n° 12248 | Fiche technique | 7966 caractères | 7966Temps de lecture estimé : 5 mn | 02/02/08 |
Résumé: Un homme raconte l'orgine de son fantasme et comment il l'a réalisé | ||||
Critères: fh profélève travail école fellation pénétratio | ||||
Auteur : Chev Envoi mini-message |
J’espère que ce récit saura réveiller chez vous ce fantasme plus ou moins présent en chacun de nous. Je veux parler de la prof, souvent jeune et sexy, modèle de féminité pour les filles et faisant fantasmer tous les garçons de la classe. C’était l’initiatrice sexuelle de nos rêves à l’heure de nos premiers émois.
Pour moi, 3 femmes ont été l’objet de ce fantasme. La première fut Mme C., ma prof d’espagnol en 4ème et 3ème. La trentaine, brune, toujours bronzée, une poitrine magnifique… Sa marque de fabrique était le string noir assorti à une jupe blanche suffisamment transparente et sa manière inimitable de s’asseoir sur les bureaux.
Il y eut ensuite Mlle B., ma prof de français de 3ème. Blonde à la peau blanche, sa timidité mettait en évidence que ça devait être l’un de ses premiers postes. Son physique, ses lunettes fines, la rendaient évidemment très désirable. Cependant c’est un épisode particulier qui restera gravé dans ma mémoire. En ce jour de printemps elle ne portait qu’un simple T-shirt au col plutôt détendu. Lorsque, durant un exercice quelconque, nous l’entendîmes donner des explications aux deux élèves situés derrière nous, mon voisin et moi, nous nous retournâmes et nous la découvrîmes penchée en avant pour lire ce qu’ils avaient écrit, nous révélant ses deux seins blancs, libres de leurs mouvements sans aucun soutien-gorge. Nos efforts pour renouveler cette vision restèrent malheureusement vains.
La dernière que j’évoquerai est Mlle R., ma prof de français de 2ème. Elle avait environ 25 ans. Elle avait un visage très joli parsemé de tâches de rousseurs et encadré de cheveux blonds. Elle possédait également un corps sublime mis en évidence par des pantalons et des hauts souvent moulants. Cependant, malgré toutes les choses qu’elle réalisait dans les fantasmes des garçons de la classe, elle était en réalité plutôt sage et c’est pourquoi je n’en dirai pas plus.
J’ai maintenant 24 ans et malgré une vie sexuelle «normale», ressurgit de temps en temps le fantasme inassouvi d’une aventure entre un élève et sa prof.
Lorsque récemment, j’appris que Melissa, une jeune fille de 23 ans que j’avais côtoyée quelques années dans un club de tennis alors que nous étions adolescents, était devenue institutrice, j’y accordai une attention particulière. Je me rappelai que nous nous entendions plutôt bien. Elle avait un visage engageant et, malgré sa petite taille, de très gros seins, assez encombrants pour faire du tennis mais qui me semblaient être un avantage dans bien d’autres situations.
Peu après, je l’ai rencontrée dans la rue. Elle n’avait pas beaucoup changé même si elle semblait plus mûre. Je l’ai tout d’abord félicité pour son poste et après quelques propos sur son métier et nos souvenirs communs j’orientai ma conversation, non sans arrière-pensées, vers mon envie de revoir l’école de mon enfance.
Le lendemain, je me rendis comme convenu à l’école. Elle m’attendait dans la cour et m’expliqua que tous les élèves étaient partis. Elle portait un pull gris en laine, une jupe noire arrivant aux genoux, des collants ou des bas ainsi que des bottes en cuir.
Nous fîmes le tour de la cour, du préau et des salles du rez-de-chaussée tout en partageant des anecdotes de notre enfance vécues en ces lieux et en discutant des modifications apportées. Nous montâmes ensuite au premier étage visiter les trois salles de classes restantes dont la sienne. Je reconnus dans sa salle de classe ma salle de CE1.
Nous nous installâmes dans sa classe. Après quelques minutes, elle se rendît compte qu’il lui restait le tableau à effacer. La voir effacer le tableau, moulée dans son pull et sa jupe suscita des pensées érotiques chez moi. Lorsqu’elle se mit sur la pointe des pieds pour atteindre le haut du tableau, son pull découvrit le bas de son ventre et je lançai :
Elle se retourna
Elle comprit ce à quoi je faisais allusion :
Elle sourit puis ajouta :
Je répliquai en jetant un regard à mon sexe en érection :
Elle suivit mon regard et s’approcha de moi. J’étais toujours assis sur le bureau du premier rang. Sa main caressa mon sexe à travers le tissu tandis que je l’attirai près de moi avec mon bras. Nos bouches se rapprochèrent pour un baiser passionné. Tandis qu’elle tentait d’atteindre ma bite, mes mains lui enlevèrent son pull, dévoilant un soutif en dentelle noire bien rempli.
À peine avais-je eu le temps de caresser ses seins qu’elle s’accroupissait entre mes jambes pour pouvoir prendre ma bite en bouche. Pendant que sa main et sa bouche s’activaient, je savourais la scène et le plaisir qu’elle me procurait. Je dégrafai ensuite son soutif.
Après plusieurs minutes, elle se releva pour m’embrasser et me laisser mordiller, sucer et presser ses sa poitrine. Elle me demanda ensuite avec intérêt si j’avais une capote. En réponse à mon hochement de tête, elle m’entraîna vers son bureau et se pencha en avant, posant ses avant-bras sur le bureau pour m’offrir sa croupe.
Je relevai la jupe pour découvrir tout d’abord des bas puis un tanga noir. Je massai doucement le clito à travers la dentelle déclenchant les gémissements de ma «maîtresse» puis, sentant une certaine humidité du tissu, je me débarrassai de cette barrière pour pouvoir éponger moi-même le liquide. Après quelques coups de langue qui me permirent d’apprécier son jus, elle me demanda, au bord de l’extase, de la prendre. J’enfilai rapidement une capote et la pénétrai d’un coup en la tenant par ses hanches généreuses. Après quelques coups puissants qui lui arrachèrent des cris de plaisir, j’augmentai la cadence tout en appréciant le balancement de ses seins.
Sentant venir l’orgasme, je la saisis par les seins et la relevai contre moi. Tandis qu’une de mes mains stimulait ses seins, l’autre jouait avec son clito. Nous jouîmes tous les deux intensément.
Durant quelques minutes, nous nous caressâmes puis elle m’expliqua que ce fantasme avait une place particulière dans sa vie puisque son premier amant avait été un des moniteurs du club de tennis dont nous avions tous deux fait partie. Elle n’avait que 17 ans et elle avait apprécié d’être initié par quelqu’un de plus âgé et qui était en quelque sorte son professeur.
Ce soir-là, je la pris encore sur son bureau, allongée sur le dos, la tête sur son cartable. Nous quittâmes ensuite le théâtre de nos fantasmes pour nous rendre chez elle. Depuis ce jour, nous sommes toujours ensemble et nous mettons souvent en scène notre fantasme commun.