aujourd’hui.
J’avais envie de rajouter que je m’en serais voulu de ne pas l’avoir vue.
Je savais qu’elle serait seule. Je connaissais ses habitudes. L’endroit serait calme.
En chemin, je rajoutai sur ma liste : acheter une boîte de préservatifs. Vaut mieux prévoir, comme on dit. La pharmacienne eut un sourire en me les tendant. Savait-elle l’après-midi que j’allais passer ou était-ce une simple invitation à les utiliser avec elle ? Aucune des deux bien sûr. Toutefois la seconde idée était tentante. Je me promis que la prochaine fois je viendrai rien que pour elle.
En attendant, je n’avais qu’une hâte, retrouver ma voisine dans son intimité. La matinée passa. À 14 heures, j’étais devant sa porte. Elle avait abandonné sa robe pour un short en jean et un débardeur blanc. C’était de très bon goût. Elle n’en était que plus désirable.
Je rentrai. Elle referma la porte derrière moi.
Avant d’aller dans la cuisine, elle me demanda :
De retour au salon, elle me proposa :
Je subis un véritable interrogatoire. Elle voulait mieux me connaître. Quand on aborda la question de mon style de fille, elle me demanda :
J’ai dû rougir. Elle se rapprocha de moi, me prit la main. Celle-ci frôla ses cuisses. Là je devais être rouge comme une tomate.
Je dus passer en quelques secondes au rouge pivoine. J’ose, j’ose pas ? Je posai ma main libre sur ses cuisses.
Je la caressais. Que cet instant dure éternellement. Elle m’offrit ensuite ses lèvres. Puis elle me demanda :
Je passai la main sous son débardeur. Deux seins fermes s’offraient à moi. Je les caressai, les malaxai, les embrassai. Ses tétons étaient tout durs. Je m’amusai à les mordiller.
Elle décida de passer à la vitesse supérieure. Elle enleva complètement son débardeur et fit de même avec son short. Je la laissai faire afin de profiter amplement du spectacle. Et je voulais qu’elle me déshabille, ce qu’elle fit avec dextérité. Elle déposa des baisers sur tout mon corps. Elle commença par le haut et descendit jusqu’à ma queue. Elle joua avec mes bourses, et elle avala ma queue.
J’avais attendu ce moment depuis si longtemps !
J’agrippai ses cheveux pour donner le rythme. Elle faisait ça divinement bien. On s’installa ensuite sur le canapé. Sa chatte était rasée. J’y plongeai ma tête. J’y mis toute mon ardeur. Elle aimait ça. Elle poussait de petits gémissements. Elle décida ensuite de passer encore à la vitesse supérieure.
Je sortis un préservatif de la poche de mon jean.
Elle se releva. On s’embrassa.
Elle se retourna. La vue était magnifique. J’enfilai le préservatif et je ne la fis pas attendre plus longtemps. Ma queue était aux anges. Elle n’était pas la seule. Le corps de ma jolie voisine s’arc-boutait au rythme de mes va-et-vient. Après plusieurs de ceux-ci, j’éjaculai.
On se promit de se retrouver le lendemain pour passer à une autre pièce ainsi qu’à une autre position.
Franck a depuis le début un faible pour une de ses voisines, Olivia, une brune un peu BCBG. Natascha, sa copine, l’a bien compris. Pour son anniversaire, elle souhaite lui faire une surprise. Elle explique tout à la jeune fille. Cette dernière accepte à une condition : qu’elle lui rende la pareille en retour.
Le jour venu, le téléphone sonna. Huit heures, indiquait le radio-réveil. Franck alla vite répondre pour ne pas réveiller sa dulcinée.
Il se retourna.
Olivia lui ouvrit en nuisette.
Elle esquissa un sourire.
Il se glissa dessous.
La couleur de sa culotte n’avait plus de secrets pour lui, là où il était.
Elle s’avança plus près de lui.
De son pied, elle caressa son entrejambe.
Après un moment de silence :
Tout en se relevant, il fit glisser sa main droite le long de la jambe puis de la cuisse d’Olivia. Arrivé en haut, il caressa le tissu. Puis il reprit l’ascension. Ses seins étaient petits et fermes.
Ceci fait, il colla ses lèvres aux siennes. Elle l’entraîna vers la table. Il se baissa pour lui ôter sa culotte. Son pubis était recouvert d’une légère touffe de poils. Sa langue fouilla le moindre pli. Elle poussa un soupir. Elle tenait sa tête plaquée contre elle.
Elle sortit sa verge de son boxer. Sa langue en redessina les contours avant de la laisser fondre dans sa bouche telle une sucrerie.
Elle se releva.
Elle s’installa sur la table. D’une main il écarta ses jambes, de l’autre il tenait sa verge. Elle serra ses jambes contre ses hanches. La pénétration fut immédiate.
Elle l’embrassa.
Il s’en passa tout le long de sa verge. Il força au début puis ça rentra tout seul. Plusieurs va-et-vient plus tard, il répandit sa semence sur ses fesses.
Il se rhabilla. Elle s’essuya.
Avant de quitter la pièce, elle lui souhaita de nouveau :
Il lui décrocha un sourire. Il rejoignit sa petite amie dans leur cuisine. Il n’eut pas le temps de prononcer un mot.
Franck la gratifia d’un baiser langoureux et d’une partie de jambes en l’air sur la table de la cuisine. Mais il n’avait qu’une image en tête, celle de sa copine et de nulle d’autre.