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Temps de lecture estimé : 29 mn
02/03/08
Résumé:  Initiation d'une jeune baby-sitter par un couple BCBG libertin.
Critères:  ff ffh jeunes couplus voisins fépilée anniversai fsoumise exhib noculotte lingerie facial fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo sm fouetfesse init -totalsexe -couple+f -vêtements
Auteur : Chrystelle  (Chrystelle 24a)            Envoi mini-message
Baby-sitting de rêve

Avant tout, une petite présentation s’impose. Je suis Justine, j’ai 20 ans et depuis trois ans environ je fais du baby-sitting chez des particuliers. Je suis une jeune fille blonde, j’ai les cheveux longs gaufrés, des yeux gris-vert, je mesure 1,76 m pour 52 kg. Je suis ce qu’il est convenu d’appeler une jolie fille style plutôt BCBG, même si j’aime être sexy.


L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée il y a deux ans environ. Dans notre quartier chic de la banlieue lyonnaise, j’avais la réputation d’être une fille sage et délicieuse avec les enfants. Aussi, les sollicitations des parents ne manquaient pas et, presque tous les mois, j’avais une ou deux soirées retenues.


Parmi mes différents employeurs, il y avait depuis six mois environ un couple charmant. Lui, Xavier, devait avoir 30 ans, brun, grand et sportif, toujours très BCBG, les yeux bleus. Elle, Chrystelle, avait six ans de moins que lui, était blonde aux cheveux longs, sublime, avec à peu près la même corpulence que moi. Ils étaient tous les deux délicieux et attentionnés avec moi. Je les trouvais charmants. Xavier, qui se chargeait chaque fois de me raccompagner, était devenu pour moi une sorte d’idéal. Mais il y avait Chrystelle, si belle, si craquante… Je n’étais pas de taille.




Ce soir-là, l’ambiance est différente. Je les trouvais chez eux alors qu’ils s’apprêtaient à sortir. Xavier était déjà prêt, dans un costume en lin froissé superbe, dans des tons écrus sous lequel le tee-shirt noir dessinait parfaitement son torse musclé. Son eau de toilette m’enivrait déjà. Il était 20 h 30 et leur enfant dormait déjà. Comme toujours Xavier est très attentionné avec moi, me complimentant sur ma tenue. Je portais un top noir avec une mini en jeans plissée très mode et surtout des bottes noires souples à talons hauts qui semblaient faire leur petit effet. J’en étais ravie.


Seulement voilà, Chrystelle n’est pas prête, et visiblement Xavier est au comble de l’énervement. Chrystelle était dans la suite parentale, une immense chambre avec sa salle de bain et son dressing.



Cinq minutes passent alors que je me suis installée dans le canapé. Xavier fait les cent pas dans le hall d’entrée.



Je me lève et me dirige vers la chambre. La porte est fermée, je frappe.



J’entre en prenant soin de refermer la porte derrière moi. Je découvre Chrystelle nue face au grand miroir en train de poser sur ses seins une guêpière en dentelle rouge du plus bel effet. Elle me sourit dans le reflet et je me positionne dans son dos pour fixer les petites attaches qui courent le long de sa colonne vertébrale. Ayant commencé par le haut je descends lentement jusqu’au creux de ses reins où je positionne la dernière agrafe. Accroupie dans son dos, j’ai la confirmation de sa beauté, son petit cul rebondi m’excite au plus haut point. Il n’y a aucune marque de bronzage, et si j’osais je déposerais un baiser sur chacune de ses fesses.



Perdue dans mes pensées coquines, j’en avais complètement oublié Chrystelle qui avait déroulé sur ses longues jambes fuselées des bas voiles noirs sublimes. De vrais bas couture en nylon, aux revers plus sombres, sur lesquels elle fixe les jarretelles de devant, m’invitant à fixer celles de derrière en prenant soin de positionner parfaitement la couture bien droite. Je m’y applique tout en constatant que le rouge me monte aux joues.



Je lui passe ses escarpins noir vernis aux talons hauts d’au moins dix centimètres. Elle est superbe ainsi parée. Je l’admire, dans sa quasi-nudité me dévoilant l’absence de culotte soulignée par une épilation totale de son sexe, qui m’apparaît parfaitement lisse. Perchée sur ses talons hauts, elle est si différente, si sensuelle, dans cette tenue sexy à souhait. Elle me demande de lui passer une robe en dentelle rouge qui était posée sur le lit et l’enfile directement sur la guêpière. Un collier de perles ras du cou et des boucles assorties complètent la tenue. Alors que je ne peux détacher mes yeux de la belle, elle me dit :



Chrystelle enfile un manteau, et c’est avec un clin d’œil complice qu’elle me laisse dans leur appartement. Il est près de 21 heures…


Me voilà seule, je vérifie que leur fille dort ; je vais pouvoir regarder la télé. Je m’installe dans le salon devant le grand écran plat, dans ce magnifique canapé de cuir ivoire. Malgré une profusion de chaînes de la télévision par satellite, je zappe sans vraiment trouver un programme intéressant. Tout en repensant à ce début de soirée avec Chrystelle, je tombe, par hasard, sur Playboy TV.


Le programme est constitué de mini-films de charme où les corps des actrices sont sublimés par de la belle lingerie. Je repense à Chrystelle dans cette magnifique guêpière… Tout naturellement, ma main droite glisse sur le haut de ma cuisse, remontant ma mini plissée jusqu’à dévoiler le revers de mes Dim up noirs. Je me mords les lèvres, j’ai envie de me caresser mais je ne peux pas, pas ici, pas chez eux…


Elle était si sensuelle, si belle dans cette tenue… Comme j’aimerais être à sa place.


Il faut que je me calme. Je me lève et me dirige vers la cuisine pour boire un verre d’eau fraîche. Il est près de 23 heures déjà, ils doivent rentrer vers minuit trente. Je me dirige vers la chambre de l’enfant pour m’assurer que tout va bien, ce qui est le cas. Un amour à garder.


En retournant vers le salon, je passe devant la porte de la chambre des parents ; la lumière de salle de bain parentale est restée allumée, je vais aller l’éteindre.


Je remarque alors la commode de Chrystelle ouverte, un tiroir rempli de trésors de dentelle, nylon, satin, soie… Je suis attirée, mes yeux pétillent, je m’approche, admire, et bien évidemment, je touche. J’adore. Sans être fétichiste, j’ai toujours été attirée par la belle lingerie mais jusqu’à ce soir cela est resté sage. Certes, quelques balconnets et autres tangas ou strings font partie de mes trésors, mais jamais je n’ai porté de porte-jarretelles, ou mieux encore de guêpière comme celle que Chrystelle a mise ce soir. Pour ma part, si je préfère effectivement porter des Dim up plutôt que des collants, je n’ai jamais osé franchir le pas. En tout cas, pas avant ce soir…


Effectivement, l’occasion est trop belle et l’ensemble que je viens de découvrir est irrésistible, en dentelle noire brodée d’or. Il y avait là un délicieux balconnet, le string assorti minimaliste, et le divin porte-jarretelles. Je me sens rougir en même temps que l’excitation grimpe, tout comme l’envie d’essayer de suite.


Il ne me faut pas plus d’une minute pour me retrouver nue devant le grand miroir de la chambre de Chrystelle et Xavier, admirant mon reflet de jeune fille plus très sage. Mon piercing strass au nombril scintille, je remarque mes seins aux tétons dressés que je prends soin d’exciter encore davantage en les pinçant entre mes pouces et index, les caressant jusqu’à venir jouer avec ma langue dardée alors que je tire le téton vers ma bouche.


Mes yeux glissent sur le reflet de mon corps nu jusqu’à mon pubis blond et clairsemé. Je me saisis du délicieux porte-jarretelles, le pose sur mes hanches avant de le fixer, prenant soin de positionner les jarretelles de part et d’autre de mon pubis. Puis je pose le balconnet sur mes seins, les couvrant de cette précieuse dentelle, ce 90B est parfait sur moi. Mais les jarretelles tirebouchonnent sur mes cuisses, je me veux belle, désirable, autant que pouvait l’être Chrystelle ce soir, aussi parfaite. Dans le tiroir du dessous, je trouve une multitude de bas noirs, gris, chairs… y compris des pochettes de bas neufs.



Je ne peux résister, j’ouvre l’emballage et sors ces quelques grammes de nylon qui vont changer ma vie. Assise sur le bord de leur immense lit je prends soin de rouler puis d’habiller mes jambes de cette seconde peau… humm, un délice, des bas si fins… j’adore ! Je fixe les jarretelles devant puis, en me soulevant légèrement, derrière, avant de me remettre debout face au miroir…


Je ne peux pas les abîmer, il me faut des chaussures. Dans le dressing, toute la partie basse en contient des dizaines de paires. Je choisis une paire d’escarpins noirs vernis avec des talons de près de 10 centimètres. Je me chausse et reviens devant le grand miroir, perchée sur mes talons, impudiquement cambrée.


Waouh ! L’image que me renvoie celui-ci n’a plus rien à voir avec la jeune fille sage du début de soirée. Je suis sublime, une vraie femme, ainsi je peux rivaliser avec n’importe laquelle des actrices de X qui fascinent tant les garçons de mon âge. J’ajuste les jarretelles, tirant sur les bas pour les faire monter un peu plus haut. J’avais laissé sur la commode le string assorti ; je m’en saisis, il est vraiment mini, en dentelle noire brodée d’or, presque transparent devant, et pour la partie pile réduit à la plus fine des ficelles.


Délicatement je soulève un pied sans quitter mon escarpin et enfile le string, puis l’autre pied. Je remonte ce petit bijou, couvrant ma fine toison en prenant soin de le placer haut sur mes hanches par-dessus le porte-jarretelles.



C’était la voix de Chrystelle, debout dans l’encadrement de la porte. Je n’avais rien entendu, mais quelle heure était-il ? Je n’avais vu le temps passer…



J’étais honteuse, je tentais de m’excuser, de me justifier… je bredouille… Me tendant la main, Chrystelle me fait m’approcher tout près d’elle.



Je n’avais pas vraiment le choix, et c’est comme dans un rêve que, me tenant par la main, perchée sur mes talons hauts, je me laissais guider par la belle Chrystelle, qui avait gardé sa robe dont je savais les trésors qu’elle dissimulait.


En entrant dans le salon, Xavier, qui était dans l’un des fauteuils, resta figé.



Sur ces mots Chrystelle met un peu de musique et m’entraîne dans un slow à deux filles, moi toujours en lingerie, devant Xavier qui boit dans son fauteuil. Nous sommes collées l’une à l’autre, elle danse de façon si sensuelle ; je me laisse guider. Chrystelle dépose des petits bisous dans mon cou, puis ses lèvres remontent, jouent avec mes oreilles, je frissonne. La fièvre monte en même temps que le rouge aux joues.


J’adore, ses lèvres se posent sur les miennes, elle me fixe dans les yeux. Je ferme les miens en même temps que mes lèvres s’entrouvrent, sa langue pointe déjà à la rencontre de la mienne… Un vrai bonheur de sensualité de tendresse d’érotisme. Ses mains sont posées sur mes hanches, je sens ses doigts fins jouer avec le porte-jarretelles et le string posé dessus. Puis l’un d’eux glisse sous la fine bande de dentelle, je suis en plein rêve. Sa bouche murmure, tout près de mon oreille, dans un souffle…



Elle me sourit, je regarde Xavier en faisant glisser le zip dans son dos. Il a posé son verre. La robe s’ouvre sur cet écrin de dentelle rouge. Chrystelle reprend ma bouche puis, après ce baiser torride, se tourne face à Xavier, me tournant le dos. Je fais glisser la robe, dévoilant la guêpière, puis l’absence de culotte sur son sexe fraîchement épilé, et enfin les bas soyeux tendus sur ses jambes sublimes. Chrystelle enjambe la robe en se tenant à mes épaules.



Nous sourions toutes les deux, avant de nous embrasser de nouveau. C’est si doux, si sensuel… Je m’abandonne dans les bras de Chrystelle. Ses doigts jouent avec mes fesses puis remontent sur mes hanches ; passant la barrière de dentelle du string et du porte-jarretelles, ils parcourent mes reins ; enfin, ils se posent sur l’attache du balconnet. Elle me fixe droit dans les yeux, les siens brillent, et je suis sûre que les miens sont remplis de mille feux.



Pour toute réponse je me mords la lèvre inférieure en fermant les yeux. Les doigts habiles de Chrystelle s’attaquent à la fermeture de mon balconnet. Celui-ci ne résiste pas plus longtemps que moi et déjà Chrystelle entreprend de faire glisser les bretelles sur mes épaules. Elle me met face à Xavier, se positionnant dans mon dos, avant de retirer les deux corbeilles de dentelle noire et or, m’exhibant à son mari. Elle jette en direction de Xavier le bout de dentelle, puis repose en coupe ses mains sous mes seins, avant d’entamer une longue et douce caresse qui fait poindre mes fines aréoles brunes et se tendre encore davantage mes tétons durcis. Son souffle au creux de mon épaule et les yeux de Xavier sur mon corps me font fondre.



Je me retourne face à Chrystelle et cette fois c’est moi qui lui force les lèvres, y glissant ma langue pour inviter la sienne dans un balai des plus érotiques. Je me sens fondre, mouiller dans mon string minimaliste. Elle doit le sentir, ses doigts glissent entre nos deux corps serrés pour finir leur course sous mon petit string. Sa main passe à plat alors que je ne peux détacher mes lèvres des siennes. Hum, elle est douce, son index passe sur ma fente qui s’entrouvre déjà toute humide. Elle m’arrache un petit cri lorsque le bout de son ongle french manucuré vient buter contre mon bouton déjà sorti de sa cachette.


Mon souffle s’accélère au fur et à mesure que sa caresse se fait plus précise. Elle me repositionne face à Xavier sans que sa main ne quitte mon clitoris et ma fente de plus en plus humide. Chrystelle me caresse divinement ; le plaisir monte déjà, exhibée dans cette tenue hyper-sexy devant Xavier dont l’image m’a si souvent accompagnée lors de mes plaisirs solitaires.


Offerte à ces yeux, à cette main, la bouche entrouverte, je me laisse aller à un premier plaisir qui monte, comme une boule au creux de mon ventre, et qui vient exploser dans ma poitrine, mes tempes.



Je me tourne face à elle pour lui donner un baiser tendre plein de gratitude pour ce moment intense. Elle sépare nos lèvres et me fixe droit dans les yeux.



Sous le coup du plaisir et de ces derniers mots je n’ose bouger, je reste figée. Chrystelle s’agenouille devant moi et lentement, après avoir posé ses mains sur mes hanches, entreprend de faire glisser le mini-string sur le porte-jarretelles puis le long de mes jambes gainées de nylon noir. Instinctivement, je soulève successivement chacun de mes pieds chaussés d’escarpins aux talons hauts pour l’enjamber. Elle le jette à Xavier où il rejoint le balconnet en trophée sur l’accoudoir du fauteuil de cuir ivoire.


Timidement, j’ai positionné mes mains devant mon sexe blond, la tête baissée, déjà soumise. Chrystelle se relève, face à moi, en m’ordonnant de mettre mes mains sur mes hanches et d’écarter mes jambes, debout, de dos à Xavier. Je m’exécute, à la fois intimidée, apeurée par la suite des évènements, mais aussi terriblement excitée.



Fermant les yeux, je m’allonge sur les genoux de mon divin bourreau, attendant l’exécution de la sentence. Il me semble saisir son trouble en m’allongeant sur lui. Son fin pantalon de lin écru est tendu, je le sens, alors que sa main douce et ferme se pose sur l’une de mes fesses, la parcourant et provoquant un délicieux frisson. Je relève mes cheveux derrière mes oreilles et tourne légèrement la tête pour regarder Chrystelle qui vient de s’asseoir dans le canapé nous faisant face. Elle est si belle, si indécente, elle vient de passer l’une de ses jambes sur l’accoudoir, s’exhibant à nous deux. J’imagine que Xavier ne la quitte pas des yeux. Sa main me parcourt, glissant sur l’une de mes fesses avant de parcourir l’autre… Hum, un délice qui me fait délicieusement mouiller alors que j’ai joui il y a moins de dix minutes.


Puis il me force, sans que je n’oppose beaucoup de résistance, à écarter mes jambes. Sa main parcourt ma raie, je ferme les yeux alors que son index pointe sur mon petit trou plissé avant de glisser plus bas, où l’humidité règne. Je les rouvre pour découvrir que Chrystelle se caresse. C’est magnifique de sensualité, elle est belle, ses doigts fins aux ongles longs parcourant sa fente lisse et déjà luisante de son plaisir naissant.



Je me cambre dans l’attente du supplice. Mais au lieu de celui-ci, c’est un délicieux baiser qu’il dépose sur ma fesse la plus proche, alors que son index force mes lèvres qui s’ouvrent sur mon plaisir.



Je me lève délicatement, sensuellement, devant Xavier. Je sens ses yeux, mais aussi ceux de Chrystelle, parcourir mon corps ainsi exposé. Face à lui, les mains sur les hanches juste posées sur cette délicieuse ceinture de dentelle, je lui demande :



C’est ainsi que je me positionne accroupie devant lui et que délicatement j’entreprends de défaire sa ceinture. Puis je m’attaque au bouton du pantalon avant de baisser le zip de la braguette où déjà je sens la tension qui l’habite… Il se soulève légèrement pour que je le débarrasse de son fin pantalon, ne lui laissant que son tee-shirt noir et son boxer en lycra moulant parfaitement sa virilité.


Mes amoureux me décrivent souvent comme une délicieuse petite vicieuse lorsque je commence à les sucer. Il est vrai que j’adore cette pratique, où il me semble dominer complètement mon partenaire en tenant son plaisir entre mes lèvres.


Ainsi, je dépose des petits bisous sur le lycra noir puis lentement ma langue passe sur toute la longueur de cette bosse qui ne fait que grandir. Enfin, au comble de l’excitation de Xavier, je le libère, faisant franchir à sa queue turgescente le rempart de lycra noir en la saisissant des mes doigts fins. Il est aux anges, le chéri de Chrystelle. Le fixant droit dans les yeux avec mon sourire le plus ingénu, je le porte à ma bouche, déposant au bout du gland un petit bisou des plus sages…


Tout en le maintenant entre mes doigts, j’entreprends de le branler lentement tout en le fixant dans les yeux, une pratique qui, je le sais, ne les laisse jamais indifférents. Puis c’est un petit coup de langue rapide qui parcourt son gland, lui arrachant un râle de plaisir. Je continue à le branler en le fixant de mes yeux verts. Et enfin je le prends dans ma bouche, lentement, entre mes lèvres. Très douce, je m’applique à le prendre le plus lentement possible, lui faisant profiter de la douceur de ma langue et de la chaleur de ma bouche. Ouvrant les yeux de nouveau, je le fixe : il est à moi.



Je m’applique en effet, alternant les séquences de fellation rapide et d’autres, beaucoup plus lentes, où je le fais sortir pour lui asséner de délicieux petits coups de langue sur le gland ou mieux, sur toute la longueur, jouant toujours de mes yeux dans les siens pour implorer son plaisir. Chrystelle vient de se lever pour se positionner à mes côtés. Elle est si belle, si sensuelle, je suis obligée de me surpasser. Je vais dépasser tous mes tabous pour lui prouver à elle mais aussi à Xavier que je suis la plus douée de leurs amies de jeux intimes.


Elle me fixe dans les yeux alors que je suce son chéri du mieux possible lui arrachant mille râles de plaisir. Je lui souris tout en continuant à branler Xavier d’une main. Elle me tend ses lèvres, nous nous embrassons de nouveau, sa langue me fouille, je la câline, la cajole, j’adore. Puis je reprends Xavier dans ma bouche alors que Chrystelle a remplacé ma main par la sienne, lui imposant un rythme encore plus élevé. Mes yeux se perdent de nouveau dans ceux de Xavier qui semble lutter pour ne pas craquer. Chrystelle semble lire dans nos yeux à tous les deux.



Je me retire légèrement pour déposer le gland sur ma langue sortie. Habituellement, dans cette position et alors que je les branle de plus en plus vite, mes amours ne tiennent que très peu de temps avant de me strier le visage de belles traînées de sperme tiède. Mais là, Xavier en veut plus que cela…



Mes yeux s’écarquillent, je n’ose comprendre, je dois rougir. Chrystelle me pousse légèrement sur la nuque pour que je reprenne Xavier en bouche. Comme dans un rêve, je me mets à le sucer encore plus profondément, le sentant grossir encore sur ma langue alors que Chrystelle pose sa main sur mon sexe mouillé. Elle me caresse, passant sa main à plat. Puis son index frôle mon bouton, m’arrachant un râle de plaisir étouffé par mon bâillon de chair.



Une, puis deux, puis trois décharges de sperme s’écrasent sur mon palais. Je prends soin de ne rien perdre, et alors que j’ouvre les yeux je vois Xavier tétanisé par le plaisir, tendu comme un arc sur son fauteuil. Il ressort de ma bouche, et en me tournant vers Chrystelle je lui montre le plaisir de son chéri dans lequel ma langue surnage. En la fixant dans les yeux, je déglutis une, puis deux gorgées, salées et tièdes. Une grande première pour moi, mais là j’avais tellement envie de lui montrer que j’étais à la hauteur.



Pour toute réponse, Chrystelle colle ses lèvres aux miennes et nous échangeons un baiser souillé du plaisir de Xavier


Délicatement, nous nous relevons ensemble, Chrystelle et moi, et alors que Xavier semble enfin apaisé, nous nous embrassons en nous dirigeant vers le grand canapé de cuir ivoire. Délicatement, nous nous asseyons sagement, tout du moins autant que nous pouvons l’être dans nos tenues affriolantes, l’une à côté de l’autre, l’une serrée contre l’autre. Très vite Chrystelle m’offre de nouveau ses lèvres, sa langue. Ce baiser est torride long, sensuel, amoureux. Nous échangeons notre passion devant Xavier qui ne nous quitte pas des yeux.


La main droite de Chrystelle se pose sur ma cuisse gauche, faisant crisser le nylon de mes bas. Un frisson me parcourt au même rythme que sa main remonte d’abord sur le revers de nylon plus sombre, puis suivant la jarretelle de dentelle noire tendue sur le devant de ma cuisse. Alors que je tète la langue de mon amante, je sens sa main s’approcher de mon jardin secret. Mon souffle s’accélère, mon cœur s’emballe alors que ses doigts glissent sur mon fin duvet blond. D’instinct mes jambes s’entrouvrent, comme une invitation pour ma belle à aller plus loin encore dans sa divine caresse.


Sa main passe à plat sur mon sexe semi-épilé – j’ai l’habitude de laisser un petit triangle au-dessus de mon bouton d’amour – m’arrachant déjà un souffle. Puis, en remontant, son index à la traîne entrouvre mes lèvres les plus intimes. Un délice, d’abord la pulpe de cet index si fin, si long, puis la légère griffure de l’ongle manucuré sur mon clitoris. Je me cambre, m’offrant davantage pour mieux profiter de cette caresse. Je ferme les yeux, offerte à mon plaisir et aux caresses de mon divin bourreau.


Chrystelle est une experte ; son index joue avec mon bouton puis replonge dans mon antre mouillé de mon plaisir naissant. Je me mords les lèvres, ouvrant les yeux pour voir Xavier qui semble ne pas être indifférent au spectacle que nous lui offrons. Le chéri se branle, retrouvant toute sa superbe.



Chrystelle se penche vers moi m’embrasse de nouveau, puis sa bouche glisse sur mon buste, déposant de délicieux baisers sur mes seins, prenant plaisir à les faire se darder encore davantage, m’arrachant mille râles de plaisir. Son souffle me surprend lorsqu’il s’abat sur mon clitoris excité par son index omniprésent. J’ouvre les yeux en grand, elle est entre mes jambes, indécemment ouvertes devant ses yeux.


Enfin, sa bouche dépose un baiser sur mon clitoris, je me cambre… quel bonheur ! Je me sens couler sur sa langue alors que celle-ci me pourlèche. J’adore cette caresse, j’apprécie que mes amants me fassent jouir ainsi mais là, c’est géant, le plaisir monte comme une boule du fond de mon estomac pour exploser dans ma poitrine…



Et nous nous embrassons de nouveau, longuement, fiévreusement.


Xavier se lève et se dirige vers notre canapé. Le chéri est dans un état d’excitation hors normes, il s’est branlé pendant que Chrystelle me faisait atteindre le Nirvana. Délicatement, je le vois se positionner entre les jambes gainées de nylon noir de sa tendre épouse. Tout aussi délicatement il dépose un tendre baiser sur son sexe impudiquement dévoilé, où naissent déjà les perles de son plaisir.


Un peu rude, mais typiquement masculine, sa langue parcourt la fente du sexe de sa partenaire, l’ouvrant encore davantage à son passage. Chrystelle ferme les yeux alors que je dépose un nouveau baiser sur ses lèvres où, une nouvelle fois, je rencontre sa langue mutine. Plus bas l’action gagne encore en intensité. Xavier aspire le délicieux bouton tout en pénétrant de son index le puits d’amour de Chrystelle. Celle-ci semble apprécier notre double traitement, son souffle se raccourcit et s’accélère. Je quitte sa bouche, mes doigts comme ma langue laissent des frissons sur l’écrin de dentelle rouge formé par la guêpière de dentelle. Devant mes yeux, à quelques centimètres, je distingue parfaitement Xavier s’affairant sur le clitoris dardé de Chrystelle, impudiquement dévoilé par son épilation intégrale. Le coquin glisse un second doigt recourbé dans le sexe de Chrystelle qui apprécie le traitement.


Xavier me fixe dans les yeux et me tend ces deux doigts à sucer. Hum, j’adore, j’ai souvent léché mes doigts alors que je me donnais un plaisir solitaire mais là, le partage du plaisir de Chrystelle devant les yeux de Xavier me rend folle.


Alors que Xavier glisse de nouveau ses doigts en Chrystelle, je m’approche pour l’embrasser, lui offrant mes lèvres. Très vite, sa langue se glisse entre mes dents pour me fouiller ; je pose ma main sur le sexe de Chrystelle et, très vite aussi, je trouve son délicieux bouton d’amour dardé que je m’emploie à continuer à exciter. Elle semble vraiment apprécier, son bassin agissant en toute indépendance. Je ralentis le rythme, elle semble se calmer mais très vite c’est ma bouche qui vient se déposer sur son clitoris. Hum, elle mouille délicieusement, j’adore, ma langue se darde pour parcourir toute sa fente et enfin faire le tour de son bouton. Ce n’est pas la première fois que je le fais avec une autre fille, mais devant les yeux d’un homme c’est une grande première.


Xavier me laisse donner le maximum de plaisir à Chrystelle. Je continue de la lécher, d’aspirer son clitoris, en m’aidant de mon index que j’ai glissé dans sa grotte, lui arrachant des râles de plaisirs.



Chrystelle jouit dans une longue plainte sous ma langue et mes doigts. Elle se cambre alors que j’essaye de rester soudée à son plaisir, mes lèvres posées sur son clitoris.



Nous éclatons de rire toutes les deux alors que Chrystelle se relève pour venir m’embrasser.



L’air encore plus mutine que d’habitude, je dis à Chrystelle :



En nous tenant par la main nous nous dirigeons toutes les deux vers la cuisine. Chrystelle revient juste du paradis, et elle me dit :



Elle glisse une bouteille de ce délicieux breuvage dans un seau de glace et me le confie.



En moins de deux minutes, elle revient avec un petit sac contenant divers accessoires. Elle en sort une cravache en cuir. Alors que je dois rougir, elle passe la boucle de cuir sur mon petit cul qui frissonne sous la caresse. Me poussant ainsi vers le salon, elle dit à voix haute :



Debout, perchée sur mes talons hauts, seulement vêtue de mes escarpins, mes bas nylons noirs à couture et de ce délicieux porte-jarretelles en dentelle noire brodée d’or, les bras tenant le seau rempli de glace où baigne le divin breuvage, j’avance devant Xavier qui me fixe droit dans les yeux.



Me plaçant de dos à Xavier, j’accomplis ma tâche non sans y prendre un délicieux plaisir, me pliant en deux, jambes serrées, pour déposer le seau sur la table basse. En me relevant, je ne peux m’empêcher de vérifier mon effet en regardant par-dessus mon épaule celui à qui je vais devoir ma prochaine éducation.



Je contourne la table basse et pose mes genoux sur le canapé de cuir clair, comme demandé, jambes légèrement écartées. Je prends appui de mes mains sur le dossier, attendant, offerte.



Chrystelle, debout à mes côtés, fouille dans le sac et en sort un long gode en latex noir orné d’une queue de cheval en crin noir également. Dans sa main fine, aux doigts si fragiles et aux ongles longs, il apparaît encore plus imposant. Elle le caresse de l’autre main puis, me fixant dans les yeux, elle me dit :



Elle me le tend, alors que mes lèvres s’entrouvrent et que déjà elle force ma bouche. Je prends soin de bien saliver pour parfaitement humecter l’objet. J’ai le feu aux joues mais également au ventre, elle ne va pas oser me…



Indécente, cambrée, offerte, jambes écartées, les mains en appui sur le dossier du canapé ivoire, je me positionne comme indiqué. La main de Chrystelle se pose sur ma fesse droite, immédiatement un frisson me parcourt. Je me mords les lèvres, ma bouche s’entrouvre, mon souffle se fait plus saccadé. Alors que je ferme les yeux, un contact plus froid sur le haut de ma raie m’arrache un murmure. Très vite, mon divin bourreau le positionne sur mon étoile inviolée jusqu’alors.



La pression se fait plus forte, je me cambre, le bout du gode semble me perforer. Soudain, il entre, passant la barrière de mon muscle naturel et m’arrachant un cri de douleur.



Chrystelle vient de passer sa main libre sur mon sexe, m’arrachant de nouveaux frissons de plaisir mêlés à la douleur dans mes reins.



Elle le fait rouler entre ses doigts, j’adore, je me sens mouiller encore davantage. La douleur s’apaise dans mon petit trou, pourtant la pression qu’elle y exerce est de plus en plus soutenue. Elle a maintenant entrepris des allers-retours tout en douceur qui m’arrachent mille feux de douleur et de plaisir mêlés. Chrystelle fait monter mon plaisir en me caressant le clitoris comme une folle, il monte inexorablement. Je sens que je vais jouir alors que le gode est maintenu au plus profond de mon anus. Les crins de nylon, qui finissent le gode de latex noir, frottent sur ma raie au rythme de mes mouvements de bassin.



Elle fait même mieux que cela. Sous les paroles de Xavier, Chrystelle entreprend de glisser deux de ses doigts dans mon antre trempé. Prise des deux côtés, j’ai un mouvement de recul qui ne fait qu’accentuer la pénétration anale. Elle agite ses doigts joints de plus en plus vite dans mon vagin, le plaisir monte encore je ne vais pas pouvoir résister…



Un orgasme monstrueux me terrasse alors que ses doigts pressent mon bouton, et que deux autres sont fichés le plus loin possible dans mon sexe où ils jouent à caresser le gode à travers la fine paroi.



Me laissant à genoux sur le bord du canapé, le gode fiché entre mes fesses, sa main aux doigts si fins et si fragiles s’abat avec une violence inouïe sur chacune de mes fesses, à tour de rôle. J’essaye de me couvrir de mes mains, mais très vite Xavier, qui vient de se placer à mes côtés, me tient les bras. Je ne suis pas de taille face à ses muscles. Le feu sur mes fesses qui s’embrasent sous les claques que m’assène Chrystelle, la douleur la honte d’être ainsi offerte, godée, et cette sensation étrange de plénitude, le plaisir qui, de nouveau, monte en moi…


Je ne vais pas… mais si ! Un nouveau tsunami me submerge, je jouis longtemps, les fesses en l’air, en feu, la tête posée sur l’assise du canapé, aux côtés de Xavier qui se caresse lentement.


Après avoir retrouvé mon calme au bout de cinq longues minutes, Chrystelle me tend la main pour m’aider à me lever. Très lentement, avec le gode toujours planté entre mes fesses rougies, elle me positionne devant Xavier. Lui tournant le dos je devine le spectacle qui s’offre à lui : perchée sur mes talons hauts, les jambes gainées de fins bas de nylon noir tendus par les jarretelles de dentelle noire et or, encadrant mon petit cul perforé par le gode, dont seule l’extrémité ornée de ses crins noirs s’échappe.



Chrystelle, qui s’est positionnée devant moi, place mes mains sur ses hanches, juste sur le bas de sa délicieuse guêpière de dentelle rouge. Elle approche son bassin plus près de moi, j’ai devant les yeux son délicieux abricot. Je ne peux retenir d’y déposer un nouveau baiser, comme par magie ses jambes s’entrouvrent pour me laisser un libre accès à sa fente si bien dessinée. Je sens la pression inverse qu’exerce Xavier sur l’intrus qui perfore mon petit trou plissé pour l’extraire lentement. Je sens millimètre par millimètre son retrait, et soudain, c’est la libération totale, me laissant partiellement ouverte, je le devine.


Alors que ma langue taquine le délicieux clitoris de Chrystelle, Xavier parcourt de ses doigts ma raie ainsi offerte. Son index inquisiteur remplace le gode qui y était logé il y a peu. Très vite, il est rejoint par un second doigt coquin, ensemble ils se mettent en mouvement dans l’étroit conduit, m’arrachant de nouveau des râles de plaisir.



Chrystelle a fait se lever Xavier qui, tout en gardant ses doigts dans mon petit cul, lui présente son sexe bandé à sucer. La coquine ne se fait pas prier, elle semble aimer cela et le suce tout en l’enduisant de salive. En moins de deux minutes Xavier semble ne plus pouvoir se retenir. Chrystelle se relève et le tenant d’une main sûre le présente à mon petit trou.



Elle fait glisser un peu de salive sur son index pour parcourir ma raie et s’enfoncer dans ce trou habituellement si fermé.



Elle positionne le gland sur ma rondelle, j’ai un mouvement de recul, essayant de me dégager, mais Xavier me maintient par les hanches, les mains posées sur la dentelle de mon porte-jarretelles. Il pousse, j’ouvre la bouche un râle, un cri… le gland se fraye un passage



Chrystelle vient de poser ses mains sur celles de Xavier. Elle me tire à lui, m’empalant lentement sur son sexe si dur. Je viens buter contre son bas-ventre. Il me prend en totalité. Je reste ainsi, plaquée contre Xavier, les fesses en feu, alors que Chrystelle vient de se positionner de nouveau devant moi, m’invitant à dévorer son abricot. Xavier donne de très lents et courts mouvements de bassin. Je commence à m’habituer à sa présence dans mon fondement. Les mains posées sur les hanches de Chrystelle, je la lèche sur toute la longueur de sa fente, faisant monter en elle les prémisses du plaisir.


Son chéri accélère lentement, mais sûrement, mon plaisir monte de nouveau. Comment est-ce possible de trouver du plaisir à être ainsi saillie par cette voie si étroite ? Je ne saurais le dire, mais j’apprécie de plus en plus, tout en continuant à donner du plaisir à Chrystelle. Avec ma langue dardée sur son clitoris, je glisse mon index sur sa rondelle, elle se cambre, s’offrant à mon index. Xavier se déchaîne dans mes entrailles, il me pilonne en règle l’arrière-train…



Chrystelle part dans un orgasme qui la tétanise sur place, m’entraînant avec elle dans mon premier orgasme anal… Xavier, qui s’est immobilisé entre mes fesses, demande la permission à Chrystelle de jouir lui aussi.



Je me saisis de son sexe sortant de mes fesses, et commence à le branler alors que Chrystelle se positionne à genoux à mes côtés. Bouche ouverte, langue sortie, elle fixe ma main s’agitant sur le long sexe épais de Xavier. Celui-ci ne tarde pas à se raidir sous ma caresse…



Un premier jet strie le visage de Chrystelle, puis un second que je dirige directement dans sa bouche, suivi d’un troisième… et enfin, elle approche pour le prendre dans sa bouche, les yeux plantés dans ceux de son chéri. Chrystelle continue de le sucer lentement, tirant de son exercice de pompage les dernières gouttes de plaisir de Xavier.


Lorsqu’elle se tourne face à moi, sa langue baigne au milieu d’un flot de sperme. Xavier nous rejoint à genoux et assiste en direct à la moue peu engageante de Chrystelle au moment où elle avale le tout. Puis, ouvrant la bouche, elle est heureuse de nous montrer qu’elle aussi a tout avalé et que maintenant sa bouche est « propre ».


Je dépose un baiser sur ses lèvres, ma langue parcourt ses joues pour aspirer le sperme que Xavier a laissé lors de son premier jet. Je m’en délecte.



Nous nous embrassons tous les trois…



Nous rions tous les trois et nous nous promettons de recommencer très vite.