n° 12403 | Fiche technique | 10113 caractères | 10113Temps de lecture estimé : 7 mn | 27/03/08 |
Résumé: Symphonie en « rut » majeur | ||||
Critères: fh couple cérébral revede voir pénétratio | ||||
Auteur : Mister Me |
Quelques notes s’échappaient de la pièce, susurrées par un piano.
Je parcourus le couloir, attiré par cette mélodie envoûtante… Plus je m’approchais et plus cela devenait prenant. Mais qui jouait cette jolie mélodie ? Je poussai la porte et entrai dans cette pièce.
Des bougies étaient disposées un peu partout dans cette mansarde couverte de tapis, et le scintillement des flammes sur les murs faisait danser des ombres au rythme des notes que le piano soufflait.
C’était elle, ma gouttelette bleue azur. Je la reconnus, assise, avec sa longue chevelure et ses boucles qui coulaient dans son dos.
Il faisait chaud dans cette pièce. La mélodie contemporaine qu’elle jouait, mêlée aux sautillements des flammes et de leurs ombres, me faisait déjà frémir… Je m’approchai le cœur battant au rythme des pulsions que son désir m’insufflait. Je la voulais…
Elle sentit ma présence et se retourna vers moi me gratifiant d’un regard de feu et d’un sourire passionné, puis elle continua à jouer. La mélodie accélérait puis devenait soudain suave et tranquille. J’étais pris par le rythme qu’elle voulait me donner.
Elle était vêtue d’une simple chemise de coton, légère et transparente. Les chiffonnements du tissu s’accordaient avec les boucles de sa chevelure. Je restai là un instant à la contempler dans toute sa beauté. Déjà mon regard la déshabillait, s’insinuant dans les plis que sa chemise faisait sur son corps…
Arrivés derrière elle, mes doigts frôlèrent ses épaules et commencèrent un ballet de caresses. Sa longue chemise couvrait son bas-ventre jusqu’à mi-cuisses. Elle continuait à jouer…
Mes mains dansaient sur ses épaules et mes doigts voulaient maintenant jouer une symphonie sur le piano qu’elle était devenue pour moi. Je me perdais dans ses boucles. J’étais pris par les parfums qui envoûtaient cette atmosphère chaude et humide. En massant son cou, et en faisant descendre mes doigts autour du col de sa chemise, elle fut parcourue par un frisson qui avait pris naissance quelque part en elle, telle une boule de feu…
J’ouvris les premiers boutons de sa chemise pour voir naître ses deux seins qui se tenaient fièrement. Quelle invitation…
Elle me sourit et, dans ses yeux, je lus un désir fou. Je m’approchai doucement et elle prit tout de suite possession de ma bouche. Nous échangeâmes un baiser torride et fondant. Ce baiser dura des heures, ses mains avaient désormais délaissé le piano et s’accrochaient à moi.
Elle me tira jusqu’à elle et je m’assis à ses côtés. Je me décrochai de ses lèvres et me reculai un instant pour la contempler. Nos yeux brûlaient l’un pour l’autre. Nous nous donnions maintenant des petits baisers se décrochant l’un de l’autre, et nos langues se faisaient furtives d’une lèvre à l’autre. De temps en temps, elle me mordillait la lèvre, pour me témoigner de son appétit.
Je finis d’ouvrir sa chemise et la fit glisser le long de son dos. Elle se cambra lorsqu’elle en fut débarrassée, et me présenta orgueilleusement sa poitrine. Le tissu couvrait le bas de son dos Elle fit de même de la mienne. Mon torse était déjà perlé de gouttelettes de sueur, faisant ressortir une odeur masculine qu’elle aimait plus que tout. Cette situation transitoire ne faisait que souffler sur la boule de feu qui brûlait en elle. Qu’elle était belle !
Ma curiosité redoublait d’intensité. Mes yeux descendirent pour observer son intimité. Sa chemise recouvrait encore l’objet de ma convoitise. Je la tirai pour l’envoyer à terre. Elle avait les cuisses serrées et je pus dès lors deviner un petit triangle de tissu bleu azur, bordé de dentelles. Ce petit triangle était tenu par deux légères ficelles de tissu qui s’en allaient se refermer dans son dos. Machinalement ma main descendit de l’épaule, parcourut délicatement son dos pour venir se plaquer sur une fesse. Mes doigts ne retrouvèrent aucune trace du tissu. Elle portait un Tanga des plus fins, les ficelles se retrouvaient en haut de ses fesses, à la naissance de son sillon, scellées par un petit papillon rose de dentelle.
Je retrouvai ses lèvres que j’embrassai avec fougue. Mes doigts jouaient avec ses ficelles et prenaient possession de ses fesses. J’alternai les caresses, douces et sensibles, la faisant frémir à fleur de peau, et des prises plus fermes lorsque la torpeur des baisers redoublait mon désir. Je voulais la posséder. Ou bien était-ce elle ?
Son corps était d’une beauté indescriptible. Les lignes que mes doigts parcouraient, au fil de ses courbes envoûtantes appelaient à l’amour. L’ardeur de nos baisers dans cette pièce désormais tapissée des ombres de nos ébats, réchauffait nos cœurs et amplifiait nos souffles. Nos regards se faisaient intenses et interrogateurs témoignant du désir qui nous envoûtait elle et moi, mais nos yeux se fermaient aussi de temps à autres, nous privant d’un sens, mais amplifiant les autres.
Ce fut elle qui se leva la première. Elle tourna autour de moi dans une marche sensuelle tout en me retenant assis de ses caresses. Je détaillai son corps de rêve, dont les courbes s’adoucissaient ou se renforçaient par le jeu des chandelles. La chute de ses reins et la courbe de son fessier, soulignées par ce Tanga ficelé me rendaient fou à lier. Je voulais la croquer.
Elle vint derrière moi et me caressa le torse, doucement d’abord, avec la pointe de ses doigts, mais plus furieusement ensuite, me faisant mesurer ainsi l’envie de possession qu’elle avait de moi. Elle dégrafa mon pantalon, mesura de quelques caresses l’ampleur de mon désir et remonta, le laissant entrouvert, à de futures occupations. En remontant, ses mains me caressèrent sensuellement le bas-ventre.
Elle avait l’art de la caresse au bout de ses doigts, qui dansaient sur ma peau au même rythme que nos langues enivrées. Elle se présenta face à moi, les jambes légèrement écartées, se tenant droite, avec une fierté que ses deux seins exprimaient de concert. Mes deux mains vinrent se glisser sur ses fesses et je la rapprochai de moi. Elle s’assit à califourchon sur mes cuisses.
Nous repartîmes dans un échange sulfureux de baisers embrasés. Je la repoussai doucement et je libérai maintenant son torse de sa longue et belle chevelure. Ses deux fruits s’offrirent à moi. Je commençai un baiser gourmand dans son cou et descendis maintenant sur son sein gauche. Je le contournai et goûtai son mamelon qui était devenu dur en subissant les assauts gourmands de ma langue.
Elle eut une réaction forte avec un petit cri mêlant surprise et désir. Je découvris ainsi sa sensibilité… Elle redoublait d’ardeur et vint coller son bas-ventre au plus près du mien. Je continuai à me délecter de sa poitrine et ne fis qu’amplifier son désir qui s’illustrait par cette pression que son corps me donnait. J’étais son prisonnier, enchaîné par ses jambes autour de moi. Mes mains prirent ses deux fesses, et je la soulevai pour venir l’asseoir sur son piano.
Elle ne desserra son étreinte que lorsque je la posai. Je jouai avec son Tanga en tirant sur les ficelles tel un cavalier jouant de ses brides pour dompter sa jument. Son regard m’indiqua le feu qui courait en elle. Je devais la libérer. J’embrassai son ventre et descendis sur le morceau de tissu, enivré des parfums capiteux que son jardin m’offrirait. Trois petits boutons étaient alignés sur le petit morceau de tissu bleu azur, devenu chaud et humide. Je les tirai un à un de mes dents. Puis mes mains tirèrent sur ses lanières et je la mis à nu…
Je la contemplai dans sa nudité. J’avais dévoilé une petite toison entretenue avec soin. Ce petit triangle des Bermudes où mon équipage voulait aller se perdre…
Je l’avais enfin devant moi, nue, entièrement pour moi, enflammée de désir au milieu de cette féerie de lumières chaudes. Je me déshabillai pour me retrouver dans le plus simple appareil face à elle. J’étais son égal et nos deux moitiés n’attendaient que de pouvoir former l’unité, l’unité de notre passion.
Je la fis glisser doucement sur le piano, l’attirant jusqu’au bord, de manière à avoir son intimité sur le rebord du précipice qui me ferait basculer dans l’enfer du désir. Je posai un baiser sur son ventre chaud et me fis guider par des parfums suaves et corsés, pour enfin arriver en elle. Je recherchai cette boule de feu de ma langue, dégustant cette liqueur avec délectation. Elle pressa ma tête et serra ses jambes autour de mon cou. Elle se mit à pousser de petits soupirs de plaisir qui augmentaient avec l’intensité de ma gourmandise et de la pression qu’elle faisait sur moi.
Elle m’appela en elle. Je me relevai et l’attirai vers moi, puis je la soulevai et la fis glisser le long de mon torse. Elle prit en main mon membre et l’enfila doucement et délicatement en elle, dans un cri de plaisir. Tout en la soutenant, je revins m’asseoir sur le tabouret de la pianiste. Elle me dominait et était heureuse de m’avoir en sa possession.
Nos lèvres se retrouvèrent pour des baisers de feux qui étaient ponctués de halètements langoureux et de cris de plaisir que l’on ne parvenait plus à étouffer. Elle oscillait sur mon membre, alternant des mouvements secs et rapides et s’attardait sur des pressions plus intenses lorsque j’étais au plus profond de son intimité. Nos plaisirs montaient en puissance, nous le mesurions à l’intensité de nos cris et de nos pressions.
Nous jouîmes ensemble dans un orgasme puissant, en une mélodie de plaisir et de larmes…