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Temps de lecture estimé : 20 mn
11/03/08
Résumé:  Quatre histoires très différentes de rencontres, du sexe et des fantasmes.
Critères:  fh hplusag hagé jeunes extracon inconnu collègues grossexe sales vacances campagne fête travail amour fsoumise jalousie voir exhib fellation pénétratio exercice -occasion
Auteur : Chercheur d'absolu  (Des histoires psy et physiques sans tabous (presque crues))
4 histoires courtes




Ça faisait des semaines que je lui faisais la cour, avec douceur, que je lui payais le café tous les jours à la cafète de cette grosse boîte de la Défense. Il faut dire que Sandrine en valait la chandelle.


C’est une beauté parisienne, grande, mince, jeune avec une poitrine qui pointe en avant, des yeux verts et un visage parfait couronné par des cheveux châtains longs, lisses et souples. Une vraie publicité pour une marque de produits de beauté pour les femmes qui le valent bien. Mais là, cette beauté, cette gravure de magazine, qu’un rien habille, elle avalait bien.


Comment en étais-je arrivé là, ce soir-là, dans cette tour quasi déserte, caché derrière un bureau, à regarder Sandrine, MA Sandrine, se faire baiser comme une vulgaire pute par le chef du réseau informatique, ce gros porc libidineux, toujours en train de draguer grassement et vulgairement toutes les gonzesses, sortant des vannes à deux cents, aussi lourdes que lui ?


Oui, j’étais très énervé, vexé, dépité, désappointé, et pourtant je me masturbais en la regardant sucer ce connard qui se finissait dans sa bouche de princesse.


Elle avait 25 ans, des diplômes à en pleuvoir, et elle venait de se faire prendre par ce type de plus de deux fois son âge, con comme un manche, avec un gros bide, une grande gueule, mais une grosse bite aussi.


Ça faisait presque une heure que j’étais là, sous le bureau du quarante-septième étage, à mater la femme de mes rêves et l’autre type. J’étais resté seul ce soir-là pour finir un boulot urgent, et quand je l’ai vue arriver avec le chef réseau, j’ai éteint ma lumière et je me suis glissé sous mon bureau, pour faire le con, comme ça, pour blaguer.

Mais quand je l’ai vue poser ses fesses sur le bureau et écarter les cuisses en remontant sa jupe, pendant que le gros avait baissé son futal, et sorti sa grosse queue, je n’ai pas eu le temps de bouger, ni de réagir qu’il était déjà entre ses jambes, la bite au fond de son vagin à la besogner.


Non, pas elle, PAS ELLE !


Elle gémissait déjà, « Hooo, putain, j’avais trop envie que tu me prennes sur mon bureau », sa bouche magnifique aux lèvres ourlées comme Claudia Shiffer recherchait de l’air tellement le plaisir semblait évident. La garce prenait un pied d’enfer et le chef continuait de la baiser. Il la lima longtemps, elle jouissait sans arrêt.

Puis il la retourna, elle avait posé ses coudes sur le bureau, et le cul bien en l’air. L’homme reprit sa place au fond de sa chatte d’un coup jusqu’à la garde.


Je voyais tout, caché dans l’ombre, et je bandais, malgré l’immense tristesse qui m’envahissait.


Elle jouissait comme une folle et eut un orgasme quelques minutes plus tard, qui la secoua violemment. Gérard, le gros con, jouissant aussi au fond de sa chatte, sortit de son sexe, et sans plus de détails, lui força le cul, la bite pleine de sperme, mais encore bandante, et il reprit ses coups de reins, mais cette fois dans son anus, entre ses fesses rondes et fermes.


Je voyais son cul dilaté par la grosse queue, pendant que du sperme coulait de sa chatte sur la moquette. Il la bourrait comme une grosse salope qu’elle était, et elle aimait ça, elle glissa sa main sur son clito et jouit de nouveau, accompagnant les grognements du porc qui tapissait son anus de foutre.


Et enfin, il la fit s’accroupir, elle ouvrit grand la bouche, sortant la langue et il finit d’éjaculer contre son palet. Je voyais le sperme gicler de sa queue et se perdre dans la gorge de Sandrine, pendant qu’entre ses cuisses, les premières giclées continuaient de s’écouler de son sexe et de son anus, sur la moquette. Le salaud l’avait remplie par tous les trous.


Puis ils repartirent comme ils étaient venus.


Moi, assommé, la main pleine de sperme, je me levai pour aller aux toilettes me nettoyer. Demain, je ne l’inviterai pas pour le café, j’inviterai plutôt Virginie, elle est moins jolie, mais super gentille, et elle, je la connais bien, enfin je crois.








En campagne




Il faisait chaud cet été-là. Ma robe légère, bleue à fleurs, ne me couvrait qu’à peine le corps. Je profitais de cet après-midi là pour me promener en vélo dans les chemins de campagne, pleine des souvenirs de mon enfance. Mon mari et mes deux enfants faisaient la sieste avant de partir en visite touristique dans des grottes. Je ne souhaitais pas les accompagner, préférant rester au calme après mon année d’enseignement dans un cours préparatoire, et laissant le plaisir à mon mari de faire découvrir aux enfants les richesses de cette belle région du Lot.


Ainsi je revisitais les paysages de mes racines que je n’avais pas revus depuis la mort de ma mère, une dizaine d’années auparavant. J’allais fêter mes quarante ans et je me sentais épanouie et heureuse dans mon couple et dans mon activité professionnelle. Mes deux garçons me comblaient de bonheur, du haut de leurs neuf et douze ans, ils grandissaient dans la joie de vivre. Toutes ces pensées me ravissaient.


Tout en cheminant vivement, je percevais les senteurs des prés fraîchement coupés, et ma jupe volait légèrement à chaque coup de pédales. Sans fatigue, je me retrouvais déjà loin de la maison vers des terres que je ne connaissais pas très bien. Je m’aventurais dans des chemins de plus en plus étroits et rocailleux. Traversant un bois, je retombai de nouveau dans des petits champs fleuris de coquelicots, entourés par la forêt épaisse. Je descendis de mon vélo pour me reposer un peu et profiter de la marche pour regarder plus attentivement la nature et écouter les oiseaux guillerets chanter le printemps.


Lorsque je vis, couché sous un arbre près du chemin, dormant le chapeau sur les yeux, un vieux paysan mal rasé, bedonnant, crasseux, à moitié nu et poilu, assez répugnant d’aspect, la chemise et le short posés plus loin, et un slip sale pour seul habit.


Je passai près de lui aussi discrètement que possible lorsque mon regard tomba sur une forme étrangement grosse, couleur chair, qui se distinguait sous son slip devenu presque transparent par les trous et l’usure. Je m’arrêtai un instant, cherchant à distinguer un peu plus clairement cette vision. J’écarquillai les yeux largement afin de bien comprendre ce que je voyais. En effet cet homme gras, sale et vilain, semblait dissimuler dans sa culotte un sexe monstrueux, la bosse formée par celui-ci était démesurée.


Tout occupée à regarder cette terrible chose, je n’avais pas vu l’homme se réveiller, et lorsque sa main bougea pour descendre vers son slip, je levai les yeux et le vis qui me regardait, ayant soulevé son chapeau de l’autre main. Je voulus me sauver, mais mes jambes ne me portaient pas et mon regard redescendit bien malgré moi vers son bas-ventre. Hypnotisée, je vis qu’il avait baissé son slip sous ses couilles velues et énormes comme deux kiwis, et il commençait à caresser un membre épais et gras, de sa main aux doigts courts et boudinés qui n’en faisait pas même le tour.


Jamais de ma vie je n’aurais imaginé pareil spectacle, même dans mes pires fantasmes. Je sentis monter dans mon ventre une étrange sensation, un désir insensé. Mon sexe s’ouvrait bien malgré moi, et coulait déjà, trempant mon string.


Lorsqu’il me fit signe de venir de la main, je lâchai mon vélo sans le regarder tomber dans la rocaille, et je m’approchai de lui. Il devait avoir près de soixante-dix ans, c’était un vieil homme et pourtant son corps était fort et robuste. Il me prit la main, me fit asseoir près de lui et, tout en la maintenant dans la sienne, la dirigea directement vers son sexe. Sans réfléchir, sans tabou et sans conscience, je le pris et me mis à le caresser. À ce moment je ne pensais plus, j’étais envoûtée. Je l’avais en main, le caressant, le soupesant comme un beau morceau de viande sur un étal, ce sexe était vraiment énorme, il était large comme un poignet.


Je le décalottai délicatement et son gland gras grossit encore et, doucement, devint comme un chapeau de champignon. L’homme ne m’avait pas adressé un mot, pas un sourire, pas une caresse. Il passa sa main sur ma nuque et fit une pression sur ma tête.


Ne résistant pas, je me penchai pour prendre son énorme boudin en bouche. Il sentait fort la sueur, le rance, mais j’écartai les lèvres au maximum, ne parvenant à y mettre que le gland et une partie de son sexe, à peine un tiers de sa taille. Mais je m’appliquai, je le léchai sur toute la longueur, je le nettoyai complètement, couilles comprises. Il appréciait en me caressant les cheveux. Jamais je n’avais mis autant de cœur dans une pipe pour mon mari.


Sa forte stature lui donnait une dimension de prince, et je me sentais comme une esclave dans un harem, qui avait eu la chance d’être choisie par son maître.


Puis il me parla enfin, juste pour me dire de retirer ma robe. Je me relevai, fis descendre mes bretelles de mes épaules et les fleurs bleues de ma robe tombèrent à mes pieds. D’instinct, je retirai mon string, et je me retrouvai nue devant cet inconnu, qui sentait la sueur et la ferme, et qui avait au moins trente ans de plus que moi.


Il retira son slip avec difficulté, se déplaça lentement pour s’adosser à l’arbre et me fit signe de venir. À présent, j’étais assise sur son gros ventre afin qu’il puisse me sucer les seins. Puis je me relevai et il regarda mon sexe épilé soigneusement et le caressa d’une main. Il me doigta facilement tellement je mouillais, et je commençais déjà à gémir sous la force de ses caresses. Il écarta les lèvres de mon vagin afin de le détendre et de ses deux mains me poussa les fesses afin que je colle mon sexe contre sa bouche.


Il me suça le clitoris et me lécha quelques minutes, me procurant beaucoup de plaisir. Puis il me recula et me guida vers son sexe qui, à présent, était tendu comme un gourdin. Je m’accroupis doucement, présentant son gland devant l’entrée de mon vagin et d’une main écartant au maximum mes lèvres, je fis glisser son gland entre mes parois intimes.


Je mouillais terriblement, et heureusement : car je me sentais écartelée, la sensation était immense. Je savais que c’était ça que j’avais toujours voulu. Je me laissais descendre le long de son manche démesuré et je jouissais déjà. J’avais la bouche grande ouverte, la tête hochant de droite à gauche et de haut vers le bas, je tirais la langue comme une chienne et de la salive me coulait le long de la bouche sans que j’aie la force de l’avaler. Je tremblais, je gémissais, mais je continuais de descendre, me déchirant, m’empalant complètement.


Je stoppai et je regardai ce sexe en moi, il n’était entré qu’aux trois quarts, et pourtant je savais que plus de vingt centimètres étaient déjà profondément dans ma chatte rougie et brûlante. Il me regardait et pour la première fois me sourit et dit :



Je remontai doucement le long de sa hampe afin de bien humidifier toute ma paroi et je continuai ma descente, et c’est vrai que j’étais profonde. Mon mari, malgré son sexe de presque vingt centimètres, n’avait jamais atteint mon col, et la seule fois où j’avais eu la sensation de le toucher fut la fois où j’avais utilisé un long cierge assez épais que j’avais pris dans une église afin de me donner du plaisir. J’avais eu tellement honte, après et je n’avais pas réitéré l’expérience.


Maintenant il n’était plus question de cierge ou autre artifice mais bien d’un pénis, d’un vrai, d’un gros et grand, qui me pénétrait le ventre et je me donnais du plaisir avec. Le fermier ne bougeait pas, il se contentait de me caresser les seins, les épaules ou les fesses, m’aidant un peu en me soulevant parfois de ses mains, et moi je m’embrochais vigoureusement.


Et enfin je sentis le gland contre le col de mon utérus, je me penchai en avant pour regarder entre mes cuisses et je vis le sexe du fermier qui avait presque disparu en moi. Il prit mon menton dans sa main, comme s’il s’adressait à une petite fille, et me dit que c’était la première fois qu’une femme pouvait le prendre en entier dans son vagin. Je me sentais fière et, me redressant complètement sur son membre, je fis entrer les derniers centimètres.


À ce moment, je ne bougeai plus mais je jouis sans retenue, je sentais mon sexe se contracter sur le sien et je jouissais encore plus. C’était la première fois que j’avais un orgasme comme ça, violent et profond dans mon ventre, mais pourtant je sentais que j’avais encore envie de plus. D’habitude, après un orgasme, je n’ai plus envie de sexe, mais là je voulais encore jouir, encore et encore. Je continuai alors ma chevauchée, la tête posée au creux du cou de ce personnage si vieux et vilain, et qui pourtant me donnait tant de plaisir et de bonheur.


J’étais remplie, comblée pleinement, physiquement et mentalement, cet homme me faisait un bien fou, je me remplissais de son être à chaque va-et-vient de mon corps sur le sien. Je jouissais sans interruption et sans retenue de toute ma chair et de toute mon âme. Je criais dans son cou et lui me tenait la nuque de la main.


Cela faisait presque une heure sûrement que j’allais d’orgasme en jouissance et de jouissance en orgasme quand il me bascula sur le dos sans sortir de moi. C’est lui qui à présent me baisait, il me limait de toute son énergie et sa virilité me labourait le ventre. Je sentais son poids sur moi et, mes talons dans son dos, j’étais offerte à l’arrivée de sa semence comme une femelle en chaleur. Il me baisa ainsi encore de longues minutes, de plus en plus rapidement et violemment, faisant monter un raz-de-marée en moi, soufflant et ahanant.


Puis je le sentis tressauter et il se redressa sur ses bras pour jouir, profondément planté dans mon sexe, au fond de mon vagin. Je sentis la semence se verser en moi, tapissant mon vagin dans un flux ininterrompu, ce qui me fit éclater une nouvelle fois dans un dernier orgasme qui me dévasta totalement.


Lorsque je repris conscience, il était allongé près de moi, le sexe mou mais toujours aussi impressionnant, il dormait. Je m’approchai de lui et je le pris en bouche afin de le nettoyer de nos substances sexuelles. Il ouvrit les yeux et me dit :



Je repris mon vélo, désorientée, lessivée, mais comblée. Sa semence coulait de mon sexe endolori sur la selle du vélo, et je trouvais cela formidable. Le soir-même, je me caressai dans mon lit alors que mon mari dormait à mes côtés et je jouis en pensant à cet après-midi-là.


Le lendemain à 9 h 30 je pris mon vélo et je le rejoignis, le surlendemain aussi et ainsi presque tous les jours des vacances. Mon mari ne s’est jamais inquiété de rien, et quand durant l’année je passai toutes mes vacances scolaires dans le Lot à me faire baiser par cet homme, mon mari ne se douta de rien. Mais à Pâques, quand j’arrivai, j’appris ce que je ne pensais pas imaginable : il venait de mourir. À son enterrement, je fus triste, cachant ma peine parmi les membres de sa famille que je découvrais pour la première fois.


Apprenant d’une femme que les deux grands gaillards d’une vingtaine d’années qui pleuraient sur la tombe étaient ses petits-fils, l’idée me traversa qu’un homme si merveilleusement pourvu d’un sexe si énorme devait avoir transmis ses gènes à sa descendance, cela ne pouvait être autrement. Je sentis déjà que mon ventre se creusait à cette pensée, et la tristesse se transforma en allégresse. Je crois que je savais ce que j’avais à faire.








À la fête foraine




C’est la fête foraine ce week-end dans notre ville. C’est une fois par an la grande fête, le gros délire pour les jeunes qui viennent dépenser toutes leurs économies en essayant les derniers manèges à sensations, et où la drague va bon train. C’est l’occasion pour les familles de se balader et de faire plaisir aux plus petits. Mais c’est aussi une occasion comme une autre pour la viande saoule de se saouler. Enfin on retrouve toute la ville dans ce petit périmètre de quelques centaines de mètres, y a même mon prof de math qui fait la queue à la caisse devant moi.


Pour le moment, je suis venue accompagnée de mon jules, afin de retrouver des amis et passer un bon moment. Comme beaucoup de filles, j’ai mis une jupe ample et assez courte, avec un string dessous. Il fait chaud, très chaud.


Ça y est, j’entre, la fête bat son plein, nous buvons quelques bières fraîches pour nous désaltérer. Mon jules, qui vient de voir ses potes, décide de les rejoindre pour faire quelques manèges à hautes sensations, ce qui ne m’intéresse pas du tout, préférant continuer ma balade à la recherche de mes copines.


La foule est dense, et je sens à plusieurs reprises une main baladeuse caresser mes fesses sur ou sous ma jupe, je ne parviens pas à savoir lequel des mecs derrière moi profite de la ruée pour me tripoter. Serait-ce ce jeune mec avec sa gonzesse, ce quadragénaire avec sa petite famille, ce vieux chauve qui promène bobonne ou un de ces gars, la bière à la main ? C’est pas que je trouve ça désagréable, j’aime être désirée, mais là, dans la foule, c’est pas cool. Ceci dit l’idée qu’un type derrière moi bande en matant et touchant mon cul, commence à m’exciter. Je ralentis un peu le pas, au cas où mon caresseur se re-manifeste, et je m’arrête au milieu des badauds, là où il y a le plus de monde, pour regarder le dernier manège à la mode, celui avec la boule qui est projetée à grande vitesse en l’air au moyen d’élastiques. C’est très impressionnant.


Tout d’un coup je sens la main sur ma cuisse, elle remonte doucement, hésite, s’arrête. Je ne me retourne pas, je regarde toujours le spectacle, la tête en l’air. La main, rassurée par ma passivité, reprend son ascension, glisse sous ma jupe, caresse mes fesses, la droite, puis la gauche. Maintenant je ne vois plus rien devant moi, toute concentrée que je suis sur les sensations que cette main me procure.


C’est une main droite, et très adroite car elle se faufile sous mon string, effleure mon anus, et plonge vers ma fente déjà humide. Les doigts se glissent sous la ficelle, entrent en contact avec mes lèvres vaginales et continuent leur progression en les écartant pour s’enfoncer dans mon sexe. Ce fut rapide, mais si excitant que j’échappe un petit cri qui passe pour un cri de joie ou d’effroi au milieu des autres. Mon caresseur est devenu doigteur. De ses deux doigts dans la chatte il me rend folle, faut pas que je reste là.


Tout d’un coup je vois le château hanté. Je me dégage de la foule, mon doigteur sort de mon sexe, et sans me retourner, je vais directement vers l’entrée du château, prends une place et entre sans un regard en arrière. Je prends place dans un wagon, il y a deux places. Ça démarre, et j’entre dans le tunnel. Mon wagon s’arrête, un squelette hideux passe devant moi, je crie et je ferme les yeux. Je sens que quelqu’un saute dans mon wagon, je crie encore plus fort, mais je ne rouvre surtout pas les yeux, je ne veux pas voir la personne près de moi, je ne veux rien savoir d’elle.


Le wagon repart, j’ouvre les yeux, il fait noir. Une main se pose immédiatement sur ma cuisse, la même main que tout à l’heure. Je me tourne mais je ne distingue rien de mon passager. Une araignée géante tombe dans mes cheveux. Je hurle et me jette contre l’épaule de mon voisin. Il ouvre les bras et je me cale contre son ventre, les yeux clos.


Sa main caresse ma nuque pendant que l’autre trifouille sa braguette, j’ouvre les yeux et je vois surgir d’un short une bite bandée, d’une incroyable largeur, les veines épaisses, noueuses et gonflées, et le gland rouge vif, agressif. La main me presse la nuque en direction de l’animal qui brille dans la pénombre, réclamant son plaisir. Ma main attrape la tige dure et pleine, ma tête suit le mouvement, et ouvrant les lèvres, je gobe le gland en entier dans ma bouche. Fermant les yeux, mon esprit est tout entier à sucer, à caresser, à lécher. Je ne pense plus à rien d’autre, je me sens bien, je n’ai plus peur des monstres qui hurlent dans le tunnel.


Pendant que mon caresseur s’est remis à ses caresses, j‘ouvre entièrement la braguette pour caresser les couilles et découvre les poils gris qui les recouvrent. Étrangement cela m’excite encore plus, mon sexe coule sur les doigts qui me pénètrent maintenant en profondeur. Je ne sais pas depuis combien de temps nous sommes là, mais je sens le sexe gonfler par saccade dans ma bouche, prêt à déverser sa liqueur de vie. Il me caresse habilement, je sens la jouissance monter. Je le masturbe de plus en plus vite, gardant mes lèvres serrées autour du gland quand des jets chauds et odorants tapissent mon palais d’un liquide onctueux que je me presse d’avaler le plus possible, et je jouis aussi, ouvrant la bouche et laissant échapper un filet de sperme sur mon menton. La main me redresse m’embrasse sur la bouche et nettoyant les traces, pendant que l’autre rentre l’animal dans sa cage.


Et la lumière jaillit d’un coup, nous sommes dehors, le tour est fini, j’ouvre les yeux, me réajuste rapidement, et tourne la tête doucement vers mon voisin.


Mince, c’est mon prof de maths.








Aventure en vélo




Chaque semaine, Serge avait pris l’habitude de faire quelques heures de VTT le long des berges du fleuve qui parcourait la région. Souvent, le soir, après son travail d’ouvrier en mécanique, il prenait ces anciens chemins de gabares pour profiter du calme des rives, ou seuls quelques pêcheurs de tous âges laissaient paresseusement traîner l’hameçon au fil de l’eau.


Ce jour-là il faisait chaud, le printemps était sec cette année. Sur son VTT, Serge prenait le temps de s’arrêter parfois pour discuter de pêche, d’autres fois pour observer la nature ou des amoureux. Ce jour-là sur son chemin, il remarqua cette femme accompagnant son pêcheur de mari. Elle était vêtue d’une jupe légère, allongée sur le dos, se reposant sur une couverture parallèlement à la berge.


Marie avait remonté ses jambes, laissant voir ses cuisses fines et gracieuses. Serge ne vit que ses épaules et ses jambes car elle avait la tête tournée du côté du fleuve, mais elle semblait bien plus jeune que son mari qui était, quant à lui, les pieds dans l’eau, la canne à la main et semblait avoir la cinquantaine passée.


Serge s’arrêta quelques mètres plus loin et jeta un œil derrière lui. Il pouvait presque voir l’intimité de la jeune femme. Il posa son vélo et se rapprochant discrètement dissimulé par quelques arbustes, il se retrouva à moins deux mètres de Marie. Elle se tourna, à ce moment, se couchant complètement sur le dos, les jambes remontées et la robe tombant juste sous les genoux. Serge vit alors, à travers les branches peu épaisses, entre les cuisses de la jeune femme, une toison légère qui ne cachait qu’à peine ses épaisses lèvres vaginales.


Marie n’avait exceptionnellement pas mis de sous-vêtements ce jour-là. Le cœur de Serge battait de plus en plus vite, il aimait cette sensation de voir sans être vu. Serge observait cette vision du paradis sur Terre quand il entendit le mari appeler sa femme.



Serge recula vivement pour s’installer quelques mètres plus loin. La jeune femme rêveuse sortit de sa torpeur, se leva, saisit l’objet et le tendit à son mari. Lorsqu’elle retourna à sa couverture, elle aperçut Serge derrière les buissons. Celui-ci était allongé, les jambes relevées dans sa direction, en short court et ample, ce qui laissait apercevoir un peu de la masse sombre de son entrejambe.


Marie était loin de se douter que Serge s’était volontairement installé ainsi pour elle et qu’il attendait sa réaction. Elle voyait cet homme d’une trentaine d’années, avec un beau corps d’athlète, les cuisses musclées, le torse nu large et couvert de poils bruns, le ventre plat et sculpté par la musculature des abdominaux. Marie fut saisie à l’entrejambe de frissons, puis d’une chaleur qu’elle connaissait parfois quand elle voyait à la télévision de ces modèles masculins à la plastique parfaite. Elle regarda Serge par-dessus le buisson quelques instants encore puis elle se décida.



Elle se dirigea dans la direction de Serge, ne sachant que faire. Puis quand elle fut presque à sa hauteur, Serge se releva sur le coude et la regarda venir, un large sourire aux lèvres. Il la trouva immédiatement désirable, elle devait avoir la quarantaine, pas d’une grande beauté, mais son visage entouré de son épaisse chevelure brune avait quelque chose de doux, de tendre, d’aimant, de désirable. Son corps était fin et sa poitrine était large et ferme avec des tétons qui pointaient libres sous sa robe. Elle lui rendit son sourire et continua le long de la berge.


Elle ne put s’empêcher de se retourner et l’homme la regardait toujours. Elle accentua sa démarche balancée et se retourna de nouveau, le cœur battant. Serge s’était levé et avait pris son vélo d’une main. Il la suivait. Elle ne savait pas bien ce qui allait se passer ni s’il se passerait quelque chose, mais elle sentait la chaleur envahir son corps en entier et la moiteur ouvrir son sexe.


Elle avait parcouru plus d’une centaine de mètres et Serge se rapprochait de plus en plus. Elle tourna dans un chemin qui s’écartait de la rive, Serge la suivit. Quelques dizaines de mètres plus loin, elle s’arrêta, debout sur un large coin d’herbe épaisse, regardant un bosquet à l’abri des regards, attendant l’inéluctable. Serge s’approcha d’elle sans un mot, jeta son vélo dans un buisson. Il arriva dans le dos de Marie, posa ses mains sur ses épaules, elle se retourna. Ils se regardèrent un instant et leurs bouches se rapprochèrent pour un baiser fougueux, passionné, presque violent. Leurs mains couraient le long de leur corps cherchant leur intimité.


Serge remonta ses mains le long des cuisses de Marie jusqu’aux fesses qu’il empauma. Elle avait déjà glissé sa main sur le short de Serge et caressait son sexe à travers l’étoffe. Elle sentait sous ses doigts toute l’épaisseur du plaisir que son corps réclamait. Serge avait déboutonné sa robe jusqu’au nombril et caressait sa poitrine dure et tendue de ses mains épaisses et rugueuses d’ouvrier manuel. Elle ne pouvait déjà plus contenir sa respiration, elle suffoquait presque lorsque sa robe dévala de ses épaules jusqu’au sol et qu’elle se retrouva nue contre cet homme qu’elle ne connaissait pas.


Accrochée aux épaules charpentées, son ventre contre celui de l’homme, lentement elle se laissa glisser sur les genoux. Elle saisit le short des deux mains, le baissa jusqu’aux chevilles et posa sa tête contre le ventre de son amant, qu’elle embrassa. Elle respirait l’odeur de mâle que Serge exhalait. De sa main elle saisit le membre en érection qui battait près de son visage. Elle posa sa joue dessus, puis le caressa de tout son visage, semblant vouloir s’imprégner de l’odeur.

Cette caresse plaisait à Serge, il n’avait jamais vu une femme désirer autant son sexe, son corps. Quand elle prit enfin dans sa bouche son gland gonflé, il manqua d’air et se mit à haleter.


Marie s’affairait sur ce membre, heureuse de faire ce qu’elle n’avait jamais fait à son mari. Elle suçait avidement, léchait le membre épais, gobait les couilles grasses de cet homme qu’elle aimait déjà. Serge se pencha, la prit sous les aisselles pour l’allonger, elle se laissa aller, et quand il se coucha sur elle, elle sentit son poids et elle croisa ses jambes dans le dos de son galant.


Celui-ci présenta son gland au bord de ses lèvres et lorsqu’il poussa pour le faire glisser au fond de son vagin, elle s’ouvrit sans effort comme s’il avait été le possesseur de son désir. Il sentait son pénis glisser facilement dans ce nid chaud et déjà très humide, son désir était exacerbé par l’abandon total de cette femme dans ses bras.

Elle ne voulait que du plaisir et rien d’autre, et cela le satisfaisait. Elle ne voulait ni être aimée ou admirée, elle voulait jouir de tout son être.


Serge la baisait lentement, son sexe glissait dans ce fourreau qui semblait être fait pour lui. Marie se laissait aller et son plaisir ne tarderait pas. Elle avait eu trop de frustration pour attendre plus longtemps.


Elle parla pour la première fois - « Plus vite ! » - et Serge accéléra l’allure, il la lima de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle s’accrochait à ses épaules de ses bras et à ses fesses de ses jambes comme si elle avait peur de s’envoler. Puis d’un coup elle s’envola effectivement, mais vers un septième ciel qu’elle désirait tant. Sa jouissance fut si forte qu’elle cria dans un murmure, ce qui ne lui était pas arrivé depuis des années. Serge se lâcha au même moment et son sexe expulsa toute sa semence.


Quelques instants plus tard ils étaient allongés côte à côte, nus et heureux, ils ne voulaient plus se quitter, l’un comme l’autre voulait que ça dure pour la vie. Serge le premier se releva sur un coude et regarda cette femme qui respirait l’amour. Il caressa son corps d’une main, parcourant ses courbes, comme s’il voulait les apprendre par cœur. Elle regardait son visage et, levant la main, lui caressa la joue.




Serge la regarda.



Elle sourit et se releva pour l’embrasser. Elle le désirait encore et il lui semblait même qu’elle le désirerait toujours. En l’embrassant elle le bascula sur le dos et roula sur lui. Elle était assise sur son ventre, frottant déjà son sexe maculé contre le sien. Lui, sentait son propre foutre couler du vagin de Marie sur son bas-ventre. Leurs corps étaient de nouveau pris d’une frénésie amoureuse et Serge rebandait déjà.


Elle se masturbait contre le membre qui grossissait et quand il fut bien dur, elle glissa la main sous son ventre, saisit l’objet et, se relevant à genoux, elle s’empala dessus, elle sentit le pieu s’enfoncer en entier dans son corps et le plaisir si fort la plia en deux. Elle commença sa chevauchée en remontant doucement la hampe et quand le gland était au bord de ses lèvres vaginales, elle se laissait tomber dessus. Dans la chute, elle se sentait transpercée, le gland lui frappant le col de l’utérus. Le plaisir était à la hauteur de son désir.


Jamais elle ne s’était sentie aussi remplie, presque déchirée. Elle n’aurait pas cru qu’un homme puisse un jour lui donner ce plaisir. Ils étaient les yeux dans les yeux, chacun regardant le plaisir de l’autre en communion parfaite. Puis la jouissance montant, Marie ouvrit la bouche et sa respiration forte se transforma en gémissement. Serge souriait, les dents serrées pour retenir sa jouissance, heureux du bonheur qu’il prodiguait à cette femme.


Il s’était laissé faire jusque-là, mais, sentant qu’elle perdait de la force et du rythme à mesure que l’orgasme se rapprochait, il prit ses fesses en mains et donna des coups de reins puissants et profonds.

Marie posa sa tête sur son épaule, stoppa ses mouvements, gémissant de plus en plus vite et de plus en plus fort au même rythme que les coups de queue qu’elle recevait à présent. Ils explosèrent tous les deux en même temps, Serge éjaculant le foutre qui lui restait de sa précédente jouissance et Marie prise des secousses de l’orgasme.


Ils restèrent emboîtés l’un dans l’autre un long moment quand Marie réalisa que son pêcheur de mari devait s’impatienter. Elle se rhabilla prestement laissant Serge encore abasourdi. Celui-ci eut juste le réflexe de lui demander :