n° 12206 | Fiche technique | 25062 caractères | 25062Temps de lecture estimé : 15 mn | 24/01/08 |
Résumé: Sympathique, l'idée de Maurice de nous inviter pour son anniversaire. Mais quelle chaleur ! | ||||
Critères: grp copains fête anniversai voir exhib noculotte fellation cunnilingu pénétratio fsodo échange partouze champagne -totalsexe -entrecoup | ||||
Auteur : Alaink (Histoire réelle ou fantasme ?) Envoi mini-message |
Josette se regarde une dernière fois dans la glace. Pour aller à l’anniversaire des 40 ans de Maurice, en cette fin du mois de mai, elle a mis une sorte de tunique, certains diraient une djellaba bleue avec des lignes de couleurs, djellaba qui descend presque au sol. Et pour faire plaisir à son mari, Alain, elle n’a rien mis en dessous. Le vêtement est totalement opaque et elle seule sait qu’elle est nue dessous, même Alain ne s’en est pas aperçu.
L’appartement de Maurice et de sa femme n’est qu’à quelques minutes, et quand Josette et Alain arrivent, presque tous les invités sont déjà présents, une quinzaine au total. Il y a une grande table au milieu et, de chaque côté, des tables plus petites où les plats sont déjà prêts.
Apéritif, discussions, rires, la soirée commence très bien. Les convives se servent, passent à table. Josette pense de temps en temps qu’elle est nue sous sa robe et se sent excitée à cette pensée. Alain ne s’en est pas encore aperçu.
Les boissons viennent à manquer sur la table.
Ils vont dans la cuisine, à l’autre bout du couloir. À peine entrés, Josette plaque Alain sur le mur derrière la porte et l’embrasse en lui passant les mains autour du cou. Elle se plaque sur lui. Alain pose machinalement les mains sur la taille de Josette et lui caresse les fesses. Il accentue sa caresse et se rend compte que sous la robe, il n’y a pas de culotte.
Pour toute réponse, il lui emprisonne les deux fesses dans les mains tout en l’embrassant fougueusement. À ce moment, la porte s’ouvre. C’est Maurice.
Il ne les voit pas tout de suite car ils sont derrière la porte.
Maurice avance la main, parcourt le cul de Josette et finit par découvrir lui aussi la nudité sous la robe.
Et joignant le geste, il lui remonte la robe jusqu’à la taille.
Josette ne sait pas trop quelle attitude prendre. Elle est nue pour Alain mais ce divertissement avec Maurice n’est pas pour lui déplaire.
Le repas se poursuit, les vins aussi. Il fait décidément bien chaud pour une fin mai. Même en buvant de l’eau, la chaleur est là et chacun transpire plus ou moins. La tunique de Josette la couvre entièrement et elle a vraiment très chaud en dessous. Elle décide d’aller se rafraîchir dans la salle de bains. En arrivant, elle voit la douche et se dit que ça la rafraîchira mieux que quelques ablutions. Elle fait passer la tunique par-dessus sa tête et entre dans la cabine. Ah que c’est bon, l’eau fraîche qui coule !
Elle n’entend pas la porte s’ouvrir mais en se retournant, elle aperçoit la silhouette de Maurice à travers les portes dépolies de la cabine.
Josette est surprise, cache plus ou moins sa nudité. Maurice lui tend une serviette. Elle coupe l’eau et commence à s’essuyer. Quelques instants plus tard, elle veut remettre sa tunique mais Maurice l’en empêche, jouant à la tirer à chaque fois qu’elle veut l’attraper.
Josette sent qu’elle ne va pas avoir le dessus. Les deux ou trois verres de vin qu’elle a bu lui montent un peu à la tête. Et cette situation ne lui déplaît pas vraiment…
Comme Josette recule, il lui tapote les fesses en disant que ce n’est pas tous les jours son anniversaire et que ça lui ferait vraiment plaisir. Et disant cela, il la tire doucement par le bras et lui dépose un petit baiser sur les lèvres. Josette est confuse, rougit et finit par se laisser faire. Ils arrivent ainsi dans la salle à manger.
Josette est devenue totalement rouge. Se retrouver nue devant tout le monde, elle n’y avait pas pensé en s’habillant tout à l’heure…
Alain se lève et dit à Maurice qu’il va avoir un cadeau encore plus marquant. La table est débarrassée et, comme dans certains restaurants de Lisbonne, la nappe a été changée avant le dessert. Alain s’approche de Josette, la fait reculer jusqu’à ce que ses fesses touchent le rebord de la table, la pousse un peu pour qu’elle s’asseye et, d’un geste ferme, la bascule en arrière. Elle a le haut du corps allongé, le cul au bord de la table et les pieds qui touchent à peine le sol. Son pubis saille d’une manière impudique. Là, il va trop loin, pense-t-elle. Mais déjà Alain lui écarte les jambes et demande qu’on lui passe une bouteille de champagne. La bouteille ouverte, il en répand sur les seins et le ventre de Josette. Sous le liquide froid, son ventre se contracte et un petit lac se forme pendant qu’une petite rivière descend vers son sexe.
Et il se penche et lape un peu de champagne. À vous, maintenant !
Quelques hésitations et Maurice dit :
Et il lèche un tétin de Josette. Celle-ci frémit, tant par la fraîcheur du champagne que sous la langue qui la titille. Alain verse à nouveau un peu de champagne et les hésitants viennent à leur tour. Josette est bientôt couverte par plusieurs têtes et des langues la lèchent. Certains lui lèchent le sexe, d’autres langues glissent dans sa bouche pendant qu’une autre langue lui écarte les lèvres de la vulve. Et Alain continue de faire couler doucement le champagne. Quand la bouteille est vide, il se penche sur Josette, lui dépose un doux baiser sur la bouche :
Elle sourit et opine avec la tête. Elle lui rend son baiser. Il reprend :
Josette est vaguement inquiète mais elle a confiance en Alain. Qu’a-t-il trouvé, cette fois ? Elle commence à comprendre quand il lui écarte à nouveau les jambes au maximum en disant à Maurice :
Maurice est étonné. Il reste sans réaction.
Maurice finit par obéir, détache sa ceinture, fait glisser au sol slip et pantalon, ôte sa chemise qui était déjà déboutonnée. Il est nu et chacun peut voir qu’il bande fort. Il s’approche de la table et comme il est petit, son sexe est juste à la hauteur du con de Josette. Alain se penche, embrasse Josette. Elle sent le phallus de Maurice qui la pénètre doucement. Instinctivement, elle a un spasme du bassin et le sexe grossit encore. Cette position la rend honteuse mais elle sent qu’elle mouille fort en même temps. Alain l’embrasse toujours. Maurice va-et-vient doucement en elle et lui caresse les seins. Elle adore cette caresse et commence à contracter doucement son vagin au même rythme que Maurice. Il quitte bientôt les seins et glisse ses mains de chaque côté de ses fesses et lui serre le bassin. Il la tire pour qu’elle soit bien empalée et accentue le mouvement. De plus en plus fort, de plus en plus profond. Josette ondule ses hanches. Maurice pénètre de plus en plus et finit, avec un «ah» de fauve, par éjaculer au fond d’elle. Elle sent le liquide abondant et chaud qui l’envahit. Elle a un dernier spasme de jouissance, elle aussi. Ils restent ainsi un long moment sans bouger. Alain a arrêté d’embrasser Josette. Maurice s’allonge sur le corps de Josette, l’embrasse à son tour en lui murmurant merci.
Les conversations reprennent doucement. Maurice finit par se retirer et va dans la salle de bains. Josette se lève aussi et sans plus se soucier de sa nudité, se dirige elle aussi vers la salle de bains. Maurice est déjà dans la douche. Elle ouvre la porte.
Et ils se frottent mutuellement sous l’eau qui coule. Par jeu, Josette passe sa main sur la bite de Maurice et constate qu’il bande à nouveau.
Elle se laisse glisser sous l’eau de la douche et, agenouillée, prend entre ses lèvres le sexe de Maurice. Doucement, elle lui titille le gland, puis fait de grands mouvements circulaires. Elle ouvre la bouche, quitte le gland et embrasse la hampe tout en descendant. Elle aspire un à un les testicules, les massant de la langue. Puis elle remonte, reprend le sexe dans sa bouche et cette fois l’aspire au plus profond de sa gorge. Elle est certaine de ne pouvoir l’avaler plus. Elle fait des allers-retours avec sa tête, masturbant Maurice, laissant le sexe sortir de sa bouche pour l’enfourner à nouveau au plus profond. Elle sent le sexe frémir, l’amène sur sa langue, aspire et l’enfonce d’un seul coup au plus profond. Elle sent en même temps la semence de Maurice lui couler au fond de la gorge. Elle aime le goût du sperme.
Elle se relève, embrasse Maurice, finit de se rincer et sort de la douche pour s’essuyer. Ceci fait, elle attrape sa tunique, hésite… et décide de ne pas la remettre, se disant qu’avec la chaleur et compte tenu de ce qui s’est passé avant, elle aurait tort de se gêner.
Elle revient dans la salle à manger. La nappe a été à nouveau changée. Un beau gâteau trône sur la table et quand Maurice revient, il le découpe et sert chacun. Josette, nue, mange gaiement sa part quand sa voisine, Paula, se penche vers elle et lui dit doucement :
Et elle ajoute en souriant :
Josette se lève, prend la main de Paula et s’éloigne de la salle à manger. Elle trouve une chambre, entre avec Paula, referme la porte. Et avant que Paula réfléchisse, commence à lui déboutonner le corsage.
Elle continue de déboutonner et fait sortir le corsage de la jupe pour les derniers boutons. Quand c’est fini, sans hésiter, elle le fait glisser sur les épaules de Paula et jette le corsage blanc sur le lit.
Et joignant le geste à la parole, elle passe les mains dans le dos de Paula, dégrafe la jupe jaune, ouvre la fermeture à glissière et dans le même mouvement, fait tomber la jupe sur le sol. Paula est maintenant en sous-vêtements, culotte et soutien-gorge blancs. Elle ne bouge pas, ne sourit pas et semble très gênée.
Elle l’attire contre elle, lui dépose un baiser sur la bouche et dégrafe en même temps le soutien-gorge dans le dos, soutien-gorge qui va aussitôt rejoindre les autres vêtements sur le lit.
Effectivement, Paula a des seins ronds, fermes, un peu lourds, mais les tétins regardent bien droit devant eux. Sous le compliment, elle sourit et rougit un peu. Elle n’a d’ailleurs pas le temps de réfléchir plus avant au compliment, car Josette a fait glisser d’un seul coup la culotte blanche qui va rejoindre la jupe jaune sur le sol. Paula est nue. Josette se colle à elle, l’embrasse en lui tenant les fesses. Elle se recule.
Paula n’a même plus la force de protester et elle obéit. Josette la regarde, glisse une main sur les fesses, sur le ventre, caresse le pubis avec le revers de la main.
Elle l’embrasse tendrement sur la bouche, lui prend la main, et la guide vers la salle à manger.
À leur entrée, les conversations et les rires s’arrêtent. Le mari de Paula, qui finissait tranquillement son gâteau, reste la cuillère en suspens… Tous connaissent Paula et sa réserve, sa timidité, et la voir d’un seul coup nue alors que d’habitude elle n’a jamais le moindre petit décolleté, voilà qui les surprend. C’est son mari qui rompt le silence.
Paula fait le tour de la table et s’approche de son mari. Quand elle est suffisamment proche, il lui prend une main, l’attire et, sans se lever, la serre contre lui, blottissant sa tête entre ses seins. Et prenant les autres à témoin :
Paula est à la fois gênée et émue. Elle craignait au fond d’elle la réaction de son mari à ce déshabillage, mais est maintenant très heureuse de sa réaction. Elle relève un peu la tête, lui sourit, ce qui la rend réellement radieuse.
Et en même temps, il allume en grand l’éclairage qui avait été baissé dans la soirée. Et c’est en pleine lumière que Paula s’approche de ses amis. Elle se penche et embrasse chacun sur la joue. Les premiers, hommes comme femmes, lui rendent simplement son baiser, puis l’un l’embrasse sur la bouche, un autre la tient par les fesses en l’embrassant, une femme lui caresse les seins. Paula est heureuse. Elle a perdu toute timidité et quand la musique se fait entendre pour danser un peu, il ne lui vient pas à l’idée d’aller se rhabiller. C’est avec son mari qu’elle fait la première danse, joue contre joue. Au changement de danse, c’est Maurice qui la tient dans ses bras pour un collé-serré. Elle ne se recule pas et quand il plaque ses mains sur son cul pour la coller encore plus, au contraire, elle rit. Elle sent sur sa cuisse le sexe durci de l’homme et s’amuse à le frotter. La danse s’arrête et un autre la saisit. Danse calme. Il la tient fermement de son bras gauche, son bras droit est replié et sa main posé sur le sein gauche de Paula. Il lui pétrit doucement le sein. Elle aime et pour le remercier lui donne un baiser, un vrai «avec la langue» ! La danse cesse à nouveau et c’est un rock. Elle adore. Et par chance, c’est le meilleur danseur de la bande qui s’approche. Elle est ravie et se donne à fond dans la danse. Ils sont essoufflés quand la musique s’arrête et ils s’effondrent sur le divan.
À son tour, il lui dit qu’elle a de la chance d’être dans cette tenue. Elle inverse les rôles et lui conseille de se mettre à l’aise. Il rit mais elle l’a dit sérieusement. Et comme il n’obéit pas, elle prend l’initiative. Cravate et chemise sont vite ôtées. Elle s’agenouille entre ses jambes et lui déboucle la ceinture, le bouton, la fermeture et, passant les mains derrière les fesses, essaye de faire glisser le pantalon. Elle n’y arrive pas parce que son danseur résiste. Puisqu’il ne veut pas, pense-t-elle, faisons autrement. D’un geste autoritaire, elle ouvre largement le pantalon, découvre le caleçon, passe la main et sort le sexe. Le garçon est figé. Elle penche la tête et embrasse le gland. Le sexe, déjà gros, grossit encore.
Il capitule et l’aide à faire glisser le pantalon jusqu’aux pieds. Elle reprend sa position et, tenant les couilles d’une main, les serrant et relâchant alternativement sa pression, elle entre progressivement le sexe dans sa bouche. Sa langue parcourt le dessous de la verge, titille le frein du prépuce. Le garçon a fermé les yeux et lui tient la tête. Il fait aller et venir la tête, se masturbant dans sa bouche. Elle aime ce jeu avec son mari et ce partenaire-là semble aimer aussi. Elle continue ainsi un moment puis accentue le mouvement. Le phallus va de plus en plus profond dans sa gorge. Elle n’a que peu d’expérience, s’étant marié vierge, mais il lui semble que cette bite est particulièrement longue. Le gland est au fond de sa gorge et pourtant la hampe dépasse encore suffisamment de sa bouche pour qu’elle puisse la prendre dans ses doigts. Elle accompagne le mouvement de sa tête avec ses doigts, découvrant le gland en tirant le prépuce puis elle se retire et avec sa langue, ramène le prépuce qui recouvre alors totalement le gland. Elle pratique le jeu quelques fois puis, estimant que c’est le bon instant, enfonce le plus possible le sexe dans sa gorge tout en tirant le prépuce en arrière. Le résultat escompté arrive : il éjacule bruyamment et elle sent très bien le sperme glisser dans sa gorge. Elle pense qu’il a un goût différent de celui de son mari. Et elle pense aussi qu’elle est venue avec un chemisier à manches longues… et que la voilà nue en train de faire une fellation à un copain ! Et elle s’aperçoit que son mari a assisté à toute la scène !
Elle se lève et se met légèrement sur la pointe des pieds pour l’embrasser.
Et en même temps, elle entreprend de déshabiller son mari. Il ne résiste pas. Il est vite nu. Elle passe les bras autour de son cou, saute et passe les jambes autour de sa taille. Elle lâche une main et la glisse sous ses fesses, trouve le sexe aimé, déjà bien dur, et le guide à l’entrée de sa vulve. Elle bouge légèrement les fesses, d’arrière en avant, s’excitant elle-même en même temps que son mari. Et doucement, elle se laisse descendre, faisant entrer en elle le sexe. Elle s’accroche au cou de son mari et elle remonte, puis redescend, remonte… Elle guide le sexe avec son vagin, le faisant passer sur les endroits les plus sensibles. Elle sent qu’elle va jouir. Elle accentue le mouvement et en quelques secondes, elle jette la tête en arrière et crie son bonheur. Son mari l’accompagne avec un grand râle.
Quand ils reprennent leurs esprits, la musique a cessé ; il est tard et certains veulent rentrer. Josette et Paula n’en ont pas envie. Avec leurs maris, ils embrassent les partants et restent avec Maurice et sa femme. C’est Maurice qui prend l’initiative de dire :
Tout le monde sourit… Petit tour à la salle de bains… et la chambre principale accueille six personnes !
Sa femme le rejoint en riant, suivie des deux autres couples.
Les mains s’agitent et on ne sait plus qui touche qui. Les seins, les fesses, les sexes, sont caressés par beaucoup de mains. Même des mains d’hommes caressent des verges et des doigts de femmes pénètrent des vagins. Tout le monde s’embrasse. Profitant que Josette est à un moment sur le dos, Maurice s’allonge sur elle et la pénètre sans plus de façons, et il éjacule très vite, aussitôt remplacé par le mari de Paula qui prend plus son temps et donne des coups profonds qui ébranlent Josette. Quand il éjacule à son tour, le mari de Josette s’allonge sur elle puis changeant d’avis, lui demande de se mettre à quatre pattes au bord du lit. Il se met debout et la pénètre. Puis jugeant l’accès trop facile, passe les doigts autour du con de Josette et va lubrifier son anus. Il sort, appuie le gland sur l’anneau et tout doucement la pénètre avec de très petits allers et retours. Josette qui, habituellement, n’apprécie pas beaucoup cette prise, est là suffisamment excitée par cette soirée et d’elle-même, elle recule les fesses pour se faire pénétrer plus avant. Le mouvement accélère et elle entend bientôt le claquement de ses fesses sur le ventre de son mari qui finit par jouir. Josette s’écroule à plat ventre et il la suit, restant encore en elle pendant de longues minutes. Enfin nouveau passage à la salle de bains, où il y a foule car les deux autres couples ne sont pas restés inactifs. Tous retournent au lit mais cette fois, ils sont épuisés et après quelques mouvements, s’endorment tous, serrés les uns contre les autres.
Au matin, petit déjeuner silencieux… et nu pour tout le monde. Petit tour à nouveau dans la salle de bains. Paula va faire un petit pipi et elle, la timide, ne ferme même pas la porte ! Quand elle voit passer Josette, elle l’appelle et s’essuie tranquillement. Puis elle lui passe les bras autour du cou, la bécote gentiment et la remercie d’avoir insisté hier soir.
Josette lui rend ses baisers et très heureuse elle aussi, l’embrasse profondément. Leurs deux langues se mêlent pendant un long moment. Les maris les voient, mais se gardent de les déranger.
Longtemps après, les 40 ans de Maurice serviront de repère dans le temps : voyons, c’était avant ou après l’anniversaire de Maurice ?…