n° 12386 | Fiche technique | 15588 caractères | 15588Temps de lecture estimé : 10 mn | 15/03/08 |
Résumé: Un couple d'amis me demande de photographier leurs ébats. J'accepte, mais ils auront les yeux bandés. | ||||
Critères: h fh couple copains amour voir exhib photofilm hmast fellation yeuxbandés -voyeuract | ||||
Auteur : Captain Beaujol |
Je m’appelle Aymeric et j’ai 28 ans. J’ai toujours été assez doué en photographie. Je shoote un peu tout ce qui passe devant mon l’objectif. J’aime les sujets insolites, et il m’est arrivé de gagner quelques prix amateur. Mais ce jour-là, je dois avouer que la demande de Sébastien et Géraldine m’a un peu désarçonnée :
Tout de go ! Franchement, je n’en revenais pas.
Sébastien et Géraldine sont des amis de longue date. Lui châtain clair, très beau gosse, de mon âge (petite trentaine), amoureux fou de Géraldine, 26 ans, fine et piquante petite blonde. Ils sont mariés depuis deux ans ; j’étais même témoin. Nous avons toujours eu une grande confiance, même pour les questions d’amour et de sexe, dont nous parlions très librement. Mais d’ici à ce que je les photographie ! J’ai vraiment dû faire une drôle de tête car ils sont partis d’un grand rire. Géraldine se reprit en premier :
On a parlé un peu. En fait, ils souhaitaient vendre leurs photos coquines à un site Internet « amateur ». Ça, c’était gonflé : autant ils ne ressentaient aucune gêne à s’exhiber sur le Net, autant ils ne voulaient absolument pas faire appel à un inconnu pour leur séance photo. Finalement, j’étais assez flatté qu’ils osent me demander ça.
Nous avons arrêté une date pour le week-end suivant. Pour ma part, j’apporterai le matériel photo chez eux : éclairages, parapluie, pied, appareil reflex et laptop. Quant à eux, ils s’occuperaient… du reste.
Je suis arrivé le samedi après-midi. Sébastien et Géraldine avaient l’air radieux :
Le temps d’un bref apéro et d’installer le matériel, nous étions prêts à commencer.
Pour cette séance d’essai, j’avais proposé de faire simple : tout se passerait sur le canapé, avec l’appareil photo bien en face et un bon éclairage. Je savais que la simple vue de l’appareil photo perturbait souvent les sujets amateurs. Mais justement, j’avais eu une petite idée pour mettre tout le monde à l’aise : ils auraient tous les deux les yeux bandés. Un moyen pour eux de préserver une certaine intimité. En plus, j’espérais que cela donnerait à la série de photos une originalité et un cachet particulier.
Elle rapporta de la chambre les foulards de soie avec lesquels ils « jouaient » parfois, me dit-elle avec un adorable sourire en coin. Ils étaient habillés tout simple : jean, t-shirt pour Sébastien, et juste un grand t-shirt pour Géraldine. Je leur ai bandé les yeux.
J’ai commencé par les shooter en train de s’embrasser. Simplement d’abord, puis en plan de plus en plus rapproché au fur et à mesure que leurs baisers se faisaient plus appuyés, plus profond. Sébastien écrasait les lèvres de Géraldine qui ouvrait de plus en plus grand la bouche. Maintenant, ils laissaient courir leurs mains sur le haut du corps. Au fur et à mesure qu’ils se prenaient au jeu, j’ai eu le sentiment qu’ils oubliaient l’appareil et… le photographe.
Géraldine promenait ses mains sur le dos de Sébastien. Quand à lui, il effleurait déjà les seins de la belle par dessous son T-shirt. Elle a une très belle poitrine. J’ai déjà pu en juger, notamment sur la plage où elle pratique un monokini sans complexe. Ses seins sont lourds et fermes, avec des pointes bien rondes qui pointent très légèrement vers le haut. Elle en est fière et dit souvent quelle aime bien que les autres « en profitent ». Ce à quoi Sébastien répond invariablement que c’est quand même lui qui en profite le mieux !
Sébastien avait maintenant dénudé le haut de sa compagne. Je photographiais de mon mieux les mains posées sur les seins. Quand il se mit à pincer tendrement j’obtins même des gros plans des tétons en train de s’ériger : une merveille ! Le problème avec tout ça, c’est que je commençais à avoir un très net problème d’érection… Je ne sais pas comment font les pros, mais moi je ne suis pas de bois. Je me félicitais à nouveau de l’idée du bandeau qui, pour le coup, m’évitait d’être gêné vis-à-vis d’eux.
Sébastien et Géraldine étaient de plus en plus pris dans leurs caresses. Il commença à embrasser les seins offerts, sa bouche trouvant seule le mamelon et le suçant doucement. Par contre, sa tête cachait la magnifique poitrine. J’ôtais l’appareil de son pied pour changer d’angle. Géraldine émis un léger soupir. À ce moment, il me plaisait tout à fait d’avoir à m’occuper de technique photographique : ça occupait mes pensées, ça rendait mon érection plus supportable ! Quand même, je me dis que Sébastien avait bien de la chance.
Puis ce fut au tour de Géraldine de prendre les devants. Je crois qu’elle était particulièrement excitée par la situation : ses mains en tremblaient et elle essayait frénétiquement de défaire la ceinture de Sébastien. J’allongeai le temps de pose pour mieux rendre l’effet de mouvement. Des deux mains, Géraldine ouvrit les boutons de la braguette et baissa d’un coup le jean et le caleçon. Je vis littéralement le sexe de Sébastien jaillir vers elle. Il bandait dur ! Aussitôt, Géraldine s’en saisit et le caressa doucement, félicitant son chéri :
Sébastien souriait à cet hommage :
Je continuais à tourner en silence autour du couple, heureux qu’ils aient pu m’oublier au point de se parler si intimement.
Pour l’instant, Géraldine branlait consciencieusement son homme. Sa main paraissait petite sur le membre gonflé. Géraldine eut un sourire :
Sébastien saisit aussitôt l’occasion ; il s’assit bien confortablement au fond du canapé et attrapa la tête de sa chérie à deux mains.
Je n’en revenais pas. Pour ma part, je n’avais jamais entendu, et encore moins dit, de phrases aussi crues pendant l’amour. Eux visiblement n’en étaient pas à leur coup d’essai pour se parler comme ça. Et devant moi en plus ! Mon érection devint si forte que je dus recaler ma bite de la main gauche. Tant qu’à faire, ma main resta en bas, à me caresser à travers mon jean. Ça devenait compliqué de prendre de bonnes photos.
La tête de Géraldine allait et venait doucement sur le sexe de Sébastien. Certes, le mouvement était beau, langoureux et terriblement excitant. Avec un caméscope, on aurait perçu toute la sensualité de la belle. Mais en image arrêtée c’était bien plus compliqué : on voyait juste l’arrière d’une jolie tête blonde. À nouveau, je dus me déplacer en silence pour trouver un meilleur angle.
De derrière le canapé je pus zoomer sur le visage de Géraldine. Elle avait la bouche bien ouverte, entrant et sortant toute la longueur de la bite de Sébastien à chaque allée-venue. Une fois remontée au bout, elle creusait ses joues et aspirait juste le gland. À chaque fois, Sébastien se cambrait et gémissait. Puis, elle avançait à nouveau et avalait toute la longueur. Au fur et à mesure, il y avait de plus en plus de salive. Géraldine en avait les lèvres toutes luisantes et il y avait de plus en plus de bruits de succion. Elle savait vraiment bien s’y prendre. J’aurais donné cher pour être à la place de Sébastien. Le veinard en profitait d’ailleurs tant qu’il pouvait.
L’entendre ainsi me donna l’idée d’aller voir un peu plus bas s’il y avait quelque chose à photographier. Je revins d’abord du bon côté du canapé sur un plan d’ensemble, puis je me rapprochai doucement de la croupe de Géraldine. Pas facile de zoomer car elle ondulait du bassin. À un moment pourtant, elle s’immobilisa enfin et je compris vite pourquoi : T-shirt remonté, la gourmande se frottait les lèvres avec un doigt, luisant de mouille !
J’amenais l’éclairage d’appoint à proximité et shootais tant que je pouvais sa jolie chatte toute gonflée. Son doigt entrait maintenant jusqu’à la première phalange, tournant en cercles de plus en plus larges. Puis un deuxième doigt vint le rejoindre. Le mouvement circulaire se fit de plus en plus net. J’étais aux premières loges et j’entendais même les petits bruits provoqués par la caresse circulaire dans toute sa mouille. Géraldine émettait de petits gémissements étouffés. Soudain elle recula la tête.
Je compris alors qu’elle s’était suffisamment excitée et élargie pour pouvoir accueillir sans difficulté le membre conséquent de Sébastien.
Je reculai rapidement, pour ne pas perdre une miette de la suite. Sébastien s’agenouilla sur un bout du canapé, tandis que Géraldine se couchait de l’autre côté. Elle gardait les cuisses complètement ouvertes dans une position parfaitement impudique. Sa chatte était déjà bien écartée, les lèvres rosées et luisantes de mouille. L’entrée du vagin, plus sombre, était même visible.
Je fis autant de plans que possible avant que Sébastien s’approche, sexe en main. Là aussi, Géraldine avait fait du bon travail : on voyait bien la salive tout du long, qui avait même dégouliné jusqu’aux poils !
À tâtons, Sébastien guida le bout de son sexe contre celui de Géraldine. Elle bougea lentement son bassin jusqu’à ce que le contact soit parfait. Puis tous deux se mirent à frotter lentement, s’encourageant de la voix :
Géraldine se mit à rire :
Et Sébastien repris sur le même ton :
La réponse de Géraldine vint comme un cri et acheva de m’exciter à mort :
Franchement, d’une manière ou d’une autre, ils auraient dû me prévenir que leurs ébats étaient aussi crus et excitants. Moi, je n’en pouvais plus dans mon caleçon ! J’avoue que j’ai un peu craqué. Remettant l’appareil sur pied, je cadrais parfaitement le canapé et réglai en automatique, une prise toute les 5 secondes. Avec ça, j’aurais de quoi trier mais, au moins, je ne raterais rien !
Un peu libéré, j’ouvris ma braguette et sortis ma bite toute dure. Je me mis à me branler frénétiquement en regardant ces deux-là, non plus à travers l’objectif mais bien directement, là à même pas deux mètres. Pas de risque qu’ils m’entendent, ils faisaient de plus en plus de bruit. Au début, c’est Sébastien qui n’arrêtait pas de gémir et de parler à Géraldine. Puis, en une minute, c’est elle qui passa du gémissent aux cris. Elle hurlait son plaisir de plus en plus fort, encourageant son homme :
Je n’en pouvais plus. Attrapant à toute vitesse un kleenex, j’éjaculai dedans, longuement et délicieusement en regardant Sébastien pistonner de plus en plus fort la belle Géraldine. Je me remis à toute vitesse, juste à temps pour reprendre l’appareil et photographier au mieux leur jouissance qui commençait à poindre. Je me mis au bout du canapé, face au visage de Géraldine. Elle était à califourchon sur Sébastien et allait et venait frénétiquement en hurlant son bonheur.
Je zoomais sur son visage, et obtins en deux minutes une impressionnante panoplie de photos de la montée du plaisir féminin : bouche grande ouverte, lèvre du bas mordue, langue gourmande passée sur la lèvre supérieure, et enfin la jouissance totale. Mâchoires serrées à bloc, narines pincées, visage tendu. Quel dommage que le bandeau ait caché ses beaux yeux noisette !
C’est à ce moment que Sébastien a craqué. Comment lui en vouloir. J’étais encore face à Géraldine mais Sébastien disait tout :
À ce moment, impossible de rester en gros plan tellement il secouait Géraldine.
J’ai terminé par quelques clichés très intimes « scènes d’après l’amour », tels qu’on les voit rarement dans les séries photos pornos : Sébastien et Géraldine enlevant leurs bandeaux, s’embrassant, puis quasi assoupis l’un contre l’autre.
Nous avons passé le reste de la journée ensemble à discuter, regarder des films, et aussi trier les photos. Il y en avait beaucoup de ratées bien sûr (surtout à un certain moment) mais il restait de quoi faire une belle série de trente photos.
Le soir venu, nous n’avions toujours pas envie de nous séparer, heureux de notre étrange intimité. Nous sommes allés au restaurant. Pendant tout le repas, je n’avais qu’une pensée : leur demander si je pourrais un jour me joindre à leurs ébats. Ce n’est qu’au dessert que j’ai osé. Ils étaient ravis que je demande et leur réponse m’a beaucoup plu. Mais ça, c’est une autre histoire…