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Temps de lecture estimé : 39 mn
16/02/08
corrigé 31/05/21
Résumé:  Aujourd'hui encore, je revois ces amants dans le foin, s'acharnant à vivre leurs intenses plaisirs. Et ils demeureront beaux dans ma mémoire. Merci, tante Jacky et oncle Jacob, pour cette sublime vision.
Critères:  h fh extracon alliance campagne voir hmast pénétratio -amouroman -prememois -voyeur
Auteur : J. Vincent  (Témoin muet d'un grandiose moment dans la vie de deux amants)
Tante Jacky dans la grange

Ce récit est basé sur des faits vécus et seuls les noms des personnages ont été changés. Veuillez noter qu’il est extrait de l’un de mes livres de la série : Récits de J. Vincent. Il va de soi que je conserve les droits d’auteur sur ce texte.





Pendant mon adolescence, tous les étés je me rendais, pour y passer la plus grande partie de mes vacances scolaires, à la ferme laitière de mon oncle Paul, tout au nord du Lac Saint-Jean (Québec). J’adorais me retrouver au milieu des odeurs de la ferme aux immenses prairies de trèfles rouges. J’aimais aussi hasarder mes pas dans les bocages au bout des terres, là où foisonnaient de multiples espèces d’oiseaux et maints petits animaux sauvages. Et que dire de ces longues balades dans les vastes prairies à rêvasser, ne me laissant distraire que par les découvertes de quelques nouvelles espèces d’oiseaux ou papillons qui y vivaient.


Lorsque j’eus mes dix-huit ans et que l’été fut bien amorcé, mon oncle Paul décida de construire une nouvelle grange-étable. Son troupeau de vaches ayant considérablement augmenté, il avait besoin d’un bâtiment à la mesure de ses ambitions – et il n’en manquait certes pas. La démolition de la vieille étable se fit avec un tel enthousiasme qu’à la fin de la seconde journée, il nous fallut chercher quelques vieilles planches pour y arracher les clous tant nous avions, à coup de sueurs, réduit presque au néant la bâtisse vétuste.


Puis vint le temps d’édifier le rêve de mon oncle. Pendant plus d’un mois, nous nous sommes acharnés au travail et à la toute fin juillet, l’immense et majestueux bâtiment fut complété, fièrement dressé dans l’horizon campagnard. En réalité, nous avions dû nous hâter car les champs ondulaient pesamment sous le vent, d’un foin nourri et abondant qu’il fallait engranger au plus vite. Comme il y avait encore beaucoup de petits travaux de finition à compléter sur sa nouvelle construction, mon oncle Paul me demanda de demeurer avec eux pendant ce qui restait de mes vacances scolaires, pour l’aider dans la mesure de mes capacités. J’adorais aller chez oncle Paul, surtout parce que tante Jacky attirait bien de mes regards avec ses robes aux décolletés mignons. Il faut dire qu’ils étaient jeunes, affichant tous les deux moins de trente ans et une bonne humeur communicative.


Pendant la saison estivale ma tante Jacky, qui avait un corps superbe, portait presque toujours des robes ayant un joli petit décolleté et, chose rare à l’époque, remontant jusqu’au-dessus des genoux pour la plus grande délectation de mes yeux. Et si on ajoute à cela un joli minois tout empreint de sourires, alors l’agencement lui conférait un charme indéniable, car elle était fort jolie, la mignonne. Ainsi revêtue de ses robes aux décolletés mignons qui dénudaient une grande partie de ses belles jambes, elle profitait amplement de la douce et chaude saison comme elle nous le disait si bien. Elle possédait une robe en particulier qui avait un décolleté en demi-lune qui, sans être exubérant, n’en demeurait pas moins absolument affriolant. Dieu sait combien de fois je me suis masturbé le soir venu, quand ce n’était pas en plein jour derrière la grange, en me remémorant son joli décolleté et ses seins superbes à peine entr’aperçus.


Il faut dire ici que nous étions au tout début des années soixante et que les robes décolletées étaient rarissimes. La religion moraliste qui prévalait à cette époque ne permettait pas ce genre d’accoutrement. Vous croyez que j’exagère ? Alors sachez que dans leurs sermons, à la messe du dimanche, les curés annonçaient en grande pompe qu’il était péché mortel pour une femme de sortir de sa maison en maillot de bain et s’exposer ainsi aux regards des hommes. Mieux encore : lorsque les premiers shorts pour filles sont sortis, j’ai vu, de mes yeux vu, un curé empêtré dans sa soutane noire courir sur le trottoir après deux fillettes d’à peine dix ans qui avaient eu la malencontreuse idée de se rendre en short au magasin général du village où j’habitais. Imaginez le scandale ! Il leur criait à tue-tête :



Je vous laisse alors imaginer la différence qui prévalait sur la ferme de mon oncle avec ma tante et ses jolis décolletés, ses robes courtes qui dévoilaient tout le genou et parfois, si le hasard aidait, une partie d’une jolie cuisse toute dorée et sensuelle. Heureusement qu’ils possédaient une ferme située dans un rang éloigné du village et surtout loin des voisins, sinon ils auraient sûrement été en proie à des menaces d’excommunication.


Pendant la période des foins, le soleil se fit maître de la campagne, si bien que les vingt-deux charrettes de foin requises pour les trente vaches de mon oncle furent vite engrangées. À chaque voyage, alors que nous approchions de la grange, ma tante Jacky sortait de la maison et s’approchait en empruntant une démarche d’adolescente enjouée, avec un grand pot d’une limonade de sa confection pour nous désaltérer. Sur le voyage de foin, du haut de la charrette, je pouvais alors avoir une vue parfaite sur ses seins. Diable, ce que la limonade était bonne et quels bandages superbes elle provoquait en moi, ma foi ! C’en était presque péché. Tante Jacky réalisa rapidement que je ne manquais pas une occasion de plonger mon regard vers son décolleté, mais ne m’en fit jamais reproche, si ce n’est un regard aux sourcils froncés, comme pour me dire :




~~ooOoo~~



Les foins étaient terminés depuis quelques jours et, par un beau matin ensoleillé, pendant le petit déjeuner, l’oncle Paul quitta la table précipitamment et s’en fut à la fenêtre de la cuisine pour contempler à nouveau l’objet de sa fierté nouvelle : sa grange-étable. La fenêtre du pignon de la grange avait été enlevée pour permettre une meilleure circulation de l’air. Ceci permettait au foin de sécher davantage et évitait qu’il ne chauffe et ne se perde ainsi.


Ce matin-là particulièrement, ce qui attirait mon oncle Paul à la fenêtre de la cuisine, ce n’était pas tellement la fierté que lui inspirait sa nouvelle grange, mais bel et bien les maudits pigeons des voisins qui, trouvant cette nouvelle grange bien accueillante, avaient décidé d’y élire domicile. Mon oncle Paul se sentait lésé et ne se gênait pas pour jurer contre ces maudits volatiles, pestant contre cette intrusion indésirable dans sa nouvelle construction.


En effet, les pigeons pullulaient et souillaient de leurs excréments le foin engrangé. Il était coutume à cette époque de les tirer à vue, ces pigeons étant considérés à juste titre comme vermine. Pourtant gracieux dans leur vol et jolis de plumage, ils polluaient le foin, et certains articles dans le journal Le Bulletin des Agriculteurs affirmaient qu’ils pouvaient transmettre des maladies aux bêtes de ferme et aux humains. Il valait mieux les éradiquer sans tarder, sous peine de perte du cheptel.


Mon oncle se retourna vers moi, le visage coléreux et dit :



En effet, j’aimais bien me servir de cette belle petite carabine à plombs pour chasser les rats et souris qui invariablement envahissent tous les bâtiments agricoles. Mais mon oncle Jacob, qui était venu aider son frère pour tout le temps de la construction de la grange-étable et la récolte des foins, était assis lui aussi à la table. Tout comme moi affairé à déjeuner, il lui dit :



Un peu frustré, je m’empressai de rajouter :



Et c’était pure vérité. Je peux sans gêne me vanter que j’étais un véritable as du tir à la carabine à plombs. Par contre, il faut ajouter que j’en avais passé des masses de boîtes de petits plombs pour parvenir à la maîtriser parfaitement.


L’oncle Jacob cessa d’argumenter, surtout en raison du fait que tante Jacky revenait de la salle de bain et mon oncle Paul s’empressa de nous faire un signe de la main, nous enjoignant de nous taire. Car il faut bien dire que tante Jacky détestait que l’on parle de tuer des petites bêtes innocentes. Elle aimait bien voir voltiger gracieusement ces pigeons tout autour de leur propriété. Oncle Paul avait bien tenté de lui faire valoir les motifs de son désaccord quant à la présence des pigeons sur la propriété. Sans succès.


Ce matin-là, il n’aurait pas eu besoin de me faire signe de me taire car de toute façon, toute mon attention n’était dorénavant centrée que sur elle. Magnifique dans sa robe jaune à pois verts qui lui tombait à mi-mollet et que chacun de ses pas faisait voleter avec grâce. Un superbe petit décolleté laissait voir la naissance de ses seins et, croyez-moi sur parole, jeune et fringant comme je l’étais, je ne manquais ni d’imagination ni de prétextes pour me placer de façon à voir une plus grande part de ses seins splendides.


Mon oncle Paul, la voyant approcher, lui dit :



Au moment où mon oncle Paul amorçait un pas vers la porte pour partir, ma tante s’empressa de le rejoindre et lui donna un petit baiser bien gentil en lui disant :



Mon oncle Paul, appâté par ces crêpes qu’il aimait tant, ne se fit pas prier et vint se rasseoir à la table ; il reçut dans son assiette la crêpe promise qu’il s’empressa d’avaler, tout pressé qu’il était de descendre au village pour compléter ses commissions. Je regrettais les œufs et bacon que l’oncle Jacob m’avait fait cuire, ayant pu me faire servir une crêpe par ma tante qui invariablement se serait penchée un peu pour la déposer dans mon assiette. J’aurais alors pu lui jeter un regard en coin et biaisé, plongeant dans son décolleté. Mais telle ne fut pas ma chance.


Pendant que tante Jacky, qui avait à peine vingt-sept ans, s’affairait au poêle à bois, malgré la chaleur accablante de ce jour ensoleillé de milieu d’été, je tentai par tous les moyens de voir par l’échancrure de son décolleté un peu plus de ses seins à chaque fois qu’elle se penchait, ne fut-ce que légèrement. Bon, il me faudra bien aujourd’hui encore me contenter de ces furtives visions et me rendre derrière la grange pour me masturber un bon coup en imaginant les longues et jolies jambes ainsi que les superbes seins de mon adorable tante Jacky.


Que de fois m’étais-je masturbé en imaginant le corps splendide et sexy de ma tante Jacky ! Parfois, je me disais qu’il serait grand temps que je retourne à la maison, chez mes parents, pour courir après les filles du village en espérant en accrocher une, sous les cerisiers ou dans les prairies avoisinantes. Je n’avais pas de petite amie à cette époque, bien trop timide que j’étais alors. Pourtant, je voyais bien que les filles me regardaient parfois avec des yeux bien plus que sympathiques. Sans doute me trouvaient-elles séduisant ? Enfin…


Avant de refermer la porte derrière lui, mon oncle Paul, prêt à descendre au village, dit :



Ma tante acquiesça et promit de le faire.


Lorsque mon oncle Paul fut parti, mon oncle Jacob sortit lui aussi pour se rendre aux champs avec la masse à piquets afin de redresser les clôtures. Je demeurai seul avec ma tante qui, sans contredit, avait remarqué mon manège pour tenter de lui apercevoir les seins. Je m’attendais à une ribambelle de réprimandes plus ou moins sévères. Au contraire, elle me sourit gentiment et me dit :



Les deux enfants n’étaient pas bien difficiles à garder, car ils n’avaient que trois ans et un an et demi. Aussi, dès qu’elle fut partie, je profitai de son absence pour sortir en catimini ma petite carabine à plombs et la cacher sous la galerie. Ainsi, elle ne saurait pas que j’étais investi d’une mission qui, sans doute, lui aurait quelque peu déplu.


Lorsqu’elle fut revenue de son potager avec ses légumes, je lui dis que je monterais aux champs pour aller rejoindre l’oncle Jacob. Elle me dit que c’était bien correct. Aussi, oubliant de tenter encore de lui lorgner les seins, je filai en vitesse avec ma fabuleuse carabine à plombs pour abattre tous les pigeons qui auraient le malheur de se présenter devant ma mire.


La grange était divisée en deux fenils servant à entreposer le foin. Au centre, il y avait une allée permettant de faire circuler les charrettes tirées par les chevaux. Des échelles clouées aux grosses poutrelles soutenaient le foin et donnaient accès au-dessus de ces immenses quantités de fourrage. Je grimpai dans le fenil du côté de la fenêtre qu’on avait enlevée dans le pignon et m’installai confortablement dans le foin, espérant la venue rapide d’un de ces volatiles nuisibles.


À peine installé, j’entendis des pas approchant la grange. Je jetai un petit coup d’œil sans me faire repérer et constatai que c’était tante Jacky, toute illuminée du soleil dans sa jolie robe, qui venait pour descendre le foin. Je savais qu’elle monterait sur un des deux fenils et je fis en sorte d’éviter tout bruit, espérant qu’elle monterait sur l’autre fenil. Elle entra et, comme je l’espérais, se dirigea vers le second fenil pour entreprendre de monter sur ce dernier. Une fois rendue en haut, elle se trouvait à la même hauteur que moi et je craignais qu’elle me voie. Alors, je me fis tout petit, m’enfouissant dans le foin tout odorant et tiède.


Elle s’empara de la fourche et commença à jeter du foin dans l’allée en bas. Je la suivais des yeux attentivement, espérant qu’elle se pencherait vers moi et que je pourrais voir une bonne portion de ses seins, mais ce ne fut pas le cas, pour mon grand désespoir. Ayant terminé, elle planta la fourche bien solidement et entreprit de redescendre.


C’est alors que j’entendis mon oncle Jacob qui était entré à son tour dans la grange sans faire de bruit. Il sifflota sur un ton admiratif. Je bondis de surprise, réalisant que je ne l’avais pas entendu arriver. Il venait de siffler vers ma tante comme ces coups de sifflets que l’on lance stupidement aux jolies filles. Je me sentis insulté d’une telle grossièreté. Pour comble, il cria à tante Jacky :



Tante Jacky, qui pas plus que moi n’avait entendu arriver l’oncle Jacob, fut surprise car, juste à ce moment-là, elle enjambait la poutre de retenue et avait déjà posé un pied sur les marches de l’échelle pour descendre. Sa robe s’était largement déployée si bien que Jacob, profitant de la situation, se trouvant au pied de l’échelle, pouvait allégrement voir sa petite culotte.


Elle lança un cri presque apeuré et, à peine revenue de sa surprise, cria sur un ton coléreux :



En guise de réponse, il éclata de rire à gorge déployée et, bien au contraire d’obtempérer à ses protestations et de cesser de regarder sous la robe de tante Jacky, il se rapprocha du bas de l’échelle, posant les mains sur une des marches et se plaça de manière à mieux voir encore.


J’étais outré d’une telle impertinence et fut bien tenté de me servir de ma carabine à plombs pour lui décocher un plomb dans les fesses.


Tante Jacky pencha la tête pour voir où il était rendu et l’aperçut au bas de l’échelle, tout sourire, qui lui regardait sans pudeur le postérieur. Elle se saisit du bas de sa robe d’une main et se drapa tant bien que mal avec le tissu. Le résultat fut que je pus voir une de ses jambes presque jusqu’au niveau du haut de la cuisse et, ma foi, je trouvai ce spectacle tout à fait sexy. Ce fut le déclenchement d’un solide bandage.


Pendant ce temps, l’oncle Jacob, continuant à la regarder d’en-dessous, entreprit de lui chanter la pomme (1).



Je n’étais pas habitué à un tel langage, car l’oncle Jacob était le beau-frère de Jacky et jamais je n’aurais cru qu’il pousserait l’effronterie jusqu’à prononcer de tels mots à la jeune épouse de son frère.


Jacky descendit encore une marche et sa robe tirée pour cacher ses dessous ne fit que remonter le long de ses belles jambes. Quant à l’oncle Jacob, il eut la chance de voir réapparaître la petite culotte qui semblait tant le fasciner. Horrifié, je constatai que mon oncle était en érection, juste à voir l’énorme bosse dans son pantalon lorsqu’il se tournait de côté. Il lui dit en riant :



Tante Jacky, hésitante, descendit encore une marche en redoublant ses efforts pour cacher son derrière, mais il lui fallait utiliser ses deux mains pour se maintenir à cette échelle clouée à la poutre, si bien qu’en ayant relâché sa robe un moment, l’oncle Jacob se plaça en vitesse, la tête renversée, pour profiter au maximum de la vision fantastique. C’en était burlesque et grotesque à la fois, tant il se montrait vulgaire à l’égard de ma tante.


Je ne pus que songer qu’il s’était drôlement bien positionné et ne pouvait ainsi rien manquer du spectacle. Franchement, je l’enviais un peu pour le ravissant coup d’œil qu’il devait avoir à ce moment-là. Il y avait bien cette allusion de vouloir la planter sur le tas de foin qui était selon moi tout à fait offensante et qui avait une intonation singulièrement coutumière dans sa voix, comme s’ils l’avaient déjà fait tous deux. Aussi, estomaqué d’entendre de tels propos, je relâchai mes doigts du fût de ma carabine à plombs.


À ma stupéfaction, tante Jacky descendit une autre marche. Cette fois-ci, elle ne prit plus la précaution de tenter de se draper, si bien que l’oncle Jacob profita amplement de la belle vision qu’il avait alors. Il éleva les mains et se saisit de ses chevilles. Elle hurla :



Le plus étrange, c’est qu’elle continua à descendre d’une marche, et il m’aurait été impossible de ne pas remarquer que sa voix était quelque peu nerveuse alors, et qu’elle laissait percevoir un ton enjôleur et excité en même temps.


L’oncle Jacob lui caressa alors les mollets sur toute leur longueur. Elle se figea sur place un bon moment pendant qu’il lui caressait les mollets ainsi. Puis, comme si elle eut pris une résolution ferme, elle descendit une autre marche. Mes yeux s’agrandirent en voyant les bras de mon oncle disparaître sous la robe de tante Jacky. Il profitait de la situation, le parvenu. Je pus voir le tissu de sa robe bouger, m’indiquant qu’il lui caressait intensément les cuisses. Au travers du tissu de la robe, je pouvais voir qu’il atteignait presque la hauteur de l’entrejambe de ma tante Jacky. Le soupir que tante Jackie émit me fit comprendre qu’elle appréciait ces mains qui caressaient ses cuisses. Elle sembla se cambrer un peu, puis se détendit et écarta légèrement les cuisses, comme pour lui faciliter les choses. Il lui souffla :



Elle demeura figée et d’une voix tremblotante, elle lui dit :



Elle demeura un long moment ainsi cramponnée à l’échelle pendant que l’oncle Jacob continuait à lui caresser les cuisses avec avidité. Il se plaça sur la pointe de ses bottines et je ne pus distinguer ce qu’il lui fit, mais tante Jacky émit un gémissement un peu étrange.



Elle protestait, et pourtant je vis distinctement qu’elle se laissait descendre légèrement en continuant à écarter les cuisses. L’oncle Jacob se contenta de lui dire :



À ma grande surprise, tante Jacky descendit encore une marche. Cette fois-ci, elle se trouvait définitivement bien à la portée de l’oncle Jacob, qui glissa la tête sous la robe de Jacky et remonta les mains en les faisant passer langoureusement tout au long des jambes jusqu’aux hanches de ma tante. Au travers des mouvements du tissu, je constatai qu’il guidait ses deux mains dans son entrejambe. Tante Jackie émit un soupir très long et renversa la tête en arrière, les yeux clos. Heureusement qu’elle avait les yeux clos, car à ce moment-là, m’étant soulevé un peu de ma cachette pour ne rien manquer, elle m’aurait sans contredit aperçu.


Pendant au moins cinq bonnes minutes, Jacob sembla la tripoter bien à son aise et tante Jacky, les joues rouges, cramponnée à une marche, entreprit d’émettre des petits sons étranges, plus saccadés chaque fois qu’il touchait un point sensible à ce qu’il me semblait. Je ne pouvais voir ce qu’il lui faisait, le tissu de la robe me cachant le jeu de doigté qu’il exécutait avec une ardeur croissante, mais je compris que cela devait être drôlement agréable car tante Jacky se maintenait haletante, cramponnée à l’échelle en fermant les yeux. Pourtant, malgré le plaisir qu’elle semblait définitivement éprouver, elle ne cessait de lui dire :



Il ne cessa pas du tout son agissement. Bien au contraire, il sembla redoubler d’efforts. Ses mains s’agitaient vivement et il lui couvrait les mollets et les cuisses de baisers.


Et puis soudain, elle rouvrit les yeux bien grands comme saisie d’une forte décharge électrique. Son corps se crispa et elle émit un long gémissement, vibrant au même diapason que le plaisir croissant qui la submergeait. Par une chance inouïe, elle ne me vit pas, car sa tête était relevée vers le pignon de la grange, et elle supplia :



Mon oncle agita sa main de plus belle. C’en fut trop. Tante Jacky, hors d’elle, referma ses cuisses sur la main de l’oncle Jacob et elle se plaqua contre l’échelle, en proie à un plaisir intense. Un long et profond gémissement presque animal retentit, emplissant l’intérieur de la grange, éloignant le silence et les chants d’oiseaux pour que ce son de femme en plein orgasme se fasse dominant. C’était un son à la fois sauvage et pur en même temps. Le son d’une femme auquel le plaisir fait tout oublier. Elle était seule au monde avec son plaisir intense et cette main qui ne cessait de raviver son plaisir tout en tentant de le faire perdurer.


Je regardai son visage alors que tout en maintenant ses yeux clos, elle n’exprimait plus maintenant que jouissance. Ce qu’elle était belle, alors !


Je fermai les yeux pour mieux graver dans ma mémoire la beauté de ce visage de femme submergée par son plaisir et me laissai bercer par le sourd mugissement qui s’échappait de ses lèvres. Je goûtai ce moment admirable presque aussi intensément qu’elle. Comme j’aurais aimé être l’auteur provocateur de ce moment de plaisir qu’elle vivait avec autant d’intensité ! Je n’avais plus que le désir de poser mes lèvres sur les siennes, non pour faire taire cet érotique mugissement de femme mais pour m’en abreuver et me repaître de cette source intarissable de plaisir qu’elle laissait sortir de son être.



Lorsque enfin ses mugissements se furent presque tus, l’oncle Jacob remonta davantage ses mains le long des hanches de tante Jacky en s’élevant avec souplesse sur la pointe de ses grosses bottines.



J’entendis Jacob rire et vis ses mains bouger sous la robe. Il venait de baisser effrontément la culotte de ma tante jusqu’aux chevilles. Puis il entreprit de la forcer à lever les pieds un à un pour enfin lancer loin sur le plancher de l’allée de la grange la petite culotte tant convoitée. Le petit morceau de tissu s’en alla choir de l’autre côté du tas de foin que tante Jacky avait fait tomber du fenil, juste dans la partie fortement envahie par les chauds rayons de soleil. Le tissu tout blanc sembla briller tant la lumière était intense à ce moment-là.


Il y avait quelque chose de fortement érotique dans cette vision d’un homme disparaissant jusqu’aux aisselles sous la robe de cette femme au visage encore coloré d’avoir joui et de ce morceau triangulaire de tissu si intime pour cette même femme, qui maintenant s’affichait, parfaitement abandonné, sur le pavé de bois en plein soleil.


Je fus tiré de ma songerie érotique quand l’oncle Jacob, sans lui donner le temps de crier son désaccord, remonta à nouveau les mains le long de l’intérieur des cuisses de ma tante. Un silence s’établit, à peine entrecoupé d’un souffle démontrant que l’une des mains de mon oncle venait encore d’envahir la moite intimité de ma tante. L’oncle Jacob sembla s’acharner de plus belle, profitant de ce que tante Jacky venait de replier légèrement les genoux pour se descendre un peu plus, s’offrant mieux ainsi aux mains de cet homme qui s’acharnait à ne plus vouloir que la sentir jouir.


Trois minutes de frictions intenses et tante Jacky gémit de ce qui m’apparut comme un plaisir souverain. Elle continua à gémir un bon moment tandis que l’oncle Jacob, la tête sous sa robe, s’acharnait à lui tripoter la petite chatte.


Un long gémissement m’annonça que tante Jacky jouissait à nouveau sous les doigts de mon oncle Jacob. Ce gémissement se prolongea longuement, car l’oncle Jacob semblait redoubler d’ardeur à caresser la petite chatte de ma tante.


Je devins hors de moi, ne tenant plus en place. Mon pénis durci de tant de visions fantastiques propres à une incitation à l’excitation sexuelle me faisait mal et en même temps j’aurais voulu que jamais ne s’interrompe ce divin spectacle. Je voyais ma tante, qui ne pouvait plus résister à son beau-frère, s’abandonner totalement à ses mains et je compris alors que cela se terminerait indéniablement par une partie de jambes en l’air. Je savais que mon oncle ne se contenterait pas de la faire gémir de plaisir ainsi. En moi résonnèrent des mots que me firent comprendre que j’étais avant tout jaloux, car j’aurais été le premier à vouloir posséder cette délicieuse créature qui, dans toute sa splendeur, rugissait son plaisir, les lèvres tremblotantes, tout en gémissant d’aise. Tout son corps semblait soumis à un frémissement indiquant un souverain plaisir. Elle jouissait, et ne paraissait pas vouloir que s’éteigne dans sa chair ce feu qui maintenant dominait jusqu’à son âme.


Je demeurais estomaqué d’une telle impertinence de la part de mon oncle Jacob. Il avait tripoté ainsi ma tante, profitant de ce qu’elle ne pouvait lui échapper, sachant pertinemment que, si elle avait voulu remonter en haut du fenil pour lui échapper, il l’aurait suivie et rattrapée sans nul doute. Chose plus étrange, ma tante avait bel et bien joui. Elle était descendue en obéissant à cet homme qui, indéniablement, la dominait pour ce qui me parut être son plus grand plaisir secret. Mon bandage s’accentua au point que je crus que j’allais décharger dans mon short.


L’oncle Jacob sortit la tête de sous la robe de Jacky, il était tout sourire, tout heureux d’avoir fait jouir ma tante deux fois de suite. Il semblait s’enorgueillir de ce fait. Il avait réussi, le saligaud. Il releva la tête et dit :



Tante Jacky, qui était encore soumise à de petites pulsions électriques dans son bas-ventre, se pencha et le regarda. Ses joues étaient de feu et son regard voilé d’un léger brouillard. Il lui dit alors, sur un ton coquin et ravageur :



Tante Jacky n’eut pas le temps de répondre, car l’oncle Jacob la saisit par les hanches et la souleva avec une facilité étonnante. En perte d’équilibre, elle lâcha la marche des mains et l’oncle Jacob, tenant cette toute petite femme bien fermement au bout des bras, la fit se poser sur les fesses au milieu du petit tas de foin odorant. Elle voulut se relever et courir vers sa petite culotte mais d’une main ferme il lui agrippa une épaule, la fit se retourner vers lui et l’ayant plaquée tout contre son torse puissant, l’embrassa effrontément et avidement. Elle cessa de résister et sembla même apprécier ce long et langoureux baiser. L’enserrant dans ses bras musclés, il la fit s’étendre sur le foin tout en continuant son baiser fougueux et entreprit de relever sa robe. Tante Jacky, toujours la bouche rivée à celle de mon oncle Jacob, tenta bien de l’en empêcher, mais peine perdue ; d’autant plus que sous l’effet du baiser passionné, elle cessait de résister peu à peu. Ses mains relâchèrent le bas de sa robe. Abandonnant toute résistance, elle serra oncle Jacob dans ses bras à son tour, comme soumise à la volonté de cet homme aux muscles d’acier.


Il était étendu à plat ventre sur le foin, un peu à côté d’elle. Je vis sa main droite caresser voluptueusement le ventre tout blanc de ma tante, puis ses doigts fouiller au travers de la jolie petite touffe de poils qu’enfin je venais d’entrevoir. Ce fut presque instinctif, elle écarta les jambes en relevant légèrement les genoux. Je priais pour qu’elle ne regarde pas dans ma direction, ce qui aurait été un moment vraiment désastreux pour eux tout comme pour moi.


La main de mon oncle laissa la jolie touffe de poils et il abandonna la bouche de ma tante Jacky. Cette dernière demeura figée dans sa position, les jambes légèrement écartées. Maintenant qu’elle était libre, elle laissait quand même sa robe retroussée jusqu’à sa taille. Je vis mon oncle qui, s’étant mis à genoux à côté d’elle, débouclait hâtivement sa ceinture. Puis il se leva et, sans gêne aucune, baissa son pantalon. Son pénis était maintenant dressé fermement vers tante Jacky qui ne lâchait plus du regard ce vigoureux membre qui lui semblait superbe.


Ma tante Jacky demeurait immobile, ainsi renversée sur le petit tas de foin, agréablement nimbée par les rayons de soleil plongeant dans la grange par les portes toutes grandes ouvertes. La robe relevée me dévoilait un ventre magnifique, légèrement bronzé, et une jolie petite touffe de poils, rousse et scintillante sous le soleil radieux. C’était pour moi une vision fantastique. Je pouvais enfin voir un vrai sexe de femme.


L’oncle Jacob ne prononça pas un mot et s’agenouilla entre les jambes demeurées écartées de la séduisante jeune femme qui maintenant, sans honte, s’offrait à lui. Avec des gestes quelque peu rustres, il entreprit de déboutonner toute la robe sur le devant, pour l’ouvrir. Ma tante ne portait pas de soutien-gorge, si bien que je vis enfin, à peine une minute plus tard, ses magnifiques seins tout blancs avec la portion supérieure un peu bronzée grâce à ses décolletés. Ses mamelons fièrement dressés avaient la couleur délicate des fleurs de trèfles mûres. Ces seins si splendides, que j’avais tant cherché à entrevoir, étaient maintenant frémissants devant mon regard. Je pouvais contempler enfin les mamelons que souvent j’avais vus pointer au travers des tissus de ses robes soleils. Ma tante respirait très vite, comme si elle était essoufflée, et conservait le regard rivé sur la bite de mon oncle, comme si ce morceau de chair l’hypnotisait.


Mon oncle la contempla un moment et, s’étant penché sur elle, lui caressa les seins. Pendant qu’il se vautrait les mains sur les seins de ma tante, cette dernière ferma les yeux bien fermement comme pour mieux savourer cette délicieuse sensation. Il abandonna ses seins et plaça ses mains de chaque côté d’elle, puis s’allongea sur elle comme pour couvrir pudiquement la nudité de ma ravissante tante.


Ce que je vis alors demeurera toute ma vie solidement ancré dans ma mémoire. Je savais, aux mouvements qu’il faisait avec son bassin, que l’oncle Jacob cherchait l’entrée moite et intime du sexe de ma tante avec sa grosse bite. Un moment, il s’immobilisa, démontrant ainsi qu’il avait enfin découvert avec sa bite chercheuse l’entrée conduisant aux mille et un délicieux plaisirs. Ma tante se figea, pour ouvrir sa bouche tremblotante dans un demi-sourire, et rouvrit les yeux comme pour mieux goûter cette pénétration lente et calculée. L’oncle Jacob se redressa de toute sa longueur, la regarda un moment, suspendu au-dessus d’elle comme pour bien montrer son admiration, puis se laissa choir sur elle, la pénétrant de tout son membre. Son bassin s’incurva pour la pénétrer à fond. Il gémit tout comme elle son plaisir naissant et resta étendu sur elle un long moment sans bouger, comme pour leur permettre à tous deux de bien goûter la sauvagerie du moment qu’ils s’apprêtaient à vivre.


Le goujat ! Il l’avait pénétrée jusqu’aux gosses (3) et elle n’avait pas résisté plus qu’il ne le fallait. Bien au contraire, elle avait écartelé ses jambes et relevé son bassin pour le recevoir tout entier. Ce que je vis enfin m’apprit tout de la sexualité entre gens de sexes différents. Je me trouvais presque au-dessus d’eux et je pus voir les fesses de mon oncle adopter un rythme qui ne laissait aucun doute. Il l’avait bel et bien pénétrée, et maintenant il la labourait avec passion, à grands coups de sa bite. Je réalisai alors qu’elle semblait drôlement apprécier cette introduction dans sa plus tendre intimité.


Longuement, elle laissa ses gémissements démontrer l’immense plaisir qui la submergeait elle aussi. Puis, elle l’enlaça fermement, se pressant presque tendrement contre lui. Ses jambes enlacèrent mon oncle en se posant sur ses fesses, et je constatai que ma tante se servait de ses jambes pour que mon oncle la pénètre davantage, car elle en accentuait la pression chaque fois que mon oncle se laissait ardemment descendre sur elle. Elle semblait drôlement apprécier ces pénétrations car elle y mettait beaucoup d’ardeur, en s’aidant de ses jambes enlacées et de son bassin remontant à chaque coup. Elle accusait chaque coup de bite en arc-boutant les reins pour lui permettre une pénétration qui, à chaque mouvement des reins, se voulait plus profonde.


L’oncle Jacob sembla un moment s’emporter et, redoublant la force de ses coups de bites, commença à gémir sur un ton presque animal. Tante Jacky éclata soudain d’un long et fort gémissement, à la fois rauque et chatoyant, qui semblait ne plus vouloir s’éteindre dans le vaste silence de cette immense grange. Elle entreprit de se tordre en relevant le bassin tant qu’elle le pouvait pour lui permettre de la posséder entièrement. D’une évidence sans conteste, elle ne recherchait plus que le plaisir de se faire ainsi défoncer par cet homme qui savait lui procurer ce diabolique plaisir tant apprécié par elle, à ce que je pouvais clairement voir.


Elle jouissait. Oui ! Elle jouissait ! Estomaqué, mon sexe me faisant presque mal tant j’étais bandé, je savourais du regard ce spectacle presque dément de deux amants en train de jouir pleinement, se dardant l’un contre l’autre pour mieux enclencher et savourer leurs plaisirs grandissants qui approchaient du paroxysme.



Elle sembla se ressaisir un court instant et protesta :



Sa voix sans grande conviction se tut car elle était entrecoupée de petits soupirs bien révélateurs laissant planer le doute quant à la fermeté de sa requête. D’autant plus que je crus voir que ses jambes se raffermissaient contre le dos de mon oncle. Il est plus vrai de dire que sa supplique avait bien vite été submergée par le feu qui ravageait son bas-ventre. Elle s’abandonna à cet orgasme qui maintenant la dominait et ne connaissait plus de frontières.



Profitant de ce qu’elle n’avait plus aucun contrôle sur elle-même et jouissait pleinement, il redoubla ses coups de reins et soudain se figea. Je savais qu’il déchargeait et qu’il envoyait tout son jus de plaisir dans la moite chaleur du creux des reins de ma tante. Au début, elle l’avait invectivé de bêtises et lui avait dit d’aller se crosser dans l’étable, et voilà que, pour son plus grand plaisir, elle recevait cette décharge tout au creux de ses reins. Cette décharge, qui aurait été se perdre sur le parquet souillé de l’étable, maintenant voila que tante Jacky en jouissait.


Je faillis lancer un cri d’étonnement quand je réalisai que ma tante maintenant ne se retenait plus et, bien au contraire, après avoir tant argumenté de ne pas vouloir le faire, la voilà qui maintenant du bassin commençait à prendre un tel rythme que mon oncle n’avait plus qu’à ne pas bouger. Tante Jacky se relevait du bassin et s’abaissait, s’empalant elle-même sur le pénis de mon oncle. Elle ne se faisait plus fourrer, c’est elle qui maintenant se mettait en se servant de la bite de mon oncle. C’était dément. Elle se tordait et le suppliait de continuer à la darder de son membre.


Tante Jacky redoubla ses petits cris de plaisir. Elle jouissait encore. Ses yeux largement ouverts et légèrement révulsés révélaient qu’elle se concentrait pour mieux sentir jaillir en elle cette décharge tout au fond, qu’elle semblait préférer à une décharge sur son ventre. Emportée par la délicieuse sensation qu’elle ressentait de sentir en elle se déverser la chaleur de cette longue éjaculation, elle lui dit alors :



Lorsqu’elle se fut un peu calmée, l’oncle Jacob se laissa presque choir sur elle et longuement, avec une lenteur calculée, il lui laboura le ventre de son pénis avant de s’affaler mollement sur elle tout en cherchant sa bouche, pour broyer ses lèvres contre celles de ma tante, dans un fougueux baiser. Puis il relâcha son étreinte avec une certaine tendresse et retira son pénis de l’antre chaud du plaisir, comme à regret. Il redressa le torse tout en demeurant agenouillé entre les jambes de ma tante qui pour sa part demeura épuisée et souriante, presque béatement, sur le foin. Elle lui dit :



L’oncle Jacob se baissa à nouveau et la fit taire en l’embrassant et en la pressant contre lui. Aux mouvements de ses fesses, je compris qu’il cherchait à la pénétrer à nouveau. Elle réalisa qu’il voulait la posséder une autre fois malgré les paroles qu’elle venait de lui dire et elle se débattit fermement. Elle parvint à se libérer et s’éloigner un peu, tout en tentant de parvenir jusqu’à sa culotte, en enserrant sa robe encore déboutonnée sur son admirable corps, nu à peine quelques secondes auparavant. Mais il se releva rapidement et la rattrapa en lui disant avec un grand sourire :



Il la projeta sans réelle brusquerie sur le tas de foin et il faut bien dire qu’elle ne s’y opposa pas du tout, si ce n’est que par principe. D’autant plus qu’à peine fut-elle retournée sur le foin tout chaud qu’elle se plaça d’elle-même à quatre pattes en lui disant :



En disant ces mots, elle avait enlevé complètement sa robe et, nue sur le foin, elle releva sensiblement ses petites fesses pour mieux lui offrir son sexe. Je pouvais, de là-haut, parfaitement voir mon oncle s’approcher encore tout bandé. Il lui posa les mains sur les hanches et s’étant agenouillé derrière elle, la pénétra d’un grand coup. Ce qui fit échapper à tante Jacky un petit cri de surprise sans en être un. J’entendis de là-haut le flac que fit le choc du ventre de mon oncle contre les fesses de tante Jacky, et il était clair qu’il ne la ménageait pas du tout, au contraire.


Elle lui dit :



Ne l’écoutant nullement, il redoubla ses coups de butoir pendant un long moment, avec plus de force encore. Presque avec furie, jusqu’à ce que ma tante recommence à jouir pleinement. Elle se laissa tomber sur le ventre pendant que l’oncle Jacob, la suivant, continuait à la chevaucher de plus belle, pilonnant son sexe de toutes ses forces et lui arrachant des cris presque surhumains. Puis il se cambra en arrière en disant :



Et il gémit son plaisir pendant qu’elle agrippait le foin à pleines mains en jouissant et braillant comme une petite Madeleine. Elle jouit ainsi plusieurs minutes durant, se tordant le postérieur pour accepter plus profondément en elle la semence de mon oncle et sa grosse bite, un peu comme si elle avait voulu conserver à jamais ce membre tout en chair dans son sexe distendu, pendant que l’oncle Jacob se cramponnait à ses hanches pour maintenir son pénis savamment planté dans le creux des reins de sa belle-sœur. Il jouissait, le cochon, comme cela n’était pas possible, et une chose est sûre, il ne faisait pas semblant de décharger. Il lui en déversait tout ce que contenait ses testicules et il semblait jouir au plus haut point.


Ensuite, sans dire un seul mot, il se retira d’elle et la saisit par les hanches, la faisant se retourner. Il s’affala sur elle en la pénétrant à nouveau puis, cambrant son torse, immobile dans la chair de cette jolie femme comblée, se redressant en se retirant de sa chair enflammée de plaisir, il entreprit de lui caresser les seins. Le visage empreint d’un sourire énigmatique, il semblait tout heureux de l’avoir soumise à son plaisir. Les yeux mi-clos, tante Jacky paraissait goûter ces caresses avec une certaine avidité. Sa tête ballottait lentement d’un côté à l’autre, ses mamelons pincés lui ayant assurément provoqué l’excitation qu’elle désirait. Ses jambes s’écartèrent lentement comme pour signifier à son beau-frère qu’elle ressentait encore le désir d’être prise à nouveau. Il descendit sur elle, la pénétrant à nouveau. Elle releva le bassin vers le sexe mâle qui s’insérait dans son bas-ventre, comme une supplique pour plus encore. Mon oncle se retira du coup malicieusement, comme pour lui signifier que c’était lui qui décidait de son plaisir à elle. Elle demeura ainsi, le bassin relevé, dans l’attente d’une pénétration qui ne venait pas, m’exposant de ce fait le pubis tout rutilant de délicats poils roux de ma tante Jacky, sous les rayons de soleil qui les nimbaient.


J’avais presque hâte que tout soit terminé pour que je puisse enfin soulager la terrible érection que j’avais alors, sans parler de cette délicate sensation de crispation que tout mon bas-ventre éprouvait. Ho ! Comme j’aurais dardé mon pénis dans cette riche toison si généreusement offerte !


Je constatai que les sourcils de mon oncle Jacob se froncèrent un moment. Jacky, encore haletante, rouvrit les yeux et constata que Jacob lui caressait toujours les seins, mais elle vit alors qu’il dirigeait son regard vers l’extérieur de la grange, comme pour voir si Paul n’était pas revenu pendant que la passion les avait coupés du monde. Revenant à la dure réalité, il se releva brusquement, remontant d’un geste rapide son pantalon, sans jeter un coup d’œil vers tante Jacky qui, toujours étendue sur le foin sec, laissa son bassin redescendre, comme contrite de ne pas avoir été comprise. Son regard se portait tout entier sur l’homme qui venait de lui procurer tant de plaisir. Elle ne bougeait plus, espérant qu’il comprendrait que tout son corps désirait que cet homme revienne se souder à sa chair pour leur plus grand plaisir commun. Devant son inertie et alors que Jacob continuait à rajuster ses vêtements, elle comprit que cette incartade était bel et bien terminée. Une moue s’exprima nettement sur son visage. Comme résignée, elle fit se glisser ses longues jambes langoureusement sur le foin en les refermant.


Tante Jacky ferma les yeux et soupira si fort que je l’entendis aussi bien que si j’avais été plaqué à sa magnifique poitrine. Ses cuisses étaient maintenant fermement pressées l’une contre l’autre. Par un mouvement ondulatoire du bassin, elle semblait frotter avec délices ses lèvres vaginales ensemble, comme pour préserver l’intense plaisir qu’elle venait de vivre en elle et le faire perdurer, ravivant ainsi les sublimes sensations qu’ils venaient de partager.


Le charme fut rompu quelque peu par l’oncle Jacob qui, maladroitement, la voyant agir ainsi, partit à rire en lui disant :



Tante Jacky, au lieu de s’offusquer du ton brusque de mon oncle Jacob, éclata de rire. Elle lui dit sur un ton moqueur :



Devant son hésitation, et surtout en raison du fait que mon oncle Jacob s’était cambré en relevant le torse comme pour lui signifier sa complète désapprobation, de la main, elle lui fit signe de s’approcher d’elle. Une moue sur son visage indiquant clairement son impatience, mon oncle Jacob s’approcha d’elle pendant qu’elle écartait largement les jambes pour qu’il puisse s’approcher le plus près possible d’elle.


Comme il ouvrait la bouche pour exprimer le début de colère qui se levait en lui devant le comportement quémandeur qu’il lui attribuait alors, elle appuya fermement ses mains dans le foin et d’un mouvement extrêmement rapide et souple, en s’aidant d’un magistral relevé du bassin, elle éleva ses jambes dans les airs et les rabattit sur les épaules de mon oncle. Puis elle referma ses chevilles comme pour emprisonner le cou de son amant entre ses jambes séduisantes.


Un peu abasourdi par un tel geste et ne comprenant décidément pas le moins du monde les intentions de la belle, il s’apprêtait à repousser ses jambes quand elle lui sourit avec tendresse et lui dit :



Il resta bouche bée et vous pouvez me croire, moi aussi je n’en croyais pas ces paroles. Lentement elle reprit :



Mon oncle Jacob l’avait écouté bêtement sans trop comprendre. Il se saisit des jambes de ma tante par les mollets et commença à l’obliger à relâcher son cou, car elle semblait bien le tenailler dans cette prise si particulière. Enfin, il parvint à se libérer de son emprise et laissa les jambes de tante Jacky choir par terre mollement. Il se redressa et s’éloigna un tout petit peu. D’une façon presque arrogante, avec un sourire mi-figue mi-raisin, il lui dit :



Tante Jacky sembla lasse soudain. Elle venait de comprendre que cet homme qui savait si bien la faire jouir et la prendre sans qu’elle puisse réellement s’y opposer – quand ce n’était pas elle qui parfois allait au-devant de lui, à ce que j’en compris – le lendemain ferait encore des ravage dans son bas-ventre et cela suffit à lui ramener un certain sourire espiègle.


Elle se remit debout et entreprit de reboutonner sa robe. Ils étaient inondés de sueur tous les deux et semblaient conscients que jamais ils ne parviendraient vraiment à étancher totalement la soif de leurs plaisirs sexuels. Tante Jacky avait les cheveux tout emmêlés et remplis de brins de foin secs et jaunâtres, donnant à sa coiffure un cachet vraiment exotique. L’oncle Jacob la regarda boutonner sa robe et, après avoir raffermi son pantalon, fit quelques pas sur le pavé de la grange pour lui rapporter sa culotte, qu’il lui remit entre les mains dans un geste empreint de douceur, comme regrettant de s’être brusqué à son égard.


Tante Jacky semblait tout à coup épuisée et perdait presque l’équilibre en tentant de remettre sa culotte. Il s’approcha d’elle et lui dit :



Ce disant, il s’était suffisamment rapproché d’elle pour lui asséner une petite claque sur une fesse, qu’il voulut ressemblant plus à une caresse qu’à un geste de brute épaisse. Elle s’agrippa à lui et, à son tour, il s’acharna maladroitement à lui remettre cette précieuse culotte. Je constatai que mon oncle était bien plus habile à la lui enlever, cette petite culotte, qu’à la lui remettre. Pendant ce temps, ma tante Jacky souriait et lui caressait les cheveux tout trempés de sueur.


Une fois rhabillés, ils se dirigèrent côte à côte à pas lents vers la porte grandement ouverte de la grange sans exprimer un seul mot, comme s’ils avaient peur que le charme s’éteigne sous le soleil qui, dehors, attendait patiemment pour les ramener à une plus sage réalité. Ils étaient beaux ainsi sous les rayons du soleil, regardant dans le vide comme pour ne plus jamais oublier ce moment de pure passion. Je vis fort bien qu’ils n’osaient se regarder, car sans doute leurs mots auraient été murmurés tant ils auraient ressemblé à des caresses.


Lorsqu’ils furent disparus de ma vue, encore ému de tout ce dont je venait d’être témoin, je me relevai de ma cachette et sortis mon pénis tout raide et excité. Je savais que je devais absolument satisfaire cet immense besoin d’assouvir ma passion. Mes testicules éclateraient dans l’heure, si je ne me les vidais pas soigneusement et immédiatement. Je regardai mon pénis et me dis :



En effet, mon pénis avait un bon pouce de plus que celui de mon oncle et je savais dorénavant que je pourrais faire des miracles avec cet engin. Décidé, je me masturbai ainsi, debout, tout en haut sur le bord du fenil, le regard plongé vers le petit tas de foin sur lequel venait de se déchaîner tant de sauvages passions. Il fallait absolument que je soulage la tension de mes testicules bourrés à craquer de jus de crosse. Le désir brûlait en moi avec une sauvagerie inconcevable et pendant un moment, je crus que je pouvais imaginer que c’était moi qui venais de faire l’amour à tante Jacky.


Lorsque je sentis que j’étais sur le point de décharger, je m’approchai davantage de la poutre tout au bord du vide et y montai en équilibre quelque peu instable. Je me masturbai alors avec vivacité et j’éjaculai après quelques féroces manœuvres. Je déchargeai longuement en prenant bien soin de diriger ma décharge à l’endroit exact où ma tante avait apposé son dos. Sur le tas de foin, ma semence s’épandit comme si elle avait été attendue, comme si ce foin avait encore voulu sentir la chaleur de ces corps d’amants perdus dans leurs sauvages envolées.


Puis, encore sous le coup de l’émotion que je venais de vivre par ce spectacle fantastique de deux êtres en train de faire l’amour et de jouir, je me laissai choir dans le foin sur le dos et recommençai à me masturber, les yeux fermés, imaginant que ma main était le sexe chaud de ma tante Jacky. Le souvenir de la vision de son sexe délicatement décoré d’une riche toison rousse me conduisit à l’extase et j’éjaculai tout autant. Ma semence monta vers le toit de la grange et s’affala sur moi, laissant sur mon linge de riches taches de liquide blanchâtre.


Au diable, pigeons de malheur ! Je préférais de beaucoup, ce matin-là, sentir choir sur moi des gouttelettes de plaisir que des gouttes du sang de ces volatiles.







1. Chanter la pomme : Conter fleurette, faire du gringue.

2. Se crosser : Se masturber.

3. Les gosses : Les testicules.