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Temps de lecture estimé : 9 mn
27/01/08
Résumé:  Un amour inattendu entre une jeune fille et son dentiste sous les yeux de l'assistante.
Critères:  f fh collègues médical hépilé voir fmast fellation cunnilingu 69 pénétratio fdanus -occasion -f+medical -mastf -travail
Auteur : Claude            Envoi mini-message
Anne chez le dentiste

Je m’appelle Claude, et j’ai été assistant dentiste pendant quelques années avant d’ouvrir, le 1er juillet dernier, mon propre cabinet…


J’aime être entouré de jolies femmes et bien sûr, je ne pouvais travailler sans assistante. Par l’intermédiaire de l’ANPE, j’ai donc embauché Sylvia, qui avait déjà de l’expérience dans ce métier.


Sylvia a 41 ans et est une superbe femme brune aux formes généreuses, mais je pense qu’avec elle je n’aurai que le plaisir des yeux car je crois comprendre qu’elle est très fidèle à son mari. Elle est toujours parfumée avec « Eau Sauvage », de Dior, qui est un parfum pour homme et que j’adore.


Les premières journées se sont très bien passées et nous formons un bon duo. Elle est assez réceptive à mes plaisanteries parfois un peu coquines. J’aime bien la flatter en lui disant qu’elle est très belle mais elle ne me répond que par un grand sourire. Souvent je la regarde quand elle est assise dans la pièce d’à côté. Elle croise ses longues jambes, les dévoilant encore plus haut et je ne peux alors m’empêcher de l’imaginer nue en dessous de ses habits.


Ce mardi de début d’été, il fait très chaud et je suis très surpris de la voir sortir de son vestiaire, habillée plus légèrement sous sa blouse. Je peux deviner qu’elle ne porte en dessous qu’un soutien-gorge blanc et une petite culotte. J’ai même l’impression, ou est-ce mes yeux voyeurs, de deviner un peu, à travers son soutien-gorge, les pointes de ses seins et l’aréole plus sombre de ses mamelons. Ceci m’excite encore plus. Sylvia réveille en moi le classique fantasme de l’infirmière nue sous sa blouse qui m’a souvent hanté tout au long de mes études de médecine. Elle devine que je ne suis pas insensible à cette tenue et elle en joue. J’ai une grande envie de toucher et sentir la chaleur de sa peau mais, encore une fois, je dois alimenter mon fantasme.


Quelques jours plus tard, Sylvia arrive au cabinet vêtue d’une robe dos nu très courte et, tout en lui faisant la bise pour lui dire bonjour, j’aperçois le galbe de son sein nu quand elle lève le bras. Elle va au vestiaire sans fermer complètement la porte. C’est comme une invitation et doucement je m’approche de cette porte légèrement entrebâillée. Je la vois quitter doucement sa robe fine qui tombe à ses pieds. Elle ne porte maintenant qu’un minuscule string. Elle a des fesses superbes. Je sens un frémissement dans mon pantalon car cette vue me fait bander.


Elle se retourne légèrement et c’est la première fois que je vois ses seins en entier. Ses tétons sont très proéminents et je comprends pourquoi je les voyais pointer sous ses habits. Elle enfile lentement sa blouse d’assistante et vient me rejoindre pour commencer les consultations du matin. À chacun de ses pas, je la regarde et je vois ses seins libres bouger sous sa blouse. Le frottement du tissu sur les tétons les fait durcir encore plus et marquer le tissu. J’aimerais bien la prendre dans mes bras et l’embrasser mais avec la clientèle ce n’est pas possible.


Les jours passent mais tous ne sont pas d’un érotisme torride. Surtout quand il faut soigner les dents de personnes âgées ou de patients dont l’haleine ferait fuir un fennec.


Ce jeudi en fin de matinée, j’ai en consultation une jeune fille qui vient pour la deuxième fois. Elle s’appelle Anne. Je vais la chercher dans la salle d’attente. Elle est assise au fond et est en train de lire une revue. Quand je l’interpelle, elle décroise lentement ses jambes pour se lever et mon regard plonge rapidement sur ses cuisses dévoilées. Elle a vu mon regard coquin et me fait un large sourire en entrant dans le cabinet. Je l’invite à s’asseoir sur le siège. Tout en préparant mon matériel je l’observe : elle ne doit avoir guère plus de trente ans.


Elle est très belle avec des cheveux bruns, longs et légèrement bouclés. Ses lèvres sont charnues et très sensuelles. Elle porte un chemisier blanc avec un décolleté vertigineux qui laisse entrevoir le galbe supérieur de ses seins que je devine légèrement plus petits que ceux de Sylvia… Sa minijupe a glissé vers le haut quand elle s’est assise mais elle n’a pas fait le moindre geste pour la remettre en place, me dévoilant ainsi ses jambes jusqu’à mi-cuisse.


Je commence les soins car je dois traiter une petite carie. Un peu tendue et crispée, elle serre fortement ses bras le long de son corps et ce geste a pour effet d’entrebâiller encore plus son chemisier. Pour mieux introduire la roulette dans sa bouche je me penche derrière elle mais je m’arrête car j’ai une vue plongeante sur son décolleté et je m’aperçois qu’elle a les seins nus. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Je regarde ses tétons rosés et même ses mamelons un peu larges.


Après le flash de ses cuisses dans la salle d’attente me voici en train de découvrir une autre partie se son corps. C’est la première fois que mon métier me donne l’opportunité de profiter d’un tel spectacle. Je prends mon temps et Anne s’aperçoit que je suis en train de la mater. Elle ferme les yeux comme si elle aussi éprouvait du plaisir à s’exhiber. Je suis tellement troublé par cette vue que je laisse tomber sur elle une petite pince qui glisse sous son chemisier.



Après une telle proposition, mes mains tremblantes se posent délicatement sur son cou puis glissent dans son décolleté. Je récupère l’objet du délit mais je ne peux m’en tenir à cette petite incursion dans son corsage ! Mes mains s’égarent sur ses seins dont j’éprouve la moiteur et la chaleur. Entre mes doigts, je fais rouler ses tétons que je sens durcir.


Comme un fou, inconscient de ses gestes, je pose mes lèvres sur sa bouche et je l’embrasse avec fougue. Elle donne de l’ardeur à ce baiser car sa langue titille mes dents et ma langue.


Je sens sa respiration s’accélérer. Elle remonte les jambes le longs du fauteuil, dévoilant complètement ses cuisses superbes et fines. J’abandonne ses seins et sa bouche, me plaçant au bout du fauteuil pour admirer ce nouveau cadeau qui m’est offert. Je découvre l’intégralité de ses cuisses et sa petite culotte noire de dentelle fine. Anne écarte lentement les jambes, donnant pleine vue sur celles-ci.


Elle ne prononce toujours aucune parole, juste des sourires complices. Elle passe ses mains sous sa jupe, saisit sa culotte à la taille, soulève ses fesses du fauteuil, la fait descendre à ses pieds et me la tend. Je la porte à mon visage pour sentir son odeur intime. Je découvre son sexe, ses lèvres qu’elle écarte pour me faire découvrir le petit bouton rose de son clitoris. L’intérieur de ses lèvres brille, tant elle est excitée et déjà remplie de sa mouille. Elle est épilée d’un manière très discrète, juste un tout petit triangle de poils très courts orne son pubis.


Je perds complètement la raison et je n’ai plus qu’une envie, celle de faire l’amour avec elle. Par chance elle est la dernière cliente de la matinée, ce qui me donne toute liberté d’agir. Je retire sa minijupe. Elle s’assoit et enlève elle-même le seul vêtement qui lui reste, c’est-à-dire son chemisier, qui ne cachait plus grand chose. Elle est maintenant complètement nue, allongée sur le fauteuil, les jambes ouvertes, offerte à mes désirs.


Je pose ma tête entre ses cuisses et remonte jusqu’à ses lèvres intimes. Ma bouche entoure son clitoris et l’aspire tendrement. Anne gémit sous cette caresse. En même temps, des mains je caresse ses seins que je sens devenir de plus en plus fermes. Ses tétons sont de plus en plus saillants et durs.


Elle gémit et se dégage pour s’approcher de moi. Elle défait la ceinture de mon pantalon qu’elle me demande d’enlever ainsi que mon slip. Anne découvre mon sexe dur et raide. Elle me fait un petit sourire quand elle voit que je suis complètement épilé, pubis et bourses.


En effet, je m’épile et me rase complètement car il m’est très agréable, quand une femme me caresse, de sentir ses doigts sur ma peau nue… Mais je le fais surtout pour ne pas donner le désagrément à mes partenaires d’avoir des poils dans leur bouche lors de fellations.


Anne s’approche de mon sexe et le prend goulûment dans sa bouche, l’aspire profondément au fond de sa gorge. Cette fellation me procure un réel plaisir et me fait tout oublier.


Tout oublier, en effet ! Je ne pense pas à Sylvia qui doit être dans la pièce à côté. Mais elle a entrouvert la porte du cabinet et nous regarde faire l’amour. Cette situation troublante l’excite aussi et elle ouvre sa blouse. Ce jour-là, sous sa blouse, elle était uniquement en soutien-gorge et petite culotte. Elle commence aussi à se caresser les seins en plongeant une main sous les balconnets pendant que l’autre titille son minou en faisant aller et venir ses doigts sur ses lèvres, son clitoris. Elle aussi perd un peu pied et ne craint plus d’être vue en train de se masturber.


Anne s’allonge de nouveau et m’offre son corps. Connaissant la solidité du fauteuil, je le mets en position complètement horizontale et je monte dessus à mon tour mais cette fois-ci en 69.


Elle reprend mon sexe dur dans la bouche en aspirant mon gland tuméfié de plaisir. J’introduis deux doigts dans son vagin tout mouillé par son plaisir grandissant, je les bouge pour en apprécier la chaleur et je remonte ces doigts contre sa paroi intérieure pour stimuler encore plus son point G. Après quelques minutes de ce doux supplice, je ressors un de mes doigts bien lubrifiés et je l’introduis doucement dans son petit trou.


Anne adore cette nouvelle intrusion dans son anus et elle respire de plus en plus vite en sentant son plaisir monter. Mes deux doigts se rejoignent, séparés seulement par cette mince membrane entre son anus et son vagin. Cette caresse fait monter le plaisir d’Anne qui atteint un fort orgasme et je sens couler un doux filet de cyprine en dehors de ses lèvres.


Je lèche sa vulve pour apprécier davantage son plaisir tandis qu’elle accentue encore sa fellation en enfonçant mon sexe jusqu’au fond de sa gorge. Je suis prêt à éjaculer dans sa bouche.


Ayant une seconde de lucidité, je me retire afin de ne pas le faire. Je change de position et m’allonge complètement sur elle pour lui faire l’amour d’une manière plus classique.


De son côté, Sylvia est de plus en plus excitée par le spectacle et fait tomber sa culotte à ses pieds pour mieux se masturber en écartant très largement les jambes. Son vagin est complètement mouillé et elle est prête à jouir. Elle accélère la pression sur sa vulve et son clitoris, ferme les yeux, pince ses lèvres pour ne pas émettre de bruit et atteint un orgasme accru par les circonstances. Quelle plaisir de se masturber sur son lieu de travail en regardant son patron faire l’amour !


Mon sexe de plus en plus dur pénètre le vagin d’Anne au plus profond et lui impose un va-et-vient infernal qui ne tarde pas à faire monter une nouvelle fois son excitation et son plaisir. Je sens la chaleur intérieure de son corps et elle comprime les parois de son vagin pour accentuer le contact avec mon pénis.


Je prends goulûment sa bouche dans la mienne. Mes mains pétrissent ses seins et c’est à cet instant qu’un nouvel orgasme arrive en elle. Anne jouit avec les spasmes et les contractions dont toutes les femmes rêvent.


Je me retire d’elle et je poursuis en continuant à me masturber devant elle. Le spectacle de cette jeune femme offerte, nue devant moi, déclenche une éjaculation gigantesque et mon sperme sort par jets et tombe sur son ventre chaud. Anne passe la main sur son ventre pour l’étaler et la porte à sa bouche pour goûter ma semence encore toute chaude.


Je reste quelques minutes encore contre elle pour apprécier pleinement cet instant divin avant que nous décidions de nous rhabiller. Je l’aide à enfiler son chemisier et sa jupe. Je lui demande si elle m’autorise à conserver sa petite culotte afin de pouvoir garder l’odeur de son corps.


Il est midi passé et je ne veux pas la laisser partir comme cela, comme une simple cliente. Je lui propose de l’emmener déjeuner au restaurant avec moi.


Sylvia s’est aussi rhabillée et recoiffée. Elle est partie discrètement chez elle par la porte arrière pour ne pas me montrer ses joues encore rouges.


Je n’oublierai jamais cette matinée d’été. Mais je pressens qu’emmener Anne, nue sous ses vêtements, dans un endroit public va sûrement éveiller de nouveaux fantasmes !