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Temps de lecture estimé : 26 mn
24/02/08
Résumé:  Où l'on découvre que l'immeuble bénéficie de l'eau, du gaz et du stupre, et ce à tous les étages et où Jean-Baptiste découvre l'affreux commerce auquel Thibaut C. contraint "l'innocente" Marie.
Critères:  fh fplusag jeunes voisins nympho cinéma collection fsoumise hdomine chantage intermast fellation cunnilingu anulingus fgode pénétratio fdanus fsodo jouet jeu init portrait -totalsexe -initfh -bourge
Auteur : Solario  (La curiosité est un vilain défaut)            Envoi mini-message

Série : Camille, Hélène, Clémence et les autres...

Chapitre 04 / 05
L'arrivée de Clémence

Chapitre 9



Où l’on découvre que l’immeuble bénéficie de l’eau, du gaz et du stupre, et ce à tous les étages et où Jean-Baptiste découvre l’affreux commerce auquel Thibaut C. contraint "l’innocente" Marie.





Mais la jeune fille n’était pas là quand je frappai à sa porte. Très excité, j’allais essayer sur le palier d’en face, mais Nicole non plus n’était pas chez elle. Déçu, je décidai d’aller faire un tour dehors pour me changer les idées et descendis l’escalier. Arrivé au niveau de la loge de la concierge, j’entendis de petits grognements familiers. Décidément, cet immeuble était un véritable lupanar. Je poussai la porte de la loge discrètement et aperçus, de trois quarts dos par rapport à la porte, le frère de Camille, Thibaut, appuyé sur la table, en train de se faire sucer par Marie, la fille de la concierge. Il lui maintenait la tête de sa main et lui imprimait un rythme lent en grognant. La jeune fille, dont la mère vantait à tous la récente réussite au Bac, semblait très douée pour les sciences naturelles. Brune, les cheveux au carré, elle faisait glisser avec applications dans sa bouche un membre d’une longueur plus que correcte. Cette vision contrastait nettement avec l’image de jeune première de sa classe dans l’école privée catholique du quartier et je l’immortalisai d’une photo avec mon portable au moment où Thibaut éjaculait dans la bouche de Marie.


Mais le plus étonnant restait à venir. Après avoir joui dans sa bouche, Thibaut se rhabilla rapidement et, après avoir fouillé dans sa poche de pantalon, tendit un billet de 20 euros à la jeune fille.



Je décidai que j’en savais assez et partis me cacher derrière la porte de la courette de l’immeuble. Thibaut sortit peu de temps après, apparemment Marie n’était pas satisfaite de s’être fait avoir de la sorte, vu les insultes qu’elle lui envoyait, les dents serrées.


Je décidai de profiter de l’absence de ses parents et de tenter ma chance tout de suite. Je frappai à la porte de la loge.



Je lui collais mon portable devant les yeux avec la photo de ses récents exploits à l’écran. Elle pâlit instantanément.



La mention de l’argent qu’elle gagnait en monnayant ses charmes la fit pâlir un peu plus. Elle ouvrit rapidement son corsage blanc.



Je me mis aussitôt à lui caresser les seins.



Elle m’entraîna dans sa chambre et, une fois rentrés, me plaqua contre la porte et m’embrassa. Je lui plaquai ma main sur ses fesses et commençai à lui pétrir le postérieur. De son côté, elle défit ma chemise et se mit à descendre. Une fois à genoux, elle enleva son corsage et ouvrit mon pantalon. Une fois ma bite en main, elle commença à me branler en me regardant dans les yeux, avec un air d’une perversion inouïe dans le regard.



Et, il faut l’avouer, elle me fit une pipe mémorable. Une pipe sensationnelle pendant laquelle je sentis qu’elle aimait avoir une bite dans la bouche et y sentir le goût du sperme. Mais j’en voulais plus. Je sortis ma bite d’entre ses lèvres et la poussai sur la moquette de sa chambre en l’embrassant. Rapidement, je descendis plus bas. Je lui léchai un peu les seins avant de plaquer mes mains sur sa culotte et de commencer à lui caresser la chatte. Rapidement, je sentis le tissu s’humidifier. Je plantai mes yeux dans les siens. Elle aimait ça la garce. Mais elle ne s’attendait pas à la suite, et quand je plongeais ma tête entre ses jambes, elle poussa un petit soupir étonné.



Je la fis mettre à quatre pattes et continuai, lui léchant toute la raie et doigtant sa petite chatte qui bougeait toute seule autour de mon doigt. Je décidai qu’elle était mûre pour la suite et introduisis alors le bout de mon majeur dans son petit trou. Vu le soupir qu’elle poussait, elle aimait ça. Mais je décidai de m’en assurer.



Je pris cette réponse pour une invitation et me redressai, ma queue prête à exploser entre ses fesses. Au moment où j’allais l’enculer, elle se retourna et me dit, les cheveux collés par la sueur sur son front, mon portable entre ses mains :



Je la tirai par les cheveux et, m’enfonçant d’un coup dans son cul, je lui susurrai avec aplomb un mensonge à l’oreille :



Je sentis ses doigts me griffer les bourses avant de s’introduire dans son sexe trempé. Elle avait les deux épaules au sol maintenant, la tête sur la moquette, et en moins d’une minute, elle atteint l’orgasme. Tout prêt de jouir moi-même, je lui demandai :



Je pris son silence pour un non et lui jutais sur le cul. Les épaules toujours au sol, elle s’étala mon foutre sur tout le bas de son dos en me regardant, se mordant la lèvre inférieure dans une moue de salope comme je n’en avais jamais vu.


J’entendis la porte claquer et une voix de femme. Sa mère. Marie ne bougeait pas, mon foutre sur son cul bronzé, la moitié du visage rougi par le bref frottement sur la moquette et l’air toujours absente.



Je me rhabillai rapidement, et l’embrassai avant de sortir par le chemin indiqué.






Chapitre 10



Où la famille s’agrandit avec l’arrivée de la belle-sœur et de la nièce de Madame C.





Les semaines qui suivirent furent torrides. L’absence de Monsieur C., parti à Bruxelles où il était conseiller pour une commission européenne quelconque, laissait Hélène seule et elle se consolait de son absence dans les bras de votre serviteur. Aucune limite ne semblait l’arrêter, je l’envoyais acheter toute une série de gadgets dans un sex-shop du boulevard Pigalle dont je savais que nous n’en utiliserions pas la moitié. J’interdis à Hélène de porter des collants et lui offris un porte-jarretelle grâce à l’argent qu’elle me donnait pour ses « cours ». J’inventais de petits jeux : je lui prenais sa culotte et l’envoyais chez les différents boulangers du quartier choisir la baguette dont elle aimerait avoir l’extrémité entre les jambes. Elle revenait les cuisses trempées, grignotant le croûton d’un air songeur.


Brigitte revint nous voir deux fois et nous l’accueillîmes avec plaisir, vérifiant une fois de plus la sagesse du vieil adage qui dit que, plus on est de fous, plus on rit. Enfin, malgré plusieurs refus définitifs, je continuais de travailler Hélène « au corps » pour une petite séance à trois avec Nicole.


Je découvris d’ailleurs que cette dernière entretenait l’incendie qui lui ravageait les fesses de différentes manières, toutes plus imaginatives les unes que les autres. Je remarquais qu’elle se faisait régulièrement livrer des frigos énormes, des matelas, des machines à laver, machines qu’elle renvoyait après les avoir essayées, ainsi que les livreurs qui les lui avaient montées dans son appartement… et leurs collègues qui venaient les rechercher.


Un soir, après lui avoir labouré son joli derrière pendant une vingtaine de minutes (elle jouissait étonnamment plus fort quand elle se faisait prendre par derrière m’avoua-t-elle), je remarquai de nombreuses boîtes de pizzas à peine entamées dans sa cuisine. J’en déduisis qu’elle ne dédaignait pas de consommer des livreurs plus jeunes. Je lui avouai d’ailleurs que j’avais peur que sa lubie la fasse un jour quitter son appartement juste pour le plaisir d’essayer une équipe entière de déménageurs. Elle me répondit qu’elle avait déjà essayé mais que l’amour à plus de trois l’empêchait de se concentrer sur ce qu’elle faisait.


Je lui montrais également les photos d’Hélène et ma proposition d’une petite séance à trois l’enchanta tout de suite, démontrant une fois de plus son ouverture (d’esprit, vous l’aurez toutes et tous compris). Un matin, alors qu’Hélène quittait l’appartement de sa fille, Nicole sortit vêtue de la robe de chambre qu’elle portait la première fois que je l’avais vue et l’ouvrit tout simplement devant Hélène qui, toujours hésitante, se retira en courant chez elle, le souffle court et l’entrejambe sans doute emperlé d’une humidité qu’elle se refusait d’accepter.


Camille, dont sa mère ignorait complètement la gourmandise débridée, se faisait désirer, comme si elle se voulait rare et insaisissable. Je ne pus la coucher contre moi que trois fois en un mois et demi. Elle m’avoua qu’elle était à l’heure actuelle occupée par trois liaisons : une avec son jeune professeur de français, une autre avec « Gérard », le voisin du quatrième, à qui elle et Marie avaient emprunté le prénom pour baptiser leur gode-ceinture en raison de ses impressionnantes proportions, et la troisième enfin avec… la pharmacienne du bout de la rue, qui d’après Camille avait les seins les plus doux qu’elle ait jamais pris dans sa bouche.


Marie quand à elle devint peu à peu ma préférée. La douce perversité de son regard m’enflammait le corps et l’esprit et je passais de nombreuses soirées à la butiner et à la lutiner dans tous les endroits possibles. Nous cochions sur un plan d’évacuation de l’immeuble arraché à un couloir les différents appartements dont les clefs de sa mère nous offraient l’accès. Elle fut impressionnée par la collection de godemichés que j’avais fait acheter à Hélène et je fis moi-même l’étonné. Nous fîmes le serment de les essayer un par un. Certains d’entre eux possédaient deux extrémités et étaient plus particulièrement conçus pour une pratique saphique. L’idée ne semblait pas enthousiasmer Marie, je me promis de la faire changer d’avis sous peu en me demandant quelle combinaison serait des plus judicieuses. Il faudrait en parler à Camille…




Un soir, Hélène vint frapper à ma porte, l’air angoissée. Elle m’apprit que nos petites séances allaient devoir s’arrêter : sa belle-sœur Anne-Claire, accompagnée de sa fille Clémence, arrivait dans deux jours, envoyées par son « connard de mari » (je la cite, je ne me permettrais pas d’employer un tel vocabulaire avec mon propriétaire, dont la générosité involontaire me comblait à tant d’égards). La description qu’elle me fit d’Anne-Claire de V. avait de quoi faire frémir : une harpie sèche et méchante, coincée de « la chatte et du cul » selon Hélène. Quand je l’interrogeais au sujet de sa bouche, Hélène ne rit même pas.



Elle s’exécuta et je la vis se sortir les boules de geisha. Peu de temps après, je prenais leur place.



Deux jours plus tard, Anne-Claire et Clémence arrivèrent. Quand Hélène me les présenta, je fus déçu de constater que la description qu’elle m’avait faite de sa belle-sœur collait fidèlement à la réalité. Mais en revanche, Clémence avait bien changé apparemment. Majeure le jour des résultats brillants de son Baccalauréat (sa mère semblait trouver dans cette coïncidence un signe des dieux), fine de partout, avec de petites taches de rousseur sous les yeux, son air innocent conjugué aux vêtements de jeune fille trop sage que sa mère lui faisait porter achevait de peindre la plus parfaite incarnation de l’écolière salope. Sauf qu’il allait falloir la dévergonder rapidement. Je me promis d’y parvenir, imaginant déjà tout ce qu’on pourrait faire de ces deux longues nattes blondes.


Ma première approche passa par un cours de dessin auquel j’invitais Clémence. Rien que l’odeur de ses cheveux couleur miel me faisait bander mais il allait être difficile d’avoir plus que ça puisque, pour tout ce qui la concernait, sa mère était présente. Je dus me contenter de me pencher au-dessus de l’épaule de la jeune fille pour apercevoir un fragment de petit soutien-gorge rose entre deux boutons de son corsage. J’essayais ensuite d’apercevoir sa culotte en ramassant sa gomme mais je ne vis rien. Hélène n’avait pas beaucoup progressé, mais il est vrai que c’était la première fois qu’elle tenait un vrai crayon lors de nos séances, au lieu de se frotter celui de son professeur tout contre son anatomie.


Clémence n’avait aucun talent, son œil était aussi peu doué que ses mains pour le dessin, mais je me réjouissais de l’empressement qu’elle mettait à suivre mes conseils. Je repris son dessin plusieurs fois et à la fin du cours réussis à la persuader qu’elle était l’auteure des lignes essentielles de son dessin.



Anne-Claire opina en tentant de faire passer pour un sourire affectueux un long pincement de ses lèvres pâles. Cette femme était décidément la gorgone la plus glaciale que j’avais jamais vue.


Je poursuivais mon approche le jour suivant en proposant à Clémence de lui faire visiter ma faculté, puisqu’elle envisageait des études de droit l’an prochain. Accompagnés de sa mère et d’Hélène, nous fîmes donc un tour complet de l’université. Clémence, qui venait pour la première fois à Paris, était fascinée par mes anecdotes et mon apparente connaissance de tous les aspects de la vie étudiante parisienne. À notre retour à l’appartement d’Hélène, je profitais d’une seconde d’inattention de sa mère pour lui glisser dans la main un petit mot que j’avais pris soin de préparer auparavant. La courte lettre disait :



Ma belle amie,


Pardonnez la maladresse de mon geste mais depuis que je vous ai vu, les mots se bousculent sur mes lèvres et troublent jusqu’aux quelques songes que mes rares moments de sommeil m’autorisent. Vous le devinez, c’est le cœur battant et l’esprit fiévreux que j’ai trouvé l’audace de vous faire passer ce mot.


Clémence, votre arrivée a bousculé ma petite existence plus que je ne peux vous le décrire entre ces quelques lignes, il faut que je vous parle. Seule. Par pitié, permettez-moi de vous parler, trouvez un moyen d’éloigner quelques minutes votre mère dont la présence dévouée m’empêche de laisser mes lèvres ouvrir grand les portes de la citadelle qu’est devenu mon cœur, pour que s’envole librement ces mots que je n’ose vous écrire sur cette entre ces lignes brouillonnes que vous me pardonnerez peut-être.


Par pitié, douce Clémence, répondez-moi, votre silence scellerait de bien triste façon le sort de votre dévoué serviteur.



Particulièrement satisfait du style ampoulé vaguement « amour courtois » de mon message et de l’allitération finale en « s », j’espérais récolter le plus vite possible ce que ce premier échange sèmerait peut-être, d’abord dans le cœur de la jeune fille, puis, qui sait, entre ses longues jambes fuselées qui fermaient la citadelle qui m’intéressait moi.


J’en parlais le soir même à Nicole après avoir comblé ses brûlants appétits. Elle rit beaucoup et me conseilla d’être audacieux.



Le lendemain, Hélène suggéra une sortie au cinéma. Le choix du film fut compliqué à négocier : même le dernier Harry Potter ne convenait pas à Anne-Claire, qui avait sans doute peur que nous apercevions la culotte d’une jeune sorcière passant en balai au-dessus de la caméra. Finalement, nous nous décidâmes pour un poncif ennuyeux pseudo documentaire sur la vie des tribus de nomades au Népal. De belles images mais une histoire très ennuyeuse. Je me retrouvais à côté de Clémence après que celle-ci ait inventé une excuse assez grosse pour me laisser croire que j’avais peut-être fait mouche. Apparemment, Clémence prétendait que, la placer à l’extrémité du rang risquait de lui donner mal au cœur, et qu’il valait donc mieux qu’elle s’assoie plus au milieu. Je me retrouvais donc avec la jeune Clémence à ma gauche et Hélène à ma droite. Cette dernière, à peine les lumières éteintes, commença à ma branler à travers mon pantalon. Bien que très agréables, ses caresses risquaient d’être aperçues par sa nièce, me faisant passer du chevalier courtois au jeune dévergondé dont je me sentais, vous vous en doutez, nettement plus proche. Je demandai à Hélène de se caresser elle, lui promettant de venir lui mettre un coup de queue aux toilettes à la sortie du film. Soudain, Clémence me jeta un papier froissé sans tourner la tête vers moi. Elle avait mordu à l’hameçon !


Mon tendre Jean-Baptiste,


Votre lettre m’a ému au plus haut point. Moi aussi, j’aimerais entendre ces mots s’envoler de vos lèvres. Je suis sûre que l’intérêt que vous me portez est pur mais jamais ma mère ne nous laissera nous entretenir. Je me désole de ne pas avoir de solution à vous offrir, mon doux ami, il ne nous reste qu’à prier que le Seigneur, ami des cœurs aimants, nous accorde ces doux instants qui nous font défaut et que j’appelle moi aussi de tous mes vœux.


Si tendrement,


Votre dévouée Clémence



J’eus bien du mal à lire son message dans le noir. Heureusement, Hélène était trop occupée par une partie bien précise de son anatomie (je découvris peu de temps avant la fin du film qu’elle avait amené un petit gode au cinéma). Au fur et à mesure de ma discrète lecture, ma queue se tendit. Si elle avait pu rugir, je suis sûre qu’elle l’aurait fait.


Je regardai Clémence à la dérobée, son visage apparemment sage. Mais sa respiration haletante trahissait son émoi. Décidant d’écouter Nicole, je lui pris la main un court instant, aussi discrètement que possible. Sa mère semblait fascinée par le film, pas de risque de ce côté. Trente secondes plus tard, Clémence cherchait à son tour ma main et la serra fort. Nous restâmes une minute entière cramponnés ainsi puis elle relâcha son étreinte. Je fis le prochain mouvement : profitant du cri qu’un Yack rétif poussait dans le film, je glissai ma main sous le gilet que Clémence avait posé sur ses genoux. Elle me regarda stupéfaite, les yeux fous, comme si je venais de la sodomiser sans prévenir, alors que j’avais juste posé ma main SUR sa jupe Voilà qui promettait. Elle tenta de me repousser mais je sentis qu’il s’agissait d’un appel à aller plus loin. Et je savais qu’elle ne pouvait pas s’en aller, je poursuivis donc mon avancée. D’un mouvement vif du poignet, je passai sous sa jupe et pressai sa cuisse gauche, serrée très fortement contre la droite. La lèvre inférieure de Clémence bougeait frénétiquement, elle me suppliait d’arrêter. Mais je continuai et affermissai ma position, glissant mes doigts vers l’intérieur de ses jambes. Enfin, je glissai le bout d’un doigt sous sa culotte et soudain, Clémence s’avoua vaincue, préférant m’ouvrir ses jambes plutôt que de risquer un esclandre public. Je fonçai et glissai ma main entière par le côté de sa petite culotte, avant de me raidir à mon tour : Clémence avait la chatte rasée.


Cette cochonne avait la chatte rasée ! J’avais beau me le répéter, ça avait du mal à rentrer ans ma tête. Au même moment, je sentis la main d’Hélène, décidément de plus en plus entreprenante, sortir ma queue de mon pantalon avant de commencer à me branler lentement. De ma main libre, je jetai mon pull par-dessus et lui fis savoir d’un regard que j’appréciai son audacieuse initiative. Branlé par la tante, la main dans la culotte de la nièce, je passais un moment de pur délice. Cette dernière semblait aimer la caresse que je prodiguais à sa petite chatte, elle mouillait de plus en plus. La main crispée sur son pull, on aurait dit qu’elle voulait m’enfoncer la moitié de mon bras dans son entrejambe. Quand je lui enfonçai le majeur à l’orée de sa chatte, je vis une larme de plaisir pointer à la lisière de son œil faussement fixé sur l’écran.


Clémence jouit avant moi, dévastée par un orgasme que je suspectai être le premier, malgré son étonnante épilation. Je sentis son corps se tendre à se rompre avant qu’elle ne s’affaisse littéralement sur elle-même, à tel point que sa mère lui demanda si le film l’ennuyait.



Appréciant le compliment que je m’attribuai, je jutai entre les doigts d’Hélène peu de temps après, et cette dernière me nettoya comme elle put en se léchant les doigts. Chose promise, chose due, elle s’éclipsa peu de temps avant la fin du film et je la rejoignis dès l’apparition du générique, proposant à Clémence et à sa mère de se rejoindre devant le cinéma. Dans les toilettes, Hélène m’attendait.



Tout en la besognant, je repensais à la suite de mon programme avec Clémence et éclatais dans sa chatte en moins de deux minutes.



Je la laissai imaginer qu’elle était responsable de cette vigueur-là et nous partîmes rapidement rejoindre sa belle-sœur et Clémence. Cette dernière évitait comme je m’y attendais mon regard. Toujours le rose aux joues, je sentais que tout son corps appelait le mien tandis que son esprit tentait de s’en défendre. Mon pull étant tâché, je le gardais noué à la taille en ignorant le vent glacial qui me gelait les sangs.


Arrivés à la maison, j’avais mis mon plan au point. Je proposai une orangeade à tout le monde et fis un détour par la salle de bains avant de me rendre à la cuisine. Je pris deux comprimés de laxatifs et les broyai finement avant de les verser dans le verre d’Anne-Claire. Cette solution était résolument extrême mais avait le mérite de m’assurer les quelques jours de tranquillité nécessaire à la poursuite de ma conquête du cul de sa fille.


Le résultat fut étonnant : la sinistre belle-sœur d’Hélène fut clouée entre le lit et les toilettes pendant les quatre jours qui suivirent, et il lui en fallut une semaine de plus pour pouvoir sortir normalement. Mettant le « désordre » de son organisme sur le compte de l’air vicié de la capitale, elle fut donc contrainte d’abandonner la surveillance continuelle de sa fille et je fus le premier à en profiter.





Chapitre 11



Où Jean-Baptiste poursuit sa conquête avec ardeur et fait découvrir à la douce Clémence qu’on peut s’amuser sans être entravés par les liens sacrés du mariage.





Dès le soir je repassais à l’attaque. Prétextant l’oubli de mon carton à dessins, que j’avais effectivement pris soin de laisser tomber derrière le canapé des C., je partis trouver Camille pour qu’elle me prête les clefs de l’appartement de ses parents. Quand je lui appris le but de cette visite, elle me paria que je n’arriverais pas à arriver à mes fins, prétendant connaître les « filles comme Clémence » dont il n’y avait rien à « tirer ». Pour intéresser l’enjeu, nous pariâmes pour elle un cunnilingus par jour pendant une semaine entière, à l’heure et l’endroit qui lui conviendrait, et pour moi une sodomie et une branlette entre ses seins. Camille était dure en affaires, comme vous le voyez, mais j’étais très motivé et sûr de ma réussite.


Une fois chez les C., j’appelais Hélène, que je savais absente à cette heure (elle visitait une vieille tante malade boulevard Malesherbes, à qui elle amenait quelques courses et des nouvelles de la famille C.). Devant l’absence de réponse, je pénétrai dans l’appartement en quête de la jolie silhouette de Clémence qui n’était pas dans l’une des chambres d’amis mise à sa disposition. Silencieusement, je me faufilai dans chaque pièce et la trouvais dans la salle de bains, en train de coiffer ses cheveux lâchés, le regard absent. Je me glissai dans son dos et lui mis la main sur la bouche pour étouffer son cri.



Je me jetai à ses genoux et l’attirai contre moi en écrasant ma tête juste sous sa petite chatte rasée.



Du bout de mon visage, je frottais son bas-ventre en faisant non de la tête comme pour me libérer de cette « emprise » que je prenais tant de soin à lui décrire.



Je pétrissais maintenant ses fesses de mes mains à travers sa jupe et enfouissais mon nez entre ses cuisses toujours serrées. À travers le tissu de sa jupe, je parlais directement à sa chatte.



Je venais de baisser sa culotte sur ses chevilles d’un coup sec, ma langue fouillait maintenant sa petite chatte, aspirant son clitoris tandis que mes mains lui écartaient les fesses.



Je lui tétais le clitoris, puis je la pénétrais de ma langue en donnant de petits coups de tête. Clémence s’était hissée maintenant au lavabo et levait une jambe pour me faciliter la tâche. À genoux sous sa chatte, je lui caressais la fente avec ardeur, laissant ma langue s’attarder par moment sur son petit trou plissé. Je la laissai au bord de la jouissance et prétextai avoir entendu un bruit. M’emparant de sa culotte discrètement, je lui indiquai l’étage où j’habitais avant de l’embrasser et disparus furtivement, la laissant pantelante imaginer elle-même une excuse plausible à donner à l’auteur du bruit imaginaire pour son air défait et le feu sur ses joues.


Je me retenais de me branler, du moins je m’arrêtais avant de jouir, frottant sa culotte sous mes bourses, sur mon gland prêt à exploser, sur toute la longueur de ma queue. À vingt-deux heures, on gratta à ma porte. Clémence était là, en chemise de nuit, une lampe de poche éteinte à la main sur le seuil de ma chambre. Je l’observais un instant à travers le judas, me demandant par quel morceau commencer. Quand j’ouvris, elle se jeta sur moi et avant que je puisse parler m’enfonça voracement sa langue dans sa bouche. Je reculai avec elle jusqu’à ce que nous basculions sur mon lit. Comme possédée, toujours au-dessus de moi, elle avança à genoux en levant sa chemise de nuit et vint littéralement poser sa chatte sur ma bouche.



Je m’exécutai, ravi de constater l’émoi que ce premier cunnilingus avait laissé dans son esprit, et explorais tous les recoins possibles de son entrejambe avec ma langue.


Elle jouit si fort que je crus qu’elle perdait connaissance. Je retirai ma tête de sous elle pour l’observer, à la lueur de ma lampe de chevet, affalée sur le ventre, le bassin légèrement relevé, exposant sans pudeur son intimité ruisselante de ma salive et de sa mouille.



Je restais songeur.



Se retournant, elle venait de découvrir ma queue, fièrement sortie de mon pyjama, longue et raide, le gland gonflé. Je m’approchai.



Je lui pris la main et la posai autour de ma bite.



Elle l’avala aussitôt, avant de se reculer et de tousser.



Je lui pris la tête dans mes mains et commençais à lui imprimer un lent va-et-vient. Ce mélange de gourmandise et de maladresse allait me faire venir très vite.



Je commençai à lui baiser la bouche et rapidement, je me déversai dans sa gorge en enfonçant ma queue brutalement entre ses lèvres.



Les mots étaient sortis tout seuls. Je me retirai et me laissai tomber sur le dos. Clémence déglutit.



Elle se léchait la commissure des lèvres, songeuse.



Je lui pris la main et la posai entre ses jambes.



Elle commençait à se dégager. Je décidai de botter en touche. Il y aurait bien une solution plus tard. À ce moment-là, j’ignorais où tout ceci nous amènerait.



Et je lui remis la main entre ses jambes, en l’embrassant dans le cou, lui aspirant le lobe d’oreille tandis que mon autre main cherchait son petit sein.



Je lui fis lécher mon doigt, jouant de l’autre main avec son clitoris avant de replonger entre ses jambes et de lui caresser le derrière du bout de mon doigt, humide de salive. Je tournais autour, dans un sens, dans l’autre, pressant, caressant.



Elle se mit à quatre pattes instantanément et entreprit une fellation endiablée.



Je lui tirai les cheveux violemment et la couchai sur le flanc, avant de lui lever une jambe qu’elle fléchit et écarta d’elle-même.



Et, après avoir lubrifié son cul avec sa mouille, je commençai à l’enculer. Doucement au début, elle avait l’air de souffrir et fermait les yeux, une grimace de douleur sur le visage. Sa respiration était hachée, elle serrait les dents. J’aurais pensé que ça m’aurait excité mais ça me toucha.



L’arrivée inopinée de la Vierge et des Saints dans la « conversation » me fit sourire. Mais je préférais ne pas commenter et, à force de patience, mon gland finit par passer la barrière de son cul. Clémence cria de plaisir, je lui plongeai la tête dans l’oreiller, craignant qu’elle ne réveille tout le quartier.


Elle se redressa mais resta silencieuse, comme concentrée sur la colonne de chair qui lui ravageait le cul en cadence, grognant pour elle-même, dans un état second.


De mon côté, je prenais bien soin de lui laisser de cette première sodomie un souvenir agréable et faisais de mon mieux pour l’amener à l’orgasme. Je lui conseillais de se caresser en même temps et, peu de temps après que ses doigts se soient posés sur sa chatte, elle explosa dans un orgasme violent qui agita son corps de petits tremblements. Son plaisir provoqua le mien et je me vidai à mon tour entre ses fesses avant de m’effondrer sur elle.