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Temps de lecture estimé : 17 mn
14/02/08
Résumé:  Pour les 30 ans de mon mari, je me prête à tous ses fantasmes.
Critères:  f fh couple anniversai fsoumise cérébral voir strip photofilm fmast fellation fgode fsodo aliments journal -amourdura -couple -fsoumisah
Auteur : Karine2x  (Pour les 30 ans de mon mari je me prête à tous ses fantasmes)            Envoi mini-message

Série : Mon journal érotique

Chapitre 09 / 17
Le cadeau d'anniversaire

Un petit résumé des épisodes précédents pour rafraîchir la mémoire de mes lecteurs ou à l’attention de ceux qui découvrent mon journal intime :


Sexuellement coincée de chez coincée à cause d’une éducation débile et de deux expériences malheureuses, mon couple battait de l’aile. Le sexe, ce n’est pas mon truc, enfin c’est ce que je croyais jusqu’à ce qu’un orgasme imprévu dans une piscine l’été dernier me prouve le contraire (épisode n°1). La carapace une fois percée, je découvre avec ravissement que je suis loin d’être une handicapée du sexe, et qu’en fait le feu couvait sous la glace. Bref, je ne pense plus qu’à ça, au plus grand bonheur de Pierre, mon Mari.





Février



C’est la question piège que posent toutes les femmes. Sachez, messieurs, que sauf si vous voulez gâcher la soirée, il n’y a pas d’autre réponse possible que : ravissante. Il faut dire que j’ai sorti le grand jeu pour cette soirée en amoureux où nous fêtons ses 30 ans. Tenue de soirée, robe longue, porte-jarretelles, bas résille et tout le tintouin, agrémenté de mes plus beaux bijoux. Maquillage en rapport, yeux de braise, cils rallongés au mascara, parfum, rouge à lèvres… La totale, pour lui faire honneur.



J’attends de lever mon verre pour embrayer en le regardant droit dans les yeux.



Punaise… il ne va pas se mettre à pleurer…


Il faut dire que tant que j’étais mal dans ma peau, je ne me sentais pas capable d’assumer la venue de l’enfant qu’il désirait. Pendant tout notre petit dîner aux chandelles, Pierre nage en plein bonheur. Il tire des plans sur la comète. Fille ? Garçon ? Quels prénoms pourrait-on choisir ? Quelle serait la meilleure date pour son arrivée ? Et pour le concevoir ? Je l’écoute, je m’amuse, je ris avec lui, j’ai les yeux qui brillent, j’abuse du champagne.



Au son d’une musique choisie avec soin, je commence à danser de manière lascive, un peu à la manière d’Ayaan. Pendant que je me déhanche en commençant à déboutonner ma robe, je le vois sourire. Il m’admire, me filme sous tous les angles. Je la fais glisser lentement à mes pieds mettant à jour les dessous sophistiqués qu’il aime me voir porter. Je la fais valser à l’autre bout de la pièce, je dégrafe ensuite mon soutif, le fais tourner au-dessus de ma tête, lui fais suivre le même chemin puis, m’asseyant sur une chaise, avec des mouvements de jambes, je quitte mes chaussures, déclippe mes jarretelles, fais rouler mes bas le long de mes cuisses… Puis, gardant ma petite culotte froufroutante pour le faire fantasmer sur ce qu’elle cache, je reprends ma danse en accélérant petit à petit la cadence de mes mouvements du bas-ventre.


Je vais finir en beauté en simulant un petit orgasme. J’ondule de plus en plus vite, mon pubis semble en transe, je rejette la tête en arrière, yeux mi-clos, bouche ouverte, je creuse mon ventre comme sous l’effet d’un spasme de jouissance suivi d’une détente en arc de cercle de tout mon corps en n’oubliant pas de pousser mon cri habituel. Rideau. Fini. Je salue, je m’incline devant la caméra.



Effectivement, c’est une première ! Je lui ai déjà taillé des pipes de nombreuses fois, mais en préliminaires, pour lui faire des petites agaceries, pour ranimer ses ardeurs à la mi-temps ou comme ersatz pendant mes ragnagnas. Jamais il n’a joui dans ma bouche. J’ai toujours préféré au moment crucial le faire décharger sur ma poitrine pour ne pas avoir à goûter son sperme. Un reste d’interdit issu de mon éducation coincée.


Pendant qu’il enlève le haut, à genoux devant lui, je déboucle sa ceinture, fais glisser pantalon et slip boxer pour dégager un sexe comprimé qui se déploie à vue d’œil, comme un airbag au ralenti, et qui finit droit comme un I, vertical, magnifique.



Tout en le regardant dans les yeux, je me saisis de ce pieu en le penchant vers moi pour le prendre avec précaution dans ma bouche. Serrant avec mes lèvres, je repousse lentement le prépuce, tout en tournant délicatement tout autour du gland avec ma langue. Je le sors pour voir le résultat de ma manœuvre. Je suis satisfaite, décalotté, tout baveux de ma salive, il a pris une teinte violacée et paraît sur le point d’éclater. Toute émue par ce spectacle, je commente :



J’éclate de rire.



Hein ? Quoi ? Il délire. Je ne suis pas une pro de la pipe. Passé la moitié de sa longueur, c’est mission impossible.



Je prends ma respiration et courageusement, je l’enfourne… centimètre après centimètre… Attention à mes dents. C’est bien plus gros qu’une banane. Comment font les filles pour arriver à s’enfiler ça jusqu’au fond de la gorge ? Il y a un truc qui m’échappe… pourtant c’est possible, je l’ai vu faire dans un film cochon avec un sexe qui n’avait rien d’un truc de nain…


Un haut-le-cœur me submerge. Je le ressors vite fait.



Je le reprends sans tenter d’aller si loin. Ma langue joue avec son frein, l’endroit hyper-sensible, ma main serre fortement sa hampe. Je me prends à aimer. Cette tige gonflée, ce gland turgescent prêt à exploser, c’est le sexe de mon homme. Il est aussi à moi, en fait il est à nous deux. Je le maîtrise, j’en fais ce que je veux, je l’utilise comme je veux, je le ferai éjaculer quand je voudrai. Pas tout de suite, je vais prendre mon temps… Enfin, je vais essayer, car vu le spectacle que je lui ai donné, il est déjà à point.


Je sens dans ma bouche et dans mes mains des petites contractions qui annoncent l’imminence de l’éruption. Punaise, il va jouir trop vite ! Pas question. Pas tout de suite. J’ai appris un truc sur le Net. Le sortant de ma bouche, je prends son gland entre le pouce et l’index et le compresse fortement. La montée du sperme est stoppée nette. Retour à l’envoyeur. Quelques secondes pour refroidir la bête et je recommence à le sucer. Petits coups de langue sur la hampe en remontant et hop, de nouveau dans ma bouche pour un divin supplice.


Je m’active plus doucement car cela devient très difficile de maîtriser le volcan que j’ai dans la bouche. Restant attentive, j’arrive à bloquer ainsi son éjaculation, une deuxième fois et même une troisième malgré ses supplications. Il n’en peut plus. Chaque petit coup de langue lui envoie une décharge et fait bondir son sexe qui suinte d’un petit liquide très clair, transparent.



Je reprends ma fellation, très contente de moi. Je l’enfourne à moitié et avec ma langue je titille à toute vitesse le dessous de son gland. Ça y est, c’est parti. Il me saisit la tête des deux mains, sans doute de peur qu’au dernier moment je le sorte. Sous l’effet du premier spasme, le coup de reins inévitable propulse d’un cran son pieu au fond de ma bouche. Heureusement, ma main fait obstacle à un enfournement total, sinon c’était la gerbe assurée.


Il crie ! Je ne l’ai jamais entendu beugler comme ça, aussi fort. Le geyser de sperme gicle avec une telle violence sur ma gorge que j’en suis surprise. Un flot épais et tiédasse me remplit la bouche, un goût amer, saumâtre, inédit. Quatre, cinq, six spasmes de moins en moins forts… Ça y est, fini, la source est tarie.


Je le ressors pour mieux respirer et, levant les yeux pour accrocher son regard, j’avale tout. Gloups ! Avec un grand sourire en prime (un peu forcé). Mission accomplie. Mon homme est sur le flanc, le sexe tout flasque, tout ratatiné, mais ravi.



Onze heures. Le dîner est terminé. À mon tour d’être consommée.



Mes lectrices du MLF ne vont pas être contentes, je sais.


Connaissant son grand fantasme, je sais aussi que je risque de me faire enc… sodomiser grave. C’est prévu. Dans la salle de bains, je me suis préparée pour. Il faut vous dire que me faire enfiler par derrière, ce n’est pas ma tasse de thé, c’est même entrée interdite. Ce n’est pas que je déteste, c’est que je le sens tellement bien, tellement mieux du côté principal, que je ne vois pas pourquoi je me laisserais défoncer l’arrière-train à n’en plus finir sans espoir d’arriver à quelque chose… sauf ce soir, pour assouvir ses fantasmes.



J’ouvre des yeux ronds.



Sidérée, je suis sidérée. C’est ça qui lui fait plaisir ?



Punaise… Il veut me transformer en actrice porno ! Il va me montrer à ses fournisseurs Chinois pour obtenir des petites remises ? Non, je délire, encore mon côté exhibitionniste…


Tout émoustillée, sous l’œil de la caméra, je commence à me raser consciencieusement en posant une glace sur une chaise. Pas facile. J’ai très peur de me couper. Heureusement, Pierre finit par m’aider à enlever les derniers petits poils qui traînent dans les recoins.



Je m’installe comme il le souhaite, il rapproche une lampe pour mieux m’éclairer l’entrejambe, et tout en me malaxant un sein de la main gauche, de la droite je commence à jouer avec mon bouton, avec des mouvements suggestifs du bassin. Cela me fait tout drôle de ne pas sentir le moindre poil le long de ma fente toute lisse.



Délaissant ma poitrine pour utiliser mes deux mains, j’écarte ma fente en tirant un peu vers le haut pour mieux dégager mon minuscule bouton de sa petite gaine, le faisant saillir comme une perle nacrée. Pierre se rapproche pour filmer en gros plan. Les Chinois vont en avoir plein les yeux. J’écarte ensuite mes petites lèvres suintantes de mouille pour bien faire voir l’entrée de mon vagin tout rose…


Non, il ne va pas me rentrer l’objectif, quand même… Non, il remonte sur mon visage, il a compris ce que je vais faire maintenant. Avec une expression gourmande, je me lèche deux doigts que je m’enfonce ensuite délicatement à l’étage inférieur tout en caressant délicatement mon bouton de l’autre main. Punaise… Je vais faire un tabac chez les yeux bridés avec cette démonstration de technique masturbatoire féminine occidentale… surtout que je ne vais pas jouer la comédie, je vais me faire jouir réellement…


Je commence à onduler sous ma propre caresse, je vais au-devant de mes doigts, j’en rajoute un troisième dans ma chatte trempée pour me donner l’illusion d’un bon gros sexe, j’écarte de plus en plus les cuisses pour aller plus profond, je frotte avec force la petite bosse fripée de mon point G que je sens au bout de mes doigts. Mon vagin commence à émettre un bruit de clapotis et se met à couler franchement le long de ma raie… Je me sens partir, j’accélère la cadence de mes caresses externes et internes…


L’orgasme, un vrai ce coup-ci, arque mon corps devant la caméra, me comprime les abdominaux, m’arrache un long couinement de plaisir.



Énorme ? Quel vantard. Mon cher époux, tu as un sexe normal et cela me convient parfaitement. Mais si cela te fait plaisir…



Punaise… Il est raide dingue… Les Chinois vont tous se branler en me regardant…



Punaise, c’est un calibre digne d’un éléphant…



Au fond, ce n’est pas plus gros que…


Je repense à la scène. Ayaan – voir les épisodes précédents – venait de me faire connaître un orgasme à répétition en jouant délicatement avec mon clito et en me pénétrant de deux, trois puis quatre doigts furieux. Mon vagin n’avait jamais été autant sollicité dans ses moindres recoins, je ne m’étais jamais sentie aussi ouverte, aussi inondée. C’est alors que mettant ses cinq doigts en cône, en forçant grave, elle m’avait rentré sa main longue et fine jusqu’au poignet pour entamer des mouvements lents et profonds.


J’avais l’impression d’être prise par un sexe colossal avec son poing en guise de gland et son avant-bras en guise de hampe démesurée, mon vagin n’était plus qu’un gouffre de plus en plus béant d’où jaillissait un incroyable flot de mouille. La vague était revenue aussitôt, monstrueuse, déferlant dans un chapelet de spasmes dont je ne voyais pas la fin.


À ce souvenir mémorable, joint à celui du sourire amusé et vainqueur d’Ayaan, je positionne la bombe entre mes petites lèvres et la pousse fermement dans ma petite chatte… Oh… Punaise… Avec le gel ça rentre facile mais ça me dilate grave… Pas question de me distendre les parois, je vais y aller mollo, en douceur, centimètre par centimètre, avec une petite pause le temps que mon vagin s’habitue. Ça y est, la sensation de dilatation totale s’estompe, reprenons avec un petit va-et-vient progressif pour l’enfoncer de quelques millimètres supplémentaires à chaque fois…


Punaise, ça me fait un effet dingue ce truc. Oh punaise, que c’est bon… Je vais… Je vais… Ouuuuhhhhh !!! La jouissance arrive d’un coup, si profonde et si intense que je me recroqueville en grimaçant avant d’exploser dans un spasme qui me décolle les fesses du canapé avec un grand cri de femelle en rut.



Le film est fini. Pierre repose sa caméra sur la table. Je devine la suite du programme, il va s’en donner à cœur joie de l’autre côté, il a raison. Je suis heureuse de lui faire plaisir, heureuse d’assouvir ses fantasmes, heureuse de l’accueillir où il veut.


Me laissant assise au bord du canapé tout luisant de mes sécrétions (n’achetez que des canapés en cuir si vous aimez l’utiliser pour faire votre devoir conjugal), il se place entre mes jambes, me les remonte contre ses épaules. Malgré une petite appréhension, je reste zen.



J’écarte moi-même mes fesses pour qu’il puisse glisser son sexe quelques centimètres plus bas que d’habitude. Tâtonnant un peu, il positionne son gros gland sur mon anus puis pousse fermement, guidant son engin avec sa main pour forcer le passage de mes sphincters.


Punaise… Pourquoi est-ce qu’il me paraît deux fois plus gros que du côté normal ? Aïe ! Heureusement que ma cyprine a coulé entre mes fesses… Ça glisse pas si mal…



Oh, punaise, il est rentré d’un coup ! À fond… Même pas mal… Bizarre, cette impression d’avoir le rectum complètement rempli… Cool, ma poule… Il est en moi, peu importe où, je l’aime.


Pierre commence à bouger doucement dans mes reins avec des mouvements amples, sortant presque complètement de mon étroit fourreau pour mieux replonger à fond. Je me laisse aller. Je m’aperçois que j’aime ça, oui finalement j’aime le sentir en moi de ce côté aussi, j’aime le sentir partout. Le mieux possible, je me positionne pour améliorer l’angle de pénétration, je remonte mes cuisses de chaque côté de mes seins pour le ceinturer de mes jambes, j’accompagne ses mouvements avec mon bassin, je vais au-devant de ses coups de reins pareil que de l’autre côté.



Oh punaise… Il va finir par réellement me démolir le trou de balle, mon cher époux…



Changement de position réjouit les amants, comme d’herbage les veaux, songé-je bizarrement en me mettant en position pour lui présenter mon arrière-train.



Pierre m’écarte les fesses et reprend possession de mes reins avec une facilité qui me déconcerte. Punaise, je dois avoir le trou de balle grand comme une soucoupe…



Vivement qu’il explose… Ce n’est pas demain la veille que je vais jouir en étant prise par derrière. Je vais accélérer les choses.



Pourquoi les mecs parlent de leur sexe à la troisième personne ? Je n’ai pas le temps de philosopher…



Mon cher époux vient de me donner une petite claque sur la fesse.



Un vrai métronome. À chaque coup, son pubis vient cogner sur mes fesses et ses couilles viennent taper à l’entrée de mon vagin.



Punaise, s’il me prenait normalement, je serais en train de jouir comme une folle. Dommage.



Punaise, enfin…



Petite pause salvatrice, puis encore essoufflé, il se retire lentement et s’inquiète de nouveau :



Punaise, il m’a filmée en train de me faire enc… Au fond, il a eu raison, les Chinois doivent être des adeptes de ce moyen de limiter les naissances, ils vont apprécier. Cela va pimenter son film.