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n° 12145Fiche technique30853 caractères30853
Temps de lecture estimé : 19 mn
03/01/08
Résumé:  Un groupe de seniors, hommes et femmes, se retrouve pour une rencontre où tous les plaisirs sont permis, en raison justement de leur âge et des frustrations qu'ils ont vécues dans leur jeunesse au siècle précédent.
Critères:  grp hagé fagée voisins gros(ses) campagne noculotte strip travesti pénétratio fsodo hsodo partouze délire humour -humour -totalsexe -groupes -attirautr
Auteur : Mimi
Les seniors jouent à la jet-se...xe

Les Seniors jouent à la jet… sexe !



Le rouquin n’a pas hésité quand je lui ai annoncé faire bombance chez lui avec toutes les personnes qui se sont beaucoup activées durant les épisodes précédents.


C’est l’été aujourd’hui, cinq mâles et cinq femelles, d’âge et de physiques variés sont assis autour de la grande table ronde de la cuisine du géant. La fraîcheur du lieu contraste avec la fournaise extérieure. Les femmes sont vêtues très légèrement, les hommes sont en tee-shirt ou en marcel. Commençons le tour de table, moi mis à part.


À ma droite, Berthe la myope, toujours accoutrée en veuve mais joyeuse de ne plus avoir la chatte et le cul éplorés.


À côté, le petit vieux Léon, impressionné par le nombre de "fumelles" et faisant déjà le malin pour que cela ne se voit pas.


À toucher sa jambe, on trouve la vieille paysanne qui a découvert les joies du porno il n’y a pas longtemps.


Près d’elle un invité surprise, un gendarme à la retraite au visage en lame de couteau et au regard perçant.


Placée tout contre lui, la belle blonde habillée, ou presque, d’une robe rouge courte et dont le décolleté révèle des seins lourds et nus dont les pointes apparaissent comme des boutons pour qui on aurait oublié de prévoir les boutonnières.


Mon amie me fait donc face, et sur sa droite elle accueille le grand aux mains poilues, époux légitime de la vieille paysanne vicieuse.


Puis vient la grande et rêche Eva, qui étonne le poilu et le rouquin placé à sa droite, par la rectitude de son port, son chignon sévère et ses seins minuscules qu’elle tente de mettre en valeur dans un décolleté carré soutenu par des brides larges mettant en valeur ses épaules fines.


Le rouquin est tout près, fier de se trouver entre cette préceptrice et l’hilarante grosse Lise aux joues rebondies et déjà cramoisies, les mamelles déjà agitées par des rires un peu forcés dus à sa timidité. Les paysans, hommes et femmes, soupèsent du regard autant l’opulente poitrine que l’or qui la pare ; l’œil de la vieille est particulièrement vif, il se plisse comme celui d’un chinois sans que l’on puisse savoir s’il traduit une envie de chair ou de matière.


Les voix montent sous l’effet du rosé servi très frais, qui envahit les estomacs mais aussi les cerveaux. Les femmes bien en chair s’esclaffent à qui mieux mieux, surtout lorsque la rêche et la décatie font des réflexions sifflantes de perfidie, réflexions de jalouses ou de cheftaines désirant compter plus tard dans la journée.


Les hommes jubilent et s’excitent de ces échanges. Chacun dans sa tête bien sûr, et avec ses fantasmes, ils songent les uns et les autres aux suites possibles à donner avec telle ou telle et pourquoi pas avec telles ou telles.


Le gendarme cherche à comprendre ce qui pourra se passer, tandis que "Mains Poilues" a vite décidé que sa bobonne ne serait pas un obstacle pour ses gestes futurs, forcément déplacés.


Le rouquin rayonne, tant de gens chez lui, c’est irréel ; il bande déjà dans son short trop court, sa bite longue pointe presque en dehors du tissu. Il a rougi tout seul ce matin en décidant de ne pas mettre de slip, en pensant que les choses tourneraient peut-être à son avantage à un moment donné.


Léon bave un peu en zieutant à la dérobée les culs généreux, les seins proéminents, lorsque tout le monde se lève pour porter un toast. Les superbes garde-à-vous des bas-ventres masculins font boire les femmes un peu plus vite, un peu plus goulûment. Léon ne fait pas rire lorsqu’il proclame avec forfanterie « À nos femmes, à nos chevaux et à ceux qui les montent ! ». Toutes pensent « pour me grimper, faudra que tu grandisses », sauf peut-être la paysanne qui pense qu’elle devra faire avec les restes et que ce sera toujours mieux qu’un gode improvisé.


Le plat de résistance consiste en des viandes rôties, juteuses en abondance. On mange parfois avec les doigts, les grosses s’empiffrent, la maigre aussi, la graisse dégouline de la commissure de leurs lèvres, leurs lolos luisent de sueur, leurs joues sont écarlates, les rires explosent, le vin est servi et resservi, elles boivent comme des folles.


Lise suce un os et me fait penser à la pipe qu’elle pourrait me faire au vu et au su de tous, pipe huilée à la graisse de volaille. Je regarde les autres, leurs yeux enflammés m’indiquent qu’ils ne pensent pas à leur tiers provisionnel en ce moment. Le gendarme un peu aviné entretient la braise avec des histoires salaces. La blonde, complètement relâchée et secouée de fou rire, a vu sa robe remonter au ras de sa touffe de poils blonds.


Cela n’a pas échappé au grand paysan qui, éclatant d’un rire énorme, feint de se claquer la cuisse et pose sa grosse paluche graisseuse sur celle de sa voisine. Il feint de s’essuyer sur son pantalon pour mieux caresser rudement la blonde, celle-ci a brièvement hoqueté de surprise, s’est excusée de cette onomatopée incongrue et a laissé faire, sentant son corps réagir au quart de tour.


La femelle attitrée du grand a compris tout de suite de quoi il retourne, elle lance à celui-ci un regard furibard, il la toise, elle fulmine et, rebelle, plaque ses mains calleuses sur les sexes emmaillotés des ses deux voisins. Léon pousse un cri de souris couvert par les rires, tandis que le gendarme consent à ce qu’elle mime discrètement la blague qu’il raconte, tout en pensant « elle trait depuis l’âge de dix ans, elle sait y faire, la vioque ». Elle arrête, contente que son mari l’ait vue. Le gendarme en érection tente de se rappeler une autre histoire pour que la main experte revienne.


"Mains Poilues", par défi, glisse un doigt sur le clito de la blonde qui se tortille imperceptiblement. Eva a glissé une main sur sa chatte, sous la table, entre ses longues jambes. Le rouquin rougit seul de voir son gland violet dépasser du short. Et Eva qui lorgne, impressionnée.


Je plaque ma jambe contre celle de la truculente Lise, pelote celle de Berthe en cherchant la jarretière, la blonde m’encourage du regard et je sais, en cet instant, à son regard fondant qu’elle vient de se faire introduire un gros, très gros doigt dans le con. Je fais un gros poutou dans le cou de Berthe qui soupire d’aise et de regrets.


Le gendarme énervé prend d’autorité la main de la vieille et la pose sur son chibre qu’il a discrètement extrait de son short militaire. Eva, frustrée, s’est emparée du pieu du rouquin, elle l’agace de ses doigts fins aux ongles longs et taillés en pointe ; il déglutit tout en riant jaune pour donner le change.


Tout le monde épie tout le monde avec l’air de ne pas y toucher.


Je ne veux pas être en reste dans ces branlettes qui s’organisent sous la table. Je pelote une cuisse de Berthe, une cuisse de Lise, je les sais culs nus, mes mains avides plantent chacune leur médium dans des chattes mouillées, que dis-je: inondées. Les grosses nourrices donnent le change en se suçant les phalanges, accompagnant ce geste d’un « hum! ce jus est succulent ! ». Leurs mains se rencontrent sur ma hampe. D’abord gênées de se retrouver, elles s’accordent très habilement dans leurs mouvements de va-et-vient, s’enlaçent pour faire un bel étui à mon sexe, se tripotent. Leurs poitrines déjà imposantes semblent avoir encore pris du volume, je devine leurs tétons raidis. J’extrais mes médiums de leurs cons et les porte à ma bouche en confirmant « c’est vrai que ce jus est délicieux ! ».


À ces mots, je vois l’agitation grandir. Chacun à son tour prononce une phrase pour éviter que le silence ne s’installe et que les bruits de masturbation ne soient perceptibles. Cette connivence est jouissive ; tout le monde fait semblant.


Le gendarme renverse la tête en vantant la qualité du cigare sur lequel il tire avec volupté, tandis que la paysanne branle sans ménagement son havane de chair. Lui aussi émet de profond « hum ! » de plaisir, les autres font semblant de le mimer en reprenant en cœur des « HUM ! » alors qu’ils jouissent aussi des caresses et des doigtés. Alors que le gendarme part du bas en de longs jets de sperme, la blonde s’agite sur maintenant deux doigts du poilu, et Berthe, un peu pompette, se lève pour annoncer, avec une élocution hésitante, qu’elle va chanter un truc d’étudiant qui s’intitule « Branle Charlotte ». Son cul énorme m’affole ; je passe rapidement une main sous sa robe et envahis violemment avec un doigt son anus ; elle commence à chanter tandis que je vais et je viens entre ses reins.


Lise, plus du tout introvertie, lève la nappe et prend dans sa bouche aux lèvres charnues ma bite droite comme un I, elle pompe lentement, profondément. Tandis que tout le monde reprend le refrain qui finit par « … ça fait du bien ! », j’éjacule longuement. Eva, profitant de l’euphorie générale, s’est assise sur les cuisses du rouquin ; en fait, elle s’est discrètement empalée sur le gros mandrin et, faisant mine de rythmer la chanson, elle se soulève et se rassoit sur lui. Le géant est de plus en plus violet, elle, qui est pâle au naturel, a plus que rosi ; elle éructe des phrases salaces, sans gêne, tandis que son partenaire lâche dans son tréfonds des vagues de foutre brûlant…


Qui n’a pas eu son compte avant que la chanson ne se termine ? Ah oui, le petit Léon ! Il a profité que la paysanne lève un bref instant son cul de méduse pour mieux emboucher la bite du gendarme, pour glisser une main tendue entre les deux fesses flasques. Elle comme lui ont été surpris de sentir que deux doigts avaient trouvé l’entrée du cul tandis que trois autres envahissaient le con large et gluant, elle s’était assise sur cette main au risque de casser le poignet, lui, maintenant, fouillait, fouaillait ces trous à baise pour taureau. De l’autre main, il astiquait violemment sa petite quéquette et envoyait quelques petites giclettes sur le côté de la nappe au moment où elle lâchait des petites pissettes d’urine chaude, tout en avalant le sirop d’homme délivré par le gendarme.


Un trou normand fait l’unanimité. Les hommes ont pour mission de faire déguster un alcool de poire à la voisine de leur choix. Je fais couler le feu dans la gorge de Lise ; lui tirant doucement par les cheveux la tête légèrement en arrière, je l’oblige à boire et après chaque petite gorgée j’enfonce ma langue dans sa bouche accueillante. Personne ne s’offusque, au contraire l’idée fait école : Eva, toujours dominatrice, roule une grosse pelle au rouquin et lui verse de grandes rasades entre les dents puis lui bouffe littéralement la langue.


"Mains Noires" embrasse maladroitement la blonde en même temps qu’il lui pétrit les seins encore couverts. Sa vieille, voyant cela, laisse le gabelou lui verser directement à la bouteille l’eau de vie dans la gorge. Elle ricane, la vioque, et chope la tête chauve de son partenaire ; elle plaque ses lèvres sur les siennes qui sont minces et tristes comme un règlement. Il résiste, puis cède à un « ouvre ton bec ! » ; ils s’enivrent de l’enlacement de leurs muqueuses. L’adjudant tente de déboutonner la blouse, elle l’arrête après trois boutons car ce n’est que le trou normand pour l’instant.


Léon s’est réfugié dans les bras maternels de Berthe. La grosse nourrice doit se contenter de cet avorton léger qui, assis sur ses genoux, se fait donner le biberon de gnôle tout en roulant sa petite caboche sur les gros seins doux et profonds comme des édredons, il ronronne comme un chat quand elle passe sa main entre ses jambes et tient les petites boules dans la chaleur de sa paume de travailleuse.


Compatissant pour ma chère myope, je propose que l’on sorte prendre l’air dans le verger près de la grange. Je colle Léon sur les seins de la grosse Lise complètement hilare ; le petit lui pelote effrontément les fesses, elle est morte de rire. "Mains Noires" entraîne de toute sa force la blonde dont les seins n’ont qu’une envie, c’est de gicler hors de la robe rouge. L’adjudant et la vieille sortent bras dessus, bras dessous, le flic au nez pointu prend de son autre main une mamelle flasque qu’il compresse comme une poire à lavement. Eva saute à cheval sur le dos large du bûcheron et s’astique le clito en criant « à dada, à dada ! ». L’autre trottine en enserrant les jambes maigres, espérant trouver entre elles une chatte grasse.


Quand Berthe et moi partons à la recherche de tout ce petit monde ivre, après nous être ardemment embrassés à bouches grandes ouvertes, nos mains explorant nos formes et nos recoins intimes, nous exultons par avance aux découvertes que nous allons être amenés à faire. Nous nous déplaçons sans bruit, nos mains et nos corps se frôlant.


Les plus impatients ne sont pas allés loin. À l’ombre de la petite cabane à outils, une grosse brouette en bois. Lise s’est mise à genoux à l’intérieur, tapissé de foin. Les pieds prennent appui sur les manches tandis que les mains se tiennent à la planche avant. Le dos plat, la robe relevée elle offre son gros cul blanc au petit vieux qui, pour atteindre l’orifice offert, a approché une botte de paille. Il est là, dessus, debout, le bleu sur les chevilles il défaille presque quand Lise, la prude, la douce, jouit en jouant à la pute vulgaire avec ces mots « vas-y, mon Lélé, prends-moi comme une bête, fais-moi gueuler de plaisir ! ». La queue de Léon est entrée, les « ah ! » réciproques nous rassurent, ils se font du bien, allons voir plus loin.


Dans le petit bois, cachés par l’énorme tronc d’un chêne, Eva est en train de bousculer le grand rouquin saoul. Elle le frappe de ses petits bras ; il rigole. Elle lui déchire son marcel, se jette sur ses pectoraux puissants, mord au sang les tétons ; il ne bronche pas. Alors elle défait la ceinture du short, tire sur le vêtement ; le rouquin, ses poils, ses muscles, son chibre, tout cela couvert de soleil, fait d’Eva une nymphomane en furie. Elle pompe le sexe à grands coups de tête. Le géant l’attrape sous les aisselles, il approche les seins minuscules de sa barbe et de sa bouche, lèche les petits bouts secs et ordonne « écarte tes jambes en V ! ». Elle s’exécute. il serre son maigre buste contre son buffet, puis la laisse glisser sur son pieu.


Au moment du « AH ! » lâché par Eva enchibrée rectiligne, je n’ai pas résisté au plaisir de fouiller la chatte de Berthe d’une main foreuse. Elle réagit tout en souhaitant vite découvrir d’autres acteurs. Hé bien ! prenons des nouvelles de la blonde !


"Mains Noires" pense se payer une poule de luxe. Pour ce faire, il ne veut pas la dénuder, il veut cette robe rouge, quitte à la jeter plus tard. Il a poussé la citadine dans l’obscurité de la grange. Premier geste, mettre à l’air ces seins dont elle semble être si fière. Il écarte les pans du décolleté, ils se présentent : énormes, pleins. Alors le paysan perd toute retenue : il les lèche, les serre fort, les triture, les malaxe et les roule sur sa queue qu’il vient de mettre au chaud entre eux. Elle le suce par instants, alors sa robe se relève sur son fessier. Le grand, apercevant ça, la couche sur les bottes de paille préparées pour cette phase. La chatte est juste au niveau de son énorme bite gonflée à fond. Il fait faire le V de la victoire aux jambes de la belle et, n’y tenant plus, l’envahit d’un coup comme une bêche pénétrant la glaise humide. Je serre mon sexe entre les fesses de Berthe et caresse ses seins gonflés de désir.


Mais que fait le dernier couple ? Le gendarme au nez pointu, guidé par la vielle lubrique a vu, de ses yeux vu, les uns et les autres se tâter, s’emmancher, à chaque étape il s’est échauffé de plus en plus. Réfugié avec sa vioque dans un coin de la grange, il note chaque mouvement du couple costaud en action. La paysanne à côté de lui se masturbe à gros traits de main sa chatte dégoulinante ; trois boutons du haut de sa robe, défaits, laissent voir les tremblements des mamelles flasques. Vingt boutons fermés cachent le reste. Alors il n’en peut plus. Face à elle, short tombé, sexe dressé, il empoigne le tissu et fait sauter tous les boutons d’un coup. Le corps difforme apparaît, cette laideur le rend fou d’envie, il jette ses dents sur la chair flasque, il pince à grosses poignées, mord au sang. La vieille, bien que dure au mal, bêle. Son vieux, placé plus bas, l’aperçoit. Il trique à mort dans la blonde, surtout quand il voit le vieux con défoncé par le chibre de l’adjudant. Ce dernier, se trouvant trop au large, exige qu’elle se retourne. Pas plutôt fait qu’il lui défonce l’anus et éjacule en l’injuriant. La paysanne, stimulée par la violence de l’assaut, se rebelle. Elle empoigne l’homme, le couche d’un coup dans la paille et l’encule de deux doigts. Il apprécie : « putain c’est bon! continue vieille salope ! »


Tous ont fini par s’écrouler, les uns sur les autres, vidés de leurs substances, sans forces. L’adjudant ronfle, vautré sur la vieille qui le cramponne par les fesses et rêve, par moments en s’agitant, au luxe de caresses vicieuses qu’elle s’est offerte sur le sec mais vif représentant de l’autorité. Elle l’a amené à la supplier, pour la perversité toujours plus poussée qu’il réclamait. Quel pied d’entendre sa voix de cogne réclamer « fesse-moi plus fort, fouille encore mon cul, ma fée, mon démon ! ».


À deux pas de là, la blonde ronfle de concert avec le grand paysan. Sa robe rouge tirebouchonnée de partout laisse les gros seins sous l’œil des hirondelles qui gîtent sous les poutres ; les cuisses, largement ouvertes, accueillent une grosse main noire en place du pubis blond ; elle tient encore la queue du costaud qui sourit d’aise en dormant ; le stupre sèche à différents endroits du corps et de la robe, tandis que lui a le tour de la bouche et les joues blanchis de foutre de femelle.


Sous les arbres, Eva tente de ranimer le vit du rouquin ; elle l’agace avec un brin d’herbe, sans succès. Barberousse dort, saoul d’alcool et de pompages effrénés de cette mante religieuse qui, pourtant, sent sa chatte défoncée la cuire. Elle aime, elle en a encore envie, de ce pieu dévastateur.


Plus loin, au soleil, Lise est vautrée sur le dos dans la brouette, elle dort bouche ouverte comme en attente d’un gros chibre à avaler. Le petit paysan s’est surpassé, il l’a fait jouir en s’agitant avec vivacité dans son cul. Maintenant sa tête de caniche déplumée repose sur la chatte gluante de sa maîtresse temporaire ; il lape de temps à autre les sécrétions qui agacent ses narines tout en appuyant sa tête sur cet antre chaud.


Toutes ces scènes m’émeuvent. Je serre la paume de Berthe qui m’accompagne, docile et très intéressée aussi, d’après la pression qu’elle renvoie à mes doigts. Aussi sec, je l’embrasse à pleine bouche ; elle gémit sous l’assaut. Je mets ses mamelles à l’air, là, au milieu du pré. Elle les presse de ses mains, m’invitant ainsi à une cravate de notaire. J’y suis avec tout mon membre, je coulisse entre ces masses douces et chaudes. Elle me lustre de sa bouche encore affamée. Je la couche délicatement dans l’herbe grasse de printemps, sa chatte noyée sous une épaisse toison noire s’ouvre en même temps qu’elle écarte largement les cuisses. J’entre doucement mais sûrement dans cette fournaise tout en baisant avec délice sa bouche fondante qui sent la gnôle et le sperme. Puis j’agite mon ventre contre le sien qui répond de même. Nos sexes s’accouplent en rythmes lents et puissants. Elle se raidit, puis part en convulsions, alors je pars à mon tour dans ce con juteux. Après tant de moments passés à mater les autres, notre patience est récompensée par des spasmes infinis.


Vers dix-huit heures, goûter, avec apéritifs et cochonnailles, histoire de recharger les batteries des hommes. Car les femmes, elles, sont déjà prêtes à repartir à l’aventure. Discrètement, elles se sont rafraîchies visages et intimités, qui au lavoir, qui dans la douche, qui à la pompe d’eau fraîche. Tous et toutes sont rayonnants ; pas de gêne apparente, le sexe est apprécié comme l’a été le repas de seigneurs, tous semblent heureux de vivre ce qu’ils ont parfois lu dans la presse à scandale concernant la jet-set et qu’ils croyaient interdit aux bonnes gens. Les gloussements s’entrecroisent avec les rires gutturaux, le rouquin s’abandonne aux enlacements ventousés d’Eva, la vieille frôle le cul de son militaire, le géant tient par la taille la blonde d’un côté, Lise de l’autre, Berthe cherche ses lunettes suivie du petit à la casquette qui mate sa gorge de nourrice pleine. Chaque fois qu’elle se baisse en pensant apercevoir ses culs de bouteilles, il lorgne aussi ce cul large comme une porte de grange et compare dans sa caboche avec celui qu’il a tronché derrière la cabane à outils. Il ne bande pas encore mais salive en pensant à la soirée.


Ce sera carnaval avant l’heure, j’ai fourni quelques masques et accessoires et donné des consignes à mes belles aux formes épanouies, elles seront cochonnes et rien d’autre. Le repas presque achevé, arrosé à flots, les trois muses, Lise, la blonde et Berthe se sont éclipsées. Elles rentrent maintenant dans l’immense cuisine sur la musique de « qui craint le grand méchant loup ! ». Le spectacle est orgiaque, nos trois grosses, poitrines fermes, portent sur leur visage un groin rose et deux petites oreilles roses dans leurs cheveux. Elles dansent gracieusement, entièrement nues, agitant les petites queues de porcelets qu’elles ont fichés, on ne sait comment, entre leurs fesses. Elles manipulent leurs seins de manière synchrone, à droite, à gauche, tendent leurs impressionnantes croupes vers l’arrière comme d’appétissantes girls de cabaret.


Les mâles ont les yeux hors de leurs orbites, avec l’éclairage. Ils ont l’impression qu’on leur offre des petites cochonnes de lait, à la peau rose, bien tendue, aux formes pleines de bonne graisse. De temps en temps, elles touchent les fesses de celle qui la précède, tandis que la première porte à sa bouche un sein puis l’autre. Elles posent enfin leurs postérieurs sur la table, tournant le dos aux hommes. Le rouquin et "Mains Noires" sortent précipitamment et reviennent entièrement nus, coiffés de grandes oreilles de mulet, de mulet et non point d’âne, compte tenu des chibres monstrueux qu’ils exhibent, chibres dressés et tendus au maximum à cause de la vision offerte par les copines un instant auparavant. Ils défilent, fiers de tenir leur sexe comme une baïonnette. Les cochonnes matent et se caressent discrètement entre les jambes.


Rentre maintenant le petit, déguisé en fou du roi. Il agite les clochettes de son bonnet et profite de son statut pour palper les trois grosses poitrines des fortes vestales ; elles le repoussent en gloussant. Il feint de mesurer les grosses bites, elles l’envient des yeux.


Un couple étrange surprend, ici pas de nudité, une nonne en cornette et un dandy hyper-maquillé. Ils entrent en silence, tout de noir vêtus, le jeune homme, ou présumé tel, s’approche des truies qu’il fait frissonner en caressant l’intérieur de leurs cuisses puissantes avec un long fume-cigarette. Il mime l’introduction des vagins. La nonne soupèse les bourses des mulets puis caresse les chibres des géants.


Arrive sur ces entrefaites la vieille boudinée dans un corset en skaï lacé de l’entrejambe jusqu’aux seins, remontés et écrasés par le bustier. Un fouet à la main, elle avance péniblement, les cuisses flasques engoncées dans des cuissardes à talons hauts. Le cul stringué a des allures de gelée anglaise, un loup cache sa gêne – ou sa jubilation. Elle fait claquer son fouet, la bouche outrageusement fardée de rouge se tord en un rictus sadique.


Je prends le contrôle des opérations en me coiffant du claque de Monsieur Loyal. Les trois petites cochonnes m’entourent, puis pressent leurs grosses mamelles sur moi. Celles de Berthe cognent mon dos tandis que ses mains envahissent mes poches à la recherche de mon pénis, Lise porte les siens à ma bouche, tandis que la blonde frotte ses bouts sur ma veste en strass. J’ordonne que les groins aillent voir du côté des queues. Elles se battent pour sucer la plus grosse ; la blonde, moins preste, se retrouve à défourailler le fou, elle embouche avec frénésie la petite quéquette, son savoir-faire fait branler du chef le bouffon qui rythme ainsi avec les clochettes de son bonnet les va-et-vient de la bouche. La vieille en profite pour essayer son martinet sur le cul tendu par la blonde.


Lise et Berthe sont repoussées par les gros dards. Berthe couche Lise sur la table et lui malaxe les grosses toutounes, en vrillant parfois les bouts, tandis qu’elle essaye d’enfouir son groin de velours rose dans le con largement ouvert. Elle lèche l’autre truie en imitant les bruits entendus dans la soue. Lise ne tarde pas à dégouliner, elle maintient la tête de sa complice contre son vagin brûlant.


Le Grand Paysan perd la raison. Il éructe « je veux me faire la nonne, et par derrière en plus ! ». Sitôt dit, sitôt fait. Elle a tenté de s’échapper, il a pris le corps élancé à plein bras. Je tamise la lumière à la demande générale. Des protestations aiguës, des « non, non », et puis un grand cri de douleur, la nonne vient de se faire défoncer bestialement par le géant. Celui-ci ahane en allant et venant avec sa queue qui ressemble à celle d’un cheval en chaleur, l’autre pleure sous lui. « Arrête, tu me déchires ! », le bestiau à ces mots répond par de nouveaux coups de bélier.


Pendant tout ce temps, le rouquin s’est pris des envies d’homo. Il pelote le dandy qui n’est pas farouche, l’entrecuisse semble bien occupé. Il perçoit la raideur d’un mandrin de belle taille, alors pressé il demande « prends-moi comme un soudard ». Il pose ses coudes sur la table, où les cochonnes jouent aux gouines, et tend son cul au garçon. Celui-ci prend position derrière, salive son membre, le met sur l’œillet offert et introduit d’un seul coup vingt centimètres dans l’intestin du grand roux, qui beugle sous le choc et éjacule sous l’effet produit sur la prostate. Le pseudo-pédé défonce, perfore, à bite artificielle que veux-tu. Eva jubile, elle l’a bien baisé, le grand caïd ; il gueule de plus en plus.


Tout comme la nonne qui, en perdant sa cornette, montre sa calvitie de gendarme. Le gros paysan, d’abord interloqué, redouble d’effort en pensant que ça ne se reproduirait pas de si tôt. Il éjacule tout au fond, bien planté, tandis que la maréchaussée demande grâce.


Le Bouffon gicle son sperme sur le visage de la blonde qui lui tire deux claques en le traitant de con.


Je m’empare du fouet de la vioque et commence à la faire danser sur ses talons aiguilles en lui zébrant le cul. Puis sa bouche de vieille pute m’attire, je lui bouffe la langue et le rouge à lèvres en même temps. Tandis que je la renverse sur la table, les deux cuisses puissantes de Lise lui enserrent la tête. Je l’effraye en saisissant un couteau de chasse, elle se pisse dessus, dans le skaï. Je place la pointe de la lame au bas du corset et je remonte en coupant les lacets. Une fois terminé, j’ouvre l’enveloppe de faux cuir comme on le ferait d’une cosse de petit pois, je lèche les deux grains secs qui se dévoilent, je tire la gousse vers le bas. La paysanne rassurée lève ses petites jambes et m’entoure la taille de ses cuissardes, sa chagasse suinte d’urine, le mouillé me fait bander plus fort. Je cherche le trou dans ses replis mous, je le trouve en forçant les chairs. La vieille, dure au mal, force ma bite à trouver l’antre ; ça y est, j’y suis, à la chaleur qui enveloppe mon gland je sais que je pénètre, à sa bouche qui m’aspire, je sais que je lui fais du bien. Je ressors, elle proteste, mais j’ai envie de sentir ses gencives édentées raboter mon pieu. Deux ou trois allers et retours, et je cherche à nouveau la vulve molle comme une limace. Très excité, je rentre, je force et je besogne comme son grand besognait la fausse nonne, je l’attrape par les oreilles au moment où mon sperme s’éjecte de ma queue, puis je bouffe à nouveau sa bouche.


Fou de jouissance, je donne des coups de martinet sur les deux femelles qui n’en peuvent plus de s’enculer du doigt, de se mordre les seins, j’introduis le manche du fouet dans la chatte de Berthe, tandis que le grand paysan frappe de sa bite molle et merdeuse le visage de Lise. Le rouquin, vexé, a sauté sur le bouffon hilare, il lui a arraché son froc et l’encule avec force pour lui passer l’envie de rire.


Eva me tient les bourses et suce délicatement mon sexe, la bandaison arrive et c’est avec plaisir que j’entre entre ses jambes maigres, avec l’impression d’embrasser Jeanne la Pucelle. Son con est facile d’accès, je me couche sur le sol et elle me chevauche comme une Walkyrie tandis qu’entre ses fesses d’adolescente mon doigt perfore son petit anneau.


Quelle orgie…


Je sors épuisé par toutes ces étreintes plus ou moins violentes, plus ou moins exaspérantes par leur fugacité. Tout le monde va partir heureux en souhaitant revivre très bientôt les mêmes aventures secrètes et complices. Le rouquin, une fois seul, va se branler au sang en repensant à tout cela.