n° 12275 | Fiche technique | 6896 caractères | 6896Temps de lecture estimé : 5 mn | 13/02/08 |
Résumé: Ma femme me fait un somptueux cadeau pour mes trente-cinq ans. | ||||
Critères: ffh fbi couplus collègues hotel anniversai hdomine voir fellation cunnilingu pénétratio yeuxbandés -amourdura -couple+f | ||||
Auteur : Drivinjack Envoi mini-message |
Depuis quelques mois, le comportement de Sylvie, ma femme, avait changé sur le plan sexuel. Elle s’était ouverte à certaines idées et avait réussi à passer outre ses blocages qui l’empêchaient de se lâcher et même de parler ouvertement de ses fantasmes. Mais je n’aurais jamais imaginé ce qu’elle m’a fait vivre le soir de mes trente-cinq ans.
Lorsque je suis rentré à la maison, un message m’attendait sur la table du salon, me donnant rendez-vous dans un hôtel à cinquante kilomètres de chez nous. Je n’avais rien à préparer et je devais entrer dans la chambre dont le numéro figurait dans le message. Je pris donc une douche rapide avant de partir pour la destination indiquée.
Une fois arrivé, je montai dans la chambre et j’y entrai, sans éclairer comme indiqué dans le message. Je me suis alors dirigé vers le seul endroit de la pièce qui n’était pas plongé dans l’obscurité : la salle de bain. Une voix féminine me demanda de m’arrêter et de prendre le foulard qui se trouvait sur la poignée de la porte de la salle de bain, puis de me le mettre sur les yeux. Je fis ce qu’on me demandait avant de sentir une main me guider vers le lit et m’y faire asseoir. La même voix, qu’il me semblait reconnaître mais sur laquelle je n’arrivais pas à mettre un nom, me dit de me laisser faire quoiqu’il arrive, que je devais leur faire confiance et que je ne le regretterai pas.
Je sentis alors une main commencer à défaire ma ceinture et écarter mon caleçon pour en sortir mon sexe, sur lequel une bouche se posa. Une chaîne fut placée dans ma main et le bandeau me fut ôté. La chambre avait été éclairée et j’avais à mes pieds une jeune femme dont je ne voyais même pas le visage car elle était intégralement vêtue d’une combinaison de cuir. Seuls les yeux et la bouche étaient apparents. Je fus alors distrait par l’apparition d’une autre jeune femme, elle aussi vêtue de cuir, mais d’une minijupe, d’un bustier et du même masque que la première. Elle se mit à genoux à côté de la première et se joignit à elle pour me prodiguer la fellation la plus excitante dont j’ai jamais bénéficié.
La voix qui me donnait des indications depuis le début ne se faisait plus entendre, et je supposai qu’il devait s’agir de la jeune femme à la minijupe. Celle qui portait la combinaison releva la tête et me tendit un papier sur lequel était écrit :
Nous sommes Irène et Sandra, à toi pour la nuit. Nous n’avons pas le droit de parler ni de quitter nos masques mais pour tout le reste, nous obéirons à tous tes ordres. Profite bien du cadeau de ta femme qui t’aime. Nous sommes saines, tu peux te passer de préservatif. Bon anniversaire.
Je profitai donc de la merveilleuse fellation qu’elles me prodiguaient. Elles me faisaient passer d’une bouche à l’autre, elles s’embrassaient avec mon gland entre elles et elles finirent par me faire jouir. J’éjaculai dans la bouche d’Irène et lui ordonnai de partager avec Sandra, ce qu’elles firent au cours d’un baiser passionné.
Elles se mirent ensuite à genoux, attendant mes ordres. Je leur ordonnai de se caresser mutuellement, de m’exciter et ce fut ce qui se passa. Grâce aux différentes ouvertures de leurs tenues respectives, j’eus droit à un show lesbien tel que je n’en avais jamais vu, même dans les nombreux films X que j’avais regardés. Elles se déchaînaient, se caressaient les seins, se léchaient en soixante-neuf et dans de nombreuses autres positions. Je n’avais jamais vu de telles furies. Mon érection en était douloureuse. Je me positionnai donc derrière Sandra et, la saisissant aux hanches, je la pénétrai d’une traite tellement elle était trempée. Je sentis alors la langue d’Irène caresser son clitoris et le dessous de ma verge. J’alternai ensuite les passages dans la bouche et dans la petite chatte étroite de Sandra.
Leurs sexes rasés m’empêchaient de deviner la couleur de leurs cheveux cachés sous les masques mais je ne me privais pas de les prendre l’une après l’autre, de les positionner à ma guise. Je réalisais là un de mes plus gros fantasmes et ne me privais pas d’user et d’abuser des charmes de ces deux excitantes personnes.
Après de nombreuses pénétrations buccales, vaginales, anales et quelques heures de plaisirs intenses, je tombai totalement épuisé, le sexe douloureux. Je pris donc un malin plaisir à les attacher ensemble, face à face, dans le lit à côté de moi. Au réveil, elles étaient toutes deux éveillées et attendaient que je les détache.
Le mot que j’avais lu stipulait qu’elles étaient à ma disposition pour la nuit et comme le matin était arrivé, je les détachai et partis à la salle de bain prendre une douche. Je pensais ne pas les revoir lorsque je reviendrai dans la chambre mais elles étaient sagement assises sur le lit, côte à côte, lorsque je sortis de la salle de bain. Elles se levèrent aussitôt et vinrent tendrement m’embrasser l’une après l’autre. C’est alors qu’elles quittèrent leurs masques de cuir et quelle ne fut pas ma surprise de reconnaître ma femme et une de ses collègues pour laquelle j’avais, je l’avoue, un petit faible. Et là, elles me dirent en cœur et en riant :
Après cette nuit mémorable, nous avons décidé de passer la journée ensemble, en commençant par un bon repas au restaurant de l’hôtel, puis nous sommes rentrés à la maison pour profiter des premiers beaux jours dans notre jardin. J’ai pu ainsi apprendre comment et pourquoi Sylvie avait proposé à Célia de se joindre à elle pour me faire cette surprise : au cours de conversations, elle avait compris que Célia était une petite coquine qui aimait les hommes et leurs femmes. Qui plus est, elle s’était bien rendue compte que je n’étais pas insensible à cette petite brunette aux cheveux courts.
Au fil de la discussion, j’ai compris que Sylvie avait pensé profiter du fait d’être « soumise » pour s’essayer aux relations saphiques. Elle savait bien que je ne pourrais pas résister à la tentation d’exiger ce genre d’actes. Elle n’aurait donc pas de problème de conscience ou de scrupules si ça ne lui avait pas plu et au final, elle avait adoré et était prête à recommencer. Cette journée fabuleuse s’est terminée tard dans la soirée quand nous avons raccompagné Célia chez elle puis nous sommes rentrés nous coucher tranquillement.
Je croyais que cette histoire s’arrêterait là, même si j’espérais que nous pourrions renouveler l’expérience mais j’étais loin de penser que cela arriverait si tôt. En effet, dès le lendemain soir, en rentrant à la maison, je trouvai Sylvie et Célia dans le salon, tendrement enlacées et nous avons fini la soirée au lit, à trois. Il en fut de même les nuits suivantes et les suivantes… Depuis maintenant six ans, nous menons une vie faite d’amour et de respect mutuel. Notre curieux ménage compte à ce jour deux membres de plus puisque Sylvie et Célia ont accouché il y a deux ans, à quelques jours d’intervalle, d’un garçon et d’une fille dont je suis l’heureux papa.