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Temps de lecture estimé : 16 mn
06/01/08
Résumé:  Récit de la soirée de la veille de mon premier mariage alors que mon futur époux enterrait sa vie de garçon avec ses copains.
Critères:  fh extracon alliance grossexe hépilé noculotte rasage facial fellation pénétratio journal
Auteur : Annie Cahuette      
Le plus beau jour de ma vie

Mon récit commence il y a presque 20 ans quand je me suis mariée avec Jacques, mon ex premier mari maintenant…


La veille du « Plus beau jour de ma vie », nous étions chez nous, et on avait décidé de se coucher tôt. Mais des copains de Jacques sont passés pour l’amener faire la bringue pour fêter l’enterrement de sa vie de garçon. Nous n’avions pas prévu ça et Jacques m’avait souvent dit qu’il trouvait complètement nul de faire ce genre de chose et que, pour lui, c’était immoral d’aller s’amuser d’une telle sorte juste avant de jurer fidélité et amour à son conjoint… Malgré ses convictions et ses bonnes paroles, ses copains n’ont pas eu à trop insister pour qu’il parte faire la fête, il m’a laissée seule avec la table dressée pour le repas du soir.


Un quart d’heure après environ, alors que j’essayais de me calmer et que je m’efforçais à ne pas pleurer de rage, on a sonné à la porte. C’était Marc, le frère et témoin de Jacques qui était venu de Lyon pour le mariage. On lui avait loué une chambre dans un hôtel pas loin de chez nous et on avait récupéré la clef de sa chambre, car il ne savait pas à quelle heure il devait arriver.


Après les politesses d’usage, je lui ai dit qu’il avait raté son frère de quelques minutes en lui expliquant ce qu’il était parti faire. Il m’a dit qu’il avait passé des heures dans les embouteillages et que cela l’avait claqué. Je lui ai proposé de partager mon repas et lui ai dit que s’il voulait se doucher avant de manger, qu’il pouvait le faire.


C’est ainsi que, dix minutes plus tard, il est réapparu dans l’entrée de la salle à manger avec, comme seul vêtement, une serviette autour du ventre. Il m’a demandé si je pouvais lui prêter un short, un t-shirt et un slip de son frère car les habits qu’il venait d’enlever étaient mouillés de transpiration et qu’il avait laissé sa valise dans sa voiture dans la rue.


Marc était un peu plus grand que Jacques, plus sec mais plus musclé. J’avais eu l’occasion de le voir torse nu l’été précédent et j’avais fait remarquer à mon futur mari qu’il ferait mieux de faire un peu de sport afin de ressembler à son frère.


Je l’ai donc entraîné dans la chambre et lui ai montré où se trouvait ce qu’il m’avait demandé. Et là, avant que je ne sorte de la chambre, il a pris un slip et a enlevé sa serviette afin de l’enfiler… En tant que future épouse de son frère, j’aurais dû vite tourner la tête et sortir de la chambre pour le laisser tranquille, mais il était de profil par rapport à moi quand il a enlevé la serviette et je n’ai pas pu m’empêcher de jeter un coup d’œil vers lui, histoire de pouvoir parfaire la comparaison avec son frère !


Jacques avait un sexe de 17 cm de long, moyen en longueur mais bien gros en épaisseur, des petites couilles et un gland assez petit et pointu. Il disait qu’il avait un sexe fait pour pénétrer et bourrer ! Ce que l’on ne se privait pas de faire très souvent.


C’est la longueur du sexe de Marc qui a tout d’abord accroché mon regard… Bien plus long que celui de son frère. Et mon regard est resté scotché sur son sexe. En général, le sexe d’un homme est laid au repos… Et quand il est « en forme », il ne devient beau que par ce que laisse présager son utilisation et le plaisir que l’on peut en retirer ! Jacques et Marc sont demi-frères par leur mère et ils se ressemblent autant par leurs allures générales que par leur visage. Là, j’avais trouvé ce qui les différenciait !


Marc a remarqué mon attention pour son anatomie et il s’est légèrement tourné vers moi tout en continuant à faire semblant de regarder dans le tiroir de la commode. Comme je le disais, je trouve qu’un sexe masculin n’est pas beau, surtout au repos, mais j’ai trouvé que le sien l’était. À vue de nez, cela devait donner du 20 ou 21 centimètres de long en état de marche. Il avait la verge aussi grosse que celle de son frère, mais il avait un gros gland, très gros même, et bien décalotté (J’ai vu après qu’il était circoncis). Et pour parfaire le tout, il avait une énorme paire de couilles et le tout était exempt de poils, ce qui n’était pas du tout à la mode à l’époque. Pour finir le parallèle avec son frère, lui n’avait pas un engin pour défoncer, mais un engin pour jouer !


À ce moment, il m’a tirée de ma rêverie en disant, et en confirmant ce que j’étais en train de penser :



Cela a eu le mérite de me faire revenir à la réalité et j’ai détourné la tête et fait mine de sortir de la chambre. Il a rigolé.



Et là, il s’est tourné face à moi. Je me suis arrêtée à l’entrée de la chambre et je n’ai pas pu m’empêcher de le regarder du coin de l’œil. Il a encore rigolé.



Et il a rajouté :



Bien sûr, j’avais pensé à ce que Jacques allait faire ce soir avec ses copains… Et cela me tournait dans la tête depuis leur départ ! Je me suis dit que Marc avait raison, son frère n’allait pas fermer les yeux toute la soirée, lui… Alors, j’ai un peu plus tourné la tête vers Marc. Et là, comme s’il lisait dans mes pensées, il a dit :



J’ai essayé de prendre la défense de Jacques et j’ai dit :



Marc m’a regardée droit dans les yeux en souriant. Je n’arrivais pas à soutenir son regard et j’ai baissé les yeux. Je savais qu’il ne fallait pas que je regarde par là. Son sexe avait gonflé, j’en étais certaine, mais il pendait toujours. Je voyais son gros gland qui pointait impudiquement vers le sol devant ses pieds. Il me venait des idées. Non, il ne fallait pas ! J’ai tourné la tête. J’ai essayé de faire remonter le niveau de moralité dans la pièce.


Marc m’a à nouveau parlé. Par politesse, j’ai relevé la tête.



Il me fixait avec un petit sourire. C’est vrai que j’en ai vues pas mal dans ma vie, et des plus longues encore, mais esthétiquement je trouvais la sienne parfaite ! Alors, je lui ai répondu :



J’ai à nouveau baissé le regard, à la fois pour faire ce qu’il me demandait et pour échapper à ses yeux qui me fixaient.


À cette époque, Jacques faisait de la voile avec ses copains et parfois je l’accompagnais dans leurs sorties. Et pour reprendre une de leurs métaphores lubriques, Marc était en train de hisser la grand voile !


Son gland avait encore gonflé et il pointait maintenant vers mes pieds… Marc a commenté ça par un "Et hop ! ". La partie mobile de son « équipement » est rapidement passée à la verticale et ce gros gland pour lequel allait toute mon attention est venu masquer son nombril. Je me suis retrouvée gênée… Moi ! Jamais je n’aurais cru pouvoir être mal à l’aise devant un homme en érection. Et quelle belle érection en plus !


Je commençais à avoir chaud entre mes cuisses. Ma tenue n’était pas ce qu’il y a de plus érotique : une blouse légère que je ne mettais qu’à la maison, une paire de sandales usées que je portais comme pantoufles en été et un soutien-gorge pour mon 100 D de l’époque qui était ferme mais qui avait déjà besoin d’être stabilisé. C’est Marc qui a rompu ce moment de silence :



Ce à quoi je lui ai répondu :



Il m’a rappelé une conversation que nous avions eue sur le sujet quelques mois plus tôt et où je soutenais que ce serait super si tout le monde pouvait vivre à poils. Ce à quoi Marc m’avait rétorqué :


Oui, comme ça plus de problèmes de drague ni de timidité : quand un homme aura envie d’une femme, cela se verra tout de suite !


J’avais rigolé à l’époque, mais là, je ne rigolais plus. Je savais ce qu’il pensait de moi à ce moment-là ! Cela se voyait !


Je lui ai dit qu’il avait raison et j’ai enfin réussi à détacher mon regard de son sexe insolent et je suis partie vers la salle à manger en lui demandant s’il voulait boire quelque chose en apéritif. Il voulait un whisky avec des glaçons. Quand j’ai pris la direction de la cuisine pour aller chercher les glaçons, il se tenait dans l’encadrement de la porte. Je lui ai dit que je voulais passer. Il m’a répondu :



Il s’est écarté pour me laisser passer et a reculé d’un pas dans le couloir.



J’ai dit que c’était tout comme. Il a continué.



Je lui ai fait face et lui ai répondu :



Pour clore cette conversation et désamorcer l’ambiance qui commençait à se plomber, j’ai dit :



Puis, j’ai continué mon chemin vers la cuisine.


Les glaçons étaient dans le congélateur, une « banque ». Je l’ai ouverte et me suis penchée en pestant contre mon 1m55 et « le bordel qu’il y avait dans ce congélateur » ! J’ai fait remarquer à haute voix :



Je ne faisais plus attention à Marc, j’étais « à fond » dans le bordel du congélateur… J’ai poussé un cri quand ma blouse a été relevée et déchirée en deux en partant du bas jusqu’au milieu du dos. Puis, une main m’a attrapé fermement la nuque et a appuyé pour maintenir ma tête et tout le haut de mon corps dans le congélateur.


Puis, je me suis laissée faire… À quoi bon lutter ? Surtout quand on n’en a pas du tout envie ! J’ai écarté les pieds quand un des genoux de Marc s’est immiscé entre le bas de mes cuisses, et quand j’ai senti son gland tant convoité venir se frotter entre le haut de celles-ci, je me suis cambrée et offerte…


Il m’a pénétrée tout doucement en faisant des remarques sur mes poils qui frottaient. Ce à quoi j’ai répondu :



J’ai trouvé l’idée de la surprise sympa… J’ai dit à Marc :



Il m’a lâché la tête, j’ai fermé le congélateur puis je me suis appuyée dessus et j’ai encore plus cambré les fesses. Il n’était pas sorti de moi et m’a attrapée par les hanches avant de commencer ses va-et-vient.


Mes seins me servaient d’amortisseurs sur le congélateur et je bougeais d’avant en arrière en appui sur eux et sur mes mains. Mes tétons frottaient contre mon soutien-gorge et cela ne faisait qu’apporter encore plus d’excitation à cette situation qui n’en avait pas besoin !


J’ai joui rapidement et j’ai laissé mes cris exprimer ce bonheur. Tant pis pour les voisins qui se plaignaient déjà de la fougue que l’on mettait parfois avec Jacques ! J’ai pris un second orgasme et Marc s’est retiré. Je lui ai ordonné :



Il ne s’est pas fait prier et a replongé. Trois coups de reins plus tard je sentais son éruption brûlante en l’entendant crier :



Il a lâché trois salves puis il s’est appuyé contre moi, le torse sur mon dos, son sexe toujours en moi. On a repris bruyamment nos respirations. Je sentais son sexe glisser de moi. J’ai pensé à serrer pour le retenir, mais non, je savais qu’il y reviendrait ! Son gland faisait bouchon, et quand il a dégagé mon orifice, cela s’est mis à couler entre mes cuisses jusque sur mes mollets.


On dit que le premier qui parle après l’amour dit une connerie. J’ai rompu ce silence au bout de quelques minutes :



Il s’était redressé et appuyé de dos contre l’évier de l’autre côté de la cuisine. Je lui ai dit :



Il m’a dit que mon bidet ferait très bien l’affaire pour mon nettoyage. J’ai failli lui dire que le lavabo lui irait très bien aussi quand je me suis remise à loucher sur son sexe : son gros gland et toute sa verge luisaient de nos plaisirs partagés. Alors, je n’ai pas parlé du lavabo et je me suis mise à genoux devant lui.


Je n’ai pas que des qualités et j’ai une petite bouche, je me suis contentée de le lécher et cela lui a redonné de la vigueur. Il a été à nouveau propre et en état de faire du bien. J’ai commencé à faire glisser son champignon entre mes lèvres quand il m’a demandé d’arrêter. Il m’a dit qu’il avait encore envie de moi. J’avais aussi envie de lui, mais j’ai profité de l’occasion pour lui dire que je devais me laver et me rhabiller au cas où Jacques reviendrait. Puis, j’ai regardé la pendule sur le mur, il était tout juste 20h30, cela ne faisait que 3/4 d’heures que Marc était là. Et de moi-même, j’ai dit :



Dans la salle de bain, Marc s’est proposé pour me faire ma toilette. Jamais un homme ne m’avait proposé de faire ma toilette intime après s’être vidé en moi. J’ai accepté, cela m’excitait et en plus je savais qu’à la clef il y avait ce qu’il m’avait promis pour mes poils et la surprise que cela ferait à son frère.


Il a fini de m’enlever ma blouse déchirée puis m’a débarrassée de mon soutien-gorge en poussant un :



J’ai une grosse poitrine avec de grandes auréoles et de tout petits tétons, je n’aime pas trop qu’on me la touche car cela me fait rapidement mal. Mais ce soir-là avec lui, non… Mes tétons étaient gonflés et dressés sous ses caresses. Il s’était accroupi à côté de moi et a avancé sa bouche vers la mienne. Quand elles se sont séparées, j’ai dit ce que je pensais à ce moment-là :



Et j’ai réussi à mettre mes mains par terre derrière moi et le bidet, en équilibre précaire mais ainsi toute exposée et prête à tout ce qu’il voudrait bien me faire !


Il m’a lavée tellement bien que je n’étais pas mouillée que d’eau. Par contre, mes bras s’engourdissaient dans la position où j’étais. Il m’a fait changer de position et d’endroit en me faisant m’asseoir au bord de la baignoire, une jambe allongée sur le rebord. Il est sorti de la salle de bain et est revenu avec une chaise de la cuisine pour m’y faire poser mon pied libre. Et je me suis à nouveau retrouvée en déséquilibre et à nouveau ouverte et offerte !


Je lui ai indiqué où était le rasoir de son frère ainsi que la mousse. Je lui ai demandé de me laisser de ma blondeur. Il m’a dit que ce serait dommage de gâcher ça et que je n’avais pas à m’inquiéter. Il a commencé en s’appliquant. J’ai eue peur qu’il ne me coupe, j’avais le clito et les lèvres bien gonflés et la double lame qui passait tout contre. Puis, il a pris une serviette et m’a essuyée. J’ai frissonné à ce contact sur ma peau lisse et mes chairs tendres. Il est enfin allé chercher un miroir de poche qui était posé à côté du lavabo et j’ai pu voir « l’œuvre d’art » !


Il avait épargné mes boucles blondes sur mon pubis, mais pas le bas. J’étais toute lisse à partir du dessus de mon clito jusqu’entre mes cuisses. En n’y regardant pas de trop près, on pouvait encore croire que mon triangle était intact. Il m’a dit :



Il m’a aidée à remettre mes pieds par terre et m’a tendu les mains pour que je me redresse. Son sexe était bien dressé et cela faisait un moment qu’il était dans cet état. Une goutte d’excitation perlait au méat de ce gland qui me faisait tant fantasmer. Il était debout juste devant moi. C’était trop tentant et la pointe de ma langue est venue enlever cette goutte visqueuse et salée.


J’ai réussi à prendre son gland dans la bouche, puis je l’ai fait ressortir pour lui dire :



Il m’a dit que ça il l’avait remarqué et senti ! Puis il a rajouté qu’il avait une grosse queue aussi ! Et il a fini par :



Je lui ai dit :



J’ai eu du mal. Je n’aime pas avoir un gros truc comme ça dans la bouche trop longtemps. J’ai eu quelques hauts le cœur. Il voulait se retirer mais je lui ai planté mes ongles dans les fesses pour l’empêcher de reculer. Je voulais lui faire ça, j’en avais envie. Pourtant, je ne suis pas fan des pipes et si j’en fais c’est pour faire plaisir à mon partenaire seulement. Et à une époque plus lointaine c’était pour gagner ma vie.


Il s’est enfin laissé aller. Je crois que c’était aussi abondant que son éjaculation dans la cuisine. Je l’ai repoussé vivement et cela a fini de partir sur ma figure et ma poitrine. Cela m’était parti au fond de la bouche, j’ai craché dans la baignoire derrière moi et j’ai bien failli vomir. Marc m’a dit qu’il était désolé et m’a rappelé qu’il ne voulait pas continuer. Il n’arrêtait pas de s’excuser. Je lui ai dit que cela allait et que c’était moi qui avais insisté et que j’étais contente de l’avoir dompté ainsi !


On est passé à table et, malgré ce qui venait de se passer, j’avais faim !


Quand le frère de Marc, et mon futur époux par la même occasion, est rentré à moitié bourré vers 2 heures du matin, je dormais seule dans mon lit à l’endroit où Marc m’avait laissée avant de rejoindre son hôtel. Il m’a réveillée en se couchant et je lui ai dit dans un grognement :



Et ce con n’a rien trouvé de mieux à me répondre :



Avant de réaliser qu’il venait de se trahir !


Je n’ai pas répondu et j’ai essayé d’avoir une respiration régulière. Il m’a dit doucement :



Et je n’ai pas répondu. Il valait mieux qu’il croie que je n’avais pas entendu sa remarque précédente ! Il s’est relevé pour aller se laver ! C’est vrai que ça sentait le sperme, mais cela ne venait pas de lui. Cela s’était écoulé lentement de mes fesses et de mon entrecuisse. Marc avait bien assuré ! Je ne m’étais même pas relevée pour aller me laver et changer les draps. Je me fichais que Jacques le découvre. Mais il ne s’en est même pas rendu compte !

Quand le réveil a sonné, je suis vite partie me laver puis j’ai fait le café. Et quand Jacques est parti à la salle de bain, j’ai vite aéré la chambre et j’ai changé les draps… Pourquoi aurait-on mal commencé le « plus beau jour de ma vie » ?