n° 12222 | Fiche technique | 21120 caractères | 21120Temps de lecture estimé : 13 mn | 27/01/08 |
Résumé: Le fantasme de ma femme réalisé. | ||||
Critères: fhh cocus inconnu grossexe fépilée anniversai cérébral voir lingerie fellation cunnilingu pénétratio fsodo -couple+h -cocucont | ||||
Auteur : Phil |
Marion, ma femme, et moi nous nous entendons très bien sur tous les plans. Marion ne travaille pas, mon job assurant des revenus largement suffisants. Nous avons des rapports sexuels qui me conviennent parfaitement. Marion ne me refuse rien et elle pratique toujours la fellation, parfois la sodomie. Je pense que de son côté, elle est satisfaite aussi. Du moins, elle ne s’est jamais plainte.
Dans quinze jours, c’est son anniversaire. 30 ans ! Je n’avais aucune idée du cadeau que je pourrais lui offrir. J’essayai discrètement d’amener la conversation sur certains sujets pour vérifier si les quelques idées que j’avais en tête ne seraient pas un flop complet. En souriant, elle me dit :
Penaud, j’avouais que je n’avais pas d’idée, et lui demandais franchement de me donner quelques pistes. Elle répondit :
J’avoue que cela m’arrangeait bien. L’idée de cadeau semblait toute trouvée, une rose rouge et un dîner romantique feraient le reste. Retenu à l’extérieur, je ne rentrai pas le midi, et retrouvai ma petite femme le soir.
Ce préambule commençait à m’inquiéter. Je la laissais continuer.
Je me dis que si elle avait envie d’un autre, un jour ou l’autre, elle passerait à l’acte, alors peut-être valait-il mieux finalement que je sois là. Il y aurait moins « tromperie » en ma présence.
Elle me demandait de choisir moi-même le type qui allait la baiser sous mes yeux !
Au moins, les choses étaient claires.
J’avais énoncé cela sur un ton ironique, mais elle ne parut même pas s’en apercevoir.
Je ne lui demandai pas qui serait le bénéficiaire de la pipe et qui aurait la joie de la baiser. J’avais reçu le message cinq sur cinq. Elle voulait se faire baiser par un autre, et pour éviter toute complication, elle voulait que je sois là. Je lui demandai si elle ne serait pas plus à l’aise si je n’étais pas là ?
Parce que si je suis là, c’est pas me tromper ? Décidément, je ne comprenais rien à la logique féminine…
Trouver un homme ne fut pas bien difficile. Je le trouvais sur le net, me faisant passer pour ma femme. Je le choisis correct et d’une hygiène irréprochable, me dit-il ! Et le matin de son anniversaire, j’annonçai à Marion :
Elle m’arracha la liste des mains, puis se dirigea vers la salle de bain.
Nous étions samedi, et je ne travaillais pas. Elle sortit de la salle de bain et vint m’embrasser à pleine bouche. Puis elle descendit vers mon sexe et le prit dans sa bouche. Elle me gratifia d’une pipe somptueuse, et quand elle sentit que j’étais sur le point d’exploser, elle se mit à quatre pattes et me supplia de venir la baiser. Je me ruai sur elle et la pilonnai avec force. Elle jouit bruyamment alors que j’éjaculai dans sa chatte.
La journée se passa comme d’habitude. Vers seize heures, elle alla s’enfermer dans la salle de bain, et je l’entendis se faire couler un bain. Puis, elle alla dans notre chambre et en ferma soigneusement la porte.
Elle en sortit un long moment après. Bien que connaissant les exigences du type, j’en eus le souffle coupé. Elle portait une guêpière rouge avec des jarretelles noires qui maintenaient des bas noirs à couture. Un string minimaliste couvrait à peine son sexe entièrement épilé. Elle portait également un soutien-gorge qui laissait voir ses aréoles et ses tétons qui pointaient. Un chemisier entièrement transparent et complètement ouvert ne cachait rien. Aux pieds, elle avait des escarpins noirs avec de très hauts talons, qui accentuaient sa cambrure naturelle. Sa poitrine se projetait en avant comme si elle voulait défier le monde.
Elle avait accentué son maquillage, d’une façon presque outrancière, mais sans être vulgaire. Elle avait déjà porté cette tenue, mais alors c’était pour moi. De savoir que ce soir c’était pour un autre me fit ressentir un accès de jalousie.
La sonnette retentit, et elle me regarda, angoissée.
J’allais ouvrir tandis qu’elle se cachait dans la chambre. Je dressai la table, et préparai les verres et les amuse-gueule dans le salon. La sonnette retentit de nouveau. Cette fois, c’était lui. Elle alla s’asseoir sur le canapé, tandis que j’allai ouvrir.
Marc me suivit jusque dans le salon. Il écarquilla les yeux en voyant Marion.
Une vague de jalousie me submergea, d’autant que Marion embrassait Marc à pleine bouche. Celui-ci avait les mains sur les seins de Marion et les caressait doucement.
Germain ! Ravalant ma fierté, je me rendis à la cuisine. Revenant avec la bouteille de champagne, je vis que Marion avait écarté ses cuisses et que Marc lui massait délicatement le clitoris. Marion, la tête en arrière, gémissait doucement. Évidemment, je voyais cela du coin de l’œil, m’appliquant à remplir les deux flûtes sans trop trembler. Une fois le champagne servi, je m’éclipsai mais restai dans le couloir pour observer.
Marc dit tout bas quelque chose à Marion et celle-ci sortit la queue de Marc et commença de le sucer. Au bout d’un moment, je la vis sursauter et Marc poussa un soupir de satisfaction. Je compris qu’il venait de lui éjaculer au fond de la gorge. Je m’attendais à la voir recracher le sperme, comme elle le fait avec moi, mais Marc lui tendit sa flûte et elle en prit une gorgée, avalant en même temps le champagne et le foutre. J’étais vert de jalousie. Elle s’était toujours refusée à avaler mon sperme, et elle le faisait avec le premier type venu.
Marc rectifia sa position et Marion cria :
Ils se dirigèrent vers la salle à manger. Je servis le repas, apportant les plats et desservant comme un professionnel. Marion et Marc discutaient sexe, mais se taisaient dès mon arrivée. Puis Marion me demanda de servir le café au salon.
Ils vinrent s’assoir dans le canapé, Marc entreprit de pincer les tétons de Marion et de les faire rouler sous ses doigts. Quand j’arrivai avec le café, il cessa.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Elle me foutait dehors, alors qu’elle m’avait promis que je pourrais rester pour regarder. Devant mon air abasourdi, elle dit :
Je me dirigeai vers la cuisine pour faire la vaisselle. Une fois celle-ci expédiée, je me rendis de nouveau dans le salon. Marc, entre les genoux de Marion, lui léchait la chatte. La tête de Marion roulait de gauche à droite. Ses mains étaient crispées sur la tête de Marc.
Mon ego en prenait un sacré coup, car je lui avais souvent fait la même chose, et il me semblait qu’elle en avait tiré du plaisir.
Elle lâcha sa tête pour se caresser la poitrine. Elle dégrafa prestement son soutien-gorge et se pinça doucement les mamelons. Un orgasme puissant la submergea.
Je toussai légèrement pour annoncer mon arrivée.
Ouf… Je comprenais mieux. Elle se dirigea vers la chambre d’ami et je fis mine d’aller dans la chambre conjugale. Puis, à pas de loup, je revins dans le couloir. J’y avais judicieusement placé un miroir au mur, qui me donnait une vue totale du lit sans pour autant qu’on puisse me voir. Elle avait laissé la porte grande ouverte.
Elle se mit à quatre pattes sur le lit. Elle regardait fixement l’entrée de la chambre, sachant pertinemment qu’alors je la voyais de face, comme si nous étions les yeux dans les yeux.
Là, elle y allait fort ! Marc se déshabilla rapidement et une énième vague de jalousie m’envahit à la vue de sa queue. Je n’avais pas bien vu tout à l’heure, mais elle était bien plus épaisse et bien plus longue que la mienne. Marc vint se faire téter entre les lèvres de Marion, et sa bite augmenta encore de volume !
Puis, s’approchant par-derrière, il embrocha Marion d’une poussée ininterrompue et puissante qui arracha un râle de satisfaction à Marion.
Elle haletait sous les coups de boutoir de Marc. Celui-ci sortait parfois complètement de sa chatte pour s’y réintroduire ensuite à fond. Marion feulait sous les coups de bite. Marc se pencha sur elle et lui saisit les seins à pleines mains. Malgré ma jalousie, je sentais que je commençai à bander. Marion était belle, s’appliquant à donner du plaisir au mâle qui la couvrait comme une chienne. Marc lui éjacula son foutre au fond de la chatte Ils s’allongèrent alors sur le lit pour prendre un peu de repos. Ils étaient haletants de l’effort fourni. Il me sembla qu’ils s’endormirent.
Je regagnais ma chambre en silence. Sur mon lit, je commençai à me branler, me repassant dans la tête les images que je venais de voir. Ma porte s’ouvrit soudain et Marion apparut. Me voyant la bite à la main, dressée comme un mât, elle me dit :
Elle s’approcha de moi et vint s’empaler sur ma queue dressée, me tournant le dos. Je vis du sperme s’écouler de sa chatte, glissant le long de ma bite.
Je n’eus pas le temps de répondre, terrassé par un orgasme fulgurant. Je lui giclai tout mon sperme dans la chatte. Elle se releva alors, et me dit :
Si elle voulait m’humilier, c’était réussi. J’arrivai à articuler :
Ça ne me rassurait pas du tout. Elle vint mettre sa chatte sur ma bouche et dit :
Honteusement, je me remis à bander. Je léchais le foutre qui coulait de sa chatte, et sur son ordre, la nettoyais du mieux que je pus avec ma langue. Elle se retira alors que je commençais à sucer son clito.
Elle sortit et je la suivis quelques minutes plus tard. Marc l’avait positionnée à quatre pattes. De la langue, il préparait son anus à la pénétration. Il enfila un doigt, puis deux, sous les gémissements de Marion. Elle lui tendit un tube de crème.
Marc enduisit largement l’anus de Marion, et posa son gland sur son œillet. Il appuya doucement et le gland pénétra son petit trou. D’une poussée lente et régulière, il s’enfonça jusqu’aux couilles. Marion, la bouche ouverte, haletait sans dire un mot. Elle semblait avoir un peu mal. Marc lui dit alors :
Marc s’immobilisa, la queue toujours au fond du cul de Marion.
Il commença alors de lents va-et-vient. Puis il accéléra le rythme, le ralentit, l’accéléra de nouveau. Marion hurlait, je ne savais pas si c’était de plaisir ou de douleur. J’allais intervenir quand je l’entendis dire :
Marc eut alors un sursaut et s’agrippant aux hanches de Marion déversa son foutre au fond de son cul. Ils s’écroulèrent sur le lit. Je regagnai ma chambre, sans pouvoir trouver le sommeil. Un long moment plus tard, je les entendis parler. Je me relevai discrètement et repris mon poste d’observation.
Marion était en train de mettre Marc dehors. Malgré ses protestations, il se rhabilla et partit. Je regagnai rapidement la chambre et fit semblant de dormir.
Je ne me le fis pas dire deux fois. J’enfilai ma bite d’une seule poussée. Elle se mit à gémir de plaisir.
Sur ces paroles, j’éjaculai dans son cul, dans une extase inégalée.