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n° 12378Fiche technique23185 caractères23185
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Temps de lecture estimé : 14 mn
13/03/08
Résumé:  La découverte de ma cousine Monique avec son vieil amant me donne envie d'elle.
Critères:  fh hplusag hagé cousins grosseins groscul bain campagne voir pénétratio -cousins -attirgros
Auteur : Palentin      Envoi mini-message
Ma cousine en action

Un week-end particulièrement ensoleillé de printemps, je m’ennuie à la maison. Il faut dire que je me retrouve souvent seul, depuis que je suis divorcé. Mes gamins, je les vois très peu car ils habitent dans l’est, du côté de Strasbourg, et le reste de la famille me tourne volontiers le dos, depuis notre séparation. Pour une fois qu’il ne pleut pas, ce serait quand même bête d’aller m’enfermer dans un cinoche.


Et si j’allais rendre une petite visite à ma cousine Monique ?

Nous nous sommes revus récemment à l’occasion d’un enterrement, celui de l’oncle Lucien ou de la tante Odette, ils sont morts à quelques semaines d’intervalle, ces deux-là, l’un a emporté l’autre, mais je ne sais plus lequel.


Elle a pris pas mal d’embonpoint, la cousine ; à quarante-cinq ans, elle exhibe des seins obèses et une sacrée paire de fesses. Ses hanches sont XXL et, quand elle se déplace, on dirait un bibendum. Il faut dire aussi qu’elle a un bon coup de fourchette et qu’elle boit volontiers des godets. Divorcée, tout comme moi, elle a attendu que ses enfants soient grands avant de laisser tomber son mari qui la cocufiait jusqu’à plus soif.


Maintenant, elle est retournée vivre à la ferme avec ses parents. Dire que c’est là-bas que je l’ai connue, haute comme trois pommes ! Je n’étais pas bien grand moi non plus, nous allions faire les quatre cents coups dans la grange, mettre le bazar dans la basse-cour ou enquiquiner les porcinets. Rien que des bons souvenirs ; à cette époque, c’était même ma meilleure amie. Par la suite, nous nous sommes un peu perdus de vue. Je suis allé m’enterrer dans une banlieue morose, elle est restée à végéter dans son bled paumé.


Toujours est-il qu’elle est toujours aussi sympa, rien à voir avec tous ces gens qui ne me parlent plus, sous prétexte que j’ai quitté Aline, et qu’ils ne comprennent pas comment j’ai pu me mettre à dos une femme aussi charmante…



Une heure, elle exagère un peu. Elle habite quand même à cent cinquante bornes de chez moi et c’est vrai que, depuis plus de vingt ans que j’habite là-bas, pas une fois je ne suis allé chez elle. Elle non plus, à vrai dire, mais elle a des circonstances atténuantes car ma femme ne la supportait pas (sans doute jalouse de notre complicité d’antan) et n’a jamais voulu l’inviter à la maison.


Ce dimanche, en début d’après-midi, le moteur ronronne sur cette petite route de campagne. J’ai choisi la décapotable, histoire de frimer un peu. Je n’ai malheureusement pas les moyens de m’acheter une Ferrari Spider, alors je me suis rabattu sur une Nissan 350Z, ça en jette bien quand même. J’adore m’arrêter dans les petits villages devant les bistrots pour épater les midinettes. Elles en sont souvent tout excitées et se mettent alors à roucouler. Les plus osées d’entre elles entament parfois la conversation, ce qui me vaut, les jours de chance, quelques bonnes expériences.


Le seul petit problème c’est que ma cousine habite dans un endroit paumé, style région agricole désertique, et que dans ce genre de bled, le dimanche après-midi, les troquets sont tous fermés. Je vais donc droit chez elle. Il s’agit d’une surprise, une petite visite à l’improviste, mais je me suis fendu d’un gros gâteau, le genre de ceux dont ma cousine est friande. Je gare le roadster dans la cour de la ferme et me dirige vers le corps de bâtiment principal. La porte est grande ouverte mais la cuisine est vide. J’appelle, une fois, deux fois, personne ne répond. Pourtant, je sais qu’ils sont là car il y a deux autres voitures garées devant la porte. Je crie dans l’escalier :



Mais aucun signe de vie. Après avoir posé délicatement mes pâtisseries sur la table, je décide de faire le tour des bâtiments, ils ne doivent pas être bien loin… Personne du côté des étables, je traverse la cour vers la grange. Personne là non plus, semble-t-il. Je m’apprête à m’en retourner pour attendre sagement dans la cuisine, quand j’entends un bruit dans le cabanon d’en face. C’est l’ancien cellier qui débouche sur une cave. Maintenant ils y entreposent quelques ballots de paille.


Je m’approche et là, qu’est-ce que je vois à travers la fenêtre ? Monique étendue de tout son long et entre ses cuisses un homme, plus vieux qu’elle, en train de la fourrager. Je n’en crois pas mes yeux, ils sont tous les deux à poil et l’homme, aux cheveux pratiquement blancs, n’y va pas de main morte entre les cuisses de ma cousine.


Tapi derrière ma planque, je n’en perds pas une miette. Le vieux doit avoir la soixantaine bien tassée, mais il a une sacrée santé. Il tient les gros cuisseaux de Monique bien droits et bourre ma cousine avec force. Ce faisant, il est en train de lui parler. Sa voix est étouffée et je n’entends pas vraiment ce qu’il lui dit, mais j’imagine qu’il la traite de gourgandine ou alors de petite salope, si ce n’est pas de grosse cochonne lubrique. En tout cas, Monique en semble bigrement excitée car elle ne tarde pas à se retourner pour lui présenter son fessier énorme qu’il se met alors à pilonner en la retenant par les bourrelets. Bon dieu que tout cela m’excite, si je m’attendais à ça en venant ici !



Je me retourne, vraiment surpris. Encore perturbé par le spectacle des deux amants, j’en avais oublié où j’étais… La tante Josiane se tient devant sa porte et l’oncle Fernand, juste derrière elle, sa pipe en bouche. Je m’approche d’eux, leur dis « bonjour ». Je les embrasse, cela fait tellement longtemps que je ne les ai pas vus, ils sont heureux de me voir, ça fait vraiment plaisir.



Quand ils sont ensemble, tous les deux, c’est à dire à peu près tout le temps, Josiane et Fernand n’arrêtent pas de se chamailler ; ils n’en sont pas moins fort sympathiques. Je les connais ainsi depuis toujours, lui bougon, elle redresseuse de torts, faut voir le nombre de vannes qu’ils se balancent dans la journée, mais c’est leur façon à eux de vivre ensemble.


Au troisième verre de cidre, mon oncle me propose un petit calva. Nous avons entamé le gros gâteau mais toujours aucune nouvelle de Monique. Je l’imagine encore de l’autre côté, dans sa cahute, toujours en train de se faire bourrer par son p’tit vieux, peut-être le garde-champêtre. Ils doivent en être au moins au troisième service, ces deux cochons…


Mais soudain, une voix criarde résonne derrière moi dans la pièce commune :



Je me retourne, Monique m’accueille avec son plus beau sourire. Ses joues sont rouges et elle semble un peu essoufflée mais, d’un autre côté, elle s’est parfaitement rafistolée, on ne dirait pas qu’elle vient tout juste de se faire sauter.



Je me lève donc pour la serrer dans mes bras, contre moi, lui faire la bise sur ses deux joues charnues.



En guise de bonjour, le vieux me fait un signe de tête.



Ah, le vieux cochon, il a encore envie de se la sauter, la Monique. Si ça se trouve, cette histoire de maraudeur c’est vraiment du pipeau, c’est juste histoire de baiser ma cousine. Et elle qui le regarde gentiment, avec des yeux langoureux, la salope, elle doit aimer ça, se faire prendre par ce vieux ridé. Je sens une pointe de jalousie qui s’empare de moi : pourquoi lui et pas moi ? Maintenant que j’ai vu ce dont ma cousine était capable, j’ai très envie, moi aussi, d’en profiter. Elle a beau avoir un derrière énorme, elle est foutrement baisable, la Monique. En attendant, le vieux satyre boit un coup avec nous. On trinque à nos retrouvailles, à ma belle caisse, aux romanos… L’alcool aidant, j’attaque fort, au risque de choquer tout le monde :



Ma cousine s’empiffre d’une autre part de gâteau. À voir comme elle aime ça, ça fait plaisir à voir.



Et l’on continue à blablater comme ça, autour de la grosse table, jusqu’à ce que la nuit tombe et que l’employé municipal décide qu’il est enfin temps pour lui de rentrer. Quand j’vois l’œillade qu’il décoche à Monique en sortant, j’ai bien envie de lui défoncer sa face de cake. Pas vraiment discrets ces deux-là, je me demande si les parents sont vraiment dupes…


Surtout que la grosse ne dit visiblement pas « non », qu’elle le crédite d’un grand sourire. Elle le raccompagne jusqu’à sa voiture. Ça sent le rencart à plein nez. Dès le lendemain, ils vont se retrouver et repartir pour une partie de jambes en l’air. Mais qu’est-ce qu’elle lui trouve à ce vieux macaque ? Elle est tant que ça en manque pour se faire sauter par le premier venu ? Je ronge mon frein, tout ça m’excite, j’ai, moi aussi, très envie de me la taper. Toujours est-il que mes oncles et tantes m’invitent pour le dîner :



Je saute sur l’occasion et m’empresse d’accepter cette offre qui m’ouvre de nouvelles possibilités… Tant pis pour mes rencards du lendemain matin, je fais une croix dessus, pour une fois, au boulot, ils pourront bien se passer de moi.


Après le repas, j’accompagne ma cousine qui doit s’occuper des animaux. Je l’entoure, je m’empresse, tout en feignant de plaisanter. Mais la grosse fille n’est pas dupe, elle me voit arriver avec mes gros sabots :



Alors là… je suis blême.



Je n’ai pas l’outrecuidance de lui rappeler que cet homme a vingt ans de plus qu’elle, mais je n’en pense pas moins. Je suis juste un peu déçu qu’elle se tape un vieux comme ça, et qu’en plus ça lui plaise. Devant ma mine déconfite, elle ajoute alors :



Le temps de repasser à la ferme pour prévenir ses parents et nous voilà partis sur les routes de campagne. Quelques accélérations plus loin, évidemment pour l’épater, je décide de m’arrêter près de l’étang des Rufeuses. Nous y venions souvent nous baigner lorsque nous étions ados.



Je n’y avais même pas songé car je pensais plutôt la bécoter dans la voiture. Mais, sans se démonter, elle sort de la caisse, se met devant les phares et entreprend de se déshabiller. Bon Dieu qu’elle est bandante avec ses gros nichons étalés sur son ventre rond ! Une fois complètement nue, la voici bien criarde :



Je suis plutôt gêné de cette invite assez vulgaire, d’autant plus qu’elle n’en perd pas une miette pour me mater. Une fois qu’elle m’a bien vu complètement nu, elle court comme une folle dans la baille, pourtant légèrement frisquette :



Je mets un peu plus de temps qu’elle à entrer dans l’étang. Elle a déjà de l’eau jusqu’au pubis et je la vois qui s’ablutionne abondamment sa chatoune :



Je comprends du coup qu’elle a bien l’intention de s’envoyer aussi en l’air avec moi. Elle plonge un peu plus loin en criant comme une malade :



Je me fais hara-kiri pour rentrer dans cette eau glacée, puis je nage pour la rejoindre. Là où elle est nous avons pied. Alors je m’agrippe à elle, je l’enlace :



Elle fait mine de se dégager pour mieux que je l’emprisonne. Et, sur ce, je l’embrasse, je lui roule une sacrée pelle et j’entreprends de la peloter. Mais elle n’est pas en reste car elle me branle la bite et se caresse la chatte :



Nous regagnons la berge, elle s’allonge sur le sable et m’attire à elle :



Je ne me rappelle plus vraiment cet épisode-là. À l’époque, je n’avais rien remarqué, je devais penser à d’autres filles… Maintenant, je glisse entre ses cuisses, pénètre sa chatte poilue et accueillante, en dévorant ses grosses mamelles. Qu’est-ce qu’elle est bonne, cette Monique, et qu’est-ce que c’est bon de se la baiser ! Je comprends bien le vieux Joshua, il doit en être complètement fou. S’en suit alors une folle partie de jambes en l’air où nous baisons devant, derrière, dans toutes les positions. Et, deux jets de sperme plus loin, après l’avoir bien remplie de ma semence épaisse, nous regagnons nos pénates. Elle se rhabille très sommairement, juste sa robe et rien dessous puis nous rentrons tranquillement à la ferme.


J’insiste alors pour qu’elle dorme avec moi, au départ elle n’est pas très chaude car elle a peur que sa mère s’en aperçoive. Mais comme, d’un autre côté, elle m’a avoué que ce qui lui manquait le plus c’était de dormir avec un homme, et qu’elle ne pouvait pas le faire avec le vieux Joshua, finalement elle se laisse tenter par ma proposition et nous nous glissons sous les draps sans prendre de douche, encore tout poisseux de notre jouissance.


Au petit matin, elle me réveille en me branlant, elle a encore envie mais le lit craque, alors nous filons dans la salle de bain où elle m’offre son cul sur le carrelage :



Effectivement, on entend du bruit en bas, mais c’est encore plus excitant de baiser ma cousine dans ces conditions.



Un peu plus tard, elle se rhabille, visiblement satisfaite, à nouveau remplie de ma jouissance. Elle descend retrouver sa mère dans la cuisine. J’écoute aux portes ce que se disent les deux femmes :



Comme quoi, ma tante n’est pas vraiment dupe…



Surtout pas dupe ! Mais elle aime sa fille, alors elle ferme les yeux sur toutes ses incartades.


Je prends une bonne douche et je m’habille. Quand je descends à mon tour, Monique s’est déjà envolée. Je prends mon p’tit déjeuner avec tonton Fernand.



Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd… Tandis que je fais route pour rejoindre ma banlieue, je remarque la tache de foutre qui orne le siège passager. Sacrée Monique, j’espère que ça se nettoie, au moins. Dire qu’à cette heure, elle est peut-être dans son réduit, en train de se faire tringler par ce vieux aux cheveux blancs…


Je reviendrai bientôt, ça je te l’promets, cousine, parce qu’avec ton gros cul, t’es vraiment hyper bonne.