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n° 12176Fiche technique19859 caractères19859
Temps de lecture estimé : 12 mn
14/01/08
Résumé:  A quoi rêvent les jeunes femmes.
Critères:  f fh inconnu campagne fellation préservati -occasion
Auteur : Sibella      Envoi mini-message
Phantasme

Enfin les vacances ! Deux semaines de repos bien mérité. La seule chose qui m’agace est cette chaleur insupportable. Me connaissant je vais passer mes journées cloîtrée chez moi, fenêtres et volets fermés pour rester à l’abri de la chaleur.


L’idée d’aller me rafraîchir à la piscine municipale m’a traversé l’esprit et s’en est allée aussi vite en m’imaginant cette marée humaine. Les gens collés serviette contre serviette. Rentrer finalement dans une eau pas si fraîche que ça, où surnagent de-ci de-là quelques OFNI. Non merci !


Je passe une bonne partie de la matinée aux tâches que je m’étais fixées, courses, lessive, etc. Tout ça pour me donner bonne conscience pour le reste de la semaine.


Trempée de sueur par les quelques efforts que je viens de faire, je décide de prendre une douche. Délicieuse sensation que celle de sentir l’eau fraîche couler sur mon corps. De ma tête elle ruisselle sur mon dos, lorsqu’elle atteint le creux de mes reins, je pousse un petit cri et une vague de frissons parcourt mon corps. Je me retourne et laisse couler le jet frais sur mon visage. Mes tétons qui ont durci sous les frissons commencent à me faire mal tant ils sont tendus. Je ne résiste pas à l’envie de les caresser. Chaque caresse, chaque pincement produit une onde de plaisir, une chaleur au niveau de mon bas ventre. Déjà je sens mon vagin s’humidifier et mon clitoris prendre du volume et palpiter. Il me lance des appels à la caresse, ses frémissements sont de plus en plus intenses. Mais je décide d’arrêter là mon petit jeu. Je me savonne et me rince rapidement. En sortant j’enfile un long tee-shirt, mon vêtement d’intérieur préféré.


J’ai quelques hésitations entre faire une petite sieste ou aller sur le net. Je me décide finalement pour le t’chat. J’ai découvert la semaine passée un site que j’ai nommé « le supermarché du sexe », c’est pas très fin d’accord, mais appelons un chat un chat.


J’ai le choix entre différents salons, je décide d’entrer dans celui de ma région. Je salue la salle d’un :



Sachant très bien que cette simple phrase de politesse va déclencher de multiples messages privés. Le premier ne se fait pas attendre :



Au bout de quelques secondes j’en ai déjà 5 ou 6, je regarde le suivant :



Je ferme la fenêtre de dialogue sans répondre, c’est le genre d’interpellation qui me fait l’effet de la goutte de citron sur l’huître.


Le suivant est un « truc » en langage SMS, je lui réserve le même sort que le précédent, ça me fatigue de trop de devoir déchiffrer.


Message suivant :



Nous nous mettons d’accord pour le surlendemain midi.



Je lui réponds oui et vois son pseudo disparaître de la liste des connectés.


Machinalement je quitte le site. Les questions commencent à se bousculer dans ma tête. Vais-je réellement aller à ce rendez-vous ? En y réfléchissant bien, c’est quand même dangereux. Je me maudis d’avoir dit oui, d’avoir été si insouciante et irréfléchie. Mais en même temps, je sens monter une douce chaleur dans mon bas ventre. Le danger et l’inconnu me mettent dans un état d’excitation intense. Répondant à l’appel de mes tétons tendus sous l’excitation, je commence à caresser mes seins au travers de mon tee-shirt, je joue avec les pointes en les faisant rouler sous la paume de mes mains, puis en les pinçant entre deux doigts. De temps à autre j’empoigne fermement la totalité du sein en le serrant fortement. Ces caresses enflamment mon clitoris, qui palpite à chaque caresse. Je retire mon tee-shirt et décide d’aller m’installer sur le canapé. Assise, les pieds posés sur la table basse, les cuisses grandes ouvertes je glisse une main vers mon minou tout lisse et le caresse en va-et-vient, ouvrant et refermant mes cuisses sur ma main. Puis je fais glisser un doigt dans ma fente allant jusqu’à mon vagin chaud et humide recueillir un peu de ce liquide lubrifiant. Mon doigt s’enfonce dans cet antre chaud, y fait quelques va-et-vient, quelques cercles et se dirige vers mon clito. De mon autre main, j’écarte mes lèvres intimes au maximum pour dégager mon clito gonflé de désir. Puis j’entreprends de l’agacer doucement avec mon doigt humide, tantôt en faisant des petits cercles, tantôt en le pinçant entre deux doigts. Je change de position en me mettant à quatre pattes, les fesses bien en l’air, la tête posée à même le canapé. Cette fois-ci je fais glisser deux doigts dans mon vagin, celui-ci est de plus en plus mouillé et n’offre aucune résistance à cette caresse. J’y fais des va-et-vient lents, ressortant à chaque fois entièrement mes doigts avant de les replonger dans la chaleur moite et douce. Puis je les fais glisser vers mon clito qu’ils caressent en cercle. Mes seins frottent contre le canapé et mes mouvements s’accélèrent, je sens la jouissance monter rapidement jusqu’au point de non-retour, je ne peux retenir un cri de plaisir et je m’abandonne totalement à ce délice. Un peu pantelante je reste encore quelques instants dans cette position, mes doigts toujours scotchés à mon clito en train de faire des cercles lents et légers.


Je me retrouve deux jours plus tard au volant de ma voiture, en route vers mon rendez-vous coquin, revêtue d’une jupe allant jusqu’aux genoux et d’un tee-shirt au décolleté échancré qui laisse entrevoir le sillon entre mes seins. Ne sachant trop que mettre dessous, j’opte pour un ensemble assez simple en dentelle blanche.


J’arrive sur le parking avec un quart d’heure d’avance, guettant et épiant chaque voiture qui passe à côté de moi en me demandant si c’est lui mon rendez-vous.


Finalement, je me décide à ne pas vraiment suivre les consignes, et reste assise côté conducteur, souhaitant d’abord voir à quoi ressemble mon inconnu.


Un homme grand, aux cheveux bruns en bataille s’approche de la voiture.



Je me glisse côté passager pour lui céder la place. Un détail pourtant me gêne particulièrement, ce sont ses lunettes de soleil, il m’est impossible de voir ses yeux, le reflet de l’âme, dit-on.


Il jette négligemment son sac à dos sur la banquette arrière et, sans un mot, démarre et s’engouffre dans la circulation. Après quelques instants :



Ma main gauche glisse vers son sexe pour le caresser au travers du pantalon, puis rapidement elle remonte vers sa ceinture. Quelques tâtonnements et essais plus loin, je renonce à m’acharner contre cette pauvre ceinture et demande à Pierre de se défaire. Évidemment en un clic le tour est joué. Reprenant les choses en mains, je m’attaque au bouton et au zip, qui eux ne me résistent pas. Glissant ma main entre son pantalon et son slip, je caresse son sexe qui a pris du volume depuis ma première caresse, il grandit et durcit sous mes doigts, une petite tâche humide apparaît même sur le tissu. Essayant de prendre une position confortable, je me tourne vers lui autant que possible et glisse ma main dans son caleçon pour dégager entièrement son sexe et ses testicules. La ceinture de sécurité entrave mon mouvement lorsque je me baisse pour approcher mon visage de son sexe, je la fais donc passer par-dessus mon épaule, me libérant ainsi le haut du buste. Son sexe est à présent tout près de ma bouche, je passe quelques secondes à l’observer : il est au garde-à-vous, le gland bien dégagé, une petite goutte de plaisir y perle déjà. D’un petit coup de langue, je lape ce liquide pour le goûter. Puis j’enferme son gland entre mes lèvres pour le suçoter, après quelques instants je fais glisser tout son sexe dans ma bouche, mes lèvres l’enserrent le plus fortement possible pendant que ma langue joue à le lécher. J’alterne les va-et-vient rapides et lents, puis je le sors de ma bouche pour lécher le gland gonflé de plaisir.


Je sens la voiture freiner, puis s’arrêter, je lève la tête pour voir où nous sommes. Pierre a dû s’arrêter à un feu rouge. Lorsque je veux me remettre à la tâche, je croise le regard ahuri d’un homme arrêté lui aussi au feu juste à côté de nous, de son 4x4 il a une vue plongeante dans notre voiture. Un sourire malicieux apparaît lentement sur son visage. Loin de me gêner, ce regard fait monter en moi une vague d’excitation qui me fait me pencher à nouveau sur le sexe de mon inconnu. La voiture repart et je m’applique encore de longues minutes à sucer et lécher Pierre. La position devient de plus en plus inconfortable avec le temps, je me décide donc à reprendre une position normale, son sexe emprisonné dans ma main gauche.



Je m’exécute, soulevant ma jupe et écartant ma culotte, je glisse l’index dans mon vagin. Il pénètre sans difficulté dans ma grotte chaude et humide. Aux coups d’œil que me jette Pierre, je remarque qu’il est stupéfait que je m’exécute, ses yeux vont de mon bas-ventre à la route en s’attardant un peu trop sur moi, à mon goût, car la circulation est encore dense. Après quelques va-et-vient lents en moi, j’approche mon index humide de sa bouche qu’il entrouvre. Il suce mon doigt lentement, longuement, ce qui a pour effet de m’enflammer encore un peu plus.


Nous sortons de la ville, la circulation commence à se faire rare. Il prend un chemin de terre bordé de cultures puis en emprunte un second où on peut lire « propriété privée ». Il stoppe la voiture au milieu du chemin. Un peu plus loin on peut voir un portail donnant sur une propriété, certainement une petite maison de week-end.


Il sort de la voiture, attrape son sac à dos au passage et en sort une grande serviette de plage qu’il étale à quelques mètres du véhicule.



Je m’exécute, retirant mon tee-shirt et faisant glisser ma jupe à terre. Il en fait de même avec les siens, puis il me prend la main et me fait allonger sur la serviette.



Étendue sur le dos, je ferme les yeux. Pierre est à demi allongé à côté de moi, ses doigts parcourent mon cou, mon visage, glissent sur ma bouche que j’entrouvre pour les suçoter au passage. Puis ses mains glissent sur mes seins en me caressant au travers du soutien-gorge, il pince et agace mes tétons qui ont durci. Je sens monter l’excitation, mes soupirs deviennent de plus en plus forts. Il fait sortir un sein après l’autre de leur soutien, les masse, les pétrit, puis il les goûte avidement de ses lèvres et de sa langue, mordillant, aspirant les tétons tendus au maximum. Une chaleur douce et humide envahit ma chatte. Ses mains et sa bouche descendent lentement sur mon ventre, puis il change de position et vient se glisser entre mes cuisses. De sa main il frôle mon pubis, puis l’intérieur de ma cuisse, un doigt se glisse entre ma peau et l’élastique de ma culotte pour une petite caresse douce et en repart, glissant sur la fente de mes grandes lèvres que l’on peut deviner à travers le tissu. Il écarte le tissu et mes lèvres, approche sa bouche de mon sexe, sa langue passe sur mon clito gonflé de plaisir et se dirige vers ma grotte qu’elle pénètre. Un cri de plaisir m’échappe. Il introduit un doigt puis deux dans mon vagin pendant que sa langue s’affaire sur mon clito. Ses doigts font des va-et-vient lents tandis que sa bouche pince et titille mon clito. Je sens le plaisir monter en moi par vagues, mes gémissements se transforment en cris de plus en plus rapprochés et de plus en plus forts, tout mon corps se cambre sous la force de cet orgasme. Sa bouche et ses doigts quittent mon sexe, il vient s’allonger entre mes cuisses, sa tête sur mes seins, son sexe que je sens dur, à travers son boxer, contre le mien.


Il me faut plusieurs minutes pour récupérer. Pierre ne cesse pendant ce temps de caresser mes seins, ses reins font de lents mouvements pour frotter son membre contre mon pubis. Lorsque je suis enfin apaisée il se dégage, se met debout et me dit :



Je me mets à genoux devant lui, j’ai son sexe tendu sous le tissu devant les yeux. J’approche ma main et la fais glisser le long de son membre jusqu’à ses testicules que j’enserre doucement dans la paume de ma main. Je décide enfin de le libérer de son vêtement, son sexe jaillit, raide, le gland décalotté, luisant de désir. Je ne peux m’empêcher de goûter ce liquide d’un coup de langue puis de prendre le sexe dans ma bouche en faisant des va-et-vient lents d’abord, puis de plus en plus rapides. Ma langue glisse le long de son membre jusqu’à ses testicules que j’aspire l’un après l’autre puis remonte, serrant cette fois-ci le plus possible mes lèvres autour de son mât. Il pousse un gémissement, mes va-et-vient sont lents, j’avale son sexe jusqu’au fond de ma gorge à chaque mouvement, je le sens durcir encore davantage. En sentant sa respiration s’accélérer de plus en plus, je sors le sexe de ma bouche et entreprends de le masturber, mon pouce et mon index enserrent à peine son gland, ils glissent sous l’action de la salive qui agit comme un lubrifiant. Dans un râle, trois longs jets de sperme giclent sur moi, mouillant mon menton et mes seins. Je fais glisser à nouveau son sexe dans ma bouche pour le suçoter doucement et le sentir reprendre sa taille normale.


Nous nous asseyons sur la couverture et Pierre me propose un verre d’eau que j’accepte avec grand plaisir.



Ses mains caressent à nouveau mon corps, elles glissent rapidement vers mon sexe. Il emprisonne mon clito entre deux doigts et le fait rouler, puis le relâche et le titille en faisant des cercles autour. Il introduit deux doigts dans mon vagin, puis trois, puis quatre, il essaie d’introduire toute sa main en moi.



Sa langue vient lécher mon clito en même temps que sa main tente de pénétrer au plus profond de moi. Mais rien n’y fait, après de longues minutes il abandonne.



Il prend un préservatif dans son sac et me fait avancer vers la voiture.



J’entends le bruit du latex, il est en train d’enfiler le préservatif, puis je sens son sexe contre le mien, ses mains viennent se positionner sur mes hanches. Il pénètre d’un coup sec entièrement en moi, je pousse un cri de plaisir. Ses va-et-vient sont très lents, à chaque mouvement il sort complètement et revient à l’assaut d’un coup sec. Il emprisonne mes seins dans ses mains tout en restant au fond de mon vagin, ses hanches font de petits mouvements comme s’il voulait aller encore plus loin en moi. Puis il relâche ma poitrine, il accélère ses mouvements, son bas- ventre claque contre mes fesses. Je glisse ma main sur mon clito pour le caresser, le plaisir grandit rapidement, sous l’action combinée du sexe de Pierre en moi et de mes doigts qui caressent mon clito, je pousse de grands cris de plus en plus rapprochés, tandis que Pierre accélère davantage encore ses mouvements. Nous atteignons presque simultanément le plaisir.


Pierre se retire et m’attire contre lui, toujours encore de dos, il emprisonne dans ses mains mes seins et les caresse longuement. Puis il glisse une main sur mon sexe, ses doigts trouvent rapidement mon petit bouton qui décidément ne se lasse pas de ses doigts experts. Il n’a pas fallu plus de deux minutes pour que vienne la prochaine jouissance.


Pierre me conduit sur la serviette qui nous sert de couverture. Nous buvons encore un verre, tout en parlant de nos vies respectives.



Nous rangeons nos affaires et Pierre se met au volant pour retourner au parking où il avait laissé sa voiture. Nous nous quittons sur un baiser furtif, sachant que jamais plus nous ne nous reverrons.