n° 12276 | Fiche technique | 10436 caractères | 10436Temps de lecture estimé : 7 mn | 13/02/08 |
Résumé: Progression de notre relation. | ||||
Critères: fh fplusag extracon alliance amour cérébral fellation cunnilingu nopéné -amourcach -bellemere | ||||
Auteur : Léovent d'est |
Épisode précédent | Série : Toi, ma Lisa Chapitre 02 | Fin provisoire |
Maxime et sa future belle-mère, Élisabeth, laissent enfin libre cours à une passion née sans avertissement, mais qui devait au fil du temps prendre une importance dans leur vie personnelle.
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Debout au milieu du salon, nos corps serrés l’un contre l’autre, Élisabeth a plaqué ses mains sur mes hanches, les miennes reposant sur le bas de son dos. Au travers du tissu de sa robe de soie, je sens la fermeté, mais surtout la nudité de ce fessier parfait. À 45 ans, Élisabeth a un postérieur de jeune fille.
Tout en lui massant doucement les fesses, je reprends possession de sa bouche. Un baiser long et profond, partagé goulûment. Glissant mes doigts vers les deux côtés de sa robe fendue, je prends possession de ses cuisses et remonte doucement vers les hanches, entraînant les deux pans de tissu vers le haut. J’ai maintenant accès aux deux globes bien nus comme je le supposais.
Je me promène du sillon de sa raie au haut des cuisses, puis ma main se glisse entre celles-ci. Élisabeth n’esquisse aucun mouvement, ses mains sont restées sagement sur mes hanches, un léger écartement de ses jambes me permet de prendre enfin position juste en dessous de son entrejambe, mais serrant ses cuisses à nouveau, elle bloque là ma progression.
Ne pouvant resté coincé ainsi, j’impose la pression de mon corps sur le sien, afin qu’elle sente bien l’effet puissant qu’elle me fait. Ma verge est bien à l’étroit dans mon boxer, distendu par une érection intense. Son ventre perçoit le sens de mon avancée et un léger mouvement vient me frotter. Je décide d’accéder à son corps et, après quelques recherches, découvre une multitude de boutons que je dois ouvrir un à un.
Élisabeth ne bouge toujours pas, elle semble figée sur l’instant présent, presque absente, hormis sa respiration plus saccadée. Ayant enfin fini de déboutonner son dernier rempart, je la retourne et fais glisser doucement sa robe à ses pieds. Là je contemple une superbe femme blonde, un corps léger, fragile, et une peau blanche, une perfection jusqu’à sa poitrine, certes menue, mais qui me semble aussi bien ferme.
Je suis à nouveau collé à son dos, mes deux mains ont pris en coupe ses deux petites poires et je joue avec les deux tétons qui pointent fièrement. Ils roulent sous mes doigts et prennent une taille que j’ai rarement connue chez une femme. Presque deux centimètres surgissent pour mon plaisir. Je m’imagine déjà tétant comme un bébé et mordillant doucement ces tendres bouts de chair. Je poursuis mon examen sur son ventre que je caresse en rond, tournant sur son nombril, dans lequel je vais d’un doigt simuler une pénétration. Reprenant ses hanches, mes mains descendent le long des cuisses et remontent doucement. À nouveau, elle réagit et j’entends un feulement sortir de sa bouche
Ma main se pose enfin sur le mont des plaisirs. Sa touffe blonde est légère sous mes doigts, je les plaque sur cette chatte tant désirée. D’un léger va-et-vient, je prends possession de ses lèvres intimes. En un instant, mon majeur glisse dans la fente où je découvre une humidité chaude qui atteste par son abondance d’un désir partagé.
Bientôt, mon doigt est crochet et pénètre doucement la grotte sacrée dans laquelle il mouline sur les parois. Puis, ressortant, je serpente entre les lèvres en remontant vers son clitoris, et là je découvre le réveil d’un troisième téton, bien dissimulé entre les petites lèvres. Mon jeu de doigts vient de provoquer son érection. Je le tire, le pince, le caresse. L’effet est presque immédiat. Le corps d’Élisabeth se tend en un spasme brutal et sa bouche laisse jaillir un cri de jouissance profond et primitif.
Son corps s’échappe de mes bras et glisse sur le tapis du salon. Elle se recroqueville à genoux, je ne vois plus que son dos arrondi et ses fesses. Ses bras enserrent sa tête et rapidement j’entends des sanglots étouffés. Tel un idiot, debout dans mon costume, je ne comprends pas. Je me baisse vers elle pour la prendre dans mes bras, mais elle résiste et d’une petite voix me dit :
Je ne sais comment stopper ce flot de paroles. Je suis bouleversé, je viens de réaliser que, pour moi, il ne s’agit pas que d’une relation banale, mais plutôt d’un puissant désir amoureux. Mon sexe est certes toujours très tendu, mais mon cœur me fait part d’un sentiment tout autre, bien plus profond.
Ôtant ma veste, je la pose sur le corps nu de mon nouvel amour. Je la serre dans mes bras et lui murmure des mots doux d’amour. Elle se pelotonne contre moi tremblante, j’embrasse son visage, bois ses larmes, caresse ses cheveux. Alors, sans rien dire, elle s’offre à nouveau à mes baisers. Qu’elle est belle, ma madone ! Je la soulève et la dépose sur le canapé, moi assis à ses pieds. Elle a pris ses jambes repliées vers elle et pose son visage sur ses genoux tout en me fixant, un sourire pâlot sur les lèvres.
Pour moi, le choc est de découvrir à hauteur de mes yeux ce que tout à l’heure j’avais sous les doigts, sa vulve blonde à peine dissimulée par ses poils blonds. L’instant est érotique et magique. Je n’ose le briser par un geste malencontreux et les minutes passent. Mon regard est tour à tour fixé sur son visage puis sur son minou. Enfin elle se décide.
Avec ma veste sur les épaules pour tout vêtement, elle se lève et me prend par la main. Au passage, elle pose un doigt sur ma bouche m’intimant le silence et m’entraîne vers l’étage. Là, elle ouvre la porte de la chambre que nous occupons, Isabelle et moi, et me dit :
À cet instant, j’ai compris sa démarche, mais pour moi c’est plus clair, c’est Élisabeth que je veux, et pas une autre. Mon sexe veut posséder cette femme mature, l’amener vers des jouissances inconnues, et pas seulement un soir. Je la veux mienne tout comme je veux être son objet. Il n’est pas question d’une aventure sans lendemain. Alors ce soir, je vais être ce qu’elle souhaite et demain nous verrons.
Elle est là, près de moi, et commence à me déshabiller. Lentement, les mains tremblantes, elle m’enlève la chemise et ses doigts parcourent mon torse, une découverte lente et douce, chaque centimètre est caressé, alors sa tête se penche et sa bouche vient me picorer. Sensation de bisous, lèvres humides et petite langue qui par moment lèchent ma peau. Puis, elle s’agenouille devant moi et défait la ceinture de mon pantalon, glisse le zip de ma braguette et me voilà en caleçon.
Une de ses mains se pose alors sur mon sexe et, au travers du tissu, joue sur ma hampe, qui je dois le dire a repris toute sa superbe. L’autre main appuie sur mes fesses et me pousse doucement vers son visage. Ses lèvres remplacent sa main qui vient me saisir les bourses et je sens son souffle chaud. Enfin l’instant rêvé, elle glisse mon dernier rempart vers le bas, mon sexe jailli raide, presque douloureux d’impatience, fier bras au bout duquel déjà perle mon envie.
Une bouche maladroite prend lentement possession de ma verge, savoureusement sa langue parcourt mon gland, jouant sur celui-ci, pénétrant mon méat, cette fente humide d’où ma semence est déjà prête à exploser. Mais je dois tenir…
La pompe s’est mise en marche d’une manière appliquée, quoique je sente bien une inexpérience dans cette fellation et j’apprécie d’autant la gâterie d’Élisabeth. Elle a les yeux fermés, et avale de plus en plus loin mon chibre. Finalement, son front vient heurter mon ventre, elle pratique la gorge profonde comme une pro, je n’en peux plus, un cri m’échappe alors que mon foutre jailli en longues giclées dans sa bouche.
Je sens un brusque recul que je bloque de mes mains. Mais il n’y a plus de résistance et un léger mouvement de déglutition me conforte dans mes espérances, elle boit à ma source. Elle se redresse, ses yeux pétillent de plaisir et nous échangeons un baiser où la salive cache à peine le goût de mon sperme. Je suis ravi et la pousse sur le lit. La nuit ne fait que commencer…