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n° 12146Fiche technique7114 caractères7114
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Temps de lecture estimé : 6 mn
03/01/08
Résumé:  Nous profitons d'un week-end en amoureux.
Critères:  fh couple vacances hotel amour fellation pénétratio fsodo tutu -couple
Auteur : Ellecoucou  (Amoureuse de l'amour, j'ai beaucoup à donner !)            Envoi mini-message
Oser oser

Cette fin de semaine, nous nous offrons un week-end à deux dans la région bordelaise, en prenant la route des vignobles sur la rive droite de la Dordogne, coteaux couverts de vignes de réputation mondiale : Saint-Émilion, Pomerol, côtes de Castillon…


Dominés par les ruines de moulins et de pigeonniers, plateaux, terrasses, vallées, tout ici est grandiose. La douceur de ce jour d’automne nous laisse rêveurs. Une douce musique nous berce. Tu roules doucement pour profiter des odeurs de la terre. La pluie de ce matin nous renvoie le parfum enivrant du sol argileux. Les couleurs des feuilles de vignes jaunes, rouges, cuivrées, sous la brume, donnent au paysage une image irréelle, d’un autre temps.


Je suis appuyée contre ton épaule. Doucement, ta main caresse le haut de ma cuisse. Tu as négligemment remonté ma jupe et, en douceur, tu glisses ton doigt sous le petit bout de résille de ma culotte transparente. Que c’est bon de se laisser aller ! J’aime ta manière de te frayer un chemin dans mon intérieur et ta façon de garder le contrôle de toi-même. Enfin, en apparence… Et tu me donnes envie de vérifier si tu es si impassible que ça… Lentement, je remonte le long de ta jambe avec mes jolis ongles bien nets. Je pose ma main sur le haut de ton pantalon. Tu n’es pas au repos, au contraire, ton sexe force le tissu. Je fais glisser la fermeture. Ah ! Je libère ta verge. Humm, déjà tendue, dressée vers moi. Sans te parler, je me penche, je me dirige vers elle, ma bouche te retrouve, t’aspire, te lèche, te suce. Ta main se fait plus insistante. Allons-nous tenir jusqu’à notre nid d’amour où nous devons passer ces deux jours. Pas sûr…


Heureusement, nous arrivons à l’entrée du parc du château où tu as réservé. Il est treize heures. Prenons le temps de déjeuner dans ce cadre royal. Tu me gâtes vraiment, tu m’offres un rêve vivant, dans une suite avec vue sur les rangées de ceps.


À peine arrivés dans la chambre, tu me dis avoir envie de moi, me colle au mur… Je ferme les yeux, te laisse t’aventurer sous mon pull, embrasser mon cou, trouver mes seins, tétons dressés. Pencher la tête, te laisser me respirer, retrouver mon odeur, mon parfum de femme, t’enivrer les narines, te donner l’appétit juste à me sentir. Ma peau qui tressaille, ma peau qui vibre, ma peau qui aime. Tes yeux qui me dévorent, ta bouche qui me mange, tes mains qui m’emportent sur le lit, me déposent et m’explorent. De sexe, de cul, d’amour : j’ai faim, je réclame, j’ai besoin.


On frappe. Un serveur nous apporte déjà notre repas. Vite, remettre de l’ordre dans nos vêtements. On s’installe en tête-à-tête, près de la table basse. Nous avons commandé une simple entrecôte à la bordelaise accompagnée de quelques frites, mais surtout nous allons déguster un saint-georges - saint-émilion de 1997. Tu me sers une larme dans mon verre.



Tu parles du vin ou de moi ? Tu fonds ton regard dans le mien. Humm, j’ai envie de toi… Pas vraiment faim, tu le devines… Reviens à moi. Tu te mets à genoux devant moi, m’écartes les jambes, m’ouvres les cuisses, tu plonges ton visage… Mon clitoris ne m’appartient plus, sous ta langue… Il frétille, s’allonge, gonfle. Oh ! Mon minou miaule, suinte, vibre. Oui, oui, je jouis pour toi… déjà. Humm, trop bon.



Baisers, câlins, désir : tout ça à la fois.

Tes mains, ta bouche, tes lèvres, tout de toi. Et continuer.


À ton envie de moi. À ma façon d’être à toi. À ma manière de me donner. Chatte, chienne, les deux l’une après l’autre. Chatte en douceur au départ. Lumière feutrée, ne pas trop me montrer, juste me deviner. Peu de peau sous ton regard. Mais tes deux mains qui me caressent sur ce grand lit… Je suis couchée. J’attends, je veux être passive, que ce soit toi qui recommences. Toi qui viennes vers moi, m’écartes les cuisses, poses ton doigt, tes doigts. Oui, toi qui continues le ballet pour que mon corps se réveille de nouveau.


Fais glisser ton majeur dans mon intérieur pour que coule mon miel, pour que tu huiles mes parois. Alors viens, viens remettre ta langue, viens me fouiller. Viens prendre mon chant, mes larmes, mon rire. Après et seulement après, moins câline je deviens. Je veux ta queue dans mon corps. Te saisir pour te diriger à l’entrée de mon minou… Te souhaiter, te vouloir… Et toi d’un grand coup me prendre. J’adore. Surtout bien rester… Aller venir… Mais ne pas me quitter… Si tu sors par inadvertance, je te dis :



Et vite te remettre dedans. Je te veux ! Ta queue, tes coups de reins, tes grands coups en moi. Et arriver à jouir aussi comme ça.


Un peu apaisée, tu peux changer de position. Tourne-moi, saisis mes fesses. Viens voir mon petit cul, lèche-moi, sens-moi, respire-moi, renifle-moi. Sois mon chien pour que je devienne chienne, sois animal pour que je sois tigresse. Pose ta langue sur mon auréole, tout en douceur, ouvre ce passage lentement. Fais-moi aimer cette caresse. Fais-moi te réclamer un peu plus que ton doigt, mais attends, ne brusque rien.


Reviens à moi. Donne-moi cette verge dans ma bouche. J’ai envie de t’avoir, de te sentir si fort, si dur sous ma langue et entre mes mains. Oui, laisse-moi d’abord goûter à ton jus, à ta crème. Je te veux bandant sous mes yeux. Ton phallus dirigé vers le ciel, vers moi. Humm, j’ai tant envie de toi. Et je deviens chienne. Alors bande, bande bien et laisse venir ton plaisir, explose dans ma bouche, vide-toi pour moi. Humm, trop bon ta semence.


Me laisser aller, m’abandonner dans tes bras, dessous toi, dessus toi. Froisser les draps. Et pourtant, cette chambre d’hôtel en a vu des amants s’aimer… Murs, tableaux, chevets sont aux aguets, intrigués de tant de sensualité qui se dégage de nos ébats. Toutes ces caresses, ces effleurements, ces souffles, ces murmures, ce vertige que tu me donnes. Tous ces soupirs, ces râles, ces cris, ces larmes, ces rires que tu fais jaillir de mon corps. Entre au chaud, fais couler entre mes cuisses ce nectar de ton instrument si dur, si fier, si ferme. Oh oui, que ta queue tapisse mon vagin, que coule mon eau pour que glisse, lime, bourre, ta belle. Suis mes courbes, mes hanches, mes fesses. Laissons nos corps se reposer un petit moment. Et sous tes caresses et les miennes revenir au plaisir.


Caresse mon cul, saisis mon cul, prends mon cul près de toi ! Il s’ouvre tout seul tellement d’envie tu m’as donnée et toi maintenant qui peux entrer. Attire-le sous ton regard, dessine un chemin en suivant un sillon entre minou et oisillon. Oui, oisillon mon petit trou. Petite chose à faire naître, à faire éclore pour qu’un chant mélodieux emplisse cette chambre. Oh oui mon cœur, baise-moi, baise-moi encore et encore. Je veux t’entendre me dire :



Prends-moi devant, derrière. Oui, encule-moi !