Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12291Fiche technique8010 caractères8010
Temps de lecture estimé : 6 mn
16/02/08
Résumé:  À la demande de mon amant, j'accepte de coucher avec un inconnu qui est en fait un de ses collègues de travail.
Critères:  fh extracon inconnu collègues hotel fsoumise voir exhib fellation cunnilingu fdanus fsodo yeuxbandés -fsoumisah
Auteur : Douceléa      Envoi mini-message
Mon mercredi après-midi avec un inconnu !

Depuis plusieurs mois maintenant, je retrouve mon amant. On se voit le mercredi après-midi dans un petit hôtel situé à quelques kilomètres de ma ville. Il est prof. J’adore ces moments de sexe. De plus, comme moi, il a pas mal de fantasmes, il aime me les raconter. Ça nous excite généralement beaucoup.


Depuis plusieurs semaines, il imagine qu’il me "prêterait" à un de ses collègues. Je lui réponds toujours, avec ironie, que je me soumettrais à sa demande.


Mercredi dernier, je l’attends en petite tenue sexy dans notre chambre d’hôtel habituel, quand mon portable me fait sursauter. C’est lui, impossible de se libérer, je suis extrêmement déçue. Cet unique rendez-vous de la semaine, je l’attends, toujours très impatiente de le retrouver.


Mais la suite me stupéfie. Il m’annonce qu’il sera remplacé par un collègue de lycée.

Je lui demande s’il plaisante, je me rends compte que non… Il ajoute que le fameux collègue en question devrait arriver d’un instant à l’autre, et qu’il est temps de mettre en pratique, ce fantasme qui le taraude depuis un moment.


Sans me laisser le temps de lui répondre, il continue en me demandant de satisfaire cet homme, de tout lui raconter à notre prochaine rencontre. Pour finir, il précise encore, que je dois me bander les yeux et attendre le nouvel arrivant allongée sur le lit.


Je réplique au moment même où j’entends la tonalité qui m’indique que la conversation est terminée. Je suis assise sur le lit, interloquée. Comment ose t-il me faire ça ?


Mais il me connaît assez pour savoir que je vais accepter. J’ai toujours eu envie de me donner à un inconnu. Me laisser baiser. Et tout raconter ensuite, l’idée m’excite follement.


Je m’empare de mon écharpe et je me couvre les yeux, je suis dans le noir total. J’ai l’impression que les battements de mon cœur se font entendre dans la petite chambre anonyme. Je me couche et j’écarte légèrement les jambes, les bras.


J’attends…


Une éternité, me semble t-il ! Tout au plus quelques minutes, avant que la porte ne s’ouvre… Un instant paniquée, je résiste à l’envie de me relever et de m’enfuir… Mais mon désir de me faire baiser reprend vite le dessus.


Je l’entends, se dévêtir sans doute. Pas un mot de prononcé encore.


Puis le matelas s’affaisse, il s’est assis. Sa main fraîche me caresse doucement, il s’attarde sur mon soutien-gorge, le relève au-dessus de mes seins, et me frôle à peine. Je sens son souffle. Puis sa main descend, il me soulève le bassin et retire le string, je l’entends renifler, serait-il en train de sentir mon string ?


Ses mains écartent sans douceur mes cuisses, il bouge. Je sens son souffle sur ma vulve, totalement épilée. Il va me lécher. Ses doigts écartent mes lèvres et sa langue me lape lentement, il me déguste, il me bouffe la chatte avec beaucoup de savoir faire, je défaille. Mes mains cherchent sa tête, il s’arrête et sans un mot, replace mes bras de chaque côté de mon corps. Je comprends, je ne dois pas le toucher.


Il recommence, sa langue me boit, me fouille, me dévore, je m’écoule dans sa bouche, je vais jouir avec un inconnu que je ne vois même pas. Je tressaille quand l’orgasme arrive, je crie, je hurle… C’est tellement bon !


Mon inconnu bouge à nouveau, il me tire par les pieds, et vient ensuite se placer à califourchon sur mon visage. Je sens l’odeur de son sexe, il me frôle la bouche de son gland, qui a l’air de belle taille, puis sa queue s’enfonce dans la chaleur de ma bouche, doucement d’abord, puis profondément…


Le sexe est assez gros, mais pas très grand. Il s’assoit sur mon visage, il m’étouffe, il baise ma bouche, sans un mot, sans la moindre parole. Je réprime des haut-le-cœur, tant il va loin, tant il m’écrase. Puis un jet puissant jaillit, suivi d’un second. Je peine à tout avaler.


Enfin je respire, il se retire.


Du foutre que je n’ai pas réussi à déglutir coule sur mon menton, je veux m’essuyer… Mais encore ses mains qui me stoppent. De ses doigts, il récupère le sperme, il me les fait lécher, un à un. Je les suce longuement, alors que son autre main s’aventure sur mes seins, il me pince un téton, puis l’autre. Je gémis, ses doigts toujours dans ma bouche. Il les enlève d’un coup, et me retourne brutalement.


Je suis à plat ventre. Mes jambes sont écartées. Sans me parler, par geste, il me fait comprendre qu’il désire que je me place à genoux, le cul relevé.


Le silence de la pièce devient pesant parfois, mais je respecte son désir de ne pas parler. Je ne bouge pas, ne dit mot. Que fait il ?


Je ne sens plus ses mains. Il est toujours sur le lit, je l’imagine en train de me mater le cul. Au bout de quelques minutes, je commence en en avoir assez, je remue légèrement pour éviter d’être ankylosée, il réagit aussitôt, me replace sèchement.


Enfin ses mains me caressent les fesses, les écartent bien. Sa langue à nouveau, me frôle l’anus, douce, chaude, humide. Puis il lèche longuement la raie de mon cul, et enfonce sa langue toute baveuse de salive. Un doigt remplace sa langue, puis deux doigts. Seul mon gémissement résonne dans la chambre.


Comme c’est bon, il me fouille longuement, j’ai envie de sa queue, envie qu’il m’encule. Lui prend son temps, je mouille, je coule. Enfin il enlève ses doigts, je m’impatiente de le sentir me défoncer.


Sa main s’approche de mon visage, il me fait comprendre qu’il veut à nouveau que je lui lèche les doigts. Ne pouvant qu’accéder à son désir, je suce ses doigts qui s’enfonçaient auparavant dans mon cul.


Satisfait, il se décide enfin, à venir se présenter devant mon anus. J’attends comme une chienne, ce moment où il va me baiser.


Son gland s’aventure à l’entrée et l’homme s’enfonce dans mon cul d’un coup, me faisant crier de surprise. Je sens avec délice sa bite me pilonner le cul, ses couilles cognent sur mes fesses, j’adore sa façon de me prendre aussi sauvagement. Il se presse contre moi, je le sens merveilleusement bien.


Je pense à mon amant, je me ferai un plaisir de lui raconter chaque détail. Je me retiens de ne pas crier à l’homme comme sa queue me baise bien, comme j’aime sa façon de m’enculer. J’adore, plus que tout, la sodomie.


J’ai envie de jouir, une envie furieuse, je me caresse le clito qui réagit presque immédiatement, je jouis rapidement, violemment, alors qu’il se vide les couilles et me remplit le cul de son nectar.


Il se retire de mon anus, me fait comprendre par un geste de ne pas bouger, je reste immobile encore. Bizarrement, j’ai l’impression qu’il se rhabille.


Puis cette phrase qui retentit dans le silence de la chambre :



Abasourdie, j’arrache le bâillon. Le temps que mes yeux s’habituent à la lumière, je vois juste la porte se refermer et mon amant se lever du fauteuil.



Il était donc là, depuis le début.



Ce mercredi, je suis rentrée chez moi très en retard. Mon mari, heureusement, n’était pas là. J’en ai profité pour prendre une douche, afin d’effacer toutes les traces de ma délicieuse après midi.