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Comment je suis devenu professeur de sexe

Cela s’est passé en novembre 2006. Je sortais d’un gros projet et j’avais besoin de refaire mes énergies. Afin d’être certain de pouvoir passer une véritable semaine de repos, j’avais décidé d’aller au soleil, seul, sans pression de mes amis, ceux-là mêmes qui font que les vacances sont très divertissantes mais jamais de tout repos. C’est ainsi que je me suis retrouvé en République Dominicaine. J’étais arrivé le samedi en fin d’après-midi et après m’être installé, j’étais allé souper avant de me retrouver au lit avec un bon livre.

Lors de mon arrivée et le lendemain, la température n’était pas particulièrement idéale. Nuageux, venteux, température aux environs de 23 degrés. C’est mieux que Montréal à cette période de l’année me direz-vous, mais ce n’est pas la température à laquelle on s’attend lorsqu’on se rend là-bas. On m’expliqua que tout cela était dû à une tempête tropicale au large de l’île et qu’en fonction du temps qu’elle mettrait à se calmer, la température pourrait être similaire pour quelques journées. Dans le fond, j’étais là pour récupérer et me reposer. Mon bronzage était le dernier de mes soucis et je ne suis pas vraiment le genre à faire la crêpe au soleil. Quel genre suis-je, me direz-vous ? Commençons par une petite description physique. J’étais alors âgé de 38 ans, 5 pieds 8 pouces (1,73 m) pour 165 livres (75 kg), les cheveux bruns, yeux bruns avec un physique pas mal du tout pour mon âge.

Après avoir passé la journée du dimanche à visiter les environs en scooter, je me suis levé tôt le lundi et suis allé prendre une longue marche sur la plage avant le déjeuner (le petit-déjeuner pour nos amis européens). Il faisait un peu plus chaud et on voyait presque le soleil à travers les nuages cette fois. Après avoir mangé, je suis retourné sur la plage avec mon roman et j’ai trouvé un petit coin à l’abri de la brise où on retrouvait quatre chaises regroupées deux à deux avec une petite distance entre elles. Après une trentaine de minutes, deux jeunes filles sont venues s’asseoir près de moi. Il s’agissait de deux Québécoises qui parlaient français. Très rapidement, mon attention a été attirée par leur conversation. Il faut savoir que le livre que je lisais alors était en anglais et pour cette raison, les filles n’ont peut-être pas pensé que je comprenais leur conversation.

• — Bon, tu n’as presque rien dit depuis que tu es debout. J’ai rien demandé encore mais là il est temps. Je veux savoir. Raconte-moi comment ça s’est terminé hier soir.
• — Y’a pas grand-chose à raconter.
• — Comment ça ?
• — Parce que…
• — J’en conclus que ça n’a pas bien été mais tu n’as pas à être gênée, il faut qu’on s’entraide.
• — Bon d’accord. Quand tu es partie te coucher, nous sommes partis du bar pour aller marcher. Rapidement, je me suis retrouvé dans ses bras et on s’est embrassé. Ses mains parcouraient mon corps et j’étais mal à l’aise. C’était évident que j’avais affaire à quelqu’un d’expérience. Plus ça allait, plus mes idées tourbillonnaient dans ma tête et je n’ai pas trouvé autre chose à lui dire que je voulais rentrer car je ne me sentais pas bien. Il a insisté et pour me sortir de cette situation, je lui ai dit que j’étais au début de mes menstruations et que c’était pour moi très douloureux. Il m’a dit comprendre la situation et qu’il était préférable pour moi d’aller me reposer. J’ai bien compris que dans sa tête, il n’avait rien à tirer de moi, ni même pour les prochains jours. Il m’a souhaité bonne nuit sans même me proposer de me revoir aujourd’hui. J’en déduis donc qu’il se cherchait un bon coup pour la semaine, ou à tout le moins pour la soirée.
• — Mais tu n’as pas tes règles, je n’ai rien vu à cet effet dans notre salle de bain.
• — Bien sûr que non, je les ai eues la semaine dernière. J’ai dit n’importe quoi pour me sortir de la situation.
• — Eh bien ma vieille, on est arrivé ici vierges et nous allons partir vierges, avec un comportement comme celui-là.

Elles partirent à rire.

À peine quelques minutes plus tard, une des filles demande à sa copine :

• — Tu as l’heure ?
• — Non, pourquoi ?
• — Je voulais aller à la pharmacie et ça n’ouvre qu’à 10 heures.

Gentleman que je suis, je me suis permis de leur adresser la parole :

• — Il est 9 h 45
• — Vous parlez français ? me dit l’une d’elles.
• — Oui, je suis de Montréal. Et vous, d’où êtes-vous ?
• — Nous venons de Québec, enfin, pas trop loin de Québec. Vous avez donc entendu notre conversation ?
• — Je devrais être galant et dire que j’étais concentré sur mon livre, mais en même temps ce serait mentir. Oui, j’ai entendu votre conversation qui a attiré ma curiosité.

Elles se mirent à rougir.

• — Nous avons l’air de deux belles tartes.
• — Belles, je vous l’accorde. Tartes, je suis sûr que non. Quel âge avez-vous ?
• — J’ai 18 ans depuis l’été dernier et ma copine a eu 18 ans il y a deux semaines. C’est d’ailleurs pour fêter notre majorité que nous nous sommes payé ce petit voyage.
• — Ce n’est pourtant pas la période des congés scolaires. Vous étudiez ?
• — Oui, nous sommes étudiantes au CEGEP (collège), mais nous nous sommes arrangées pour prendre un peu d’avance sur nos études pour venir à cette période où c’est moins cher.
• — Si vous me le permettez, mon nom est Simon. Quel est le vôtre ?
• — Moi c’est Kathy et pour mon amie, c’est Jessica.
• — Enchanté

Curieusement, les deux filles ont beaucoup de similitudes au niveau physique. Presque la même grandeur, environ 5 pieds 4 pouces (1,63 m) presque le même poids, environ 110 livres (50 kg), à la différence que Kathy a les cheveux châtains et Jessica les cheveux presque noirs. Kathy a une allure sportive alors que Jessica a une allure plutôt intello. Ce sont vraiment deux superbes jeunes femmes et ont toutes deux des fesses carrément craquantes, mon point faible.

• — Pour en revenir à votre conversation, si je peux me permettre, ce qui m’a fait sursauter a été de vous entendre dire que vous étiez vierges. Moi qui croyais que de nos jours, les filles de votre âge avaient déjà toutes connu plusieurs partenaires, je suis resté surpris de vous entendre.
• — J’avoue que nous avons peut-être des circonstances particulières. Nous sommes amies depuis très longtemps et demeurons dans un petit village un peu loin de tout. Nos parents voulaient que nous fassions nos études secondaires dans une école privée et pour cette raison, nous devions aller au pensionnat. Pas besoin de dire qu’il n’y avait que des filles. L’été, nous retournions chez nos parents mais les garçons de notre village, c’était pas terrible. C’est sûr, nous avons quand même eu quelques expériences, surtout moi, mais nous n’avons jamais couché avec des gars. L’été dernier, dès que nous avons terminé l’école, nous sommes allées travailler dans une colonie de vacances pour payer ce voyage dont nous rêvions depuis longtemps. Comme les contacts entre moniteurs étaient interdits, rien n’est arrivé. Depuis que nous avons commencé le CEGEP, nous avons eu des offres bien sûr, mais à l’âge où nous sommes rendues, nous trouvons plutôt gênant d’avouer à un gars que nous n’avons pas d’expérience et avons peur de faire rire de nous. Alors notre voyage, en plus de fêter notre majorité, s’est vite transformé dans notre esprit en un voyage de dépucelage.
• — Je connais mal les jeunes hommes d’aujourd’hui, mais il me semble qu’il doit y en avoir qui comprendrait votre situation. Si ça se trouve, il y en a sûrement plusieurs dans votre situation.
• — C’est que nous ne voulons pas prendre le risque. C’est déjà assez gênant d’être dans notre situation, imaginez si tout le monde le savait et que nous devenions la risée de tous.
• — Vous êtes drôles, c’est quand même pas la fin du monde d’être vierge à 18 ans.

Et pour une fois, c’est Jessica qui prend la parole :

• — Je ne sais pas si c’est la fin du monde, mais cette situation semble un tourbillon sans fin duquel nous ne sortirons jamais.
• — Ha ha ha, bien voyons donc. Vous êtes très jolies et très attirantes. Cessez de focusser sur votre état. Toutefois, si je peux me permettre de donner mon avis, soyez honnêtes. Ne tentez pas de jouer à la fille d’expérience quand vous n’en avez pas. C’est à ce moment que vous risquez de faire rire de vous, tout en transformant votre première expérience en un évènement malheureux. Si j’étais vous, je regarderais pour des hommes un peu plus vieux que vous, de façon à être certaines qu’ils ont eux-mêmes l’expérience nécessaire pour vous rendre la tâche plus facile et qu’ils sauront vous mettre plus à l’aise. Regardez tout autour, ce n’est pas le choix qui manque.
• — Si je comprends bien, vous voulez que nous trouvions des professeurs de sexe ?
• — En quelque sorte, oui.
• — Vous avez peut-être raison. Merci.
• — Si vous le permettez, je vais vous laisser et aller nager un peu avant d’aller dîner (déjeuner pour nos amis européens). Je suis ravi d’avoir fait votre connaissance. Bonne chance.

* * * * *

Je suis attablé seul en train de dîner en feuilletant une brochure sur les activités à faire dans le secteur. Malheureusement, dame météo ne semble pas vouloir coopérer. C’est alors qu’une voix douce me sort de ma lecture.

• — Vous êtes seul ? Nous pouvons nous joindre à vous ?

Mes deux sirènes étaient là, avec leur plateau. Je leur fis une place en retirant les brochures. Nous entamons la discussion sur tout et rien et je les sens un peu mal à l’aise, elles se regardent à plusieurs reprises avec un petit sourire gêné. C’est encore une fois Kathy qui prend le lead et change complètement de sujet :

• — Vous savez, ce matin, quand vous nous avez suggéré de trouver quelqu’un d’expérience pour remédier à notre problème ? Et bien Jess et moi en avons discuté et trouvons que cela a beaucoup de sens.
• — Vous n’êtes vraiment pas normales, vous deux. Des jeunes qui écoutent les conseils d’un vieux, c’est surprenant, dis-je en riant. Il ne vous reste plus qu’à partir à la chasse.
• — Je crois que cela ne sera pas nécessaire. Accepteriez-vous d’être notre professeur ?

Je manque alors de m’étouffer avec ma bouchée de pâtes.

• — Quand je parlais de quelqu’un de plus âgé que vous, je pensais à 5-6 ans, pas 20 ans. De plus, je n’ai aucune expérience dans l’enseignement, dis-je en riant.

Pour être franc, je ne suis pas de ceux qui auraient une conjointe 20 ans plus jeune. Je suis un homme et j’aime bien regarder les femmes plus jeunes qui ont un corps parfait mais je n’aurais jamais l’idée d’avoir une quelconque relation avec ces jeunes femmes.

C’est Jessica qui me convainc :

• — Quand nous avons discuté plutôt, c’est la première fois que je participais à ce genre de discussion avec un homme et où j’étais à l’aise. Pour être plus précise, disons que je n’étais pas trop mal à l’aise. Kathy est plus fonceuse que moi. Je sais qu’elle pourrait plus facilement trouver quelqu’un d’autre mais dans mon cas, vous êtes le premier qui me met autant en confiance. J’aimerais beaucoup que vous acceptiez.
• — Et comme nous avons aussi décidé de vaincre ou de périr à deux dans cette histoire, nous aimerions que ce soit vous, pour nous deux, ajouta Kathy.
• — Vous me voyez flatté de votre offre mais je ne sais quoi répondre car je vous assure que l’idée que ce soit moi le professeur ne m’a jamais traversé l’esprit.
• — Alors acceptez au moins d’essayer.
• — C’est d’accord, j’accepte. Ça ne coûte rien d’essayer et si ça va, tant mieux.

Toutes les deux me prennent par le cou et me remercient.

N’ayant pas une seconde à perdre, elles me donnèrent rendez-vous à leur chambre, une heure après le repas.

*****

Premier cours

Toc toc toc.

La porte s’ouvre et j’y vois Kathy avec son plus beau sourire. J’entre et j’aperçois Jessica. Les filles n’ont pas perdu une minute depuis que nous nous sommes quittés et elles sont vraiment rayonnantes. Kathy a choisi un ensemble jupe et camisole alors que Jessica y est allé pour une jupe avec une blouse légère. Elles sont vraiment très belles et pour la première fois, je les vois non plus comme des jeunes filles mais bien comme des femmes.

Pendant cette heure où nous étions de notre côté pour nous préparer, j’ai élaboré un "plan de cours" pour la marche à suivre. L’idée était d’y aller par étapes, lentement, mais sûrement.

J’avais apporté une bouteille de champagne et trois flûtes. Je ne voulais pas les enivrer mais les rendre plus à l’aise. Tout en dégustant nos bulles, je leur demande quelles expériences elles ont vécues, question de voir quel était le point de départ. Sans surprise, Kathy prit la parole la première :

• — Quand j’avais 15 ans, j’ai eu un amoureux officiel pendant un été. Il était mignon mais très gêné de sorte qu’à part la découverte de nos corps respectifs avec nos mains et un peu avec nos bouches, il n’est pas arrivé grand-chose. Le dernier soir où on pouvait se voir seuls, on devait faire l’amour pour la première fois. Il est arrivé avec un seul condom, qui devait se trouver dans son portefeuille depuis un bon moment d’ailleurs, et au moment de le mettre il s’est brisé. Je me suis alors risqué à lui faire une pipe. Je n’avais jamais essayé ça, ni même vu dans une vidéo comment ça se faisait. Ça n’a pas été terrible. Après quelques coups de langue sur sa queue, je me suis retiré pour attacher mes cheveux et il a joui à ce moment et j’ai reçu son liquide tout chaud sur ma cuisse. Il était terriblement gêné et trop nigaud pour me retourner l’ascenseur, il s’est enfui. Depuis je n’ai eu que quelques séances d’embrassades et de pelotage.
• — Moi je pars d’encore plus loin. Mis à part les baisers et un peu de pelotage, tout ce que j’ai fait a été de masturber un gars et ce n’était pas par envie. J’avais perdu un pari que j’étais certaine de gagner.
• — Bon, je vois que notre cours est vraiment sexualité 101, dis-je en souriant. Ne vous en faites pas, il faut bien partir de quelque part.

La bouteille s’est rapidement terminée et Kathy de lancer après sa dernière gorgée

• — On se déshabille maintenant ?
• — Tu croyais que j’allais arriver ici, qu’on allait se déshabiller, que j’allais vous baiser et repartir ? Ce n’est pas vraiment de cette façon que je voyais le cours. Si vous le permettez, je crois qu’il serait plus approprié d’y aller par étapes, même si nous allons y aller en fast forward.
• — C’est toi le professeur et nous sommes mal placées pour décider de la marche à suivre.
• — Nous allons commencer par nous apprivoiser et allons débuter par un massage. Déshabillez-vous et glissez-vous sous le drap pendant que je vais réchauffer l’huile à massage sous le robinet.

Deux minutes plus tard j’étais de retour avec mes deux sirènes étendues nues sous le drap. Je baisse le drap jusqu’au bas de leur dos et commence masser leur dos. La réaction est bonne et je sens qu’elles apprécient le toucher. Je remonte ensuite le bas du drap jusqu’au rebord de leurs petites fesses et masse leurs jambes et leurs cuisses. Je les agace un peu en y allant un peu haut à l’intérieur de temps à autre. Je masse aussi leurs fesses en passant mes mains sous le drap. Je les fais ensuite retourner tout en m’assurant de garder le drap au niveau de leurs hanches. Elles sont retournées sur le dos, et je vois pour la première fois leurs seins arrogants car bien qu’elles soient couchées, ils restent bien à leur place. Je débute cette fois par leurs jambes avant de m’attaquer à leurs bras, leurs épaules et je termine en leur massant les seins. Leurs mamelons dressés sous mes mains me font beaucoup d’effet.

• — Changement de rôle, cette fois, c’est vous qui allez me masser.

Je me glisse sous le drap et retire mon boxer. Elles se trouvent complètement nues, de chaque côté de moi mais je ne les vois pas. Je sens leurs mains sur mon corps. L’une s’occupe de mes épaules larges et de mon dos alors que l’autre s’occupe de mes jambes. Ce ne fut pas long que je les entende ricaner et aussitôt, je sens le drap qui est retiré d’un coup sec. J’ai maintenant quatre mains qui massent mes fesses et cela me fait un effet monstre. Je ne sais pas si les filles ont compris à ce moment pourquoi mes fesses se redressaient, mais disons que je manquais de place en dessous.

• — Retourne-toi, me dit Jessica de sa voix douce.

Je m’exécute et là, je ne peux pas cacher mon érection. Jessica masse mon torse pendant que Kathy masse mes cuisses. Je suis un peu surpris lorsque Kathy me demande :

• — Et je peux masser ici aussi ? tout en prenant doucement mon pénis entre ses mains.

Je n’ai pas besoin de répondre. Je me laisse faire. Elles viennent ensuite se lover contre moi. Nous prenons un bon moment simplement pour apprécier le moment.

• — C’est l’heure de la douche, leur dis-je. Il sera plus confortable de retirer l’huile de massage. Qui y va en premier ?
• — Puisque c’est toi qui nous as mis cette huile, il me semble normal que ce soit toi qui l’enlèves, non ? lance Kathy.
• — En effet, je peux faire ça. Alors je saute dans la douche et vous viendrez me rejoindre à tour de rôle.

J’entre dans la douche et mets l’eau assez chaude pour diluer l’huile. Rapidement Jessica me rejoint. Je suis encore une fois surpris de voir à quel point sa gêne tombe rapidement. Je la savonne partout et je sens qu’elle apprécie beaucoup puisqu’elle se laisse bercer sous le mouvement de mes mains, les yeux fermés. Cette douche m’excite encore plus que le massage. Il y a longtemps que je n’ai pas eu la chance de toucher une peau à la fois si douce et si ferme. Je n’oublie quand même pas qu’il y a aussi Kathy à laver et j’annonce donc à Jessica que "c’est terminé, suivante !". Jessica sort, à regret, alors que Kathy entre dans la douche d’un seul bond. Elle a droit au même traitement royal et mes mains parcourent chacune des parties de son corps.

Nous sortons de la douche et retournons sur le lit.

• — C’est maintenant l’heure du goûter.

Je les fais étendre sur le dos et commence à parcourir leur corps avec mes lèvres et ma langue. J’approche très près de leur vulve sans les toucher. Je les sens très excitées et je le suis aussi. Je recommence le même manège cette fois alors qu’elles sont couchées sur le ventre et mes baisers dans leur cou et le bas de leur dos font manifestement beaucoup d’effet. Je les torture ainsi pendant plus d’une heure. Il est rendu près de 18 heures et j’annonce alors que le premier cours est terminé. Elles rouspètent.

• — Tu ne peux pas nous laisser dans cet état, plaide Kathy.
• — C’est comme à la télévision, il est bon de laisser le client sur sa faim pour lui donner envie de la suite, dis-je avec un sourire en coin. C’est sûrement la première fois que des élèves insistent pour que le cours continue. Il ne faut toutefois pas oublier les besoins essentiels, dont manger. Si ça vous tente, nous pouvons aller manger ensemble.
• — Et nous continuions le cours après le souper ?
• — Vous êtes des élèves bien consciencieuses je trouve.
• — Nous sommes les meilleures élèves !
• — Je vois ça. Alors à la demande générale, vous aurez droit au deuxième cours ce soir.
• — Chouette, lance Jessica qui me surprend toujours un peu plus.

* * * * *

Deuxième cours

Après un bon repas où j’ai beaucoup ri avec mes nouvelles amies, nous sommes retournés à leur chambre. Je fais asseoir les deux dames dans des chaises côte à côte.

• — Cours d’anatomie masculine, annonçai-je solennellement.

Je retire complètement mes vêtements et me place devant elles, tout près.

• — Vous avez pu voir avant le repas mais vous devez avoir quelques notions. Premièrement, faisons les présentations. Voici un pénis.

Kathy prit mon pénis à pleine main et en faisant le geste de poignée de main déclara simplement :

• — Enchantée, moi c’est Kathy.

Nous partons tous à rire. Jessica termina la présentation de la même manière et empoignant mon sexe avec force, trop de force.

• — Ouille, il faut faire attention de ne pas abîmer le matériel pédagogique, dis-je avec une grimace.

Jessica était mal à l’aise de son geste.

• — Ne t’en fais pas, j’ai été surpris plus qu’autre chose. Règle numéro 1, allez-y en douceur en premier. Les gars n’ont pas tous la même sensibilité corporelle et n’ont pas tous les mêmes goûts en la matière.

Je pris alors mon sexe en main et pris la peine d’expliquer les zones les plus sensibles et ce qui, pour moi, était agréable ou pas. Évidemment, les filles touchaient allègrement et je ne pus retenir me retenir d’avoir une belle érection, me permettant de continuer mes explications en détail.

• — La fellation est une pratique sexuelle que je qualifierais d’essentielle dans un couple. C’est une masturbation regroupant les avantages de la pénétration, c’est à dire ressentir notre sexe dans une enveloppe chaude et humide.

Kathy déposa un baiser sur le bout de mon gland et caressa son visage avec mon pénis tout dur.

• — Comme c’est doux, dit-elle avant de s’aventurer à emboucher complètement ma virilité.
• — Je te rappelle que moi aussi je suis en formation, dit rapidement Jessica.

Kathy se retira et la laissa à son tour mettre en pratique les notions apprises. En peu de temps, les deux étudiantes prenaient à tour de rôle mon sexe dans leur bouche, léchant alternativement ou en même temps. Malgré leur manque d’expérience, les deux bouches me procuraient un plaisir immense.

J’étais sur le point d’éclater.

• — On va devoir arrêter un peu la pratique, sinon vous allez découvrir le résultat de la jouissance.
• — On est là pour apprendre, non ? Certaines disent que le goût du sperme est dégueulasse alors que d’autres adorent. On est mieux de le savoir dès maintenant, n’est-ce pas ?
• — C’est certain, bien qu’une de mes ex-petites amies m’a déjà dit que le goût et la texture variaient d’un gars à l’autre. Mais je vous invite à voir par vous-même.

Elles repartent alors dans leur dégustation infernale et je ne pus me retenir longtemps. J’étais alors dans la bouche de Kathy lors que j’ai commencé à déverser mon plaisir. Après 2-3 bonnes giclées, elle met littéralement mon sexe dans la bouche de sa copine et j’y termine mon déversement.

• — C’est amer, mais je m’attendais à un goût plus prononcé, dit Jessica.
• — Vous allez me trouver salope, mais moi j’ai bien aimé. Je trouvais ça très excitant de te sentir te vider dans ma bouche, ajouta Kathy.
• — En fait, selon mon ex-copine qui était une véritable mordue de la chose, ma semence est plus liquide que la moyenne et a un goût peu prononcé. Passons à la leçon suivante, et celle-ci devrait vous intéresser plus particulièrement : le cunnilingus.
• — Le moins que je puisse dire, c’est que je déborde d’enthousiasme pour cette leçon. Je n’ai jamais été autant mouillée.
• — Ça doit être le trop-plein qui sort, lança Jessica.

Les deux filles s’installèrent sur le lit, l’une à côté de l’autre.

• — Je vais m’occuper de vous à tour de rôle, car vous n’apprécieriez pas que je passe de l’une à l’autre pour ça. Il faut, si je puis dire, concentrer le plaisir. Je vais débuter par Kathy et durant ce temps, Jessica pourra à sa guise, se caresser ou caresser Kathy. Il n’y a pas de formule magique, simplement agir naturellement, comme cela vient sur le moment.

Je m’appliquai donc à prodiguer le meilleur cunni que je pouvais à mon "élève". Très rapidement, son corps ondulait sous mes coups de langue. Une main sous ses fesses, l’autre qui écartait ses lèvres intimes pour mieux découvrir son clitoris sensible. Son supplice fut de courte durée, sans crier gare, elle poussa de grands cris, avec son corps qui était pratiquement en convulsions. Ma tête était prise en étau entre ses jambes. C’en était presque apeurant.

• — Wow, je ne peux croire que je n’ai pas connu ça plus tôt, lança Kathy entre deux respirations.
• — Tu étais particulièrement réceptive. L’intensité n’est pas toujours la même tu verras.
• — À mon tour maintenant. Moi aussi je veux grimper au plafond
• — Ce n’est pas dit que tu réagiras de la même façon. Voyons voir.

Jessica s’étendit sur le dos, les jambes bien ouvertes, laissant voir une intimité presque sans poil. Je me remets au "travail", laissant Kathy dans son monde. Bien que Jessica semblait apprécier grandement mes caresses buccales, il était clair qu’elle ne décollerait pas aussi rapidement que la première. Je sentais une intensité plus cérébrale que physique, en comparaison avec Kathy. Celle-ci était revenue à elle et s’était approchée de nous, promenant ses mains sur le ventre de son amie et remontant doucement à ses seins. Elle approcha ses lèvres et déposa de petits baisers sur les seins tout en continuant de les caresser de ses mains. J’ai senti au même moment un courant électrique passer à travers le corps de Jessica qui devint beaucoup plus démonstrative. Kathy bouffait les seins et les mamelons de Jessica à pleine bouche. Ma langue passait du clitoris à la fente de mon élève, et je la durcissais pour pouvoir l’enfouir dans sa chatte. Elle tenait nos têtes avec force, comme pour s’assurer que nous n’arrêtions pas le traitement que l’on lui prodiguait. Elle ne tint pas longtemps dans les circonstances et, bien qu’elle fut moins bruyante que Kathy, son corps fut aussi foudroyé par l’orgasme.

Je ne vous cacherai pas que j’en ai retiré un grand plaisir ainsi qu’une grande fierté. Je venais, en peu de temps, d’envoyer deux très jolies jeunes femmes au paradis. Nous nous sommes blottis tous les trois ensemble et avons passé un bon moment à nous parler, expliquant en détail ce que chacun avait ressenti tout au long de l’expérience. Je fus d’ailleurs surpris d’apprendre que les filles se touchaient entre elles, de façon sexuelle, pour la première fois.

Bien que mes élèves motivées voulaient continuer les cours, j’ai reporté la séance suivante au lendemain.

* * * * *

Mardi

Bizarrement, j’ai eu un peu de difficulté à trouver le sommeil la veille. Je me suis donc levé un peu plus tard qu’à l’accoutumée. Après un bon déjeuner, je suis allé faire de la plongée et suis revenu prendre un repas léger. Je prends mon livre que j’avais délaissé à cause de mes élèves. Après une demi-heure de lecture, qui ne vois-je pas arriver ? Mes deux élèves bien sûr ! Wow, elles étaient toutes deux superbes dans un bikini assez minimaliste.

• — Nous sommes allés magasiner ce matin, tu aimes ? demanda Kathy avec un petit sourire coquin.

Et comment que j’aimais ce que je voyais. Je n’avais qu’une envie, croquer à belles dents dans leurs petites fesses rondes et fermes qui étaient maintenant presque entièrement à l’air libre.

Nous nous sommes baignés un peu. Lorsque nous sommes sortis de la mer, je suis allé au bar chercher des rafraîchissements à boire. À mon retour, quelle ne fut pas ma déception de voir deux adonis en train de faire causette avec mes élèves. Leur magasinage avait marqué un changement beaucoup plus subtil que le simple fait de se promener presque nues sur la plage. Elles montraient maintenant qu’elles assumaient leur féminité à plein.

J’hésite. Dois-je continuer mon chemin et faire comme si de rien n’était, ou dois-je rebrousser chemin et les laisser dans leur jeu de séduction ? Je ne peux cacher qu’après avoir été surpris de leur demande de jouer au professeur et malgré mon inconfort du début, je profitais moi aussi à plein de ce que nous vivions. Je partageais mon expérience et en retour, elles m’offraient leur corps splendide. J’ai décidé de continuer mon chemin, ne serait-ce que pour leur remettre les boissons et reprendre mes choses. Lorsque Kathy me vit arriver, elle dit alors aux jeunes hommes :

• — Voici mon oncle qui nous sert de chaperon. Comme il a promis à nos parents de ne pas nous laisser sans surveillance, nous ne pouvons donc pas aller vous rejoindre. Merci de l’invitation.

J’étais à la fois content de voir qu’elles étaient intéressées à continuer la formation, mais à la fois un peu blessé dans mon orgueil de passer pour un vieux.

• — Il n’y a pas moyen de les laisser s’amuser avec nous, me demanda l’un d’entre eux.
• — Leurs parents ont tellement peur qu’elles se fassent enlever ou quelque chose du genre, j’ai dû promettre de veiller sur elles et je m’en voudrais de briser cette confiance.

Voyant que ma réponse était sans appel, ils nous saluèrent et partirent.

• — Vous savez les filles, j’ai répondu ça car j’ai cru comprendre que vous cherchiez un motif pour refuser leur invitation. Si je me trompe, ne soyez pas gênées de me le dire.
• — Tu ne t’es pas trompé. Ils étaient très mignons mais on est habitués avec un homme d’expérience maintenant. De plus, notre formation est loin d’être complétée dit Kathy poussant un regard complice à Jessica.
• — Ils étaient un peu trop beaux, le genre à croire qu’aucune fille ne peut leur résister. Un peu plus et ils nous abordaient en disant salut les filles, ça vous tente de vous faire baiser ? lança Jessica, un peu choquée d’avoir été prise pour de la viande fraîche.
• — Alors, à quand le prochain cours, nous sommes impatientes !
• — L’après-midi est déjà assez avancé. Voilà ce que je propose. On fait une petite sieste chacun de notre côté, histoire d’être certain qu’on va se reposer. Ensuite un va prendre un bon souper et ce soir sera le grand soir. Votre dépucelage officiel. Le programme vous plaît ?
• — Hum, il va être difficile d’attendre à ce soir
• — Je sais, mais je suis un grand romantique et faire l’amour dans la noirceur naturelle, surtout la première fois, me semble un pré-requis.

Elles échangent un regard et me confirment leur accord.

• — Il faut toutefois régler quelque chose, et ce sera à vous de choisir, laquelle de vous deux passera à ma chambre la première.
• — Nous avons déjà discuté de cela cette nuit. Réglons un petit détail en partant, on prend la pilule toutes les deux, alors pas de danger de ce côté. Depuis le début que nous sommes ensemble dans l’aventure et nous voulons continuer à vivre le tout ensemble. Évidemment, si cela se passait avec notre amoureux ce serait différent. Mais comme hier, tout est si facile quand on est tous les trois alors on aimerait continuer ensemble. On a tiré au hasard et Jessica sera la première chanceuse.
• — Je n’y vois aucun inconvénient. J’ai bien hâte à ce soir.
• — Sûrement pas autant que nous !

Je partis donc pour faire ma sieste. Je n’étais pas arrivé à ma chambre depuis dix minutes qu’on cogne à ma porte. Je suis surpris de voir mes deux élèves devant la porte.

• — J’étais vraiment sérieux quand je disais qu’on allait se reposer avant la grande soirée.

Kathy m’explique la raison de leur visite.

• — C’est que nous sommes si contentes que tu t’occupes de nous que nous voulions simplement t’aider à te détendre un peu avant ta sieste. Nous voulons simplement recommencer la petite séance de fellation et nous partons immédiatement après, promis.

Comment refuser une telle offre lorsqu’elle vient du fond du cœur ? Elles entrèrent donc et Kathy retira le maillot de Jessica avant que celle-ci lui rende la politesse. Elles se sont ensuite caressées tendrement avant de s’embrasser langoureusement tout en continuant leurs caresses. Inutile de dire que j’étais terriblement excité.

• — C’est pratique les garçons, on a qu’à se peloter un peu entre nous et vous êtes déjà prêts, souffla Kathy.

Mon maillot de bain disparut rapidement et j’avais mes deux sirènes à genoux devant moi en train de me prodiguer une double fellation. Je sentais tour à tour leur langue parcourir mon membre dur. Parfois je sentais une langue sur mon gland pendant qu’une autre longeait ma tige. Parfois une bouche me prenait entièrement alors que l’autre embrassait mes testicules. Les filles échangèrent leurs rôles plusieurs fois. J’aurais aimé que ça dure des heures. C’était terriblement bon. Lorsque mes gémissements annoncèrent l’explosion, j’ai senti une petite bataille pour savoir laquelle aurait la chance d’accueillir ma semence. Cela m’importait peu. J’ai simplement fermé les yeux et savouré ce moment d’extase. Après avoir vidé tout mon plaisir, j’entrouvris les yeux pour voir mes belles qui s’embrassaient à nouveau à pleine bouche, mélangeant leur salive et mon sperme. Je n’en revenais tout simplement pas. À peine deux jours avant, j’avais affaire à deux filles sans expérience et là, je me croyais en plein film porno.

Elles se rhabillèrent rapidement, comme promis, et me laissèrent profiter d’un repos salutaire.

* * * * *

Le jour J

Les deux filles étaient vraiment fébriles tout au long du repas. Elles riaient à rien, on aurait dit deux enfants à quelques minutes d’ouvrir leurs cadeaux de Noël. Probablement à cause de la nervosité, elles avaient bu un peu plus de vin que lors des soupers précédents, ce qui était tout de même peu.

Nous nous sommes dirigés à leur chambre. Lors de ma sieste, je m’étais endormi en pensant à comment je pourrais amorcer le tout, sans trouver de meilleure réponse que "On verra sur le moment".

Nous avions rapporté une bouteille de champagne que j’ai ouverte dès notre arrivée. Kathy refusa que je verse des verres, me retirant la bouteille rapidement, pendant que Jessica mit de la musique.

• — Assieds-toi, tu dégusteras le champagne comme il se doit.

J’eus à nouveau droit à un autre strip-tease de mes deux beautés. Elles semblaient prendre de plus en plus de plaisir à s’exhiber, tout comme j’en avais de plus en plus à les admirer. Alors que mes belles n’avaient plus qu’un string comme rempart à la nudité complète, Kathy versa un peu de champagne sur les seins fermes de Jessica et m’invita à venir boire. Je ne me fis pas prier. Je crois que je n’avais jamais eu aussi soif de ma vie. Je me suis littéralement jeté sur la poitrine ferme de Jessica et bu chaque goutte qui s’y retrouvait. Kathy en versa ensuite sur sa poitrine et je lui ai administré le même traitement. Les deux filles se collèrent et Kathy en versa à nouveau sur les deux poitrines pressées l’une contre l’autre. Ma bouche s’en donnait à cœur joie sur des deux poitrines pendant que mes mains caressaient leurs fesses rondes.

J’avais une érection à faire mal. Jessica demanda elle aussi à boire.

• — Moi aussi, j’ai soif.

Elles ont rapidement retiré mes vêtements et Kathy a versé du champagne sur mon sexe tout dur. Jessica l’a embouché d’une traite. Après quelques allers-retours, elle céda sa place à Kathy qui versa à nouveau du champagne sur mon sexe et but sa gorgée.

C’était maintenant le moment. Kathy se releva et se mit un peu à l’écart. Jessica se coucha sur le dos. J’ai alors couvert son corps en entier de petits baisers. Je la fis retourner sur le ventre et descendis doucement ma bouche de ses épaules jusqu’à ses petites fesses. Alors que je continuai mes baisers et petits coups de langue sur ses fesses, je retirai son string, et la voilà complètement nue.

Je l’ai retournée tout doucement en continuant mes caresses et baisers. J’ai écarté ses cuisses si douces et passé doucement ma langue sur son clitoris. Je continuai jusqu’à ses lèvres intimes et introduisis ma langue dans sa fente toute chaude et humide. Je remontai ma langue pour titiller son clitoris en prenant soin de faire entrer un doigt, puis un deuxième, en elle. Son corps me confirma qu’elle était prête au grand moment. Je remontai en continuant de la couvrir de baisers, tout d’abord sur son vendre, en passant par ses seins que je pris à pleine main pour finir en l’embrassant à sur la bouche. Mon sexe dur frottait déjà à l’entrée du passage. Je n’eus aucune difficulté à bien me positionner, et dès que mon gland se retrouva à l’intérieur, je sentis ma belle contracter ses muscles, ce qui me rappela qu’elle en était à sa première fois. J’ai continué alors lentement ma progression jusqu’à ce que j’atteigne une petite barrière. Je suis resté sans bouger pendant quelques secondes, mettant mes deux mains sous ses petites fesses craquantes avant de pousser plus à fond. Après deux ou trois allers-retours, j’ai senti la membrane se rompre. Je jetai alors un regard tendre à ma compagne et je vis une larme couler sur sa joue. Était-ce l’émotion du moment ? La douleur (n’étant pas une femme, je ne peux savoir ce qu’elles peuvent ressentir à ce moment précis) ? Elle me fit alors un petit signe de tête m’indiquant que tout allait bien et que je pouvais continuer « mon travail ». Inutile de dire que ce ne fut pas une corvée ! Rapidement, elle devint de plus en plus à l’aise et son bassin s’est mis à bouger en harmonie avec le mien.

Puisqu’il y avait une deuxième cliente impatiente à satisfaire, je ne pouvais quand même pas continuer trop longtemps.

• — Il faut aussi penser à Kathy…
• — Je sais. Ne te retiens pas, viens en moi…

J’ai alors accéléré le rythme et senti que Jessica y prenait un réel plaisir, ses doigts qui s’enfonçaient dans ma peau me le démontraient. J’étais terriblement excité et j’ai eu l’impression de vider des litres de sperme dans son ventre. Nous sommes restés ainsi enlacés pendant un moment.

Kathy nous fit alors rire de bon cœur lorsqu’elle s’approcha avec une brosse à cheveux en guise de microphone et le planta sous le nez de Jessica en lui demandant :

• — Alors mademoiselle, quelles sont vos premières impressions sur cette performance ?

Avec le plus grand des sérieux, Jessica répondit :

• — Je sais que ma prestation a paru très facile mais je dois tout à mon partenaire qui a su nous amener à un niveau supérieur, avant de pouffer de rire. À vrai dire, c’était presque comme dans mes rêves de petite fille, à la différence que mon partenaire ne m’a pas enlevé sur son cheval blanc…
• — Je suis très flatté d’apprendre que cela t’ai plu, répondis-je.
• — À mon tour maintenant, dit immédiatement Kathy.
• — Un instant, jeune dame. Je n’ai plus 15 ans pour recommencer immédiatement. De plus, la moindre des délicatesses voudrait que je prenne une douche pour être impeccable pour toi aussi.
• — Et cette même délicatesse voudrait aussi que tu laves celle que tu as souillée ? demanda Jessica.
• — Évidemment !

Jessica et moi nous sommes dirigés dans la salle de bain et avons pris place sous la douche. En fait, nous nous sommes adonnés à une séance de caresses sous l’eau chaude. J’ai étalé une grande quantité de savon partout sur son corps et j’ai frotté doucement chaque parcelle de sa peau. J’ai particulièrement apprécié le moment où j’étais derrière elle, tenant ses seins à pleines mains pendant que mon sexe se frottait doucement sur son petit cul ferme. Sa tête abandonnée sur mon épaule me confirma qu’elle appréciait le moment tout autant que moi.

Sa voix me ramena sur terre.

• — Hummmm, je sens que tu reprends la forme. J’aimerais beaucoup rester mais il ne faudrait pas oublier Kathy.
• — Tu as raison.

Je sortis alors de la douche pendant que Jessica me fit signe qu’elle allait rester un petit moment. Je m’essuyai et sortis de la salle de bain avec un début d’érection. Comme l’eau de la douche coulait encore, Kathy ne m’entendit pas sortir de la douche. Elle était étendue sur le lit, un peu sur le côté, les jambes ramenées près de son corps et je ne pouvais voir sa main droite qui était disparue dans son string. Elle se caressait doucement, les yeux fermés.

Je me suis approché et j’ai déposé mes lèvres sur ses fesses. Elle ouvrit les yeux et se retourna vers moi. Elle vit alors mon état et sans rien dire, pris délicatement mon sexe dans sa bouche. Je caressais ses seins d’une main pendant que de l’autre, je glissais ma main dans ses cheveux. En un rien de temps, j’étais déjà prêt pour « la deuxième portion de l’émission ».

Je me suis alors allongé auprès d’elle et déposais plein de baisers sur son corps. Je pris soin de retirer son slip avec lenteur, plaçant des baisers sur la peau qui se découvrait. L’odeur qui se dégageait de son sexe me prouva qu’elle était dans cet état depuis un bon moment. Après quelques coups de langue, elle me fit comprendre qu’elle n’avait pas l’intention d’attendre encore très longtemps. J’ai donc introduit mon sexe dur dans sa petite chatte bouillante. Progressivement, j’avançais, sans ressentir de résistance quelconque. J’en conclus donc que son hymen avait déjà été, d’une façon ou d’une autre, perforé. Elle était beaucoup plus réceptive que Jessica au départ. Bien que sa chatte était étroite, je n’ai pas ressenti de resserrement soudain. Rapidement, j’ai pris une cadence « normale » et je sentais son corps apprécier chacun de mes coups de reins.

Ayant déjà eu un orgasme précédemment et n’ayant pas de cliente subséquente à satisfaire, je fis l’amour beaucoup plus longtemps à Kathy. Entre-temps, Jessica était sortie de la douche, à je ne sais quel moment, et était venue s’allonger près de nous. Les regards complices que s’échangèrent mes deux amies me flattèrent l’orgueil. Kathy caressa tantôt mon corps, tantôt celui de sa copine. Sans prévenir, Kathy fit bouger son bassin de façon presque sans contrôle, comme lors du cunnilingus la veille, et quelques instants plus tard lâcha un immense cri sans fin. Son cri a décuplé mon excitation et je vins remplir son ventre peu après.

Kathy semblait sans connaissance. Seul le fait qu’elle caressait doucement mes fesses nous montra qu’elle était encore vivante. Jessica me regarda et on ne savait trop si on devait dire quelque chose. Finalement Kathy ouvrit la bouche :

• — Wow, si c’est toujours comme ça, je vais devenir nymphomane moi
• — Ce n’est pas juste, j’ai pas eu d’orgasme, moi, dit alors Jessica avec un peu de frustration dans la voix.
• — Pauvre chérie, tu as de la difficulté à avoir un orgasme même quand tu te caresses, alors que moi je suis capable d’en avoir avec un gode. Je suis désolé pour toi, c’est tellement bon.

Sans savoir si ce que j’allais dire allait rassurer Jessica ou non, je me risquais tout de même d’ajouter.

• — Ne t’en fais pas avec ça, c’était ta première fois et tu n’étais pas en complète situation d’abandon, comme l’était Kathy. Par mon expérience, ce ne sont pas toutes les femmes qui ont des orgasmes à tous coups avec la pénétration. Plusieurs n’y arrivent que s’il y a une stimulation du clitoris en même temps.
• — Il faut dire qu’avec les caresses que je me suis faites pendant que vous étiez dans la douche, j’étais déjà sur le bord d’exploser quand Simon m’a prise.

Je me suis levé et j’ai nous ai servi un verre de champagne, avant de porter un toast « à deux splendides femmes ».

Curieusement, vu la proximité des deux jeunes filles, j’aurais pensé qu’elles se seraient mises à échanger sur ce qu’elles venaient de vivre et pourtant non. Elles étaient euphoriques et les blagues s’enchaînaient à la suite jusqu’à ce que je les interrompe avec un ton solennel pour leur annoncer qu’en vertu de leurs efforts constants et de leur travail consciencieux, elles avaient toutes deux réussi leur examen final.

Elles se regardèrent et Kathy dit :

• — Comment ça « examen final », on veut continuer d’apprendre, nous.
• — Ne préférez-vous pas maintenant partir à la chasse aux hommes plus de votre âge ? dis-je.
• — Je ne crois pas qu’on soit prêtes à ça. Nous avons peut-être réussi le cours d’introduction, mais voulons le cours avancé.

Je dois avouer que ma phrase avait notamment pour but de connaître leurs intentions, à savoir s’il y allait avoir une suite ou non. Bien que j’étais convaincu qu’elles appréciaient mon enseignement, je ne pouvais m’arrêter de penser qu’elles voudraient sûrement continuer le tout avec un homme de leur âge. De mon côté, bien que cela ne me donnait toujours pas envie d’avoir une relation continue avec une femme de cet âge, j’appréciais beaucoup la fermeté de leur corps et la fraîcheur de leur jeunesse.

• — Hum… comme la nuit porte conseil, laissez-moi dormir entre vous deux et nous verrons demain matin si j’accepte de poursuivre le cours…