n° 12401 | Fiche technique | 28739 caractères | 28739Temps de lecture estimé : 15 mn | 21/03/08 corrigé 31/05/21 |
Résumé: Variation sur la chanson "Sur la route de Louvier..." - Couplets 2 et 3. | ||||
Critères: fh extracon nympho grossexe campagne voiture pénétratio fsodo init humour -humour -nature | ||||
Auteur : Cidoup Envoi mini-message |
Collection : Chansons grivoises |
Deuxième Couplet
Une belle dame vient à passer (bis)
Dans un beau carrosse doré (bis)
Elle y baisait, elle y baisait
Elle y baisait comme un voyou
À en faire casser les roues.
Marie-Amélie ouvre sans frapper la grande porte du bureau de son mari. À son irruption, le secrétaire particulier de monsieur le préfet s’écarte précipitamment et s’empare d’un dossier qu’il feuillette avec application.
À ce moment, un grand noir en livrée de chauffeur s’avance dans la salle, la casquette à la main.
Du regard, Hubert interroge le préfet qui hoche affirmativement la tête.
Il sort de la pièce sous les regards de trois paires d’yeux. Marie-Amélie se tourne vers le secrétaire.
Le secrétaire blêmit.
Marie-Amélie effectue un demi-tour en faisant gonfler sa robe qui dévoile ses chevilles et sort de la pièce en lançant :
Henri-Paul se précipite pour fermer la porte derrière elle.
Le secrétaire s’exécute, puis retourne près du bureau, visiblement perturbé.
Le secrétaire s’installe sur les genoux de son maître qui lui caresse la cuisse, haut sur le pantalon…
OooOOOooO
Marie-Amélie descend dans la cour. Elle est charmante dans sa robe rouge à volants. Le chauffeur donne un dernier coup de chiffon à la splendide torpédo de la préfecture.
Il ouvre la portière arrière et aide la jeune femme à s’installer sur les coussins de la banquette. Il referme soigneusement la porte et prend place derrière le volant. La cloison de séparation entre l’avant réservé au conducteur et l’habitacle arrière est ouverte. Hubert donne un petit coup de klaxon. Les gardes mobiles à l’entrée ouvrent la grille et saluent au passage. L’automobile tourne dans la grand-rue. Une fois la préfecture hors de vue, Marie-Amélie retrousse robe et jupon sur ses jambes qu’elle a fort jolies.
Le noir sourit. Dans le rétroviseur, il peut admirer le sexe que la belle exhibe à ses regards.
Hubert accélère. La jeune femme s’avance sur la banquette derrière le conducteur dont elle caresse la nuque.
Marie-Amélie dénoue la cravate de Hubert et caresse la poitrine.
La jeune femme est projetée en arrière par un bond de l’automobile dû à un profond nid de poules.
Hubert sait par expérience qu’il n’est pas bon de faire attendre sa maîtresse. Un petit bois offre une ombre propice. Il manœuvre l’automobile, recule dans le chemin qui mène au bosquet et arrête le moteur. Il descend et ouvre la portière de l’habitacle arrière.
Marie-Amélie s’allonge sur les coussins en retroussant sa robe sur les hanches.
Hubert ne se le fait pas répéter. Il écarte les cuisses de Marie-Amélie et enfonce son dard dans le sexe de la jeune femme.
La voiture tangue au rythme des coups de reins d’Hubert qui ne ménage pas sa peine. Il passe les bras sous les cuisses. Marie-Amélie pose les jambes sur les épaules de son amant.
Hubert donne deux coups de reins supplémentaires pour vider ses couilles et retire sa queue pendante.
Il tend sa pochette à la jeune femme.
Marie-Amélie essuie son sexe dégoulinant et rend le mouchoir souillé. Hubert le renifle.
Ils s’installent sur une couverture qu’Hubert a étalée à l’ombre et font honneur aux victuailles. Les oiseaux, que les grincements de la voiture balançant sur ses ressorts avaient effrayés, ont repris leur gazouillis. Après le repas, Hubert remballe le panier à provisions et le range dans la malle arrière de l’automobile. Marie-Amélie, accroupie, s’amuse à regarder le manège des fourmis qui ramassent les miettes de pain. Hubert s’avance par derrière. La jeune femme se laisse aller contre le torse de son amant. Il défait les boutons du corsage, mais ses caresses sont arrêtées par le corset qui emprisonne les seins.
Il la fait retourner et farfouille sous la jupe.
La jeune femme s’active sur la ceinture qu’elle dégrafe.
Hubert s’en débarrasse ainsi que du caleçon. En liquette, il s’installe entre les cuisses de Marie-Amélie. Celle-ci empoigne la verge toute droite et l’enfonce dans son vagin.
Hubert se redresse, la jeune femme agrippée à lui comme un petit singe à sa mère. Il la transporte à l’auto et la dépose sur la banquette sans se désunir. Les ressorts gémissent ainsi que les amortisseurs sous les coups de boutoir qu’il inflige à sa partenaire et qu’elle reçoit sans se plaindre. Hubert se retire avant la conclusion.
Elle obéit, un peu inquiète. Le chauffeur soulève la jupe sur les reins dévoilant une magnifique paire de fesses.
Il caresse la raie du gland.
Hubert stoppe l’introduction.
Le ventre contre les fesses, il laisse Marie-Amélie s’habituer à la grosseur qui encombre ses entrailles. Au bout de quelques secondes, il se retire lentement.
Voyant que la jeune femme ne fait rien pour se dérober, Hubert amplifie les coups de queue. La carrosserie vacille sur les ressorts malmenés. Marie-Amélie résiste de son mieux. Son cul en feu irradie des ondes de plaisir dans tout le corps.
L’émotion qui l’étreint est trop forte. La jeune femme s’effondre et c’est presque inconsciente qu’elle reçoit dans son cul les jets de sperme. Ils restent soudés l’un à l’autre de longues minutes. À la fin, Hubert se dégage et prend une serviette dans le panier. Il la trempe dans le ruisseau proche après s’être lavé la queue. Quand il revient à l’automobile, Marie-Amélie n’a pas bougé, le cul à l’air, la figure entre les coudes. Elle respire fortement. Un peu de sperme sourd de l’orifice encore dilaté et coule sur la cuisse. Hubert tamponne doucement avec la serviette humide. La fraîcheur de l’eau réveille la jeune femme.
Elle parvient à s’asseoir.
Hubert récupère caleçon et pantalon, plie la couverture après s’être habillé, lance le moteur et démarre la voiture qui rejoint cahin-caha la route empierrée.
Au bout d’une heure de trajet, la jeune femme demande à s’arrêter.
Hubert soupire. Il est bon pour une baise supplémentaire.
Il n’est pas pressé. Marie-Amélie s’impatiente.
Hubert soupire. L’après-midi sera longue ! Arrivé près du bois, il trouve un chemin forestier dans lequel il gare l’automobile. Il quitte sa casquette et ouvre la portière arrière.
Le chauffeur baisse son pantalon. La verge, que la vue de la chatte impudiquement exposée a ranimée, se dresse fièrement. La jeune femme l’empoigne.
Elle tire sur l’engin. Hubert suit et s’enfonce dans un océan de douceur. La coquine, pense-t-il. Elle s’est masturbée sans que je m’en aperçoive !
Il était temps, Hubert à bout de force n’en pouvait plus de se retenir.
Un ultime spasme la secoue. Hubert vidé se retire. Il sort son mouchoir de la poche, s’essuie le sexe avant de le donner à Marie-Amélie pour éponger le surplus de liqueur qui suinte de sa chatte. Elle rend le mouchoir et se cale sur les coussins.
Il remonte son pantalon, remet sa casquette et s’installe sur le siège conducteur…
Troisième couplet
Elle aperçut le cantonnier (bis)
Dans le fond d’un grand fossé (bis)
Et qui baisait, et qui baisait,
Et qui baisait comme un voyou
Une fillette aux cheveux roux.
Louis entraîne Lisette sous les ombrages.
Il s’arrête brusquement. Ce n’est pas une chose à annoncer à une donzelle qu’on veut baiser que d’autres femmes l’ont précédée.
Il hoche la tête, fait mine de réfléchir, regarde de droite et de gauche.
Elle soulève sa jupe et la maintient à la taille dévoilant des jambes roses et une culotte blanche. Louis en salive d’avance. Lisette s’assoit sur les genoux, la vision disparaît. Elle étale la robe autour d’elle.
Ce n’est pas pour admirer la robe de la donzelle qu’il est venu sous les ombrages. Louis décide de brusquer les opérations.
Prenant l’hésitation pour une approbation, il dégrafe sa ceinture et baisse le pantalon. La bosse qui déforme le caleçon est éloquente. Lisette avance le torse pour se rapprocher. Louis fait semblant de s’emberlificoter dans ses dessous.
Lisette se redresse. Elle contrôle, pas de tache. Elle reste là les bras ballants ne sachant que faire.
Lisette hésite. Se déshabiller devant un homme ! D’accord, elle a envie de voir cette queue dont tout le monde parle, et elle devine ce qui se passera alors, mais quand même…
En soupirant, elle tourne le dos à Louis.
Il s’empresse. Elle fait passer la robe par-dessus la tête. Il la lui prend des mains et la suspend à une branche morte.
Il évite de regarder la jeune fille, pour ne pas la gêner. Pourtant ce qu’il a aperçu vaut le coup d’œil !
Lisette n’a pas de difficultés à extraire l’engin du caleçon.
Elle est fascinée par le bout du gland et le méat qui bâille quand elle descend les mains.
La jeune fille ne dit mot, absorbée par sa contemplation.
Louis baisse son caleçon. Lisette rougit à la vue des couilles poilues.
La jeune fille n’est plus en état de résister. Elle ôte son dessous, sans quitter l’énorme queue du regard. Elle meurt de trouille, mais est incapable de renoncer à l’expérience. Elle s’accroupit sur les talons, se place au-dessus de la queue que Louis maintient bien droite.
Lisette écarte des doigts les lèvres roses. Louis ne perd rien du spectacle et banderait encore plus si c’était possible à la vue des poils roux et des muqueuses luisantes. Il voit même l’orifice qu’il s’apprête à investir. La jeune fille s’abaisse, Louis fait bouger son sexe pour que le gland prenne place face au vagin.
Lisette étouffe un rire silencieux. Elle appuie plus fort. Son vagin tire, à force de dilatation, mais c’est supportable. Elle sent le gland s’enfoncer. Oh, cette sensation ! Elle en oublie de freiner la descente.
Lisette se soulève puis descend à nouveau. Son vagin a pris la dimension de la queue. Les tiraillements cessent, ne reste que le sentiment de plénitude qui l’envahit à la pensée de recevoir cette queue que toutes les femmes qu’elle connaît veulent pour elles. Elle commence à chevaucher en cadence.
Lisette, le con bien rempli, a dépassé le stade de la pudeur. Elle ôte sa chemise en souriant. Louis soutient les globes de ses paumes placées en coupole. La jeune fille reprend sa chevauchée. Lui est aux anges. Il baise une jolie fille à poil qu’il patouille à loisir, le plaisir du sexe allié à celui des mains et des yeux, le pied quoi !
OooOOOooO
L’automobile roule sur les routes en mauvais état.
Le chauffeur ralentit et stoppe sur le bas-côté. Personne ne se manifeste. Marie-Amélie scrute par les vitres.
Hubert fait très attention à ne pas tutoyer Marie-Amélie lorsque des tiers peuvent se trouver à proximité.
Le chauffeur place la casquette sous le bras et va ouvrir avec déférence la portière. La jeune femme descend et pose avec précaution l’escarpin sur la poussière de la route.
Hubert désigne le petit bois.
Il s’avance sur le sentier qui s’enfonce sous les frondaisons. Il s’arrête tout à coup.
La jeune femme s’avance.
Lisette est déchaînée. Sa chevelure rousse monte et descend dans la lumière. Elle chevauche avec ardeur Louis, qui a de la peine à maintenir les seins qui virevoltent comme s’ils voulaient s’échapper de la poitrine.