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Temps de lecture estimé : 28 mn
03/01/08
Résumé:  Pour fêter mon anniversaire, Cathy m'offre une exhibition extrême.
Critères:  fh couple fépilée caférestau anniversai voiture voir exhib noculotte strip fellation pénétratio jeu sm -couple -exhib -lieuxpubl
Auteur : Flibuste90

Série : Cathy se lâche pour mon anniversaire

Chapitre 01
Vendredi, 6 heures

Introduction



Vendredi 6 heures, le réveil sonne et comme tous les matins de la semaine, je me lève en pensant au travail qui m’attend pour cette journée. Un matin comme les autres ? Pas tout à fait, deux bonnes nouvelles me mettent de bonne humeur.


La première c’est que ce soir je suis en vacances. Neuf jours pour faire le vide et oublier les tracas quotidiens de mon travail, les délais, les modifications de produit de dernière minute, les retards de livraisons, les plantages informatiques quand on est super en retard… Neuf jours pour profiter de ma femme, de mes enfants également en vacances depuis la veille, du moins pour les deux premiers qui sont scolarisés. Le dernier, qui a deux ans, ne connaît pas encore les joies de l’école. Ma femme Cathy, à la naissance du petit dernier, en a profité pour prendre un congé parental afin de chouchouter les trois loulous qui animent la maison tous les jours.


La deuxième bonne nouvelle est qu’aujourd’hui, c’est mon anniversaire, j’ai 35 ans et pour la première fois depuis que je connais ma femme, mon cadeau est resté secret et franchement, je n’ai pas grande idée de la surprise qui m’attend. La seule chose qui a pu transpirer de mon cadeau, c’est que ce sera une chose à laquelle je ne m’attendrai pas. C’est léger comme indice.


J’ai quand même cherché ce que cela pouvait être. Une nouvelle voiture ? Pas possible, nos moyens financiers ne sont pas compatibles avec cette hypothèse. Aurait-elle invité mes anciens copains de lycée sans que je le sache ? Probable, car ce serait une super surprise de revoir mes anciens potes. En effet, cela fait au moins cinq ans minimum que je ne les ai pas vus. Cela est dû à l’éloignement de notre région d’origine lors de divers changements de travail, de mutations… Ce cadeau me ferait hyper plaisir et je restais sur cette idée depuis deux ou trois jours sans dire à Cathy que je me doutais de quelque chose.


Ce matin donc, je me suis levé sans un bruit pour ne pas réveiller la maison encore endormie. Arrivé dans la cuisine, comme tous les matins, je me fais réchauffer un café au micro-ondes. En ouvrant celui-ci, je découvre un papier plié en quatre. C’est un petit mot de Cathy qui dit ceci :



Mon chéri,


Tout d’abord, je te souhaite un bon anniversaire. J’espère que ce jour restera gravé longtemps dans ta mémoire. Je sais que tes copains te manquent et je les avais invités pour te faire une surprise ce soir. Malheureusement, ils n’ont pas pu se libérer. Je suis vraiment désolé.


Pour combler cette déception, je me suis dit qu’une compensation t’aiderait à oublier. C’est pour cela que pour ton anniversaire, je m’offre à toi pour tout le week-end. Tes désirs, même les plus fous, seront des ordres.


Ce matin, Liliane vient chercher les enfants et les garde jusqu’à lundi soir, comme cela nous serons tranquilles. Cela permettra de nous retrouver.


Pour commencer, j’ai réservé une table pour ce soir à l’Auberge des Joncs. Malheureusement je ne sais pas comment m’habiller, je compte sur toi pour m’aider. Tu as la journée complète pour imaginer ce que tu veux. Demande et je le ferai.


Bonne journée et bon anniversaire.


Ta Cathy qui t’aime.



Au fur et à mesure que mes yeux avançaient sur le papier, je commençai à imaginer la soirée que j’allais passer. Les idées s’entrechoquaient dans ma tête, sans liens entre elles. Que vais-je bien pouvoir demander à Cathy ? En disant « ce que tu veux », je me demandais vraiment s’il y avait des limites dans mes désirs. Je restais songeur et excité en pensant à la soirée. Il fallait que je me canalise pour ne pas faire n’importe quoi et surtout ne pas demander n’importe quoi.


06:30

Il est temps de partir au travail, la journée risque d’être longue. Il faut absolument que je me calme, car plus je réfléchis et plus une érection fulgurante se fait sentir dans mon jean.


07:00

J’arrive au travail en sachant que la journée sera tranquille, car l’avance que j’avais prise en début de semaine me permet de boucler les dossiers importants pour partir en vacances serein. En gros je n’ai que la matinée à plancher.


11:30

Je ferme mon dernier dossier. Je peux dire que maintenant je suis en vacances. Je vais pouvoir me concentrer sur la préparation de MA soirée. Je pars au restaurant d’entreprise avec mes collègues, mais aujourd’hui je reste silencieux ce qui me vaut plusieurs remarques comme « cache ta joie d’être en congé » ou « tu fais la gueule ou quoi, tu n’as pas décroché un mot depuis le début du repas ? ». Je m’excuse en prétextant une fatigue passagère et cela passe ainsi.


13:00

Me voici de nouveau dans mon bureau. Il faut que je remette dans l’ordre les idées qui me sont passées par la tête depuis ce matin. Tout d’abord, comment vais-je présenter la soirée : en dominateur ? sous forme d’un jeu ? Mon choix se porte sur la deuxième proposition, car Cathy adore jouer aux jeux de société et le fait de laisser un côté hasard dans l’histoire pourrait avoir un côté excitant.


En fait, ce jeu me trotte dans la tête depuis déjà plusieurs années et je n’ai pas pu le mettre concrètement en place auparavant. En effet, la pudicité de Cathy est apparue depuis la naissance de notre premier enfant. Les cinq premières années passées ensemble avec Cathy m’avaient révélé une femme qui aimait régulièrement faire voir son corps (chemisiers un peu transparents, minijupes, bas auto-fixants ou traditionnels avec porte-jarretelles). Sans toutefois appeler cela de l’exhibition, je dirais que c’était à la limite de l’impudique. Par contre, après l’accouchement, plus rien (pantalon, jupe ou robe longue, collants, pulls, rien de plus classique). Je suppose que cela était dû aux quelques kilos pris lors de la grossesse. De mon côté j’ai eu beau lui dire que les quelques kilos pris (qui d’ailleurs avaient été perdus trois mois après l’accouchement) ne se voyaient pas, elle n’en démordait pas et elle avait continué à s’habiller super-classique.


L’occasion était trop belle. Ce soir je voulais la retrouver plus cochonne que jamais en décidant de repousser les limites au maximum. Elle n’aurait pas dû me laisser carte blanche. Maintenant, le scénario était très clair dans ma tête, je pouvais me lâcher et en profiter.





Préparatifs



16:30

Je dis au revoir aux collègues. Me voici enfin en vacances, et maintenant plus de doute sur le déroulement de la soirée. Mais au fait était-elle réellement prête et motivée pour faire tout ce que j’avais prévu ? On verrait bien, qui ne tente rien n’a rien.


16:45

J’entre dans la boutique de fringues préférée de Cathy pour lui choisir sa tenue pour ce soir. Après tout, il n’y a pas de raison pour ne pas lui faire une surprise, moi aussi. Je me dirige vers la vendeuse pour lui demander conseil.



La vendeuse va effectivement chercher trois modèles dans les rayonnages et me les pose sur le comptoir afin que je puisse choisir. La première robe est noire, effectivement très courte, le bas évasé sur trois rangées de volants en dentelle. Le haut est par contre l’inverse de ce que je cherche car les manches arrivent presque au coude et il n’y avait pas de décolleté.


Les deux autres robes sont du même modèle, une noire et l’autre blanche, moins courtes que la première (mi-cuisse) mais très moulantes, fermées sur le devant par une rangée de boutons et un décolleté très profond, le tout tenu par de fines bretelles. La robe super-sexy, quoi.


Ce qui me chagrine, c’est la longueur, j’aurais voulu que la robe s’arrête à ras des fesses.



Une demi-heure, juste le temps de passer au magasin de lingerie se trouvant à deux pâtés de maison de la boutique, afin d’acheter un ensemble complet string, soutien-gorge, porte-jarretelles en dentelle blanche et des bas à couture, également blancs. C’est là que je me suis dit que plus c’est petit et plus c’est cher. Mais bon, c’est mon anniversaire, et comme j’ai carte blanche…


De retour au magasin de prêt-à-porter. La robe est prête avec ses dix centimètres en moins. Je paye, et la vendeuse me souhaite une bonne soirée en arborant un petit sourire coquin qui en dit long. Si elle savait que je lui avais menti et que j’avais bien l’attention d’amener Cathy au restau ce soir, vêtue comme une cochonne pour mon grand plaisir.



---oooOooo---



La gorge sèche, je me garai dans la cour de la maison et me dirigeai maintenant vers la porte d’entrée mes paquets à la main. Gros doute, allait-elle bien le prendre, cela n’allait-il pas avoir des conséquences fâcheuses sur notre relation, ne serait-il pas plutôt raisonnable de faire soft en première partie de soirée et en profiter plutôt au retour du restau ? J’étais en train de me dégonfler royalement, mes phantasmes allaient trop loin. Je n’allais quand même pas faire subir à Cathy mes envies perverses. Elle n’oserait de toute façon pas sortir dans cette tenue. Tant pis, je décidai la mort dans l’âme de revoir ma copie et de changer mes plans.


Me voici maintenant dans l’entrée. La porte à peine fermée, j’entendis le bruit sec des escarpins talons aiguilles de Cathy venir vers moi (bruit que je n’avais pas entendu depuis longtemps, car ces chaussures n’étaient plus compatibles avec son mode vestimentaire comme je l’ai expliqué auparavant). Mon amour apparut dans l’entrée du salon, entièrement nue. Du premier coup d’œil, je m’aperçus qu’elle avait été chez le coiffeur et l’esthéticienne, car elle était plus belle que jamais. Sa coupe de cheveux la transformait complètement, elle était maquillée et complètement épilée. Chose nouvelle pour moi, sa toison d’habitude coupée en ticket de métro avait complètement disparu, laissant sa fente complètement visible et surtout dépourvue de tout poil. Je n’en pouvais plus, une érection maintenant présente et visible dans mon pantalon.



Les yeux de Cathy flottèrent dans le vide quelques instants. Je voyais bien qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Au bout d’un moment, elle reprit la parole d’un ton volontaire et presque fâché, ce qui me surprit.



Cathy avait à peine terminé sa phrase que déjà ses talons claquaient sur le carrelage de l’entrée. Elle s’approcha de la porte, saisit la clef de la boîte aux lettres d’une main et de l’autre la poignée de la porte d’entrée. Son regard avait changé. En tournant la tête vers moi et avec un petit sourire, elle me dit :



Elle ouvrit la porte et s’avançait maintenant à l’extérieur de la maison sans se soucier si quelqu’un pouvait la voir. Étonnamment, elle paraissait sûre d’elle et n’eut aucune hésitation pour se diriger en direction du portail. Elle était folle, car nous étions en plein jour, dans une rue de village, il est vrai pas très fréquenté, mais quand même le risque d’être vue était très grand, avec bien sûr les conséquences qui allaient avec. Mais à cet instant, plus rien ni personne ne pouvait l’arrêter. Elle était belle, ses fesses rebondies donnaient envie. Ses seins (95 D) trônaient sur son poitrail et l’état d’excitation pouvait se voir à l’érection de ses tétons qui pointaient en avant. Elle était chaude comme de la braise. Je ne perdais pas une image de ce qu’elle faisait. Elle était maintenant sortie de l’autre côté du portail, en pleine rue, pour ouvrir la boîte aux lettres. Évidemment il n’y avait rien dans la boîte. Son retour par contre fut un peu plus rapide car une voiture arrivait. Une fois rentrée, elle me dit tout en regardant la bosse de mon pantalon :



Elle me prit dans les bras, se serra contre mon torse, leva sa tête pour m’embrasser et très vite nos langues se mélangèrent. Je la sentais dans un état d’excitation extrême. Le contact de son corps nu sous mes mains alors que moi j’étais encore habillé me faisait un drôle d’effet. Je la sentais frissonnante sous mes caresses. Mes mains descendaient maintenant sur ses fesses, puis mes doigts commencèrent à lui caresser le ventre pour ensuite s’attarder sur son sexe. Mon index se trouvait maintenant dans sa fente qui dégoulinait de mouille. Elle commença à gémir et onduler les yeux fermés en baissant un peu le bassin pour me faire comprendre qu’une pénétration de mon doigt serait la bienvenue. Après l’avoir pénétrée de mon index, je descendis ma bouche pour m’occuper de ses tétons toujours dressés en avant. Je les suçais, les mordais, les léchais. Son souffle se faisait maintenant de plus en plus court. Avec mon pouce, je frottais maintenant son clitoris gonflé d’excitation. Ses cuisses se mirent à se tendre et en poussant un hurlement, elle se libéra d’une jouissance comme rarement elle en avait eu. Pour qu’elle profite encore plus de son plaisir, je lui fis lécher mes doigts alors qu’elle s’écroulait à genoux à mes pieds, exténuée. Son regard était brumeux, il lui fallut quelques instants pour reprendre ses esprits.


Je me tenais debout devant elle lorsqu’elle entreprit de me retirer mon pantalon, mon boxer était tendu au maximum. En approchant son visage qui était à la hauteur de mon sexe, elle fit des baisers sur la bosse encore emprisonnée sous le tissu. Ses mains se glissèrent sous l’élastique pour libérer la bête tant convoitée. Une fois mon boxer descendu sur les chevilles, mon piolet était dressé devant sa bouche. Elle ne pouvait plus le quitter des yeux et je vis sa langue se lécher les lèvres. Sa bouche était maintenant au contact de mon gland turgescent. Ses baisers allaient de haut en bas. Elle entreprit maintenant de prendre mon sexe dans sa bouche gourmande. Les allers et retours devenaient de plus en plus rapides et la fellation qu’elle exerçait sur mon membre n’allait pas tarder à me faire exploser.


Ce préliminaire étant très fréquent dans nos rapports, je savais que Cathy n’avait jamais souhaité que je jouisse dans sa bouche (elle trouvait cela repoussant). C’est pour cela que je lui pris la tête dans mes mains en lui disant que j’allai jouir. Mais rien n’y fit, je savais maintenant que sa caresse buccale était destinée à me faire jouir dans sa bouche, chose dont je rêvais depuis toujours. Son accélération en fut la preuve. Je ne pouvais plus me retenir, je lâchai ma semence en poussant des râles de soulagement. De son côté, elle avalait au fur et à mesure jusqu’à ce que les soubresauts s’atténuent. Elle dégusta mon jus d’amour jusqu’à la dernière goutte et entreprit un nettoyage en règle de mon sexe encore vigoureux.



Je la pris par les épaules pour la relever et l’embrassai sur la bouche. Sa langue et sa salive avaient encore le goût du sperme, et cela ne m’était pas désagréable de profiter du jus tant convoité.



Elle fit demi-tour et partit vers la cuisine tandis que moi je me dirigeai vers l’escalier de l’étage pour rejoindre notre chambre, mes paquets sous le bras. À ce moment-là, elle n’avait toujours pas vu la tenue que j’avais achetée pour l’occasion. Serait-elle choquée et déçue, ou excitée et heureuse, je n’arrivais pas à le savoir. Fallait-il que je lui prépare une tenue un peu plus soft, au cas où elle serait réticente à porter celle-là ? Je ne savais pas. Tant pis, j’allais quand même tenter. Je disposai maintenant les habits sur le lit en les alignant soigneusement. J’allai chercher dans le tiroir du bureau un dé à jouer pour parfaire mon scénario. J’étais prêt, le jeu pouvait commencer.



Cathy entra dans la chambre toujours nue et je commençai à lui expliquer mon jeu.



Elle prit le dé et le jeta sur le bureau, un superbe six apparut sur la face supérieure.



Cathy prit d’abord les bas. Assise sur le lit, elle enfila le premier en prenant soin de bien écarter les cuisses pour me dévoiler volontairement son abricot entièrement épilé. Sa fente entrouverte était encore luisante d’excitation. J’avais terriblement envie d’y goûter, de sentir cette peau douce sous ma langue, de lui laper la cyprine jusqu’à ce qu’elle explose. Le deuxième bas fut mis de la même manière que le premier. Elle me faisait de nouveau bander. Son porte-jarretelles était maintenant autour de son ventre et les quatre attaches fixées aux bas. Elle pouvait maintenant se lever pour me faire admirer ses jambes ainsi vêtue. Les bas blancs, qui s’arrêtaient au ras des fesses, étaient surmontés d’une bande en dentelle d’à peu près cinq centimètres, et la couture à l’arrière constituait une superbe finition en donnant l’impression d’affiner encore plus les longues jambes de Cathy. Elle était belle et désirable. Elle n’avait plus qu’à revêtir la robe encore pliée sur le lit. Elle prit les deux fines bretelles dans ses mains et souleva le bout d’étoffe à hauteur de ses yeux. C’est là qu’elle se rendit compte de la longueur du vêtement.



Je sentis quand même un peu d’inquiétude dans sa voix, car elle venait de réaliser que le bas de la robe allait arriver au ras des fesses, et qu’elle ne pourrait à aucun moment cacher ses bas. Effectivement, lorsqu’elle l’enfila, on pouvait voir que la robe s’arrêtait juste au milieu de la bande de dentelle, et comme la robe était moulante, ses déplacements risquaient fort de faire remonter le bas du tissu.


Une fois la rangée de boutons attachés, elle se mit à faire quelques pas dans la chambre pour me faire admirer le résultat. Ses déplacements avaient tendance en effet à faire remonter le tissu : la robe se retrouvait maintenant juste au-dessus de la dentelle et on pouvait voir les attaches du porte-jarretelles et une petite bande de peau de la cuisse. Le décolleté était très profond et ses seins bien fermes étaient compressés sous le tissu légèrement extensible. On distinguait clairement la tache brune de ses mamelons ainsi que ses tétons encore bien fermes qui pointaient vers l’avant sous le tissu, preuve indéniable qu’elle ne portait pas de soutien-gorge.



Elle avait maintenant les joues rouge vif, et dans son œil la motivation et la volonté de s’exhiber étaient de plus en plus fortes.



Pour le premier jet, elle fit 5.



Elle prit le dé et le jeta de nouveau sur le bureau. L’as apparu sur le dessus du dé. Elle devait bel et bien retirer 5 boutons entre ses seins. Le résultat était au-delà de mes espérances, car maintenant la robe ne couvrait plus que la moitié de ses seins et le tissu extensible arrivait au ras de ses auréoles brunes tout en continuant à se plaquer contre ses tétons. Son opulente poitrine était superbement mise en valeur.


On pouvait maintenant partir pour dîner. Le fait de s’asseoir dans la voiture eut pour effet de remonter sa robe au niveau de ses hanches, laissant apparaître son sexe. Elle était assise les fesses en contact avec le siège de l’auto. Le trajet se passa tranquillement. Arrivés à proximité de l’Auberge des Joncs, je pouvais lire sur le visage de Cathy une certaine appréhension, chose tout à fait normale étant donné la tenue qu’elle arborait.



Nous étions en rase campagne sur une petite départementale déserte. L’auberge, située en pleine nature, se trouvait encore à huit ou neuf cents mètres. Le challenge de Cathy devait être relevé. Je stoppai la voiture sur le bas-côté.



Cathy déboutonna les boutons restants de sa robe et sortit de la voiture. Elle retira le vêtement et le plaça sur son siège avant de refermer la portière. Elle était nue au bord de la route, vêtue uniquement de bas et porte-jarretelles. Je passai la première et démarrai, laissant derrière moi mon impudique femme. Une longue ligne droite se traçait devant moi sur deux cents mètres, j’avais encore la vision de Cathy dans le rétro qui marchait maintenant sur la route. Petite courbe à droite, et là… une voiture me croise.


Je me garai rapidement sur le bord de la route et descendis pour voir la réaction de Cathy. La voiture en question s’éloignait de moi pour se rapprocher de ma femme. J’aurai pensé qu’elle aurait eu le réflexe de se cacher sur le bas-côté, mais non, elle restait bien visible sur la route, à la vue du conducteur qui, je pense, ne devait pas en revenir de ce qu’il voyait. Coup de klaxon au loin et un petit coucou de la main de Cathy pour saluer le voyeur inopiné.


Elle était quand même sacrément culottée de s’exhiber comme cela. Son challenge était réussi et je décidai de l’attendre pour abréger cette situation insolite. Arrivée à mon niveau, Cathy me dit qu’elle avait eu peur lorsque la voiture avait ralenti à son niveau, mais que la tête ahurie du conducteur l’avait plutôt amusée et excitée. Elle reprit sa robe pour l’enfiler et comme prévu elle laissa déboutonnés cinq boutons en haut et cinq boutons en bas. Ses seins étaient à la limite de sortir de son décolleté, et en bas elle ne pouvait plus cacher son sexe épilé, le porte-jarretelles et son nombril, tellement l’ouverture de sa robe était importante. Une fois installée dans la voiture, je redémarrai en direction de l’auberge qui se trouvait maintenant à quelques centaines de mètres.


Un grand mur de pierres clôturait le parc du restaurant avec un grand portail métallique ouvert en guise d’entrée. J’avançai dans une large allée arborée et me retrouvai maintenant sur une esplanade gravillonnée étalée devant une grande bâtisse au toit de chaume. La dizaine de voitures garées en épi en face du bâtiment attestaient que des clients se trouvaient déjà dans le restaurant. Je me rangeai à côté du dernier véhicule. Cathy prit la parole.



Nous arrivions dans le hall du restaurant. Cathy avait les joues écarlates à l’idée de traverser la salle dans cette tenue. Un garçon de salle nous avait vus entrer et venait maintenant dans notre direction. Arrivé à deux ou trois mètres de nous, son visage changea à la vue de Cathy, plus sexy que jamais. On pouvait sentir un fort embarras lorsqu’il nous demanda :



Sur ces mots, Cathy fut obligée de reboutonner sa robe. Son pari de sortir nue du restaurant était bien compromis et elle me regardait comme si elle était un peu dégoûtée de cet échec. Malgré le réajustement de sa robe, on pouvait encore voir la moitié des dentelles de ses bas. Sachant que sa robe remontait lorsqu’elle marchait, Cathy me dit à l’oreille qu’elle était bien décidée de ne pas tirer le bas de sa robe sur le trajet qui nous séparait de notre table. C’était une sorte de vengeance envers le serveur qui lui avait d’un seul coup mis à l’eau tous ses désirs de me faire plaisir.


Le serveur nous invita à le suivre. Je suivais Cathy en surveillant les réactions des clients attablés autour de nous. Certains n’ont même pas fait attention à notre arrivée ; par contre, certains yeux masculins s’illuminèrent au passage de ma femme qui avait maintenant le bord de sa robe moulante remonté au-delà de la lisière de ses bas. Un couple nous regardait passer, lui avait les yeux exorbités et elle fusillait Cathy du regard en pensant immanquablement qu’elle devait être folle de sortir dans cette tenue.


Nous arrivâmes à notre table, qui était effectivement dans un endroit très calme. Elle était située dans le fond de la salle, au bord de la fenêtre entrouverte donnant sur le parking. De grands panneaux amovibles étaient placés judicieusement dans la salle afin de séparer les tables les unes des autres et ainsi assurer la tranquillité des clients. Le serveur se retourna en tirant la chaise de Cathy et, voyant que sa tenue était de nouveau très indécente, lui fit un petit sourire sans pouvoir quitter des yeux son sexe épilé qui se trouvait de nouveau bien visible. Lorsque Cathy fit mine de s’asseoir, et toujours par souci de vengeance envers le serveur, elle prit le bas de sa robe, le remonta au-dessus de ses hanches et se mit assise sur la chaise, laissant ses fesses et son sexe à la vue de ce serveur qui avait mis en échec ses plans exhibitionnistes.


Lorsque je fus installé, le garçon demanda :



Installés les yeux dans les yeux, elle me fit un petit sourire et me dit :



Nous habitons un petit village rural de trois cents habitants qui, passé 22 heures le soir, était complètement désert car peuplé en majorité de personnes âgées. Donc, le risque de se faire surprendre était proche de zéro, mais l’idée de laisser ma femme rentrer nue à la maison était quand même l’apothéose de la soirée.


Le garçon nous déposa les coupes de champagne et prit notre choix de menu avant de repartir, non sans avoir détaillé du regard Cathy de la tête aux pieds. Une fois le serveur reparti, Cathy me dit à son tour :



Le dîner se déroula tranquillement, sans extravagances supplémentaires. Entrée, plat de résistance, fromage et dessert. Cathy n’avait toujours pas refait allusion à son pari alors que le repas touchait à sa fin. Le serveur revint pour nous demander si nous désirions des cafés. Je lui dis oui et Cathy lui répondit :



J’étais excité à l’idée que Cathy était bien décidée à exécuter ses plans. Le serveur arrivait avec les cafés et la note. Après avoir avalé notre café, Cathy me demanda d’aller payer la note et de revenir la chercher après. Je m’exécutai sans dire un mot. En revenant, je m’aperçus que la fenêtre était un peu plus ouverte que tout à l’heure, et que Cathy avait pris ma place pour se trouver plus près de l’encadrement de la fenêtre. Elle devait avoir un coup de chaud à l’idée de ce qu’elle allait faire. En m’asseyant en face d’elle, elle me dit :



Cathy souriait.



Cathy se mit debout et commença à retirer un à un les boutons de sa mini-robe. Une fois complètement déboutonnée, elle fit glisser le bout de tissu à terre, se pencha pour le ramasser et d’un geste brusque balança la robe par la fenêtre. Elle se retrouvait devant moi habillée uniquement de ses bas et porte-jarretelles.



Elle prit les attaches une par une pour détacher les bas du porte-jarretelles, me tourna le dos et fit glisser les gaines de nylon le long de ses jambes restées droites. Je pouvais admirer sa croupe et son sexe lorsqu’elle fut complètement penchée en avant. Une fois retirés, elle s’approcha de la fenêtre pour déposer les bas avec la robe.



Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle était maintenant entièrement nue dans la salle. Elle était encore complètement cachée par les panneaux disposés à proximité, ce qui empêchait les autres convives de la voir, mais la situation géographique de la table obligeait Cathy à traverser complètement la salle pour sortir. Il était évident que toutes les personnes du restaurant allaient la voir.


L’instant crucial était arrivé. Elle remit ses escarpins et commença à prendre la direction de l’allée principale. Elle s’arrêta à la bordure de paravent qui la cachait encore des clients et se retourna pour me dire qu’elle était prête à y aller. Moi je la suivais pour profiter du spectacle qu’elle m’offrait. Son premier pas fut un peu hésitant, pour devenir finalement décidé. Elle était maintenant visible de tous et sa démarche naturelle. Les bras le long de son corps ne cherchaient pas à cacher quoi que ce soit. Ce qui me surprit le plus à cet instant, ce fut un brusque silence dans la salle lorsqu’elle se mit à traverser entre les tables pour regagner la sortie. Les regards des femmes et des hommes présents étaient médusés. Le serveur quant à lui ne pouvait plus fermer la bouche et ses yeux exorbités en disait long sur ses pensées. Il était évident que la plastique de Cathy ne laissait personne indifférent. Son pari était gagné et, une fois dehors, elle me demanda d’aller chercher ses vêtements pour pouvoir rentrer.


Cathy était encore nue lorsqu’elle s’installa pour partir, ce qui me fit penser qu’elle avait décidé de rentrer dans cette tenue. Si on m’avait dit ce matin que Cathy allait faire cela pour mon anniversaire, je n’en aurais pas cru le moindre mot. Une fois partis, nous fûmes pris d’un fou rire en nous remémorant les têtes médusées des clients présents dans le restaurant.


À mi-chemin, Cathy mit ses jambes sur le tableau de bord, les cuisses bien écartées, afin que je puisse insérer mes doigts dans sa chatte humide d’excitation. Elle ne mit pas longtemps à jouir sous les assauts de mes caresses. Arrivés devant la maison, elle regagna la porte d’entrée toujours nue pour finaliser cette soirée d’exhibition.


Ce soir-là, nous avons plusieurs fois fait l’amour. Avant de nous endormir, Cathy me rappela que dès mon réveil je devais appeler mes copains pour préparer l’après-midi qu’elle avait amplement mérité.



(À suivre)