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Temps de lecture estimé : 18 mn
28/02/08
Résumé:  Mon copain m'offre une journée - un peu spéciale - dans un salon de massage. Deux jumeaux se consacrent à moi.
Critères:  fhh jeunes inconnu grosseins anniversai douche odeurs massage intermast entreseins fellation cunnilingu préservati pénétratio -totalsexe -groupes
Auteur : Fleur-de-France  (Mon copain m'offre une journée santé... Avec ou sans extras?)            Envoi mini-message
Massage à quatre mains

Une histoire à quatre mains, dont le but est de vous faire lire les deux côtés de la médaille…



Ce matin, en m’éveillant, quelle n’est pas ma surprise de découvrir une rose sur l’oreiller de mon copain, une rose en dentelle, une de ces petites culottes qui se vendent à la Saint-Valentin. Encore heureux que mon anniversaire soit en février !


Je prends donc la fleur dans mes mains et, par pur réflexe, la hume. Elle sent mon copain, l’odeur excitante de mon copain après que nous avons fait l’amour. Mais, ce n’est pas tout, je découvre un minuscule morceau de papier rouge glissé entre les pétales : la surprise ne s’arrête pas là… Le son de mon téléphone cellulaire m’empêche de me poser des questions. Je reconnais la voix de mon copain :



Puis le silence. Je tente de le rappeler mais rien n’y fait, il a fermé son cellulaire. Saint-Amant, le simple nom de la rue me laisse envisager une surprise à caractère sexuel. Avec hâte et excitation, je m’habille assez rapidement, une camisole de coton rose pâle avec un décolleté avantageux, un jeans ajusté et un blouson de velours vert lime. Je décide de ne pas nouer mes cheveux bruns qui descendent jusqu’aux épaules. Après tout, je désire être attirante.


Je saute dans ma voiture et file en direction du centre-ville. En route, je ne peux m’empêcher de me caresser un peu au travers de mon jeans… juste un peu. En fait, suffisamment pour presque me donner un orgasme, mais trois coups de klaxon et un coup de volant m’empêchent d’atteindre l’extase.


J’arrive donc sur la rue Saint-Amant en un morceau et je gare ma voiture aussitôt que je trouve une place de parking, je continuerai à pied. Arrivée au 1269, je découvre qu’il s’agit d’un immeuble ancien, un peu style victorien, pour le peu que je m’y connais en architecture. J’entre, et dans le hall un homme attire mon attention, un très bel homme. Costaud, blond, vingt-cinq ans environ, avec de magnifiques yeux bleus, aussi bleus que le fond de l’océan. En fait, cet homme pourrait très bien se retrouver sur un terrain de football, il y serait totalement dans son environnement. Je peux voir les muscles de ses bras tendre sa chemise à chacun de ses mouvements. Sentant mon regard sur lui, l’homme se tourne vers moi et me fait un sourire à faire fondre un bonhomme de neige en Antarctique.



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Il y a quelques jours, un homme s’est présenté, désirant offrir à l’amour de sa vie une journée dont elle se souviendrait encore dans cinquante ans et, selon ses paroles, mémorable à tous les sens du mot, sans tabou, dans la limite de ses tolérances.


Ayant dernièrement, avec deux copains et mon frère jumeau, acquis une majestueuse demeure du siècle dernier, porche et arche à l’entrée, plafonds de deux mètres cinquante, chaudement décorée dans son style original, tourelles et donjons assortis, nous y avons mis toutes nos économies afin de rendre ce lieu invitant et surtout irrésistible à tous les amateurs de plaisirs ultimes. L’entrée étant la seule pièce ayant gardé sa décoration originale, garnitures victoriennes et parquet de bois imprégné de la patine du temps, nous avons transformé les autres pièces et étages en salons privés, tous richement garnis de miroirs, vitres polarisées et équipements que l’on retrouve dans les centres de détente dignes de ce nom, ou encore en des lieux fréquentés par des gens aux desseins lubriques, selon les goûts et inspirations différentes de la clientèle, adepte de tel plaisir ou de telle perversité.


Nous y offrons tous les soins pour le corps : massage, thalasso, douches et bains de toutes sortes, enrobages, etc. Mais surtout, ce que nous appelons le summum. Dans ce dernier cas, le client ou la cliente a tous les droits et tous les honneurs dus à son rang. Je vous laisse imaginer chacun de vos fantasmes s’y réaliser.



Énonçant toutes les options possibles à cette charmante femme, je ne pouvais détacher mon regard de sa poitrine, à peine dissimulée par une minuscule camisole au décolleté avantageux, mettant en vedette tout ce qu’un homme peut rêver de caresser et y perdre son âme pour une journée entière.



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Je ne sais que décider, il y a tellement de choix !



Et je le suis dans cette immense demeure décorée avec goût et classe. Il me guide dans une pièce où la chaleur est maîtresse. Il me montre la table et me fait signe de me déshabiller, tout en prenant le combiné accroché au mur afin d’appeler des renforts. Je m’exécute donc sans aucune pudeur et me défais de mes vêtements. Je les laisse glisser sur le sol en une douce caresse et en un sensuel spectacle. Une fois nue, je me couche sur la table de massage qui est étonnamment froide. Faite de marbre, elle est entourée d’une digue. Je remarque la présence d’un drain sur le plancher.


Soudainement, j’entends la porte s’ouvrir et des mouvements provenant de l’extérieur. La lumière s’éteint et des chandelles sont allumées, nimbant la pièce d’une lueur apaisante. Lentement, une huile chauffée coule lentement sur mon dos. Presque aussitôt, deux paires de mains se mettent à l’œuvre. Elles caressent doucement mon épiderme en dessinant des cercles sur ma peau. La caresse se fait de plus en plus douce, apaisante, et mon corps est bientôt entièrement détendu. Les mains se font plus indiscrètes et se glissent sous mon corps afin de palper mes seins. D’un même mouvement, je suis retournée sur le dos. Les deux hommes doivent utiliser leurs deux mains afin de couvrir chacun un sein, et ils peinent à y réussir. Celui de droite, que je n’arrive pas à distinguer à cause de l’obscurité, s’acharne maintenant sur mon mamelon qui est déjà dur. L’autre se permet une petite excursion vers mon entrejambe.


La main se fait sournoise mais ne fait qu’effleurer mon sexe avide de se faire dorloter. Après tout, ne suis-je pas ici dans ce but ? Je pousse quelques petits grognements de frustration qui excitent mes masseurs. Enfin, je sens une pression sur mon sexe et un doigt qui se pose sur mon clitoris. Je pousse alors un petit soupir de satisfaction. Les mains expertes sont à l’œuvre partout sur mon corps. Les deux hommes sont si habiles, et le fait de ne pas les voir est si enivrant ! Une vague de plaisir approche, mon sexe est brûlant et tout moite. Je sens un doigt s’immiscer dans mon intimité. Je suis sur le point de jouir, je le sens… L’homme aussi s’en aperçoit car ses caresses se font de plus en plus précises et appuyées sur mon bourgeon de chair. Tous les muscles de mon corps contractés depuis quelques minutes se relâchent au moment de l’orgasme. Mon corps est secoué de violents tremblements et je ne peux réprimer un petit cri de satisfaction. Pantelante et frémissante du plaisir procuré par ces mains expertes, je n’entends pas tout de suite les paroles de mon masseur, tant les battements de mon cœur résonnent à mes oreilles.



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Pour ma part, préparant le premier massage à quatre mains, je regardais d’un œil attentif France me dévoilant un corps à faire rêver le meilleur des eunuques que la terre ait porté. De dos, une chute de reins toute en douceur, avec ici et là une belle petite rondeur dont toutes les femmes devraient être dotées à cette phase de leur vie. Lorsqu’elle se retourna j’ai constaté, comme je m’en doutais depuis son arrivée et comme me l’avait d’ailleurs dit son amoureux, qu’elle était très avantagée du buste. Une poitrine énormément développée, mais tellement ferme et bien proportionnée qu’elle se tenait au garde-à-vous, accrochée à une si petite femme. Ouf ! Les yeux scotchés, je demeurais sans un mot.


Relevant les yeux, j’eus alors la surprise d’être l’arroseur arrosé, elle s’était aperçue, à la déformation de mon pantalon, de l’effet que la vue de sa poitrine avait eu sur moi. J’ai alors eu droit à un sourire, m’invitant à perdre mon âme dans les instants à venir.


Reprenant mes esprits, je lui ai fait signe de s’allonger sur la table de marbre préalablement chauffée, mais qui fait toujours un peu sursauter tant la fraîcheur y reste présente. Elle se coucha sur le ventre, sans même prendre le soin de se couvrir de la serviette posée près d’elle. Son regard semblait me provoquer, me montrant son corps nu sans pudeur, et m’incitant à profiter de l’occasion. Je n’allais certainement pas manquer une si belle invitation.


Je baissai la lumière pour qu’elle ne voie plus mon regard quand mon frère jumeau, Alain, fit son entrée. Nous devions tous deux lui servir, en stéréo, un massage intensif et sensuel tel que son compagnon nous l’avait demandé, tout en douceur, mais sans pudeur ni retenue.


Huile préchauffée, mains avides de le toucher, j’ai commencé à masser tout doucement ce corps de déesse offert à mes caresses. Alain, débutant quelques secondes après moi, en profita pour glisser ses mains sous la poitrine de cette charmante jeune femme. Il fut surpris car il n’avait pas eu l’occasion d’en voir le volume ni le tonus. Sans même nous consulter, après avoir parcouru toutes les courbes de son dos, de ses cuisses et de ses fesses, nous avons soulevé doucement ce corps et l’avons retourné de façon à présenter à nos mains et à notre regard ces seins parfaitement galbés dont les pointes s’étaient déjà érigées suite à nos caresses précédentes.


Alain, pendant que je renouvelais l’huile de mes paumes, en profita pour prendre en mains un de ses seins, commençant à le masser doucement au début puis fermement par la suite. Ses mains avaient peine à en recouvrir toute la surface. Fini l’approvisionnement d’huile nécessaire à mon travail, j’ai pris l’autre sein de la même façon et je me suis mis à jouer avec son mamelon qui n’en finissait plus de durcir et de s’allonger, arrachant à notre toute belle soupirs et gémissements, nous invitant à poursuivre nos caresses.


Mon jumeau a eu l’idée de procurer à ce corps offert un massage des pieds, s’élevant tout doucement vers les cuisses puis vers cette toison toute douce couvrant le pubis. Pendant ce temps, je massais les épaules, le front et les tempes de cette jeune femme, l’enveloppant ainsi d’une atmosphère sensuelle qui la transporterait vers l’univers du plaisir ultime.


Les mains d’Alain tournaient et tournaient, effleurant le sexe de France sans pour autant le toucher réellement. Elle couinait de temps à autre, nous invitant à aller plus loin en nous montrant sa frustration, désirant des caresses plus appuyées, voire enivrantes, qu’elle était en droit de recevoir. J’ai alors fait signe à mon cher partenaire de s’y donner à plein et de faire jouir cette femme qui ne demandait pas mieux. Il commença alors à caresser son petit bouton d’amour, lui soutirant de plus en plus de soupirs et de gémissements, tous plus suggestifs les uns que les autres. Après quelques minutes de cette caresse intensive sur le point chaud de son corps, France se mit à gémir et à souffler de plus en plus fort, annonçant ainsi la réussite de nos tendres attentions. Éclatant tout à coup, elle jouit, s’exténuant presque à ce plaisir dont elle avait tant désiré la venue.


Devant alors lui laisser le temps de récupérer et aussi pour nous celui de préparer la phase deux de notre mission, un tendre massage sous la pluie, à quatre mains mais cette fois-ci en utilisant d’autres attributs à notre disposition, mon frère sortit rapidement de la salle, élevant quelque peu le niveau de lumière tandis que moi j’enveloppais lentement mais avec beaucoup de soin ce corps majestueux d’un film thermique permettant de le garder au chaud mais aussi et surtout réceptif à nos caresses pour la phase à venir.


La musique d’ambiance et la chaleur régnant dans la pièce n’eurent pour effet que de détendre notre toute belle, l’offrant encore plus à notre plaisir de l’emmener vers les cieux du plaisir ultime. Deux minutes plus tard, tout était prêt pour la phase suivante de cette aventure sensuelle, permise et tant désirée par cette jeune cliente au copain généreux, qui lui offrait un cadeau à faire vivre à toutes les femmes, au moins une fois dans leur vie, celui de la satisfaction de tous les désirs et de tous les plaisirs.


Sans même entrer dans la pièce, Alain venait d’y déclencher une fine bruine chaude, provoquant ainsi une vapeur digne du meilleur bain turc qui puisse être. Totalement nus tous les deux, nous nous sommes alors approchés d’elle, l’avons départie de la fine pellicule gardant son corps au chaud les minutes précédentes, et avons mis en marche la projection de l’eau qui allait faire œuvre de massage sur toute la surface de ce corps aux formes si généreuses et si désirables.


Les fines gouttelettes tombaient de plus en plus intensément sur le corps étendu devant nous, et France se mit à jouer avec elles, espérant une chute ici et un contact là. J’ai alors pris l’initiative de complémenter l’action de l’eau sur ce corps en débutant un massage des pieds pendant qu’Alain faisait de même avec le visage et les épaules de notre belle cliente, offerte à nos caresses.


Déplaçant ses bras vers le haut de façon à laisser plus de liberté aux futures caresses d’Alain, France effleura son sexe déjà dressé depuis longtemps. Elle sourit alors et le prit en main, jouant délicatement avec la hampe au début puis de plus en plus intensément, le décalottant d’une main et lui massant les couilles de l’autre, de telle sorte qu’Alain, ne pouvant faire autrement, se mit à gémir sous les caresses expertes de cette femme.


Pour ma part, un peu jaloux de ne pas avoir choisi le bon bout de table, le sexe au garde à vous, j’entrepris d’écarter doucement les cuisses de France qui n’offrit aucune résistance. Toujours excité par les gémissements de mon frère, j’ai léché chaque centimètre de ce corps offert, des pieds aux genoux puis aux cuisses, et enfin ce sexe de femme ne désirant rien de mieux que d’être dévoré sur le champ. Goûtant chacune de ses lèvres, tant grandes que petites, je me suis délecté de chaque parcelle de ce sexe si réceptif aux incursions de ma langue et au suçotement de son clitoris gorgé de plaisir.


Ne voyant plus ce qui se passait ailleurs je me suis appliqué à donner tous les plaisirs, permis ou non, à cette femme si désireuse de vivre ces moments de douce extase. Si bien que je n’ai pas perçu les signes avant-coureurs d’un orgasme fulgurant qui parcourut soudain ce corps perdu. Au même moment, j’ai senti quelque chose me frapper de plein fouet sur la tête. Ouvrant les yeux, j’ai eu le privilège de voir mon frère jumeau asperger le visage et les seins de France de plusieurs jets de sperme, plus puissants les uns que les autres. France n’en finissait plus de jouir et de gémir son plaisir. Lorsqu’elle s’est apaisée, elle semblait avoir perdu la vie, les yeux vers le ciel, ne regardant nulle part.


Mon frère, reprenant ses esprits, comprit d’un signe de tête de ma part qu’il était temps pour lui d’aller préparer un goûter, qui serait pour nous le moment de reprendre des forces.


Alors seul avec France, je me suis glissé langoureusement sur son corps, la massant ainsi de bas en haut avec mes épaules, mes pectoraux, mes abdominaux et finalement ma queue tendue au maximum par les visions précédentes. Lorsque je suis arrivé à la hauteur de ses seins dont les mamelons étaient toujours en érection, j’ai pris en bouche chacun d’eux, passant de l’un à l’autre sans prévenir, faisant monter toute l’aréole de ceux-ci en mamelon, telle que je sais si bien le faire dans ces circonstances.


J’ai poursuivi mon ascension vers ses lèvres déjà entrouvertes, attendant les miennes et mon sexe, gorgé de désir, s’est présenté à l’ouverture du sien. Regardant ses magnifiques yeux noisette qui ne demandaient pas mieux que de sombrer à nouveau dans le brouillard du plaisir de la chair, j’ai progressé tout doucement en elle, désirant ressentir chaque millimètre de cette pénétration.



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La douce et lente intrusion d’un sexe est toujours une sensation divine. Cette fois-ci ne fait pas exception à la règle. La verge du dévoué Alex me parait brûlante, malgré la chaleur de ma fente humide. Commence alors un tendre et langoureux va-et-vient. Alex sait ce qu’il fait. Il s’enfonce en moi, jusqu’à ce que ses hanches et son pubis ne fassent plus qu’un avec les miens. Puis il ressort presque entièrement, me laissant croire à chaque fois que cela cessera. Sa joue est collée à la mienne, son souffle chaud me caresse l’oreille. Je sens ses mains retenant fermement mes hanches qui forment un appui naturel, de par leur légère rondeur.


Au même rythme que la montée de notre plaisir, les mouvements d’Alex se font peu à peu plus rapides, tout en restant longs et doux. Je sens son gland qui écarte mes lèvres et pénètre en moi, et mes lèvres se refermer autour de son vit, et la douce sensation du frottement de son gland sur les parois de mon intimité, s’enfonçant jusqu’à tendre le fond de mon vagin, juste ce qu’il faut entre l’exquise douleur et le plaisir fulgurant. Je sens la pression exercée par son sexe sur mon petit point sensible à l’entrée de mon vagin. Le plaisir monte en moi et l’orgasme se rapproche.


Les mains expertes d’Alex caressent mon corps, des hanches jusqu’aux seins qu’il palpe avec lenteur, faisant tourner son doigt autour de mon mamelon dressé. Soudain, il se retire et me tient les seins fermement entre ses mains, écrasant sa bouche contre mes aréoles de chair brune. Son regard croise le mien et je vois une lueur d’envie briller au fond de ses yeux. Malgré la jouissance imminente, je désire lui faire plaisir. Je sais d’ailleurs que nous aurons ensuite le temps de nous occuper de mon orgasme.



Il monte sur moi, retire le condom et glisse son membre dressé entre mes seins généreux. Il les presse fermement l’un contre l’autre, emprisonnant du même coup son sexe. Sachant que ma forte poitrine est à l’origine de ce fantasme chez plusieurs hommes, je suis heureuse de lui permettre de le réaliser. De plus, la crosse mexicaine - ou branlette espagnole - offre certains avantages : elle permet de titiller du bout de la langue le gland violacé qui se balade entre les seins. Chaque fois que son sexe arrive à la hauteur de ma bouche, je le lèche rapidement, faisant monter l’envie de prendre en elle ce merveilleux gland. Lisant sur mon visage l’expression de mon désir, Alex cesse son mouvement entre mes seins pour s’asseoir sur la table, près de moi. Sautant à terre, je m’accroupis entre ses cuisses et prends son sexe dans ma main.


J’adore savoir que j’ai de l’emprise sur un homme. La meilleure façon de m’en rendre compte est de le prendre en bouche et de contrôler la dose de plaisir que je lui procure. Je raffole aussi des pénis, j’aime la courbe du gland, la peau lisse que je frotte sur ma joue, les veines sur lesquelles je laisse courir le bout de mes doigts, puis le bout de ma langue. Je me régale du goût enivrant d’un pénis après une bonne baise. Le mélange salé de sueur, de sperme et de mon liquide intime me rend folle de désir.


Je prends donc lentement le sexe d’Alex entre mes lèvres, tournant ma langue autour de son gland au fur et à mesure que je l’enfonce en moi. J’aime sentir les hommes contracter leur membre dans ma bouche pour qu’il devienne encore plus épais. C’est ce moment que je choisis pour enfoncer le sexe d’Alex tout au fond de ma bouche, puis dans ma gorge, si profondément que je le sens plier pour en suivre la forme. Alex pousse un petit gémissement de plaisir qui me fait reculer pour le regarder dans les yeux, tout en léchant avidement son sexe, de la base jusqu’au gland, pour retourner à la base et sur ses testicules. Je remarque dans son regard qu’il vient de réaliser qu’il a perdu le contrôle de la situation, et cela m’excite au plus haut point.


Je glisse donc ma langue sur ses testicules, ma joue est chatouillée par les petits poils drus qui s’y trouvent. Je lèche la mince ligne, pareille à une cicatrice, qui marque la séparation entre les deux petites boules. Je referme alors ma bouche sur l’une d’elles et la coince doucement entre mes lèvres. Je la caresse du bout de la langue au travers du scrotum et je peux sentir le corps d’Alex frémir. Je lâche son testicule et retourne engloutir son sexe dans ma bouche. Il est à peine plus petit que celui de mon copain, l’expérience et la pratique me permettent de le prendre en entier dans ma bouche.


Un sexe courbé dans la gorge, le nez enfoui dans ses petits poils bouclés, je commence à vouloir ma part du plaisir. Je me concentre donc sur un va-et-vient le long de sa queue, accélérant la cadence au rythme de son désir. Sentant les muscles de ses cuisses se contracter, écoutant les grognements rauques qu’il pousse et prenant conscience de l’onde de plaisir qui approche, je libère son sexe et me redresse pour le regarder droit dans les yeux.



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Ah Ah, Familiprix ! Tu veux jouer à ça ! Tu veux que le Môsieur se gonfle les couilles sous tes caresses magiques, tu lui mets le sang en ébullition mais tu ne termines pas le travail, et tu crois que tu vas le laisser mourir ainsi sur son appétit… Eh bien, on va bien voir si tu vas résister au beau cadeau d’anniversaire que j’ai spécialement choisi pour toi…


Sachant que derrière la vitre sans tain se régalait de nos ébats mon frère jumeau, dont elle n’avait pas encore vu le visage mais uniquement senti les mains sur son corps et les couilles se vider sur elle, je lui réservais une surprise de taille… Je lui ai donc demandé de se coucher sur le ventre, en travers de la table, les pieds au sol. Elle s’est alors étendue, les bras au-dessus de sa tête, s’allongeant telle une chatte qui se réveille. J’ai pris ses deux mains dans les miennes, l’étirant encore plus, question d’écraser ses énormes seins contre le marbre. Ses seins entre lesquels j’aurais bien aimé répandre mon plaisir lorsqu’elle m’y branlait avec tant de tendresse se retrouvèrent donc tellement à plat qu’ils dépassaient d’un bon huit, voire dix centimètres de chaque côté d’elle. Étendue de cette façon, elle ne pourrait pas se relever ni échapper au supplice qui l’attendait. J’ai alors fait un signe de tête à mon frère jumeau, lui indiquant de mettre en marche la douche d’eau glacée, généralement réservée à la reprise du tonus musculaire et cutané. Il actionna donc la douche, déversant directement sur elle une trombe d’eau très froide.



La douche ne coula de cette façon que deux ou trois secondes, le temps de la faire crier à pleins poumons, et le jet se changea en une douce et chaude bruine parfumée. J’ai alors lâché ses mains, la maintenant quand même à plat ventre sur la table, et j’ai commencé un doux massage de ses épaules.



Faisant le tour de la table afin de me retrouver du côté de son postérieur, j’ai continué mon délicieux massage sur le bas de son dos, ses cuisses et bien sûr… ses fesses, en relevant ces dernières à chaque passage. Je pouvais voir entre elles un petit œillet m’invitant du coin de l’œil à le prendre. Mais cela allait attendre un peu car je devais me vider les testicules au plus tôt. Ils me faisaient mal tellement ils étaient pleins. Cette petite garce adorée m’avait emmené au point de non-retour plusieurs fois et je me devais maintenant de me soulager et de remplir jusqu’à ras bord le deuxième préservatif que je venais tout juste d’enfiler. Relevant un peu plus son postérieur et écartant ses cuisses, je n’ai eu aucune difficulté à me retrouver bien fiché en elle, butant contre le fond de son con dès le premier coup. Ne la ménageant aucunement, j’enfonçais mon gourdin et le ressortais aussitôt, afin de ne pas lui laisser le temps d’en apprécier la présence au fond de sa chatte bouillante. À ce rythme, deux ou trois minutes suffirent à me transporter à la porte du paradis, oubliant même que j’étais là pour le plaisir de Madame. Je sentais la chaleur monter de mes couilles et chercher, en urgence, la sortie. D’un coup, j’ai perdu toute notion du temps, éjaculant en elle à grand coup de reins, n’entendant que mes gémissements et les couinements de cette femme qui m’avait suivi dans ma montée vers le septième ciel. Nous étions deux à en traverser les portes. Deux corps, un seul grand plaisir !


Reprenant ses esprits, France me dit alors :