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Des vacances bien méritées

Sandrine et Carole sont deux très bonnes amies de, respectivement, 21 et 22 ans. Elles viennent de terminer leurs études en fac et, pour fêter la réussite de leurs examens, elles ont décidé d’aller passer quelques jours sur les bords de l’Atlantique.

Mais pas n’importe où ! À Montalivet, dans le fameux centre naturiste. Bien qu’elles ne soient pas adeptes de cette manière de vivre, elles aiment se montrer et sont curieuses de voir comment cela se passe dans un endroit pareil.

Elles ont eu, toutes deux, un petit ami, le temps de leurs études et ont même eu l’occasion de se les échanger lors d’une partie à quatre. Elles les ont largués en même temps. Elles commençaient à s’ennuyer avec eux et étaient bien décidées, avant de commencer leur vie active, à profiter de la vie comme on dit. Elles n’ont pas froid aux yeux, surtout Sandrine, aux dires de leur entourage.

Une fois arrivées au centre, elles observent tout ce qu’elles peuvent et surtout repèrent ce qui pourrait les satisfaire sexuellement.

Le lendemain de leur arrivée, elles décident d’aller à la plage naturiste, mais avant cela, elles veulent parfaire le rasage de leur petite chatte afin de l’avoir parfaitement lisse. Et c’est mutuellement qu’elles le font. Elles en profitent, tout naturellement, comme elles en ont souvent l’occasion, pour faire l’amour.

Arrivées sur la plage, elles peuvent constater qu’il n’y a pas énormément de monde. On n’est que début juillet et la plage est immense. Tant mieux ! se disent-elles, on sera plus tranquille, quoique pour draguer cela va être quelque peu difficile.

Elles posent leurs affaires et vont se baigner entièrement nues. Quelques instants après, elles peuvent constater qu’un homme, d’une trentaine d’années, étale sa serviette de bains à quelques mètres des leurs. Il parait assez grand et bien proportionné, comme elles les aiment. Elles décident de sortir de l’eau pour prendre un peu le soleil, car elles ont bien besoin.

L’homme se dirige vers la mer. Au fur et à mesure qu’il approche, les filles constatent qu’il est fort bien pourvu entre les cuisses et qu’il est, tout comme elles, entièrement rasé ou épilé. Le pubis, mais aussi les couilles.

Arrivées à sa hauteur, elles ne peuvent s’empêcher de regarder ce sexe volumineux et tellement long qu’il lui arrive à peu près à mi-cuisses. L’homme, aussi, mate l’entrejambe de nos deux copines et parait s’en délecter.

Après l’avoir dépassé, Sandrine ne peut s’empêcher de lancer à Carole :

• — Tu as vu son engin ?
• — Oui. Mais je pense qu’il doit avoir un début d’érection.
• — On verra bien quand il sortira de l’eau. Ça calme les ardeurs de ces messieurs, l’eau froide.
• — Certainement, mais quand même, c’est impressionnant.
• — Moi, ça ne me ferait pas peur.
• — Ça m’étonne qu’à moitié !

Et les voilà parties à rire en s’imaginant la chose. De retour à leurs draps de bain, elles se passent mutuellement de la crème solaire et en profitent pour se caresser, discrètement, le minou.

L’homme ressort de l’eau et la surprise est de taille. Son sexe est toujours aussi volumineux. Elles le regardent attentivement. Il en fait de même car elles sont assises, les jambes en tailleur, laissant voir parfaitement les lèvres légèrement entrouvertes de leur chatte.

L’homme s’essuie et s’allonge sur le dos, la queue posée sur sa hanche gauche. Sandrine veut en avoir le cœur net. Si son sexe est aussi gros au repos, comment doit-il être en pleine érection ? Pendant que l’homme allume une cigarette, elle en sort une de son paquet et se lève.

• — Qu’es-ce que tu fais ? questionne Carole.
• — Je vais lui demander du feu et, par la même occasion, lui poser des questions sur sa queue.
• — Tu es folle. Il va te prendre pour qui ?
• — Je m’en fous et puis ça m’étonnerait qu’il n’ait pas envie de baiser. Quant à moi, j’ai terriblement envie de sucer une belle queue comme la sienne, depuis le temps. Il ne te plaît pas, à toi, avec son bel engin ?
• — Heu… Si mais…
• — Mais quoi ? Tu fais comme tu veux, mais moi, j’ai bien l’intention de me le faire.

Sur ces paroles, Sandrine se dirige vers l’homme sous le regard de Carole médusée. Elle sait que Sandrine n’a pas froid aux yeux, mais là… Sandrine arrive à hauteur de l’homme et se plante à son côté.

• — Bonjour. Excusez-moi de vous déranger. Vous pourriez m’offrir du feu ?
• — Bonjour. Bien sûr, dit l’homme en commençant à se redresser.

Sandrine ne lui en laisse pas le temps. En lui disant de ne pas se déranger, elle s’accroupit à quelques centimètres de son visage, prenant bien soin d’écarter les jambes au maximum. L’homme a une vue imprenable du minou de Sandrine. Ses lèvres luisantes sont, naturellement, écartées et laissent apparaître le capuchon de son clitoris qui commence à gonfler sous l’excitation de la situation.

L’homme a beaucoup de mal à se concentrer pour allumer son briquet, ne lâchant pas des yeux la superbe vue qui s’offre à lui. Sandrine ne peut s’empêcher de sourire.

• — Le spectacle vous plaît, on dirait.
• — À qui cela ne plairait-il pas ? Votre chatte est superbe. Surtout sans poils, c’est divin.

Une fois la cigarette allumée, Sandrine, toujours dans la même position, tourne, légèrement la tête pour regarder le pénis de l’homme et lui lance :

• — Celui-ci est pas mal non plus.
• — Merci. La nature m’a pas mal gâté.
• — Mon amie Carole et moi… Au fait c’est Sandrine, et vous ?
• — Damien. On pourrait se tutoyer, au point où nous en sommes.
• — Oui, bien sûr. Donc, Carole et moi on se demandait ce que cela pouvait donner… Heu… Enfin quoi, vous voyez, heu… Tu vois ce que je veux dire ?

Malgré son attitude directe, elle n’osait pas trop dire ce qu’elle voulait.

• — Tu veux dire en pleine érection, c’est ça ?
• — Oui c’est exactement ça.
• — Je veux bien vous montrer à ta copine et à toi, mais la plage n’est pas le lieu le plus approprié pour cela. On pourrait rejoindre le mobil home que je loue dans le camping.
• — Ok. Tu es seul ?
• — Non, je suis venu avec un copain, Jérôme, mais il est en ville ce matin. En fait, on est venu ici, pour s’éclater un peu, après une année de travail. Tu vois ce que je veux dire ?
• — Je vois très bien. Carole et moi, on est dans la même situation. Cela tombe bien. Et ton copain Jérôme, il est comme toi ? Enfin je veux dire, à ce niveau-là ? fait-elle en désignant du doigt le sexe de Damien.
• — Ça je ne sais pas, mais les filles qu’il rencontre n’ont pas l’air de s’en plaindre.
• — Super ! Je vais chercher Carole et on te suit. Ok ?
• — Ok, je vous attends.

Sandrine retourne auprès de Carole et lui raconte la teneur de sa conversation avec Damien. Carole la traite de folle mais se dit partante. La baise entre elles, c’est bien, mais elle se dit que rien ne vaut une bonne queue bien raide. Elles rejoignent Damien et une fois les présentations faites, le trio rejoint son mobil home.

Aussitôt entrée, Sandrine ouvre une boîte de préservatifs qu’elle éparpille sur la table. On ne sait jamais. Cela n’échappe pas à Damien qui se dit qu’aujourd’hui est un jour de chance.

Dès qu’elles sont à l’intérieur, elles pressent Damien de leur montrer comment devient l’objet de leur désir en pleine action.

• — Eh ! Doucement les filles. Vous êtes en manque ou quoi ?
• — On peut dire ça comme ça, réplique Sandrine.
• — De toute manière, et vous semblez vous y connaître, ça ne se fait pas comme ça.
• — Justement, réplique Sandrine. On va s’installer face à toi. On va écarter les jambes et te faire admirer nos minous. Quant au reste, à toi de jouer.
• — Quoi ? Vous voulez dire que…
• — Oui, c’est cela. Tu vas te masturber devant nous. On adore voir un homme se caresser la queue. Ne t’inquiète pas, on va en faire de même. Et puis après on verra…, lance Sandrine avec un clin d’œil et en passant sa langue sur ses lèvres.
• — Oui vas-y, renchérit Carole. Ça m’excite de voir ça.

Damien, quelque peu dépité, s’exécute. Debout, devant les deux filles qui commencent à se caresser, il prend sa queue à pleine main et entame des lents va-et-vient sur la hampe. Devant le spectacle et par son action, Damien ne tarde pas à être bandé au maximum. Les filles écarquillent les yeux, ne croyant pas ce qu’elles voient. La queue de Damien atteint bien 25 centimètres de long et sa main arrive à peine à en faire le tour.

• — Ouah ! s’exclame Carole. Je n’en ai jamais vu de pareille.
• — Moi non plus, lui répond Sandrine. Je ne sais pas comment ça peut rentrer, un engin pareil.
• — Il faut essayer pour savoir, leur réplique Damien qui sent son excitation s’amplifier.

Toutes deux arrêtent leurs caresses et s’agenouillent devant Damien l’observant dans son va-et-vient manuel.

• — Laisse-nous faire maintenant. Tu l’as bien mérité.
• — Oui, on va te sucer toutes les deux.

Sandrine s’attaque directement au gros gland pendant que Carole lèche de la base des couilles jusqu’au frein. Elles alternent plusieurs fois avant que Damien émette des signes de jouissance proche.

• — Arrêtez, les filles, ou je vais tout lâcher.
• — Laisse-toi aller mais préviens-nous quand ça vient vraiment. On ne veut rien gâcher, lui dit Carole.

Autant Sandrine qu’elle, elles ne rechignent pas à avaler. Elles l’ont fait souvent avec leurs ex.

• — Oui, mais après il faudra me laisser reprendre des forces.
• — T’inquiète pas. On s’occupera de nous pendant ce temps-là. Ça te donnera peut-être de la vigueur plus vite que tu ne le penses. Et puis, qui sait, ton copain Jérôme rentrera d’ici-là.

Damien se laisse aller et quelques instants après, en les prévenant, lâche trois bons jets de sperme. C’est Sandrine qui a le gland en bouche qui reçoit un sperme épais et abondant pendant que Carole lèche toujours la colonne de chair. Lorsque Sandrine sent que la jouissance de Damien est terminée, elle embrasse Carole à pleine bouche pour partager la liqueur qu’elle n’a pas avalé.

• — Installe-toi confortablement. On va te faire un petit show.

Mais Carole est tellement excitée qu’elle demande à Sandrine de se mettre tout de suite en 69. Elles se lèchent copieusement devant Damien qui n’en perd pas une miette. Il reprend sa queue en main et recommence une lente masturbation en les regardant faire. C’est à ce moment-là que la porte du mobil home s’ouvre et qu’apparaît Jérôme. Il est médusé par ce qu’il voit et en oublie de refermer derrière lui.

• — Ferme cette porte, idiot ! lui lance Damien. Entre vite et désape-toi. Ces filles ont besoin d’une bonne queue. Moi j’ai déjà donné mais dès que j’aurai repris ma forme je te rejoindrai.

Jérôme regarde son copain et surtout sa queue qu’il n’avait jamais vue.

• — Dis donc, tu m’avais caché ça !

Il se déshabille entièrement et déjà, les filles peuvent admirer ses attributs du coin de l’œil. Bien que moins imposante que celle de son copain, la queue bandée de Jérôme est de bonne taille. Lui aussi est entièrement rasé. Les filles sont passées à la vitesse supérieure et jouissent presque en même temps.

• — Ça vous a plu, les gars ? lance Sandrine.
• — Je veux ! rétorque Jérôme.
• — Qui s’occupe de moi ?

C’est Carole qui l’attire à elle et, immédiatement, prend sa bite en bouche, tout au moins une partie. Sandrine s’est rapprochée de Damien et entreprend de lui redonner de la vigueur avec sa langue. Elle a véritablement envie de le sentir en elle. Elle ne tarde pas à obtenir une parfaite érection de la part de Damien et en est visiblement satisfaite.

Elle se positionne sur le canapé en écartant largement les jambes et, de ses deux mains, les lèvres de sa chatte trempée par tout ce qui vient de se passer. Damien, après avoir chaussé un préservatif un peu serré à son goût, positionne son gland à l’entrée du vagin de Sandrine et pousse lentement pour ne pas lui faire mal. Mais, à son grand étonnement, sa queue s’enfile facilement dans l’étroit conduit qui s’élargit tout seul, tellement Sandrine est excitée.

Il a eu, parfois, des mésaventures avec des filles, qui terrifiées par la taille de son engin, ne voulaient pas de pénétration. Il se contentait alors de leur bouche ou de leurs seins, quand ceux-ci étaient suffisamment volumineux, pour le faire jouir. Il sent sa queue se gonfler encore, bien enserrée par le doux fourreau de Sandrine. Bien que touchant le fond de sa chatte, sa bite n’est rentrée qu’à moitié.

• — Oui ! crie Sandrine. Je la sens bien, va bien au fond. Oui comme ça ! C’est bon ! Baise-moi fort !

Elle entoure le bassin de Damien avec ses jambes et pousse avec ses pieds sur le postérieur de ce dernier comme pour le faire aller encore plus loin en elle et lui répète de la baiser bien fort.

Fort de ses encouragements, Damien commence à pistonner de plus en plus vite, arrachant des cris de jouissance à Sandrine. Après plusieurs va-et-vient de plus en plus rapides, il sent un liquide brûlant lui couvrir la queue. Sandrine jouit très fort, faisant aller sa tête de droite à gauche.

Heureusement que la journée est déjà bien avancée et que la plupart des gens sont sur la plage car, Damien en est sûr, dehors leur activité ne fait aucun doute.

Pendant ce temps, Carole et Jérôme ont changé de position. Ce dernier est en train de laper littéralement sa chatte trempée. Elle soulève son bassin en criant sa jouissance, lui enserrant la tête de ses cuisses. Jérôme se tourne vers la table, prend une capote que Carole lui enfile avec la bouche.

Damien les regarde faire tout en continuant sa profonde pénétration. Ayant déjà vidé son trop-plein, il se dit qu’il va pouvoir tenir encore un bon moment. Ce n’est pas le cas de Jérôme qui, après quelques bourrades dans la chatte de Carole, se vide dans le latex non sans avoir permis à celle-ci d’exprimer son orgasme, l’ayant bien préparée.

Sandrine n’en peut plus et demande à Damien de se retirer et d’aller baiser sa copine. Après avoir changé de capote, il dirige sa grosse queue vers le trou béant laissé par Jérôme. Carole est un peu effrayée de savoir que cet énorme engin va tenter de la pénétrer.

• — Je vais y aller doucement, lui dit Damien. Si tu as mal j’arrête. OK ?
• — D’accord. D’ailleurs j’en ai autant envie que j’en ai peur.

Damien, de même que pour Sandrine, approche doucement son gland du puits d’amour de Carole qui a pris soin d’écarter les lèvres déjà rosies par les assauts de Jérôme. La queue pénètre lentement, mais assez facilement. Carole est plus étroite que Sandrine et il sent encore plus la pression des parois du vagin sur sa bite. Dès que son gland touche le fond de la cavité, Carole a un spasme. Elle n’a jamais été autant remplie. Damien commence à bouger lentement et accélère le mouvement progressivement.

• — Oui ! Vas-y bien au fond ! Encore ! Continue bien fort ! Je la sens bien ! Elle est bonne, ta grosse queue ! Mon Dieu qu’est-ce que c’est bon !

Pendant ce temps, Sandrine et Jérôme reprennent leurs esprits en regardant leurs deux acolytes baiser. La bite de Jérôme repose sur le pli de son aine, le gland en direction de Sandrine. Elle la regarde, la prend en main et commence à la masturber. Le fait de voir Damien baiser sa copine lui donne encore envie. Elle se penche et prend l’engin dans sa bouche, faisant tourner sa langue autour du gland. Elle le lèche sur toute la longueur de la hampe sans oublier ses couilles.

Jérôme reprend progressivement de la vigueur. La vision de son copain baisant Carole et surtout le traitement que lui administre Sandrine font renaître son excitation. Sandrine, satisfaite de son œuvre, prend une capote, l’enfile sur la queue de Jérôme, s’empale sur lui et, sans attendre, le chevauche fougueusement.

Elle a le temps de jouir trois fois avant que Jérôme ne se lâche, épuisé mais heureux de ces évènements dont il ne se doutait pas une seconde en se levant le matin même.

Damien continue son pilonnage, provoquant chez Carole des orgasmes à répétition. Il sort soudainement de sa chatte, enlève la capote et éjacule un bon paquet de sperme sur le ventre et les seins de Carole dans un râle de satisfaction intense.

Sandrine vient lécher les restes de semence sur sa copine et l’embrasse à pleine bouche partageant, comme précédemment, le sperme de Damien.

Tous les quatre sont affalés sur le canapé quand Sandrine lance :

• — J’ai faim !

Ils passèrent le reste des vacances ensemble à baiser, à se mélanger et à manger.