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Alain et les autres

Il est presque vingt heures, je suis enfin prête. Un dernier coup d’œil au miroir pour être sûre de mon charme. Pas mal la Nana! Je mets une dernière touche de rouge à lèvres pour rendre ma bouche bien appétissante. Dans quelques instants Alain doit venir me chercher. Ce soir il m’emmène dans un lieu insolite m’a-t-il dit. Depuis ce matin je n’arrête pas de me demander ce qu’il va me faire découvrir.

Il sait que j’aime la nouveauté. J’ai besoin d’être surprise, étonnée. Chaque fois il arrive à me rendre heureuse. Alors ce soir, je suis surexcitée. Pour lui j’ai fait un vrai effort de recherche en lingerie fine. Lui faire plaisir me plaît beaucoup à moi aussi. Il adore cela, me voir habillée sexy, provocante, guerrière, aguicheuse.

L’ensemble que je porte maintenant va lui couper le souffle. Mon corps est magnifique dedans, mes seins sont pigeonnants, hauts, fiers, les bouts à peine recouverts. Franchement je suis super contente de mon achat. Mes fesses rebondies sont bien mises en valeur. Ah j’entends l’ascenseur, c’est lui qui monte. Il sonne.

• — Bonjour chérie. Humm, me glisse-t-il en me prenant dans ses bras… Dépêchons-nous, nous ne sommes pas en avance.

En vitesse nous prenons un taxi. J’ai déjà envie de lui. Ma main glisse sur le haut de son pantalon. À son sourire je sais qu’il aime ma caresse.

• — Oui continue… me susurre-t-il.

Je ne pose pas de questions, je lui fais confiance. L’adresse donnée ne me dit rien.

Le chauffeur s’arrête devant un portail dans une petite rue. Oh ! Une mosquée hispano mauresque avec minaret. L’Etoile du Nord - Hammam oriental.

• — Oh Alain, merci ! Tu as bien fait de penser à moi pour cela.

L’entrée est chaleureuse, aux coloris ambrés, épicés. Partout des fresques peintes, des dalles au marbre chaud, des arabesques, des lanternes en fer forgé, une superbe fontaine centrale, un décor des mille et une nuits. Les murs sont revêtus de tadelakts. On pourrait se croire à Marrakech.

L’hôtesse nous donne à chacun un peignoir blanc. Pour rejoindre nos cabines, nos pieds foulent des parquets de cèdre cendré. L’atmosphère du lieu nous enivre d’odeurs d’eucalyptus. Je quitte ma jolie tenue, je jouerai à la femme fatale une autre fois.

Ensemble nous allons dans la pièce d’où la vapeur s’échappe. Moi qui avais bien pris soin de me maquiller, me voilà toute humide. C’était bien la peine… Mais ce qui m’attends, j’adore. À moi gommage, épilation orientale, enveloppement d’argile à la rose des sable. Humm… J’aurai la peau si douce, quel bonheur !

Je m’allonge sur la banquette. Alain s’approche de moi. Un autre couple est déjà présent, mais cela ne le gène pas pour commencer à me caresser la poitrine. Je suis un peu mal à l’aise, mais Alain insiste.

• — Chut ! me murmure-t-il à l’oreille.

Dix minutes à suer, ensuite nous quittons cette pièce de vapeur. Nous rejoignons une cabine double où deux jeunes femmes nous font un massage aux huiles essentielles à la fleur d’oranger. Quel délice de s’abandonner. Sous leurs mains mon corps pétille.

Calmement nous allons retrouver une petite alcôve pour nous reposer. Là aussi des banquettes moelleuses recouvertes de coussins aux tissus brodés. Sous la voûte étoilée d’ombre et de lumière tamisée, nous sommes seuls. Oui boire un thé à la menthe.

Me reposer enfin, mon corps n’a plus de vie. Pourtant Alain, assis à mes côtés, se penche sur moi et commence à me donner des baisers. Je ne peux que lui répondre en enlaçant ma langue à la sienne. J’aime trop quand il m’embrasse. De ses mains il écarte un pan de mon peignoir, il retrouve mes mamelons.

Mes seins réagissent vite. Mes tétons sont tout dressés. Je ferme les yeux. Les mains de mon ami parcourent mon corps. Je sens ses doigts descendre jusqu’à mon sexe. Il m’écarte les cuisses. Je me laisse faire. J’ai oublié où nous nous trouvons. En ouvrant de nouveau les yeux j’aperçois le couple du hammam. Eux aussi sont allongés. Ils nous regardent. Ils semblent hypnotisés par nos jeux amoureux.

J’ai envie qu’ils nous voient. S’ils sont mal à l’aise, ils n’ont qu’à sortir. Alain continue de fouiller mon sexe. Je sens en moi une excitation particulière. Sans bruit, le couple s’est approché de nous. L’homme et la femme nous touchent presque. Alain est venu poser sa bouche entre mes cuisses, j’écarte bien les jambes. Je ressens vraiment la pointe de sa langue qui entre dans ma fente. Il entre et sort, me lèche, me mange le minou. J’aime trop ça ! Je me cambre, je vais jouir sous sa pression devant des inconnus!

L’homme a pris sa verge dans sa main. Il se masturbe lentement. Oh ! Super longue et grosse, sa queue. La jolie brune qui l’accompagne s’est approchée de moi .Elle plonge son regard dans le mien, mon envie doit se lire sur mon visage car elle pose ses mains sur mes seins .Elle me caresse, ses paumes sont douces… Je me laisse envahir de plaisir. Alain avec sa bouche… Et la femme avec ses doigts, me titillant les mamelons ! Je jouis à ne plus en finir. C’est trop bon!

Alain m’aspire, me lape et prend tout mon plaisir que je lui offre. Sans parler il se soulève et d’un geste fait comprendre à l’homme de venir à son tour goûter à mon calice. Ma chatte est si gonflée qu’elle appelle à d’autres lèvres. Doucement il se positionne sur moi me donnant sa verge à sucer pendant qu’il commence à me mordiller gentiment. Je suis tellement sous l’emprise du plaisir que presque aussitôt je jouis sous lui.

Alain s’est placé juste à côté de la femme. Je le vois s’occuper d’elle, il la caresse, il aime caresser ses seins, les prendre à pleine main, les téter. Sa poitrine est lourde, aux bouts très foncés. Je ne suis pas jalouse, je suis même surprise de mon laisser-aller complet. Tout se fait naturellement, sans discours, sans contrainte. Que l’envie de plaisir nous habite !

La bite de l’homme dans ma bouche, grosse et gonflée, tendue, me remplit jusqu’à la gorge. Je suce comme jamais je ne l’ai fait, goulûment, avec frénésie .Je veux tout son sperme, à cet individu. Je veux qu’il me balance tout son foutre, m’asperge le gosier à m’en faire vomir… Hmmm… Je sens qu’il vient. Il ne peut plus se retenir. Qu’il se décharge, qu’il me donne… Quel délice, j’avale tout.

Alain ne perd pas une miette de ma soumission. Sans ménagement il me retourne, me soulève les fesses vers lui. De ses doigts il plonge dans ma chatte pour me faire jouir encore et encore. Mes gémissements emplissent la salle. Nos compagnons ont de leur côté commencé une série de caresses buccales sur leurs sexes.

Sous l’effet de la caresse, le beau brun s’est mis à bander de plus belle. Énorme, je vois sa verge, j’ai envie qu’il me prenne. Je pivote et c’est à lui que je présente mon cul maintenant. Oui mon joli cul aux fesses potelées, charnues, faites pour des mains d’homme, de mâle puissant qui va me le défoncer. Oui qu’il entre en moi, j’ai envie de queue, de va-et-vient. J’ai envie qu’il me laboure, me lime. Qu’il se décharge complètement. Qu’il me prenne en levrette, qu’il me fasse gémir, crier dans les coussins pour étouffer mes bruits. Oui, être sa chose, leur chose. Qu’ils jouissent de moi, que je jouisse sous eux. Que mon corps ne puisse plus réclamer car trop de jouissance j’aurai reçu.

Alain, me voyant ainsi, se place derrière la femme et la saisit à son tour… Mais c’est dans son anneau qu’il se fourre tout de suite. Oui il se met à l’enculer à grands coups de reins. La butant lourdement, la secouant, lui faisant ballotter les seins. Les deux hommes, sous l’excitation maximum, se déchargèrent presque simultanément en nous…