n° 12223 | Fiche technique | 17736 caractères | 17736Temps de lecture estimé : 11 mn | 27/01/08 |
Résumé: Comment j'ai découvert que mon épouse avait, avant de me connaître, une vie sexuelle hors des sentiers battus. | ||||
Critères: ff ffh collègues fête voir exhib fellation cunnilingu jeu | ||||
Auteur : Honey_lover Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Mon épouse, cette inconnue Chapitre 01 | Épisode suivant |
Je m’appelle Kevin, dans un premier récit, je vous avais parlé de mon ex, Ellen, aujourd’hui c’est de mon épouse actuelle dont j’aimerais vous faire partager quelques secrets.
C’est une jolie petite brunette de 39 ans, prénommée Allison. Elle a un adorable petit fessier qui ne manque jamais d’attirer les regards pour le moins explicite de la gente masculine. Je surprends très souvent ceux appuyés d’hommes, y compris des amis proches, sur son postérieur. Je suppose que, comme moi, avant qu’elle ne devienne ma maîtresse puis ma femme, ils doivent fantasmer et la voir à quatre pattes le cul offert, la tenant solidement aux hanches en train de la besogner jusqu’à la remplir de leur sperme sans vraiment s’occuper de son propre plaisir.
Elle travaille dans un centre médical où infirmières, toubibs et kinés se côtoient. Son patron est ce qu’on appelle un chaud lapin. Il lui est arrivé de me confier qu’elle avait surpris à plusieurs reprises des collaborateurs en pleine partie de jambes en l’air entre eux ou avec des clientes. Ces confidences, soit dit entre nous, n’étaient pas pour me rassurer d’autant qu’elle m’avait avoué qu’un des médecins lui faisait régulièrement des propositions ne laissant planer aucun doute sur l’issue de son invitation chez lui. Malheureusement pour lui, celles-ci étaient un peu trop directes d’autant que mon épouse savait pour les avoir vus, qu’il besognait allègrement sa collègue de travail durant la pause du midi. Je ne crois pas qu’elle ait donné suite à ces propositions, du moins, n’en a-t-elle plus jamais reparlé.
Je m’étais dit à l’époque que le lieu de travail de mon épouse avait l’air d’un « baisodrome » se cachant sous l’apparence d’un centre médical et qu’il fallait qu’elle soit forte pour ne pas elle-même succomber à cette ambiance que je qualifierais de grivoise.
Jusqu’à cette histoire que je me décide à vous raconter, je voyais mon épouse comme quelqu’un de très joli, possédant un corps désirable mais malheureusement peu portée sur le sexe, car mis à part ces petites confidences, elle n’était vraiment pas intéressée lorsque les conversations déviaient ostensiblement vers le sexe, sachant habillement esquiver pour changer de sujet rapidement. Ainsi, je n’arrivais même pas à savoir si elle était sollicitée par ces innombrables messieurs qui la côtoient quotidiennement.
C’est après presque deux ans de mariage que je me suis rendu compte que l’idée que je m’en étais faite était bien loin de la réalité. Pire, la découverte d’une femme dont j’ignorais l’existence, est devenue une de mes priorités et tout s’est enchaîné à une vitesse vertigineuse.
Voici comment a débuté cette incroyable succession de découvertes.
À l’occasion d’un pot de fin d’année, je me retrouvai plus ou moins isolé avec Emmanuel, le fameux toubib intéressé par les charmes de mon épouse. Ce dernier, que je trouvais au demeurant très sympathique bien que connaissant ses intentions vis-à-vis de mon épouse, me glissa qu’il aimerait que l’on se connaisse un peu mieux et qu’on devrait prendre un café dès le lendemain. C’est ainsi qu’on s’est retrouvé en tête à tête, devant un café/croissant, discutant comme deux vieux copains de tout et de rien, mais surtout des filles qui passaient sous notre nez comme le font beaucoup d’entre nous hors la présence de leur épouse respective.
C’est ainsi que l’on commença à dévier rapidement vers le sexe, commençant à délirer face à une ravissante blonde attablée devant un café – croissant. Alors que nous étions en train de nous demander qui la prendrait en levrette pendant que l’autre se ferait sucer, il me lança que c’était le fantasme de sa copine. Une ravissante rousse aux yeux verts de 25 – 26 ans, affublée d’une chute de reins vertigineuse où tout un chacun aimerait s’y laisser sombrer et une bouche prometteuse qui à elle seule était un appel au sexe.
Je répliquai que l’heureux élu serait vraiment le plus heureux des hommes car pour ma part je tromperais ma femme sans hésiter. Il sourit en me disant :
Pour le moins étonné mais cachant ma joie, je lui demandai par quel heureux hasard je m’étais retrouvé tête de liste dans son choix et là, de but en blanc, il m’annonça qu’en réalité c’était mon épouse qui en était à l’origine. Éberlué, je lui demandai de préciser et c’est là qu’il m’annonça avoir été l’amant de mon épouse avant que nous ne fassions connaissance. Qu’il avait essayé de la relancer mais qu’elle l’avait gentiment renvoyé dans ses 22 en lui confiant qu’elle avait déjà du mal à me satisfaire sexuellement et même si elle en avait eu envie, je lui pompais trop d’énergie au lit.
Je le remerciai de sa franchise en lui précisant que mon épouse m’avait déjà parlé de ses propositions, mais qu’elle avait omis de me préciser qu’elle avait été sa maîtresse. Je dois reconnaître avoir été un peu sonné, mais l’excitation d’en connaître un peu plus sur cette liaison prenait le dessus. Cela n’échappa pas à Manu qui me demanda si je voulais en savoir plus ou si nous nous occupions de sa proposition.
Je lui précisai tout de suite que je n’étais pas d’un naturel jaloux et que d’ailleurs je ne lui en voulais pas d’avoir tenté sa chance, comprenant fort bien que le fessier de ma femme serré dans des petites jupes ras-la-touffe, tellement moulantes qu’on voyait facilement qu’elle ne portait exclusivement que des strings, donnait forcément des vocations même aux plus timides.
Là, il reconnut qu’effectivement, les petites pauses du midi entre les cuisses de ma femme seraient, comme on dit, la cerise sur le gâteau faisant allusion aux petites beautés qu’il pouvait déshabiller dans le cadre de son travail. Je l’arrêtai dans son délire en lui demandant de me raconter cette liaison qu’il prétendait avoir eue avec mon épouse, sans omettre le moindre détail. Sa proposition de trio en était presque passée aux oubliettes tant le sujet me semblait intéressant.
Voici donc le début de ses confidences :
Ça faisait un moment que je lui faisais du rentre-dedans, mais même si visiblement je lui plaisais, le souci venait du fait que je m’occupais occasionnellement de sa collègue de bureau. Elle ne devait pas l’ignorer et en déduire que je ne voulais que la baiser et puis après basta. J’en ai donc parlé à sa collègue (ma maîtresse), qui s’est proposé de la faire tomber dans nos filets, amusée de piéger ainsi sa supérieure hiérarchique, ajoutant qu’elle avait remarqué à plusieurs reprises des regards inquisiteurs d’Allison vers sa chatte lorsqu’elle devait prendre des dossiers dans les étagères ou lorsqu’elle pivotait sur son fauteuil en allant d’un bureau à l’autre.
Un soir où l’on avait eu pas mal de boulot, plusieurs des collaborateurs de la boîte se sont retrouvés comme souvent pour un pot improvisé. Allison (mon épouse) avait bu quelques coupes de champagne alors qu’elle ne supporte pas l’alcool. En un mot, elle était pompette et a demandé à sa collègue Jenny, de bien vouloir la raccompagner.
Sentant qu’il y avait peut-être un coup à jouer, elle m’assigna de la suivre et s’est éclipsée de la soirée. Je les ai donc suivies en voiture pour m’apercevoir que Jenny se dirigeait chez elle au lieu de raccompagner ta femme, enfin Allison. Ayant la clé de l’appartement de Jenny pour faciliter nos rencontres, je les devançai à l’appartement et attendis dans la chambre d’ami.
J’entendis les filles arriver en chahutant. Allison était vraiment partie et de joyeuse humeur. Jenny la complimentait sur ses petites fesses bien fermes en les pinçant et, sans en avoir l’air, en y laissait traîner ses mains, sa petite taille fine et sa bouche faite pour sucer. Allison, plutôt réservée d’habitude, riait de bon cœur, répliquant qu’elle n’avait rien à lui envier et qu’elle nous entendait certains midis en train de forniquer. Elle rajouta :
- — Tu n’es pas discrète quand tu te fais mettre, j’entends tout tu sais.
Jenny a alors sauté sur l’occasion pour lui dire en rigolant qu’elle était une petite cochonne de voyeuse et qu’elle ferait bien de venir nous rejoindre au lieu de se contenter d’écouter. Elle rajouta en parlant de moi que je lui parlais souvent d’elle pendant l’amour et qu’elle me soupçonnait de la baiser en pensant à son petit cul à elle. Elle lui disait d’ailleurs ne pas comprendre ce que je lui préférais à son cul. Le sien n’était pas mal, la prenant pour juge elle tomba d’un bloc jupe et string, virevoltant au milieu de la pièce.
- — Il n’est pas beau mon cul. Regarde et touche, c’est ferme. À toi. Allez montre-moi le tien.
Allison, en pleine crise de rires, se leva et tomba elle aussi sa robe mais conserva son string. Elle apparut seins nus tournant au milieu de la pièce, en cambrant ses reins pour mettre en valeur son fessier magnifique, déclarant presque sur le ton de la déception :
- — De toute manière, il n’est pas là pour comparer alors on va dire qu’on est à égalité.
- — D’accord pour les seins mais je veux voir ton cul sans le string, insistant jusqu’à ce qu’Allison fasse glisser le morceau de tissu.
- — D’accord aussi pour le cul alors c’est sûrement ton petit minou qui l’attire plus que le mien. Je veux voir, ça ne peut qu’être que ça.
Allison, toujours tordue de rire, lui dit qu’elle était d’accord pour lui montrer son petit chat mais que ce n’était pas gratuit et qu’il fallait ensuite le récompenser comme tous les chats par de bonnes vraies caresses. Jenny, le sourire aux lèvres acquiesça illico, précisant OK pour la récompense mais elle voulait voir la marchandise.
Et c’est ainsi qu’Allison s’est retrouvée assise sur le canapé, les jambes à l’équerre, la chatte ouverte et offerte au regard de Jenny qui toujours en feignant le jeu, posa ses doigts de chaque côté des lèvres en appuyant légèrement comme pour l’ouvrir un peu plus. Elle reconnut qu’effectivement, c’était une belle chatte, mais l’extérieur étant souvent trompeur, elle préférait faire quelques petites vérifications, glissant son majeur dans l’ouverture après l’avoir humecté dans sa bouche.
Allison accusa l’intrusion en se ramassant sur elle-même d’autant que Jenny laissa son doigt planté dans le fourreau de chair. Avant qu’elle n’ait pu faire ou dire quoi que ce soit, Jenny se pencha en avant en disant qu’il n’y avait pas tromperie, que l’accueil était chaud et douillet. En conséquence, la récompense était justifiée. Le majeur toujours bien ancré, elle ouvrit la bouche pour la poser directement au-dessus de son doigt qu’elle retira avant de le sucer et avoir un avant-goût de ce qui l’attendait.
Allison se cambra quand elle sentit la langue s’insinuer entre ses grandes lèvres pour plonger vers sa grotte et remonter tout de suite vers son bouton. Ses rires s’étaient bloqués dans sa gorge, car il ne s’agissait plus d’un jeu mais bien d’une langue lui fouillant le sexe, déclenchant des ondes de plaisir dans son bas-ventre. Elle posa ses mains sur le front de sa copine, lui demandant d’arrêter, car le jeu allait trop loin mais Jenny en plantant sa langue dressée comme une petite bite au plus profond du minou baveux, la maintenait fermement par les hanches en lui disant de se laisser faire, de savoir en profiter, que personne n’en saurait jamais rien et qu’elle avait une envie folle de la lécher, la sucer et entendre le son de sa voix dans le plaisir.
Allison essayait de protester sans conviction, d’autant que Jennifer lui avait enfilé trois doigts dans la chatte en lui massant l’intérieur du vagin avec son majeur bien recroquevillé vers un point qui déclenchait des vagues de chaleur irrésistibles. Espacées au début, elles commençaient à déferler de plus en plus rapides avec de plus en plus d’intensité. Elle commença à crier, à pleurer, remuant la tête dans tous les sens.
Jennifer lui dit qu’elle était bonne, qu’elle était belle dans le plaisir. Elle lui demanda si elle n’avait pas envie d’une bonne queue bien raide dans la bouche pendant qu’elle se faisait perforer. Allison dans un état second, lui répondit :
- — Oh oui, une bonne queue, prête à gicler ce serait top.
C’est à ce moment que je me suis approché, la queue raide, coulant abondamment dans ma main, pour la placer à hauteur de sa bouche. Jennifer lui dit alors de garder ses yeux fermés, d’ouvrir la bouche et que son envie serait satisfaite. C’est ce qu’elle fit et immédiatement je glissai mon gland entre ses lèvres. Elle sursauta mais Jenny lui dit :
- — Prends-la, ne te pose pas de questions, garde tes yeux fermés en te concentrant sur ton plaisir.
Sans même regarder qui en était le propriétaire, elle m’engouffra, se doutant qu’en ces lieux il ne pouvait s’agir que de moi. Elle se mit à me pomper comme si sa vie en dépendait. Je n’ai pas pu en profiter longtemps car presque instantanément, elle a émis un long feulement rauque, s’est raidie de tous ses muscles en hurlant qu’elle était en train de jouir, qu’elle prenait son pied puis s’est écroulée la bouche grande ouverte.
Trop excité, j’ai profité de sa torpeur pour lui glisser mon gland entre les lèvres et me branler à l’entrée de sa bouche, attendant qu’elle reprenne ses esprits. Cela a duré quelques secondes qui m’ont paru durer une éternité et j’ai eu peur de lui tapisser le palais tant l’excitation était grande. Dès qu’elle a ouvert les yeux, Jennifer, lui a demandé en l’appelant « ma chérie » de me reprendre en bouche et de me sucer pour me faire jouir.
Elle a refermé ses lèvres sur ma queue et s’est mise à me pomper, creusant ses joues pour m’aspirer, jouant de la langue à l’intérieur de sa bouche pour affoler mon gland.
Malgré le plaisir d’être ainsi sucé, je n’ai pas pu me retenir longtemps. J’ai senti ma queue se cabrer, une onde de plaisir a déferlé de mes couilles, remontant dans ma colonne pour exploser dans ma tête. Allison sentant les spasmes annonciateurs de mes premiers jets de sperme, m’a retiré de sa bouche d’un air désolé puis serrant mon gland dans sa main, l’a fait glisser de haut en bas, tirant sur ma hampe à chaque émission de sperme pour prolonger ma jouissance.
Elle a laissé ma semence lui zébrer les joues, le menton et une partie de sa poitrine. J’ai adoré qu’elle continue à me branler très légèrement en tirant ainsi sur ma hampe. J’ai eu l’impression que ma jouissance se prolongeait après chaque expulsion. Je me suis aperçu par la suite qu’elle maîtrisait ça à la perfection.
Il rajouta que j’avais bien de la chance de pouvoir en profiter car ses pipes lui manquaient encore plus que son petit cul serré. Je n’ai pas insisté pour savoir s’il avait pu la posséder dès cette première soirée car le temps nous a manqué d’autant qu’il avait semble-t-il d’autres épisodes à me rapporter.
J’étais dans un état d’excitation incontrôlable. Je pensais à mon épouse, me promettant dès ce soir de lui en mettre jusqu’à ce qu’elle demande grâce. Je pris congé de mon nouvel ami en lui précisant d’un sourire entendu, attendre avec impatience le plaisir de rencontrer sa belle rousse mais que je voulais connaître toute son histoire avec Allison.
J’ai conservé cette excitation toute la journée, repensant sans cesse à mon épouse en train de se faire lécher et sucer par sa collègue avec au fond de la gorge le chibre d’Emmanuel, se libérant de son foutre.
En rentrant chez moi le soir, j’étais toujours dans le même état quand je l’ai trouvée nue, sortant à peine de la douche. Avant même de comprendre ce qu’il lui arrivait, elle s’est retrouvée les bras en croix sur notre lit, ses jambes repliées sur sa poitrine avec ma queue lui perforant le ventre.
C’est ainsi en m’enfonçant dans sa chatte que je lui ai expliqué, entre deux coups de reins, que toute la journée j’avais repensé à notre soirée et, que le souvenir des regards lubriques sur sa croupe, des mains un peu trop familières sur ses reins et la grande complicité que je n’avais pas remarquée jusqu’alors avec son amie Jenny, m’avaient excité et insufflé une rage grandissante de me réapproprier son corps. Prise de cours, elle a redoublé d’efforts pour s’offrir encore plus à ma possession, loin de se douter que la femme que j’étais en train de posséder n’était pas la mienne mais une autre que je commençais seulement à découvrir.
À suivre…