n° 12185 | Fiche technique | 12951 caractères | 12951Temps de lecture estimé : 9 mn | 19/01/08 |
Résumé: Jeune Français vivant en Irlande, je fais la rencontre d'un homme plus âgé avec qui je noue des liens d'amitié qui évolueront subitement. Cet homme m'initiera aux rapports amoureux homosexuels. Ceci est le récit de notre rencontre et de cette initiation. | ||||
Critères: hh hplusag intermast fellation hdanus hsodo init -inithh | ||||
Auteur : Bacchus (Le plaisir, tous les plaisirs) |
Bonjour à toutes et à tous,
C’est après avoir raconté l’histoire qui va suivre, que plusieurs personnes m’ont parlé de ce site et poussé à y participer comme auteur, pour votre plaisir je l’espère. Je précise que cette histoire est vécue et s’est produite il y a de cela quelques mois, fin septembre pour être plus précis. Je changerai juste les noms par souci de discrétion. Bonne lecture.
Je suis un jeune homme de 20 ans que vous connaîtrez sous le nom d’Adrien. J’ai les cheveux châtains, suffisamment clairs pour paraître blonds, la lumière aidant. Je suis élancé et relativement athlétique bien que pas spécialement grand (un peu moins d’1m80). Je plais assez aux filles même si pour l’instant je n’ai pas encore eu de relation sérieuse, mais plutôt quelques petites aventures de-ci de-là ce qui me convient tout à fait.
Je vis depuis août 2006 dans une ville portuaire de l’ouest de l’Irlande. Mon année sabbatique destinée à l’apprentissage de l’anglais s’est en effet prolongée car je m’y sens bien. Un de mes plaisirs est de me promener le long de l’océan assez tôt le matin, j’apprécie le calme de ce moment ; et puis c’est très vivifiant !
Un jour de novembre 2006, je me baladais le long d’une plage que je découvrais pour la première fois, lorsque je vis un homme sortir de l’eau et se diriger vers un paquet de vêtements posés sur un rocher. Proche de la cinquantaine, le front dégarni, environ 1m85, athlétique mais avec un début de bedaine. Il me dit bonjour en souriant, tout en s’essuyant vigoureusement, attaqué par le vent glacé. Je le saluai à mon tour et, n’ayant pas beaucoup d’amis avec qui discuter, je m’arrêtai pour engager la conversation.
Il rit de bon cœur.
Nous discutâmes quelques minutes de plus puis il m’invita à passer boire le thé chez lui un de ces jours, sa maison n’étant qu’à une dizaine de minutes à pieds. Je répondis oui plus par politesse que par réelle intention. Les semaines qui suivirent, je le rencontrai souvent à cet endroit, le matin et je pris finalement l’habitude de me baigner moi aussi. Et je dois dire qu’il n’avait pas menti : l’entrée et la sortie de l’eau sont des moments particulièrement délicats ! Mais je pris goût à ces baignades matinales. Nous discutions de tout et n’importe quoi, sport, musique, cinéma et même politique. Les mois passèrent et, bien que j’aie fait la connaissance d’une Irlandaise répondant au curieux nom de Derbhaile (prononcez « Dervla »), je continuai à me rendre sur la plage le matin sans elle, car elle se lève toujours très tard, une vraie marmotte ! Puis arriva ce jour de septembre 2007…
Nous avions nagé longtemps, John et moi, ce jour-là et j’étais vraiment fatigué. Pendant que nous étions occupés à nous rhabiller, le fort vent d’ouest amena une averse assez violente. John me proposa de nous rendre chez lui, sa maison étant bien plus près que la mienne. J’acceptai volontiers d’autant que, malgré son invitation initiale, je n’avais jamais été chez lui. Nous courûmes une bonne partie du chemin ce qui ne nous empêcha pas d’arriver trempés et frigorifiés jusqu’aux os. Une fois à l’intérieur, il m’indiqua la salle de bains où je retirai tous mes vêtements sauf mon caleçon et passai un peignoir bleu qu’il m’avait invité à emprunter. De retour dans le living room il me servit du thé bien chaud et me fit asseoir sur un confortable sofa juste en face de la cheminée. Puis il fila dans la salle de bains pour se changer à son tour. Je restai seul sur le sofa, bien au chaud, sirotant mon thé. Je devais résister au sommeil qui menaçait de s’emparer de moi. Il revint lui aussi dans un peignoir et s’assit à côté de moi pour boire son thé.
Je lui demandai où était sa femme et appris qu’elle était absente, s’étant rendue à Boston pour les funérailles d’une amie d’enfance. Son fils et ses deux filles vivant pour l’un à Sydney, et pour les deux autres à Dublin et à Londres, il avait la maison pour lui tout seul. Au fil de la conversation, bien calé dans le sofa, mes paupières devinrent de plus en plus lourdes. Je me sentais épuisé mais fantastiquement bien. John était près de moi, les deux derniers doigts de sa main droite posés légèrement sur ma cuisse gauche Je pris conscience de ce contact et le jugeai accidentel. À moitié endormi, il me fallut quelques secondes pour me rendre compte que John m’embrassait, sa langue à l’orée de mes lèvres. Je me redressai brusquement et m’écartai n’osant pas imaginer la rougeur de mes joues que je sentais brûlantes. Pris au dépourvu, je tentai de bafouiller au sujet de mon hétérosexualité pendant que John se rapprochait lentement de moi, sans rien dire, avec un regard tranquille mais brillant. C’est alors que je réalisai que mon sexe était en érection. Il était clair que j’avais très envie de faire l’amour bien que l’idée de le faire avec un homme ne m’ait que très rarement traversé l’esprit, et avec John jamais. Il s’approcha à nouveau de moi et recommença à m’embrasser. Épuisé, confus, troublé et, je dois bien l’avouer, excité, je ne le repoussai pas et le laissai prendre possession de ma bouche. Sa langue vint à la rencontre de la mienne et nos salives se mélangèrent alors que ses mains, hésitantes au début, gagnaient de l’assurance dans mon dos et sur mes épaules. Embrasser un homme est différent d’embrasser une femme et ma langue perdait parfois sa bouche. Sa main, infiltrée sous le peignoir, caressait mon sexe à travers le caleçon. Il écarta les pans de mon peignoir et me caressa la poitrine. Il descendit le long de mon cou et commença à mordiller mes tétons, les lécher, les embrasser. Je fermai les yeux, la tête rejetée en arrière, et, quand je les rouvris, il avait enlevé son peignoir, et se tenait nu devant moi. Son sexe dressé n’était pas énorme mais pas petit non plus, entouré de poils gris pas suffisamment nombreux pour couvrir ses testicules. Je me levai à mon tour et il m’attira à lui en me prenant par les fesses. Je recommençai à l’embrasser puis d’instinct je descendis sur son cou puis sur sa poitrine aux poils poivre et sel. Le bruit de nos respirations se faisait de plus en plus entendre alors que ses mains parcouraient le haut de mon dos. Léchant son nombril, je me rendis vaguement compte que là était la limite des ébats « inoffensifs ». Plus bas, je pouvais sentir appuyer contre la base de ma gorge, son pénis dur comme de la pierre. Plus bas se trouvait l’interdit. Plus bas… À genoux devant son sexe je me souvins de la meilleure fellation de ma vie, prodiguée par une Française de 25 ans rencontrée à Dublin et essayai de la reproduire. Je le masturbai lentement en le regardant, caressai ses bourses puis, pour gagner du temps je remontai soudainement et lui suçai la langue dans une étreinte passionnée. Il me fixa du regard et appuya légèrement sur mes épaules et me dit juste :
Je soutins son regard à défaut de répondre et pris ma décision. J’allais vraiment faire l’amour avec un homme, avoir un rapport sexuel avec un homme… Mettre son pénis dans ma bouche et probablement le laisser me pénétrer par la suite. Toute mon éducation, toutes mes expériences, plus rien n’existait… Je redescendis et m’agenouillai puis je commençai à lécher son sexe avec tendresse ; ma langue s’occupa ensuite de son gland sur lequel je déposais de temps à autre un baiser. Mes mains parcouraient ses fesses et l’arrière de ses cuisses. Puis, lentement, je pris sa virilité en bouche. Je commençai les va-et-vient en prenant garde à ne pas lui faire mal avec mes dents ce qui est plus difficile que l’on pense. Prenant le bon rythme je me mis à utiliser ma langue pour jouer avec son gland et la hampe de son pénis. Je m’efforçai de garder un rythme régulier mais pas rapide. Ses mains me caressaient les cheveux à présent et me poussaient plus avant. J’avais du mal à prendre l’intégralité de son sexe celui-ci ayant beaucoup gagné en consistance depuis le début de nos ébats. Il fit l’amour à ma bouche ainsi pendant de longues minutes avant d’exploser. Je sentis son sperme chaud se répandre sur ma langue et contre mes joues, coulant au fond de ma gorge et également sur mon menton. Je lui trouvai un goût un peu salé mais pas désagréable. J’avalai et nettoyai son gland en le lapant méticuleusement. Il s’effondra sur le sofa avec un soupir de bien-être et je me mis sur lui pour l’embrasser de nouveau pendant qu’il me masturbait de sa main gauche, la droite caressant mes fesses puis se focalisant sur l’entrée de mon anus. Après quelques minutes de ce régime, je jouis à mon tour sur sa main qu’il essuya sur mon ventre. Il me fit ensuite allonger sur le ventre et me flatta l’anus de sa langue déclenchant une vague de plaisir aussi puissante qu’inattendue. Sa salive s’infiltra en moi, glacée, ou incandescente, impossible de savoir… Une érection un peu douloureuse me gagna de nouveau. Je sentis alors un doigt me pénétrer, puis deux. Combien de temps cela dura, je ne saurais le dire. Il s’allongea ensuite sur moi, m’écrasant un peu et me lécha une oreille en chuchotant. Nos corps se mirent à onduler en cadence, nos respirations calquées l’une sur l’autre. Son poids disparut d’un coup et je sentis ses mains se glisser sous moi à hauteur de mon bas-ventre. Il releva mes fesses et introduisit à nouveau deux doigts enduits de salive. Les mains le long du corps, j’attendais l’inévitable. Je sentis son gland à l’entrée de mon anus. Manifestement une érection toute nouvelle l’avait gagné. Il s’enfonça un peu, puis un peu plus. Je gémis d’excitation mais surtout de douleur. Son sexe ne progressait plus mais n’était pourtant pas entré loin. La barrière de mon sphincter tenait toujours. Il se retira et je devinai qu’il s’enduisait le sexe de salive, puis mon anus reçut la visite de deux autres doigts mouillés. Je n’osais plus bouger. Il fit une nouvelle tentative et entra. Le gland passa, puis plus loin, encore un peu plus loin. Il ressortit légèrement et revint à la charge d’un coup de reins plus énergique et, cette fois, me « déflora » complètement. Je poussai un cri de douleur et agrippai le sofa dans mes poings serrés. Mon cri laissa vite place à de profonds gémissements alors que la douleur s’estompait au profit du plaisir. Le va-et-vient était maintenant puissant et régulier. Il mit les mains sur mes hanches et me sauta comme ça. De mon côté, je me branlais avec vigueur, ma verge sur le point d’éclater. Son rythme s’accéléra puis retomba. Nous étions tous deux en sueur. Je continuai de gémir sans retenue, et perdis toute notion de temps. Je pense qu’il me sodomisa ainsi pendant un bon quart d’heure avant de jouir en moi, à l’intérieur de mon anus. Il se retira et s’affala sur moi. Nous restâmes ainsi pendant un long moment, haletants. Le sommeil s’empara de nous.
Ce soir-là, de retour chez moi je couchai avec Derbhaile qui me trouva vraiment performant. Je suis toujours avec elle à ce jour. Je revois John régulièrement et, depuis ce jour-là, nous avons refait l’amour trois fois. Je ne sais pas si je chercherai d’autres partenaires dans le futur mais il est clair que ma sexualité a été bouleversée par cette expérience… en bien !