Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12274Fiche technique11200 caractères11200
Temps de lecture estimé : 8 mn
13/02/08
Résumé:  Ce texte est un vrai courrier que j'ai fait parvenir à ma belle. Nous avions envie de le partager. Bonne lecture.
Critères:  h fh fhh extracon copains sauna cérébral revede voir exhib miroir hmast fellation cunnilingu pénétratio lettre -lettres -mast
Auteur : Môa1      
Courrier à ma belle

Coucou, ma belle !


On est le lundi 31 décembre. Il est neuf heures du matin et j’avais besoin d’écrire ça. Je pense l’écrire et te l’envoyer plus tard mais je ne pense pas que tu m’en tiendras rigueur.


Hier soir, j’ai passé une agréable soirée avec des amis. Pas de réels soucis, quoique… Enfin, rien à voir ! Mais à deux heures du matin, impossible de dormir. Et là, j’ai pensé à toi. Ne m’en veux pas, mais ce n’étaient pas des pensées très chastes, bien au contraire. Je préfère te prévenir que je risque d’être cru dans mes propos. Mais c’est comme ça que je l’ai vécu, et je pense que c’est la meilleure façon de faire passer toutes ces sensations sans les dénaturer.


Je te disais donc qu’il était deux heures du matin et que je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Je tournais et retournais encore dans mon lit en désespérant. Je devais me lever tôt pour aller chez ma mère et ça risquait sérieusement de contrarier mon planning. Jusqu’au moment où j’ai réalisé qu’il y avait plus que ça. Un besoin montait en moi. Une envie, devrais-je dire.


Une furieuse envie montait, minute après minute. Malheureusement j’étais désespérément seul. Je connaissais déjà l’issue de ce combat. Cela finirait encore par une séance de masturbation intense. Et là, le flash ! Je t’ai vue toi dans mes pensées vagabondes… Je t’ai vue nue, allongée à mes côtés, comme tu l’as déjà été plusieurs fois.


À ce moment-là déjà, mon sexe, que dis-je ma queue, était bien raide, bien dure, chargée d’envie elle aussi. Comme tu le sais, je dors toujours complètement nu. Cette fois-ci n’était pas une exception à la règle. Dans le plus simple appareil, je me suis mis sur le dos. Ma queue bien raide pointait déjà vers les cieux en attendant le moment de libération.


J’ai pris mon sexe en main et je l’ai décalotté doucement. Les premières gouttes d’excitation perlaient déjà à l’extrémité de mon gland. Gorgé de sang, il prenait désormais le pas sur tout le reste. Je devais me branler et libérer toute cette énergie sexuelle en faisant jaillir mon jus. J’ai commencé à me branler, tout doucement, en prenant bien le soin d’aller et venir complètement dans ma main.


Je savais qu’il ne m’en faudrait pas beaucoup pour jouir, étant donné l’état d’excitation dans lequel j’étais et pourtant, malgré le fait que j’étais pressé de dormir, je voulais prendre mon temps. Laisser monter le plaisir à son paroxysme avant de jouir longuement. J’ai donc ralenti le rythme. Mon sexe n’était plus maître. Mon esprit reprenait le dessus…


Je nous revois au hammam (où il nous faut retourner en urgence, d’ailleurs…) dans ce maudit jacuzzi. Toi, entièrement nue, lovée contre moi. Tes petits seins que j’adore libres de toute entrave, collés contre mon torse. Tes petites pointes, déjà toutes dures, en partie par la fraîcheur de la sortie de douche, mais aussi en partie par l’excitation j’en suis sûr… Ma cuisse entre les tiennes. Ton sexe déjà chaud bouge légèrement le long de ma cuisse. Mes doigts te caressent le long de l’échine et, tout comme tu l’aimes, le long de ton flanc.


Ma queue ne réclame plus que ça. Elle ne veut plus que je m’arrête. J’ai la main déjà humide de ma montée de plaisir. Je porte mes doigts à la bouche et me les suce tout comme je le fais quand je goûte ton petit abricot juteux de plaisir.


Je pousse plus loin mes rêveries, et je nous imagine à l’étage du hammam, nus tous les deux. Toi, face à une vitre, subjuguée par un couple qui baise de la façon la plus indécente possible. Moi, debout derrière toi, la queue déjà bien raide, bien dure comme tu l’aimes, bien calée entre tes deux globes de chair bombés m’incitant au plaisir. Ton magnifique petit cul enserrant ma queue comme ta main le fait souvent. Je te vois porter une de tes mains à ton bas-ventre. Ça y est, tu t’abandonnes enfin. J’aime à te voir t’abandonner à tes envies et à ton plaisir.


Face à nous, ce couple qui baise si bestialement est tellement beau. Cette femme qui s’abandonne à cet homme en toute simplicité et sans pudeur. Ils m’excitent de plus en plus, et toi aussi à la vue du rythme auquel tu caresses ton petit bouton de plaisir. Cette femme qui se fait enculer comme ça devant nos yeux. Leurs corps transpirants et rougis par l’excitation. Tout ça nous enferme dans un nuage de plaisir. Ta main qui n’est pas occupée à te donner du plaisir vient m’enserrer la queue et tu commences à me branler tout doucement. Je te prodigue toutes les caresses que mes deux mains me permettent. J’aurais tellement aimé en avoir plus à ce moment pour pouvoir caresser tout ton corps en même temps.


L’excitation est trop forte, je ne tiens plus. Je jouis. Je répands tout mon foutre sur tes reins. Mon jus coule le long du sillon de tes fesses jusqu’à ta grotte d’amour puis se disperse le long de tes cuisses. Je me baisse et commence à te lécher pour ne pas perdre une goutte de moi. Tes mains se sont maintenant retrouvées sur ton sexe. Ta jouissance n’est plus loin.


Tu jouis…


Tes forces t’abandonnent. Tes jambes flageolent. Je me relève vite pour te soutenir. Ta jouissance a été pleine et forte mais je ne compte pas te laisser là comme ça. Je te serre dans mes bras et je t’embrasse tendrement.


Aussitôt après, je me laisse glisser le long de ton corps en restant bien collé à toi. Ma langue parcourt ton corps de bas en haut de ta nuque à ton sexe en passant par le côté de ton sein et sur le flanc de ton torse. Je commence à laper ton petit bouton tout comme l’aurait fait un chaton dans une gamelle de lait. Ton feulement me laisse à dire que je ne me trompe pas trop. Tu places tes mains sur ma tête et me la presse contre ton sexe, ma langue se fait plus hardie, glisse le long de tes lèvres et s’insinue même en toi. Ton corps se tend comme un arc… Tu plisses les yeux.


Ton plaisir monte. Pendant ce temps, je remarque derrière toi ce mur de glace qui me renvoie l’image de cette belle femme d’une trentaine d’année prise bestialement par cet homme. Elle est belle. De longs cheveux couleur jais, filiformes, comme je vous aime, vous les femmes, de très jolis petits seins menus mais tellement excitants, une peau couleur miel et surtout de magnifiques yeux verts…


Je la prendrais volontiers si elle me le proposait mais je n’en suis pas là. Ma langue continue à jouer avec toi. Cette magnifique créature plante son regard dans le mien. Quelle exquise sensation de s’abandonner comme ça sous le regard d’autres qui en font de même. Ça lui plaît à elle aussi de te voir prendre du plaisir comme ça, le plus simplement du monde.


Un deuxième homme les rejoint. Elle ne semble pas surprise, bien au contraire. Il semblerait même qu’elle l’attendait. C’est un gars bien fait, typé latin tout comme celui qui est entre ses fesses depuis tout à l’heure. Bien membré, il lui tend son pieu déjà gonflé à l’extrême. Elle ouvre la bouche et s’empare de lui. Elle aime ça, ses yeux restent tout de même fichés dans les miens par l’intermédiaire de ce miroir.


Je suis excité comme jamais. Je me prends en main et me branle. Elle hoche légèrement la tête comme pour me donner son assentiment. Je continue à te lécher mais tu ne tiens plus. Tu me relèves… Tu te colles contre la vitre. Un léger sursaut anime ton corps, sûrement en raison de la fraîcheur de la vitre sur la pointe de tes petits seins. Tu écartes les cuisses impudiquement. Le chemin m’est tracé. Tu me veux en toi…


Je place mon gland contre ton sexe et l’appuie doucement sur l’entrée de ton fourreau. Tu mouilles tellement que je n’ai pas le moindre mal du monde à te pénétrer. Je commence mon va-et-vient. Je sais d’ores et déjà que je ne pourrai pas tenir longtemps.


Tu utilises une de tes mains pour te caresser pendant que je te possède. Tu pousses de petits cris comme j’aime que tu le fasses. Le trio face à nous arrive au bout. La femme hurle maintenant… Elle jouit et ses amants semblent ne pas en être loin non plus.


Mes va-et-vient en toi se font rapides et violents. Je bute au fond de toi à chaque retour. Tu cries. Tu peux enfin te laisser aller…


Tu jouis…

Tu es belle…

Je te mordille le lobe de l’oreille…

Je pince légèrement ton clitoris…

Tu jouis à nouveau.


Les hommes face à nous sont au bout. Le premier homme recouvre le dos de sa partenaire de son foutre. De longs jets blancs et puissants s’écrasent jusqu’à la nuque de la dame. Le deuxième ne tient plus. Il se masturbe face à cette magnifique femme qui n’attend que ça. Il jouit dans un grand râle. Son sperme vient buter sur le visage de cette déesse du plaisir. Elle se délecte de son nectar.


Je n’en peux plus. Pour ma part. Je vais venir. Je te le dis. Tu me repousses et te jettes goulûment sur ma queue. Tu colles tes lèvres sur mon gland et tu me pompes comme une adolescente qui ferait un suçon à son petit ami. Je jouis dans ta bouche. Tu me voulais en toi. Je me vide en toi. Cela me parait durer des heures tellement c’est bon.


Tu te relèves doucement et tu viens partager avec moi mon jus de plaisir dans un baiser enflammé et tu sais comme j’aime ça. Tu n’es plus toi. Le plaisir et la jouissance t’ont transformée. Tu te fais chatte. Tu plantes tes ongles dans mes fesses tout en m’embrassant…


Retour à la réalité dans mon lit. Je ne tiens plus. Je dois me libérer. Mes mouvements le long de mon sexe s’accélèrent. Je vais jouir. Le plaisir monte le long de ma colonne vertébrale jusqu’à la nuque. Je transpire. Mes cuisses sont largement ouvertes.


Ça y est je viens…

Hummm…


Mon sexe explose. Mon jus vient s’écraser sur moi en de grandes giclées. J’en ai jusque sur le torse. Je me caresse et étale mon jus sur moi partout. Mon torse, mon sexe, mes couilles, mes cuisses comme si j’étalais de la crème solaire. Je n’en peux plus… Mon coeur bat vite et fort, toute ma poitrine résonne.


Mais tu n’es pas là, je ne peux pas te serrer dans mes bras. Tu es avec ton mec, sûrement en train d’assouvir tes envies. Je suis crevé, je m’endors comme ça en pensant à une seule chose. Je te veux…


Voilà, nous somme le 31 décembre, il est dix-huit heures et je suis en retard pour sortir mais je m’en fous de toute façon. Je bande dur et je vais devoir me calmer avant d’y aller. Je vais sûrement encore devoir me branler. Je t’embrasse tendrement, en attendant de pouvoir te faire jouir la prochaine fois que tu t’abandonneras dans mes bras.


PS : si tu es d’accord, peut-être que je publierai cette lettre… Kisses.