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n° 12302Fiche technique19666 caractères19666
Temps de lecture estimé : 11 mn
17/02/08
Résumé:  Depuis son divorce, ma tante Martine me fait envie...
Critères:  fh fplusag oncletante hotel telnet cérébral hmast massage jeu -amourcach -masth
Auteur : Martine et Jack
Comment j'ai eu Martine pour moi

Martine avait trente-huit ans. Quand on la voyait marcher de dos, on distinguait le léger roulement de ses petites fesses rebondies. Ses jambes étaient un peu marquées par un manque de sport, mais cela restait superficiel. Son ventre plat et sa poitrine rattrapaient le tout. Des mèches et une frange brune entouraient son visage marqué par des yeux marron en amande. Martine avait tout pour déclencher chez un homme une crise hormonale, malgré ses dix ans de mariage interrompus par un divorce, trois mois plus tôt.


C’est ainsi que je la voyais à travers mes verres teintés, allongé sur mon transat. Martine nous avait accompagnés, moi et mon petit frère, à la piscine communale. Martine venait juste de sortir de l’eau après avoir achevé quelques longueurs. Je la regardais toujours, discrètement, à travers mes lunettes de soleil. Elle vint déposer son corps trempé sur le transat voisin.



Je me tournai vers elle pour lui répondre. C’est à ce moment-là que je remarquai un détail qui manquait à ma description d’introduction. Un petit grain de beauté ornait son sein droit.



J’entretenais avec ma tante une relation tout à fait amicale, mais depuis longtemps j’éprouvais un désir, parfois intense, de la mettre dans un lit et de lui faire l’amour comme une brute. Jusqu’à son divorce, aucune opportunité ne m’avait été donnée, mais je commençais à voir quelques ouvertures, qui me permettraient éventuellement de l’avoir pour moi, au moins une nuit.


J’avançais à tâtons avec elle, car je la connaissais très bien dans la vie de tous les jours, mais niveau sexe, j’étais tout à fait incapable de prédire ses réactions. Il fallait donc faire des tests, et le premier fut réglé par carte bleue sur Internet. J’avais eu l’occasion un après-midi de rester seul chez elle pendant qu’elle faisait une course. J’avais fouillé l’appartement en entier, sans en trouver une trace. J’avais donc décidé de lui offrir un vibromasseur, que j’avais fait envoyer chez moi. L’objet était long d’environ vingt centimètres, rose bonbon, et disposait de trois modes de vibration différents. Je pris soin de remplacer les piles fournies, et d’ajouter une carte :




Chère Martine,


Je t’envoie ce présent dans l’anonymat le plus complet. Sache que nous nous connaissons bien, que nous nous côtoyons au moins une fois par semaine, et qu’à chaque fois que j’aperçois ton corps, que nos regards se croisent, ou que le son de ta voix vient à moi, une bouffée de chaleur m’envahit.


Jack (prénom fictif évidemment)


PS : je te recontacterai.




Le lendemain, je me levai à trois heures pour déposer mon colis sur son palier, pour ensuite détaler comme un lapin.


Le second week-end qui suivit, je vins lui dire bonjour, sous prétexte qu’elle n’était pas encore allée à la gym.



Je voyais arriver la scène de réconfort, et je l’évitai à tout prix.



Après un bref moment de réflexion, elle me répondit :



Elle alla se doucher. Son changement soudain d’humeur m’avait quelque peu étonné. Elle jouait sûrement la comédie, pour qu’on s’occupe d’elle. Typique. Pendant qu’elle se douchait, j’allai dans sa chambre, je trouvai dans sa commode (entre deux culottes en soie) le fameux vibromasseur. Je le reniflai, mais aucune odeur suspecte n’en émanait. Je le dévissai pour voir les piles. Un sourire se dessina sur mon visage. Elle avait changé les piles. Les piles que j’avais mises étaient presque usagées, cela prouvait que Martine avait fait usage du jouet plus d’une fois. Je replaçai soigneusement le jouet comme je l’avais trouvé, et je retournai dans le salon pour m’abandonner à la télévision.


Pour un samedi matin, la salle n’était pas trop chargée. Je ne m’y connaissais pas trop en musculation des jambes ; j’aurais plutôt préconisé la piscine et le running, mais pour ma tante, je pouvais bien m’adapter. Je lui avais demandé de s’échauffer seule pendant que je feuilletais un des livres mis à disposition dans la salle de gym. Je lui demandai de faire divers exercices, en n’hésitant pas à rectifier ses mouvements.



Je déposai une main sur son ventre, l’autre sur le haut de sa croupe, et je lui redressai le dos fermement, en pressant bien sur son corps.



Ce qui était complètement faux. Après l’avoir bien fait suer, je lui proposai un massage.



J’étais un peu déçu pour les vêtements, mais bon, je pourrais la masser, voir un peu plus si c’était possible. Je l’emmenai dans les blocs des adhérents, et lui demandai de s’allonger sur le ventre. Je lui tournai le dos un instant pour me redresser le sexe, qu’une érection ne viennent pas me trahir.


Je me huilai les mains et je commençai à lui masser les mollets. Je remontai doucement aux cuisses. Mes gestes étaient très professionnels et ne laissaient rien paraître des mes désirs envers Martine.



Je continuai mon massage, et j’arrivai à hauteur de ses fesses. Masser à travers le minishort était complètement absurde, car je n’avais pas assez de force dans les doigts.



Elle se leva et baissa son short en me tournant le dos. Elle n’avait pas menti pour le string. Je m’approchai d’elle pour lui chuchoter à l’oreille :



Elle m’avait regardé droit dans les yeux en me disant cela. Je l’attrapai soudainement par les bras, la retournai et la penchai sur la table de massage après lui avoir ôté son tee-shirt. Ses mamelons s’écrasaient sur la table froide, et ses fesses, au bord de la table, m’appelaient.


  • — Ooh, la table est si froide ! Je sens mes seins devenir tout durs.
  • — Tu es sûre ? Car moi je te sens tellement chaude, Martine.
  • — Arrête de parler, prends-moi vite !


Je baissai mon pantalon, mon sexe raide pendait à l’entrée de sa chatte. Je pris un peu de recul, avançai brusquement pour la fourrer, et… hop, je revenais à la réalité. Si seulement c’était si facile…



Elle ricana. Mon massage n’était plus en péril.



Elle reposa sa tête sur la table et ferma les yeux.


Je la massai doucement mais avec insistance. Je faisais surtout pression avec les pouces, mais mes doigts se baladaient sur toute la surface de ses fesses. J’avais une belle érection lorsqu’au bout de cinq minutes, Martine ouvrit les yeux.



Rien de tel qu’un petit jeu pour échauffer les esprits.



Le silence s’installa. Je déteste les silences, car ils sont difficile à gérer.



Et elle s’en alla sous la douche. De mon côté, j’avais mis que l’eau froide, et je me branlai vigoureusement en silence.


Le jours suivants, j’élaborai la suite des événements. J’avais prévu de prendre plus de temps, mais le massage de la veille m’avait mis hors de moi, et je ne pouvais plus attendre. Je me créai une adresse mail fictive et j’envoyai un email à Martine.




Chère Martine,


J’espère que tu apprécies profondément mon cadeau. Je pense à toi plus que je ne respire. La nuit, je me vois à tes côtés, à parcourir ton corps de mes mains, à te caresser les cuisses, les fesses.


Jack


PS : L’autre jour, quand tu t’es assise à côté de moi, j’ai adoré regarder ton petit grain de beauté sur ton sein droit.




Il y avait de quoi l’intriguer dans ce message. Je voulais la rassurer pour qu’elle comprenne bien que j’étais de son entourage, et non le premier fou sorti du coin de la rue. C’est cependant ce que je crus devenir, à attendre toute la journée une réponse. Finalement vers vingt heures, je recevais un email d’une certaine Éloïse.




Cher Jack,


Ton cadeau m’a un peu surprise au début, mais j’ai appris à le connaître, au point qu’il devienne mon amant. Je passe parfois des soirées entières avec lui, en pensant à toi… Même si je ne vois toujours pas qui tu es. Cela m’intrigue, mais m’excite aussi.


Martine




Les messages se multiplièrent. Martine cherchait toujours plus d’informations sur moi. Je lui en donnais parfois, comme j’aime ton joli string noir, ou je t’ai aperçue à une séance de gym. Elle ne faisait pas encore la connexion, mais je pense que c’était pour le mieux. Elle avait sûrement pensé à moi, mais cela devait lui paraître tout à fait absurde. J’estimais que deux semaines d’échanges virtuels suffiraient à la mettre en confiance, et je décidai de conclure cette phase d’anonymat.




Chère Martine,


Je veux te voir, à tout prix.


Je te propose de me rejoindre à l’hôtel **** après-demain à 20 heures, chambre 33. Les lumières seront éteintes, et je ne dirai pas un mot avant la communion de nos corps.


Jack


PS : Apporte le jouet, on ne sait jamais.




J’avais choisi l’hôtel à côté d’un commissariat de police, qui était à deux pas de son lieu de travail. Si cela ne la mettait pas en confiance, je ne saurais plus quoi inventer. Elle devait accepter, et je dédiais ainsi toutes mes masturbations de la journée à la réussite du plan.




Cher Jack,


C’est d’accord. Je t’embrasse,


Martine


PS : Es-tu sûr qu’un jouet fera l’affaire ? J’en amènerai d’autres, dans le doute.




Quelle salope ! Son email m’avait bouleversé. J’avais décidé d’aller prendre une douche et de me masturber pour me calmer. J’avais mis l’eau chaude cette fois-ci…


Toc, toc…


  • — Oui, qui c’est ?
  • — C’est Martine. Je peux rentrer ?
  • — Oui, vas-y.

Martine entra vêtue d’une nuisette en soie. Elle s’approcha de moi, ôta son vêtement et entra sous la douche.


  • — Qu’est-ce que tu fais, la bite comme ça ?
  • — Je pensais à toi.
  • — Tu peux pas être plus précis ?
  • — Pourquoi pas ? Je m’imaginais à te culbuter, là sous la douche, en levrette. Tu serais en train de te pincer les seins, et à gémir.
  • — C’est original. Je peux te sucer ?
  • — Pour commencer, oui…


Elle approcha sa bouche de mon gland… et hop. Je me réveillai tout fébrile car l’eau de la douche était devenue froide. Encore ce cumulus qui déraille.


Deux jours plus tard, je me retrouvai dans cette chambre d’hôtel. Il était 19 h 30 quand j’éteignis les lumières et fermai les rideaux, pour que je puisse apprivoiser le noir, et ne pas me ridiculiser en me cognant sur chaque mur en présence de Martine. J’étais à la fois excité et stressé. J’espérais que la soirée se passerait bien, voire même qu’il y ait une suite. Car une fois qu’elle saurait que son neveu se trouvait à vouloir lui brouter le minou, elle pourrait très bien faire marche arrière.



oooOOOooo




À 20 heures précises, j’ouvris la porte de la chambre 33. Comme me l’avait dit Jack, toutes les lumières étaient éteintes. Je rentrai et refermai la porte. À peine le noir se fut-il installé qu’on vint me saisir la main.



Je n’eus comme réponse qu’un bruit venant de sa gorge. Si ça avait été une autre personne, j’aurais eu une vraie réponse. C’était bien Jack. Je commençai à distinguer les formes de la pièce. Jack m’amena et me fit asseoir sur ce qui semblait être un lit. Je sentis ses lèvres déposer un baiser sur mon cou.



J’eus comme réponse des bruits de vêtements. Je palpai son corps pour m’apercevoir qu’il avait ôté sa chemise. Son buste était musclé. Je n’étais pas du genre à me laisser faire dans un lit comme une poupée. Je venais de défaire son bouton, et je déposai un baiser sur son boxer, pour réveiller la chose qui sommeillait en dessous. Je la frottai à travers le tissu jusqu’à ce qu’elle devienne dure, et je baissai le tissu restant. Je me mis à genou, à hauteur de son entrejambe.


J’avalai son sexe. Il me caressait les cheveux pendant que je faisais des va-et-vient. Maintenant que j’y pensais, la situation était vraiment folle. Je suçais cet homme, que je connaissais, sans savoir de qui il s’agissait. Je devais absolument savoir. Je le suçai rapidement, sans le mener à l’éjaculation pour autant. Je m’arrêtai.



Il ne me répondit pas, mais m’aida à me lever. Il enleva mes vêtements doucement, un par un, en me couvrant de baisers. Une fois ma poitrine nue, il porta mon sein à sa bouche pour lui faire des petites sucions et coups de langue. Il posa un doigt sur mon grain de beauté. Je me sentais mouillée, mouillée, tellement mouillée. J’enlevai d’un coup mon string et mon pantalon. Il compris que je ne pouvais plus attendre, et me tira vers un mur, où je trouvai l’interrupteur.


Je m’accrochai à son cou, et fis un petit saut pour entourer sa taille de mes jambes, il me retint de tomber en plaçant ses mains sous mes fesses. J’étais dos au mur. Il commença à me faire descendre tout doucement. Finalement, sa bite rentra en contact avec mon sexe. Je lui murmurai de continuer en lui mordillant l’oreille. Il coulissa doucement en moi, jusqu’à atteindre le fond de mon vagin. Je me sentais presque mal à l’aise tellement il prenait de la place en moi. Il était temps. J’allumai la lumière pour découvrir mon amant.



Je ne sus quoi répondre à mon neveu, qui se contentait de me regarder dans les yeux. Finalement, je me décidai, pris une profonde inspiration, et commençai à bouger mon bassin.