n° 12343 | Fiche technique | 13138 caractères | 13138 2414 Temps de lecture estimé : 10 mn |
03/03/08 |
Résumé: Le nouveau contremaître de mon atelier n'arrête pas de me draguer. | ||||
Critères: fh couple extracon collègues nympho poilu(e)s bizarre travail dispute odeurs fellation pénétratio fsodo portrait humour -humour -extraconj -attirgros | ||||
Auteur : Natasha Sanchez |
J’aime mon mari, j'apprécie sa brutalité, son côté un peu ringard et volontairement macho. J'adore la façon dont il me prend, avec vigueur et sans chichi, quand il me dit que je suis sa petite catin, et qu'il imagine qu’il abuse de moi.
Après plus de vingt ans de mariage, nous faisons encore l’amour presque tous les jours, toujours avec la même envie et le même empressement.
Je travaille à l’usine. De son côté, il est chauffeur routier. Je débauche généralement la première, sauf quand il a ses journées de récup. Lorsque je rentre chez moi, je me prépare à sa venue. Depuis le temps, je sais ce qu’il aime, mon Bernard ! À la maison, il veut que je sois entièrement disponible, sans soutien-gorge et sans petite culotte. Je m’y prête de bonne grâce, sans compter que cela me fait faire, en plus, des économies de lingerie fine. C’est ainsi qu’il m’aime : au naturel, sans maquillage et sans parfum. L’été, quand j’ai bien sué toute la journée, je sais qu’il adore en plus renifler mes dessous-de-bras, car mon odeur l’excite. Alors, de septembre à juin, j'évite aussi de me raser, il aime mes touffes de poil, mon homme.
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L’autre soir, je rentre à la maison après une journée vraiment pénible. À la boîte, nous avons un nouveau contremaître qui n’arrête pas de me draguer. J’ai beau avoir 45 ans, je continue à plaire, en particulier au gros Tonio. Ça a l’air d’être un sacré vicieux, celui-là ; il n’arrête pas avec ses plaisanteries grivoises et ses clins d’œil appuyés. Je trouve ça assez lourdingue, car je ne suis pas une Marie-couche-toi-là. Quoi qu’il en soit, je dois dire que ça m’excite de me sentir ainsi désirée. Et, si je n’étais pas mariée…
Enfin, passons. Je retire donc ma lolotte et remarque la tache jaune qui trahit mon émoi. À force de sous-entendus, il a fini par me troubler, cet enfoiré. Je dois reconnaître que ce gros cochon bedonnant m’excite. D’ailleurs, je pense un peu à lui en titillant mon clito, j'imagine sa boule à zéro et ses petits yeux vicieux… Si mon mari savait que je me touche en pensant à un autre mec, je recevrais une bonne torgnole qui, dans mon cas, serait amplement méritée. Ce n'est pas ma faute si j’aime les hommes lubriques ! Vivement que Bernard revienne, car j’ai très envie d’être baisée. Je ferme les yeux en me caressant un peu plus fort, Tonio est toujours là, dans mes fantasmes, je l’imagine en train de me bouffer la chatte. À force de me draguer à longueur de journée, il m’a donné envie de lui et de sa grosse bedaine, et ce qu’il y a en dessous m’a l’air bien rempli.
Enfin, les pneus de la voiture crissent dans l’allée, je suis vraiment toute trempée d’envie. Mon homme me retrouve assise sur le canapé, jupe relevée, en train de me doigter.
Effectivement, ce soir, j’ai des envies pressantes. Bernard s’approche de moi et défait sa braguette. Depuis le temps que je l’attends, cette bite. Je la lui sors, sa belle queue, et je l’embouche. Je la pompe avec avidité, j’en ai réellement l’eau à la bouche. Mais, là, mystère… j’imagine que c’est celle de Tonio et que nous sommes en fait dans l’atelier… je me monte tout un scénario dans ma tête pendant que mon mari me lime. De son côté, il ne faiblit pas, il a une bite d’enfer qui ne mollit jamais, mon homme. Pourtant, lorsque je jouis, c’est encore mon nouveau chef qui remplit mes pensées. Décidément, il entre dans tous mes fantasmes, ce gros ventru.
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Au bout de quelques jours, un peu inquiète de ces envies malsaines et répétées, je décide d’en parler à mon homme en empruntant, je dois dire, des chemins détournés… Ce nouveau chef d’équipe que nous avons à la boîte, il est très empressé, il a dragué Micheline et puis vaguement Christine… Je finis par lui avouer que « j’ai l’impression que, moi aussi, je lui ai tapé dans l’œil ». Bernard, qui est allé nous chercher deux bières au frigo, relève alors la tête :
Et, moi de lui expliquer qu’il a même essayé par deux fois de me mettre la main aux fesses.
Mon mari a vraiment l’air furax, on le serait à moins. Mais, moi, j’ai très envie de faire l’amour, alors je me fais chatte. Comme il a ramené ce soir-là deux cassettes de film X prêtées par un copain, j’en glisse une dans le magnétoscope. En bon obsédé du cul, mon mari adore les films pornos et je ne suis pas contre.
Tandis qu’il regarde son film, je suce la pine de mon homme. J’adore son goût de mâle, mais j'ignore ce que j’ai dans le ciboulot, car je pense à nouveau à Tonio, je me demande quelle odeur a la queue de mon chef et si elle a aussi bon goût que celle de mon époux. Le pire, c’est que cela m’excite de penser à tout ça, je mouille à nouveau comme une malade. Alors, je tends les fesses vers mon mec et lui demande de m’enculer comme la salope qui se fait défoncer le cul sur la télé. Il ne faut pas lui dire deux fois, il me claque les fesses et il m’en met plein le cul avec son gros mandrin. Dans les premiers temps de notre mariage, il me fallait trois jours pour me remettre de ces enculages un peu brutaux. Maintenant, j’ai l’habitude, car j’ai le cul bien large. Tandis que Bernard me sodomise, je me frotte la chatte en pensant à Tonio.
Déjà 19 heures, l’heure pour moi d’aller récupérer les mômes chez ma belle-mère, c’est elle qui nous les garde en semaine. Pas le temps de me laver les fesses, je suis toute poisseuse, devant, derrière, j’ai l’impression que le sperme coule même le long de mes cuisses. Quand je sors ainsi dans la rue, je me sens vraiment salope. Je suis sûre que s’il me voyait comme ça, cela lui plairait, au gros Tonio.
Après le repas du soir, une fois les enfants couchés, je passe un petit moment dans la salle de bain où je me lave soigneusement le sexe et l’anus, je me remaquille, je me parfume mais, quand j’arrive dans le lit, Bernard dort déjà à moitié. Je sais qu’il se lève très tôt le lendemain matin, alors je n’essaie pas de le réveiller. Mais, je suis un peu déçue, je me serais bien encore fait baiser. En effet, il part pour trois jours en Pologne et ces temps-ci, je me sens réellement d’humeur lubrique.
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Le lendemain, je résiste tant bien que mal aux plaisanteries grivoises du gros Tonio. Il me faut pourtant reconnaître que ses sous-entendus cochons me font de plus en plus d’effet, je ne sais pas ce qu’il a ce mec, il n’est pourtant pas beau. Mais comme on dit, je mouille pour lui ma petite culotte et je l’imagine très bien en train de me baiser. Mais, évidemment, je me garde bien de le lui dire ! De retour enfin à la maison, après cette journée de folle excitation, je me frotte la chatte comme une damnée en pensant de nouveau à mon chef.
Ma décision est prise, le lendemain, Bernard n’est pas là et c’est le jour ou jamais, j’ai trop envie de l’essayer…
~~ooOoo~~
À midi, pendant la pause, je m’arrange pour me retrouver un instant seule avec le contremaître. Dans son bureau, je ne me dégonfle pas, je lui avoue de but en blanc que s’il veut de moi, il peut m’avoir quand il veut. Et comme il ne demande que ça, il entreprend aussi sec de me peloter.
16 h 30, tout le monde s’en va, j’attends encore un peu. Puis, je vais rejoindre mon chef dans son antre. Il ferme la porte, il a pris soin de baisser les stores, ainsi, nous sommes tranquilles. Il sort alors de son bleu de travail un engin de taille impressionnante, à la fois plus gros et plus long que celui de mon mari. Je m’agenouille immédiatement devant lui pour le lui sucer. Très odorante cette queue, son odeur me plaît de suite, cette odeur m’excite, j’ai hâte de sentir cette grosse bite en moi. En attendant, je masse le gros ventre de mon amant en lui suçant la bite. Son torse est très poilu, je le trouve incroyablement viril.
Il me fait bientôt me relever et pencher vers son bureau, puis il trousse ma jupe avec fermeté et s’enfonce d’un coup en moi. C’est un réel plaisir de profiter enfin de l’objet de mes fantasmes, cela fait quinze jours que j’en rêve. Le gros mâle me défonce avec brutalité en me traitant de petite pute. Je suis heureuse de passer ainsi à la casserole et de lui faire autant d’effet.
Encore plus excitée que d’habitude, la jouissance vient vraiment très vite et s’empare toute entière de mon corps. Je suis secouée de spasmes. Je le sens qui se vide alors entièrement dans mon ventre, ce qui quadruple mon plaisir.
Mais, ce n’est pas encore fini, car nous avons tous les deux encore très envie. Le temps de le remettre en condition et de me mettre complètement à poil, il s’installe confortablement dans son fauteuil, bite dressée et bien dure et me demande de venir m’empaler sur son gros dard. Je n’aurais pas rêvé d'un meilleur tuteur. C’est avec plaisir que je l’enfonce en moi… et, après une cavalcade débridée, nous jouissons à nouveau tous les deux, presque de concert.
Mais le temps passe, son téléphone portable sonne. C’est sa femme qui se rappelle à son bon souvenir, tandis qu’il lui raconte des craques pour justifier son retard, moi, salope, je lèche la grosse pine enduite de nos sécrétions intimes. Cette connasse a-t-elle des doutes ? Toujours est-il que mon amant me fait comprendre qu’il est l’heure de nous en aller. Il me retire de la bouche mon sucre d’orge :
Loin de me faire peur, cette perspective m’enchante.
Quand je suis enfin de retour à la maison avec mes deux mouflets, le choc ! Bernard est déjà là, son patron l’a rappelé et il est revenu un jour plus tôt. Évidemment ça se passe mal, il me demande où j’étais et ce que je foutais à cette heure. J’ai beau lui raconter que j’étais partie faire des courses, il n’est pas vraiment dupe, il voit bien que je n’ai rien ramené, sauf un pack de flotte qui était déjà dans la voiture. En plus, je dois sentir le sexe, sur ce point-là je peux difficilement tromper mon homme, il me connaît trop bien. Le ton monte, sa colère gronde, les enfants font les frais de cette dispute.
Les gamins une fois au lit, il s’approche de moi et je reçois une paire de claques :
Comme j’ai le toupet de dire « personne », il soulève ma jupe et arrache de rage ma culotte encore toute poisseuse du sperme de mon amant :
D’ailleurs, joignant le geste à la parole, il me fait mettre à quatre pattes dans le salon et présente son gland sur ma rosette. Je le sens bien dur sur mon petit trou et il s’enfonce en moi en une seule fois d’un solide coup de reins. Je crie sous la douleur, cette sodomie brutale m’irrite les fesses mais je pense que je la mérite et que, toutes choses pesées, il vaut mieux ça qu’un long divorce.
Comme je pousse, finalement, quelques gémissements de plaisir, il me décule.
Désolée pour lui, car j’aime ça aussi. Il voudrait sans doute me punir, mais c’est pour moi une récompense. Je lui vide alors bien les couilles, j’avale tout son sperme, consciencieusement, jusqu’à la dernière goutte.
Une fois bien repus, les hommes sont en général plus faciles à manipuler, le mien n’échappe pas à la règle. Il me demande des précisions, pourquoi j’ai fait ça, si je le fais souvent, ce que j’ai fait exactement. Je lui réponds avec calme qu’en ce moment j’ai le feu aux fesses et que, comme Tonio n’arrête pas de me draguer, j’ai fini par succomber à ses avances.
Ce qui a pour effet de rendre mon mari à nouveau furax. Tant mieux pour moi, car c’est à coups de bite qu’il me fout une torgnole.
Inutile de dire que j’aime ça.