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Temps de lecture estimé : 10 mn
05/02/08
Résumé:  Maxime et Sophiame prennent quelques vacances.
Critères:  fh hh 2couples hbi couleurs couple couplus copains hépilé fépilée vacances piscine amour voir exhib nudisme fmast massage anulingus préservati pénétratio hdanus hgode hsodo jouet -inithh -entrecoup
Auteur : Maximes      

Série : Rencontres intimes

Chapitre 03
Ma déesse black complice d'un de mes fantasmes

Quelques mois passèrent et nous continuions, Sophiame et moi, à nous voir, passant de délicieux moments. Nous avions ajouté quelques objets à nos ébats pour les pimenter un peu plus. J’avais promis à Sophiame de nous acheter un plug anal pour nous en servir mutuellement. C’est ainsi que je pus en profiter (une première pour moi !), Sophiame l’appliquant avec la même douceur et sensualité que je lui apportais. Par moments, je me demande si un jour autre chose qu’un plug me pénètrera, ce qui est curieux car je n’ai jamais eu d’attirance pour la gent masculine…


Un beau jour, Sophiame me proposa d’aller passer ensemble un séjour dans sa maison familiale en Côte d’Ivoire, ce que j’acceptai. Ses parents vivaient en France, son père étant cadre à l’ambassade. Ils s’échappaient de temps à autre vers leur villa près d’Abidjan afin de s’y reposer, voir leurs amis et prendre du soleil. Lorsque Sophiame leur indiqua qu’elle m’emmenait là-bas, ceux-ci ont souhaité venir en même temps, ce qui leur permettrait, lui ont-ils dit, de mieux me connaître.


Sophiame m’avait déjà longuement parlé de ses parents, et heureusement, car j’aurais été surpris par leur « décontraction » ! Plutôt libérés, même face à leur fille unique qu’ils ont eue jeunes, ils ont pour habitude de ne pas cacher leur nudité, surtout lorsqu’ils se prélassent dans leur villa où se trouve une magnifique piscine entourée de verdure et de palmiers. Depuis son plus jeune âge, Sophiame et ses parents ne se cachent pas entre eux. Plusieurs fois, elle avait surpris ses parents en train de faire l’amour près de leur piscine mais ça ne l’avait jamais choquée.


Lors de mes préparatifs, je n’oubliais pas nos jouets coquins, huile de massage, gel, et tout de même un maillot de bain même si cela paraissait inutile comme me l’avait confié Sophiame.


J’ai donc fait connaissance avec ses parents dans le hall de départ de l’aéroport. Sophiame ressemble beaucoup à sa mère. La belle cinquantaine, un corps svelte où l’on devine une belle poitrine et un fessier quelque peu callipyge, elle dégage une forte sensualité. Son père a une allure sportive, la cinquantaine aussi, d’un abord aussi sympathique. Bref, un couple avenant et qui vous met à l’aise.


Arrivé à Abidjan, je découvris leur propriété gardée. La grande bâtisse était cachée de la rue par un grand portail, murs hauts et une végétation luxuriante et parfaitement entretenue. Sophiame me montra notre chambre. L’immense lit entouré d’une moustiquaire ne prenait qu’une faible place dans cette pièce immense. Dans celle-ci, un espace salle de bain avec une grande cabine de douche transparente me tendait les bras tellement j’avais envie de me rafraîchir !


Un escalier en colimaçon nous menait vers une entrée desservant les cuisines, un salon au mobilier confortable, un écran plasma en dessous duquel étaient rangées des vidéos de films récents, d’aventure, de voyages et… pornographiques. Le salon était baigné par le soleil traversant les baies vitrées donnant sur une piscine bleutée, contrastant avec la verdure environnante. Nous y retrouvions ses parents s’y baignant déjà, nus… Une fois nos effets ôtés, non sans une certaine gêne en ce qui me concerne, nous avons pris un bain délicieux et emprunt d’une joie collective.


La nudité des parents de Sophiame me confirmait les impressions eues à l’aéroport. Lui, un corps musclé et sportif ; elle, un corps bien conservé pour son âge, une poitrine de belle allure, un ventre quasiment plat, des jambes longues et fuselées, des fesses magnifiques !


Après quelques brasses, Sophiame s’accrocha à mon cou, entourant mon bassin de ses belles jambes. L’effet fut immédiat, sentant mon sexe se durcir à une vitesse grand V. Impossible de sortir de l’eau dans cet état et Sophiame en rigola, ayant deviné ma gêne. Elle me souffla à l’oreille que je ne m’inquiète pas, ses parents allaient s’absenter durant ce séjour. C’est donc à moitié bandé que je décidai de m’installer sur un « transat », à l’ombre au bord de la piscine.


À ce moment une « doudou » vint nous servir des rafraîchissements, pas choquée (certainement habituée) de la tenue d’Ève de ses employeurs. Nous bronzions tranquillement lorsque Sophiame se mit à appliquer sur ma peau trop blanche de la crème protectrice. Allongé sur le ventre, mon sexe se frayait un chemin pour se tendre, comprimé par le coussin.


En tournant la tête, je découvris son père, assis sur les cuisses de sa femme, appliquant aussi sur son dos la crème. Surpris, je voyais son sexe tendu le long de la raie de ce magnifique cul. Par pudeur, je retournai ma tête tandis que Sophiame sentait avec douceur mes fesses. Elle adorait les caresser et me disait toujours qu’elle n’en avait jamais connu d’aussi douces. Je n’en pouvais plus, une terrible envie de sauter sur Sophiame m’obsédait.



Mais je ne voulais pas ! M’apercevant que ses parents avaient discrètement disparus (et je devinais pourquoi !), je me retournai, montrant ce sexe tendu et gonflé à bloc, en toute indécence aux yeux malicieux de Sophiame. Alors que par habitude, nous privilégions de délicieux préliminaires, Sophiame s’avança, prit mon bâton et le guida dans son sexe détrempé, l’avalant d’un seul coup !


Je me demandai si le personnel voyait ça mais l’excitation était telle que je laissais Sophiame coulisser sur ma hampe, fermant les yeux. Ma main droite se préoccupait de titiller son clitoris tandis que ma gauche serrait sa fesse gauche, la pinçant, la soulevant et la baladant sur sa raie sans oublier quelques passages sur sa rosette. Sophiame, près de la jouissance, se pencha sur moi, écrasant sa poitrine sur mon torse, accéléra le rythme, rebondissait de tout son corps sur mes couilles tandis que je lui pinçais son petit bouton enflé. Elle étouffa un râle en griffant mes épaules et s’abattit sur moi, la tête dans le creux de mon épaule. Je continuais de toutes mes forces à m’enfoncer au plus profond d’elle jusqu’à jouir, sentant ma semence gicler puissamment…


Le soir, nous nous étions habillés légèrement pour le dîner. Sa mère portait un paréo à même le corps, laissant apparaître un magnifique décolleté, ses seins pointant fièrement. Sa jupe ample épousait ses mouvements gracieux. Son père avait revêtu un pantalon sportswear blanc et une chemisette ample, déboutonnée partiellement et montrant le début de sa musculature.


Après une douche commune où nous nous sommes encore caressés, nous nous étions aussi habillés léger. Moi, un pantacourt sans rien dessous et un tee-shirt, Sophiame, une longue jupe blanche et un body mettant en avant sa belle poitrine. La soirée se déroula dans la bonne humeur. Ses parents nous ont indiqué qu’ils s’absenteraient quelques temps pour rendre visite à des amis à quelques centaines de kilomètres d’ici, nous laissant la résidence pour nous tous seuls. Le soir même, Sophiame téléphona à sa meilleure amie, Nadia, pour la convier, elle et son petit ami Victor, à un dîner le lendemain.


Puis nous nous couchâmes, dans ma position préférée, Sophiame sur le côté, me tournant le dos et moi contre elle, calant mon sexe contre ses fesses et respirant son parfum chaud et enivrant. Sophiame aimait aussi s’endormir ainsi car elle sentait mon sexe qui, systématiquement gonflait le long de sa raie.


Le lendemain se passa calmement. Nous profitions de la fraîcheur de la piscine à jouer nus, bronzions en nous passant régulièrement de la crème solaire. J’étais souvent en état d’excitation et il n’y avait que l’eau pour me calmer. Il me semblait que Sophiame n’avait pas envie de câliner même si elle me procurait mille douceurs.


Vers 17 heures, Nadia et Victor arrivèrent. Nous nous étions drapés de nos serviettes. Nadia et Victor sont enseignants à l’université des langues d’Abidjan. Plutôt grande et élancée, Nadia est une femme élégante et son sourire naturel me mettait à l’aise. Victor, son ami me serra vigoureusement la main, enchanté de passer une soirée sortant de l’ordinaire. Sophiame et Nadia se sont isolées pour se parler, elles ne s’étaient pas vues depuis six mois. Pendant ce temps, je fis connaissance de Victor. Grand, la bonne trentaine, le visage fin et souriant, il m’interrogeait de mille questions sur l’actualité française qui, à l’époque, n’était pas réjouissante.



Les femmes étaient revenues sur le patio, Sophiame lâchant sa serviette et Nadia se déshabillant à toute allure, avant de plonger dans la piscine. Victor se dévêtit alors et suivit celles-ci dans un plongeon. Dans ma tête, je pensais qu’ils avaient l’habitude ici de se baigner nus ! À mon tour, je retirai ma serviette et les rejoignis.


La veille au soir, Sophiame m’avait fait part que Nadia savait tout sur moi, étant sa confidente depuis leur enfance et qu’elle était une femme libérée (Victor aussi). Seulement, ils n’avaient que de rares occasions parmi leur entourage pour exprimer leurs envies. Je comprenais mieux pourquoi ils paraissaient décontractés et sans pudeur vis-à-vis de nous.


Après un bon bain, nous nous sommes allongés pour discuter de choses et d’autres avant le dîner. Le soleil se couchait et pendant que nous parlions de politique internationale avec Victor, les femmes se sont absentées pour s’habiller. Le temps de revêtir un pantalon léger et une chemisette, je descendis les rejoindre à table.


Plusieurs bouteilles de vin étaient disponibles, la doudou ne sachant lequel servir en fonction du plat. Je m’en chargeai. Sophiame était provocante, avec un chemisier transparent où l’on voyait plus que devinait ses seins pointus. Nadia avait remis un soutien-gorge blanc, à peine caché, pour mettre en valeur sa petite poitrine. Le blanc contrastait avec sa peau d’ébène et mate.


Après un dîner bien arrosé, nous nous installâmes dans le salon où la discussion avait quelque peu dérapé sur le sexe. Il était question des femmes et hommes « bi » ou hétéro. Sophiame devait avoir un peu trop abusé de la boisson, dévoilant mon fantasme secret d’être un jour pris par un homme et connaître cette expérience. Victor me lorgna d’un œil curieux à cet instant.


J’appris aussi que Nadia aimait être sodomisée par Victor, de temps en temps car il savait bien s’y prendre pour ça. Sophiame ajouta qu’il en était de même avec moi. Bref, une discussion irréaliste et sans tabou ! La chaleur n’était pas tombée et nous décidâmes de prendre un bain de minuit. Très vite les deux couples se soudèrent. Sophiame se frottait contre moi, je sentais son sexe parfaitement lisse glisser sur ma hampe et je devinais l’autre couple faire de même.


Nadia et Victor sortirent les premiers et allèrent s’isoler dans un coin discret du petit parc. Sophiame partit quelques instants puis revint avec le sac de nos jouets. Déroulant au sol les coussins et serviettes, je la pris dans mes bras pour un long baiser, mes mains caressant son corps mouillé. Sophiame me poussa doucement sur le sol, plia mes jambes puis entreprit de glisser sa langue du haut de mon sexe jusqu’en bas, profitant de mes bourses imberbes puis continuant vers mon petit trou. J’adorais quand elle me le titillait. En général, c’étaient les prémices à la sodomie.


Sophiame avait donc pris les choses en main et décidé de se consacrer à moi. J’avais une pensée envers Nadia et Victor qui risquaient de me découvrir complètement soumis mais en même temps cela m’excitait. Sa langue virevoltait maintenant uniquement sur ma rosette, elle l’introduisait en alternance avec un de ses doigts, assouplissant un peu mon antre. Je fermais les yeux de plaisir, ma queue battait d’excitation sur mon ventre. Je sentis la main de Sophiame appliquer du gel intime puis, avec délicatesse, introduire notre plug centimètre par centimètre, prenant son temps comme je procédais avec elle avant de la remplir.


Une petite douleur me fit grimacer puis le plug coulissa entièrement. Sophiame arrêta tout mouvement, me laissant m’habituer à l’objet. Elle glissa le long de mon corps puis vint m’embrasser sur la bouche, me glissant des petits mots doux. Sophiame revint vers le plug et commença des va-et-vient lents au départ, puis accélérant progressivement. J’appréciais ce plaisir d’être sodomisé et pensais à celui que je devais procurer à Sophiame lorsque je la prenais ainsi.


Sentant une présence, j’ouvris mes yeux et m’aperçus que Nadia et Victor contemplaient la scène, debout près de nous. Je ne savais pas s’ils avaient fait l’amour, mais le sexe de Victor se redressait vite ! Il était assez long avec un gland épais, contrastant avec la finesse de sa hampe. Nadia quant à elle, se caressait le minou tout comme Sophiame, un doigt sur son petit bouton et son autre main maniant le plug.


Je regardais avec insistance le sexe de Victor avec une curieuse envie de la sentir au fond de moi. Sophiame avait dû deviner et savait qu’il s’agissait d’un de mes fantasmes. Pourtant, je ne me sens pas homosexuel ! Nadia prit la parole :



Puis se tournant vers Victor :



Sophiame, consentante et excitée par la situation, me fit mettre à quatre pattes puis retira le plug et remit du gel. J’appréhendais un peu car la hampe de Victor s’avérait quand même plus épaisse que le plug, surtout avec son gland gonflé à bloc. Sophiame enfila elle-même un préservatif sur le sexe de Victor sans que Nadia ne proteste.


Victor se positionna derrière moi puis présenta sa queue devant ma rosette agrandie et préparée par le jouet. Je sentis son gland pénétrer doucement mon cul. Il était chaud, ce qui me changeait du plug. Petit à petit, son sexe m’envahissait jusqu’à ce que ses couilles s’écrasent sur moi. Il resta un moment immobile. La pression sur ma prostate m’indiqua que je n’allais pas tarder à jouir.


Ses deux mains serraient mes globes quand il commença à coulisser. Les femmes s’étaient assises en spectatrices caressant leur minou. Je voyais de côté ces lèvres roses mouillées où les doigts venaient se frotter. J’appréciais avec volupté ce sexe d’homme me prendre, me dominer puis j’eus l’envie qu’il me besogne.



Il commença à ahaner, ses bourses frappant mes fesses de plus en plus fort. Mon sexe gicla sur la serviette et j’avais du mal à rester immobile tellement Victor me baisait. J’entendis Nadia pousser un petit cri de jouissance et pensais que Sophiame, vu l’expression de son visage, n’allait pas tarder non plus.


Le temps était suspendu et j’avais l’impression d’être un pantin. Je perçus une nouvelle impression de jouissance lorsque Victor s’enfonça le plus loin possible pour rester enfin immobile. Son gland gorgé de sève trembla puis Victor cria fort, s’écroulant sur moi et me déséquilibrant. Pendant ce temps, Sophiame s’allongea, posa sa tête sur la cuisse de Nadia puis se mit à gémir longuement.


Tous les quatre, étourdis par ces sensations, nous restâmes quelques minutes à reprendre notre souffle. Je pensais à cette première expérience et me demandais si un jour je recommencerais. Mais, après avoir repris mes esprits, je me dis que finalement non, même si je ne regrette rien, bien au contraire… J’avais vraiment de la chance d’être avec Sophiame, une déesse black si complice…