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n° 12230Fiche technique28166 caractères28166
Temps de lecture estimé : 17 mn
29/01/08
Résumé:  Après une première découverte de la soumission sexuelle entre mon épouse et un homme dont l'expérience et la complicité nous avaient séduits, nous sommes à nouveau tentés par l'aventure. Mais cette fois je me trouve moi-même emporté plus loin.
Critères:  fh hh hbi hplusag couplus extracon extraoffre fépilée hdomine facial fellation hsodo yeuxbandés init
Auteur : Za-Toi-Chi      
Découvertes

Après cette première expérience, au cours de laquelle Marie et moi avions franchi le pas et donné vie à nos fantasmes de soumission et de partage sexuel, il nous a fallu quelques jours pour nous remettre du trouble et de l’excitation qui en avaient découlés.

Pour la première fois, j’avais vu mon épouse consentante se retrouver nue devant un autre homme, offerte à ses regards, à ses caresses, et même aux taquineries d’un martinet qu’il avait manié avec une extrême perversion pour faire monter en elle à la fois la crainte et le désir.

Mais je l’avais surtout vue, comble de mes fantasmes, possédée sexuellement par cet homme, elle que j’ai connue vierge et qui n’a jamais eu d’autre partenaire que moi. J’ai vu sa bouche se refermer docilement sur un sexe dont la taille impressionnante et inattendue n’avait fait qu’augmenter mon émoi. J’avais vu son sexe et même son anus s’ouvrir pour accueillir le pénis d’un homme que nous ne connaissions pas quelques heures auparavant et qui possédait son corps devant moi. Et enfin, je l’ai vue jouir à plusieurs reprises, alors qu’elle se faisait prendre ainsi.

Autant d’expériences qui nous avaient profondément marqués tous les deux, et qu’il nous a fallu un moment pour digérer, pour accepter simplement l’évidence, à savoir que nous y avions tous deux pris un immense plaisir.


Après une nécessaire période de calme où la vie quotidienne avait pu reprendre le dessus, nous avons inexorablement ressenti l’envie, pour ne pas dire le besoin, de connaître à nouveau les sensations terribles que nous avions découvertes lors de cette séance.

Après quelques hésitations, nous nous sommes décidés à vous rappeler, et vous n’avez pas semblé surpris de cette nouvelle prise de contact, comme si vous connaissiez d’avance notre parcours…

Nous avons convenu d’un autre rendez-vous, mais cette fois vous avez insisté pour nous voir séparément, l’un après l’autre, sans que nous puissions nous voir entre les deux séances. Intéressés, excités d’avance par cette proposition et surtout par la perspective de sensations nouvelles, nous avons accepté presque immédiatement, le cœur battant. Rendez-vous fut pris, et vous avez demandé que ce soit Marie qui ouvre le bal.


Le jour venu, inutile de dire que nous étions passablement émus. Nous nous parlions très peu, comme par peur de devoir aborder le sujet qui ne quittait pas nos pensées. L’heure fatidique a fini par arriver, et Marie est partie vous rejoindre. Après l’avoir embrassée, je l’ai regardée s’éloigner, vêtue d’un joli chemisier blanc et d’une jupe assez longue, de coupe classique. Je la déshabillais du regard, imaginant l’ensemble string/soutien-gorge que je l’avais vue mettre le matin même, et j’avais des frissons en pensant que d’ici peu un autre homme allait lui aussi poser ses yeux sur elle, et sans doute pas seulement ses yeux…


Les trois heures qu’il me restait à attendre m’ont paru une éternité. Passablement anxieux de ce que j’allais moi-même devoir affronter, j’avais en tête les images de notre dernière séance, essayant de deviner ce que pouvait bien être le sort de mon épouse à ce moment précis. Je pensais à son corps dénudé progressivement, je voyais dans des flashes successifs des mains qui la caressaient, et tous ses orifices pénétrés par un sexe puissant qui n’était pas le mien…

Enfin, à l’heure convenue, je me suis à mon tour mis en route, et je me suis présenté à l’entrée de votre domicile.

Vous m’avez ouvert, tout sourire, et, si je ne le savais pas, rien n’aurait pu m’indiquer que vous veniez de passer deux heures à vous occuper intimement de mon épouse.

À peine la porte refermée pourtant, le ton a changé. Vous m’avez fait entrer dans le salon où je me suis retrouvé assailli de souvenirs extrêmement troublants : ici vous touchiez son corps, là elle vous suçait, à genoux… J’avais l’impression de revivre ces instants, de sentir à nouveau l’odeur de sexe qui régnait alors dans la pièce.


Votre voix me sort de ma rêverie :



J’ai un frisson en réalisant que ça y est : j’entre dans le jeu. La dernière fois, j’étais présent, mais c’était Marie qui était au centre de la pièce. Cette fois, c’est mon tour.

Un peu tremblant d’émotion, je retire mes vêtements et j’ajuste la pièce de tissu sur mes yeux. Immobile, pieds nus sur la moquette épaisse, je reste un instant ainsi, attendant de longues secondes avant d’entendre à nouveau votre voix, encore plus distante, impérieuse.



Surpris par la brutalité de cette affirmation, et plus encore par les mots utilisés, je bredouille sans pouvoir acquiescer :



Et après un silence, vous reprenez :



J’obéis et je remonte mes mains derrière la tête, non sans penser que cette position est plus judicieuse pour les femmes : cela met tellement bien leur poitrine en valeur. Mais l’instant d’après, j’ai à nouveau un frisson en réalisant que Marie a peut-être adopté cette position quelques minutes plus tôt, au même endroit…



Un petit silence, puis d’une voix lente et douce :



Me rappelant le martinet, j’ai un mouvement instinctif en entendant ces mots, mais vous poursuivez, comme si vous n’attendiez que ce signe :



À ces mots, je revois dans un flash l’image de Marie, pénétrée par votre sexe puissant, le visage déformé par l’orgasme, un instantané qui est resté gravé dans ma tête après notre première séance. Et, sans vraiment m’en rendre compte, je commence à bander : mon sexe gonfle contre le tissu de mon slip.


Mais, imperturbable, vous poursuivez :



Je sens votre voix s’approcher de mon oreille, et c’est presque en murmurant que vous continuez :



Complètement bouleversé par ce que j’entends, je dois me retenir pour ne pas changer de position et me caresser à mon tour. Mais c’est alors que je sens soudain mon slip descendre le long de mes jambes. Brutalement libéré, mon sexe raide jaillit d’un coup, se positionnant vers le haut, bien au-dessus de l’horizontale, le prépuce ouvert révélant mon gland tout mouillé d’excitation.


J’entends un petit rire.



Puis, d’une voix à nouveau douce et pénétrante :



Fou d’excitation, complètement troublé par ces mots choisis avec un art consommé de la perversité, j’essaie de répondre, mais je sens alors votre main se refermer doucement sur mon sexe et commencer un lent va-et-vient.

Surpris, je ne peux retenir un gémissement.



Le corps entier tremblant d’excitation et de trouble en entendant ces mots, je ne peux rien répondre, mais vous enchaîner :



La masturbation ralentit, mais se concentre sur le gland. Je n’en peux plus et je libère mes fantasmes…



Pris à mon propre piège, je sens que je ne peux plus faire machine arrière.



Docilement, je m’agenouille, le cœur battant, et dans le même mouvement je sens que vous retirez le bandeau de mes yeux.

Naturellement, je me retrouve nez à nez avec votre membre dressé, énorme, plus impressionnant encore vu de près. Avec le pouce et l’index, vous faites doucement aller et venir le prépuce sur votre gland luisant de mouille, avant de le décalotter entièrement en le maintenant immobile, devant ma bouche. Complètement fasciné par ce que je vois, je ne peux m’empêcher de penser que c’est ce sexe, qui me paraît énorme, qui a pénétré et sans doute fait jouir Marie. Trop excité par cette idée, je le prends d’un coup dans ma bouche. Instantanément, je suis envahi par la sensation de ce membre chaud et doux, dont l’odeur me rappelle à la fois celle de mon sexe, et aussi… celle de Marie. Ce constat achève de me rendre fou, et je commence à sucer avec application, comme sans doute elle l’a fait avant moi.


J’entends à peine vos paroles d’encouragement, teintées de sarcasmes :



Soudain, je sens vos mains qui enserrent ma tête, et votre sexe est animé d’un mouvement de va-et-vient plus rapide.



Je sens, puis je vois votre sexe qui se retire. Complètement perturbé par cet épisode, bien plus excité que je ne l’aurais cru d’avoir vraiment sucé le sexe d’un homme, de surcroît bien plus gros que le mien, je ne dis rien et je reste accroupi, mon propre membre dressé, complètement raide et décalotté, mouillé du haut en bas par un filet de mouille qui semble couler en continu de mon gland.



Vous posez alors devant moi un tirage photo au format A4, où je peux voir Marie, debout, les mains derrière la nuque, les jambes écartées, chaussée de mules à très hauts talons et vêtue d’une guêpière noire et rouge très sexy, pour ne pas dire obscène. La forme du tissu laisse ses seins nus tout en les portant bien haut, comme pour les offrir, et tout son bas-ventre est découvert, encadré par les porte-jarretelles qui maintiennent des bas-résille noirs. Son sexe tout lisse est parfaitement visible dans ses moindres détails, et la pose suggestive ajoutée à la langue qu’elle passe sur ses lèvres ne laisse aucun doute quant à l’intention du photographe. Affolé par la vue de ma femme ainsi exposée, je caresse mon sexe frénétiquement.



Un autre cliché recouvre le premier : dans la même tenue provocante, Marie a toujours les yeux fixés sur l’objectif, mais cette fois elle a une main sur son sexe. En regardant mieux, je peux voir que son majeur est enfoncé en elle… Mais surtout, elle tient à la main un gode énorme qu’elle s’enfonce dans la bouche en un simulacre de fellation ! Ma propre main va de plus en plus vite sur mon sexe, et je sens pointer les prémices du plaisir.



Avec difficulté, j’obéis. Ma main quitte mon sexe qui en veut plus, et qui reste agité de spasmes, comme à la recherche d’un contact qui ne vient pas.



Une nouvelle photo atterrit devant moi, et je découvre une vue de Marie entièrement nue, sur le dos, les yeux clos, le visage révulsé, les mains crispées sur ses seins. La photo est prise par un homme dont je ne vois que le bas-ventre et un bras, vous forcément. Votre sexe est enfoncé dans celui de ma femme, et votre main libre immobilise un de ses pieds nus, pour maintenir ses jambes relevées pendant que vous la pénétrez. Cette dernière vue me bouleverse, et ma respiration devient saccadée pendant que mon sexe est à nouveau agité de spasmes désespérés.

J’entends votre voix ironique :



Atterré, les yeux rivés sur la photo, trop excité et troublé en imaginant cette scène dans tous ses détails, le souffle court et le cœur battant la chamade, je ne peux évidemment rien répondre. Mais satisfait par l’effet de vos paroles, vous n’attendiez aucune réponse.



Comme un automate, j’obéis, et je me place sur le dos, au bord du canapé.



Le souffle court, tétanisé, bien trop excité pour répondre, je reste muet, mais ma main a recommencé ses mouvements sur mon sexe.



Eh bien, c’est votre tour maintenant, comme ça vous connaîtrez les sensations qu’elle a connues : vous m’avez sucé la bite, comme elle, et comme elle vous allez vous branler pendant que je vous sodomise. Je sais que mon sexe vous excite, vous fantasmez en l’imaginant pénétrer la chatte de votre femme. Vous allez à votre tour le sentir s’enfoncer en vous, lentement, jusqu’au fond, comme Marie. Et, comme Marie, vous allez vous masturber pendant que je vous encule. Comme elle, vous allez jouir en vous sentant pénétré par une vraie queue bien virile. Et, comme elle, vous serez alors devenu une vraie salope qui aime se faire prendre.


J’entends vos paroles et, sans pouvoir réagir, un peu comme dans un rêve, je vous vois revêtir votre sexe d’un préservatif, puis enduire ce dernier de lubrifiant.

Complètement vaincu par un trop-plein d’excitation, par ce sentiment troublant d’humiliation acceptée et de soumission volontaire, je commence à caresser mon sexe. Vous relevez doucement mes jambes pour positionner votre gland sur mon anus. Instantanément, tout mon bassin est parcouru d’ondes d’excitation qui se cumulent à celles provenant de mon propre sexe, avec pour conséquence un pincement instinctif de mon petit trou. Mais le lubrifiant fait traîtreusement son office, et je sens soudain mon orifice intime céder sous la poussée de votre bite dressée : il s’écarte et s’ouvre, sans parvenir à se refermer ensuite comme il en a toujours eu le réflexe. C’est une sensation nouvelle que je découvre, alors que votre membre, à la fois rigide et doux, s’enfonce lentement en moi. Une sensation d’invasion et de pénétration qui s’accentue encore quand vous poursuivez votre pénétration jusqu’au bout. Puis je sens s’esquisser un lent mouvement de va-et-vient, un mouvement que je connais tellement bien pour l’avoir si souvent pratiqué, mais dont cette fois c’est moi qui suis l’objet…


Très rapidement, les sensations deviennent trop intenses, et je ne peux retenir mes gémissements, alors que ma main va de plus en plus vite sur mon propre sexe. Je ne pense plus à Marie, ni même à votre membre puissant qui l’a pénétrée et qui à présent me sodomise, même si je ne sens que lui qui n’en finit pas de s’enfoncer en moi. Je suis seulement envahi d’un plaisir extrême, provenant de tout mon bassin à la fois. Des sensations inconnues dans cette intensité, et que je ne peux plus contrôler.

Rapidement, je sens monter le plaisir ultime, et mes gémissements s’accentuent. Comme si vous guettiez cet instant, vous vous retirez alors rapidement et vous enlevez votre préservatif en vous positionnant près de mon visage.

Trop habitué à ce rituel des vidéos X, je devine instantanément votre intention. Dans un dernier sursaut d’orgueil, je veux refuser cette ultime humiliation, peut-être la plus physique et la plus intime.



Mais vous savez que je connais le mot-code qui peut tout arrêter. Et je ne l’ai pas prononcé. Alors, après quelques rapides mouvements de masturbation qui achèvent de découvrir et d’humidifier votre gland, vous enfoncez dans ma bouche votre sexe raide de désir. Au moment où une terrible éjaculation secoue mon bassin et se répand en longs jets sur mon ventre et mon torse, je sens votre propre sperme gicler dans ma bouche, déversant abondamment votre semence qui a pourtant déjà envahi le ventre de Marie quelques heures plus tôt.

Ne perdant pas de vue un instant votre rôle de dominateur, vous enfoncez alors votre sexe dans ma gorge pour ne pas me laisser d’autre choix que d’avaler votre plaisir.

Dans une semi-conscience, j’entends vos paroles :



Votre éjaculation semble ne jamais vouloir finir, et tout en suçant votre sexe je pense instinctivement à ma femme : des dizaines d’images défilent dans ma tête alors que le goût de votre semence abondante envahit ma bouche. Marie vous a sucé ; vous l’avez caressée ; elle s’est dénudée devant vous ; vous l’avez incitée à s’exhiber, impudique, puis vous l’avez possédée ; sa bouche, son sexe, son anus ont reçu votre sexe dressé, ce même sexe qui vient de me pénétrer avant de jouir sur ma langue… C’est presque par respect pour elle que j’avale votre sperme, comme pour me dédouaner de lui demander de le faire avec moi.


Épuisé par ces sensations inattendues et tellement intenses, je reste un moment sans bouger, le corps couvert de mon plaisir, la bouche encore maculée du vôtre. La honte m’envahit progressivement, et je voudrais disparaître sans faire un mouvement.

Puis j’entends une dernière fois votre voix, redevenue bienveillante et complice :



Je me suis dépêché de rejoindre Marie, que j’ai retrouvée dans le même état d’excitation que moi. Très émus, nous avons fait l’amour toute la soirée, comme pour être bien sûrs de nous retrouver. Nous avons embrassé, léché, caressé nos corps, nous nous sommes longuement accouplés dans une fusion physique instinctive où s’exprimait tout notre amour. Et notre envie mutuelle ne faisait que croître lorsque, par moments, au hasard d’une odeur intime, revenait le souvenir de l’homme qui avait possédé nos deux corps et déversé en eux son propre plaisir.


Nous n’avons pas abordé le sujet, mais il est bien certain qu’un jour ou l’autre, nous renouvellerons cette expérience…