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Temps de lecture estimé : 8 mn
30/03/08
Résumé:  Un couple se laisse entraîner involontairement dans une initiation à la débauche.
Critères:  fhh couleurs extracon inconnu caférestau fsoumise double sandwich attache -totalsexe -groupes
Auteur : Vitalac      Envoi mini-message
Initiation involontaire à la débauche d'un couple ordinaire

7 est mon chiffre porte-bonheur…


Rien ne nous prédisposait à vivre ce que nous avons vécu : une pure initiation involontaire à la débauche… Ce samedi 7 juillet restera dans les annales, sans jouer sur les mots.


oooOOOooo



J’avais quelques jours plus tôt retrouvé un ancien camarade de classe, Bertrand. Un sacré numéro, ce Bertrand. Aujourd’hui, il est à la tête d’un club restaurant branché, bon chic bon genre, où l’on ne peut se rendre que sur invitation…


Bertrand m’expliquait son parcours atypique, je lui racontais ma vie : marié, deux enfants, un bon job, que du bonheur. Après quelques échanges de politesse, il insista pour m’inviter dans son nouveau club, pas peu fier de me faire découvrir ce qu’il appelait : son nouveau concept.


Pris de court et devant une telle insistance, je décidai d’accepter l’invitation :



oooOOOooo



De retour à la maison, j’expliquai à ma femme mes retrouvailles avec Bertrand, et lui fit part de son invitation. Ravie d’aller dîner, mon épouse me rappela que nous partirions à deux voitures car elle avait prévu d’aller voir sa sœur avant. Qu’à cela ne tienne, nous nous retrouverions à 20 heures au club restaurant. Ah, le GPS, quelle belle invention…


Un petit coup de téléphone à Bertrand samedi midi pour lui confirmer l’heure. J’évoque avec lui la situation, il me convainc de venir un peu plus tôt pour discuter :



oooOOOooo



Samedi soir, 19 heures 15, je suis devant le club restaurant. C’est une superbe bâtisse retirée dans une propriété superbement arborée : la classe…


Bertrand m’attend sur le seuil :



Première surprise, cela ne ressemble pas à un restaurant, c’est un grand hall magnifique suivit d’un coin bar près d’une cheminée du XVIII ème siècle. Cela dégage un charme fou.



Bertrand semble ravi.



Bertrand finit par me faire visiter son club, tout en m’expliquant son concept. En fait, à gauche du hall, un petit couloir donnait sur une multitude de petits salons « privés ».



Mais je ne suis pas au bout de mes surprises, semble-t-il… Découvrant les salons privés, je remarque une similitude, outre la décoration strictement identique : une table ronde en chêne massif au centre de la pièce, un étrange canapé en cuir accolé au mur. Je dis étrange car le haut du canapé est aussi large que l’assise, on dirait un canapé à deux étages !


Mais ce qui retient le plus mon attention, ce sont les deux trous ronds dans le mur au niveau du « deuxième étage » du canapé.


Bertrand éclate de rire.



Je ne comprends rien, et cela finit par m’agacer :



Bertrand finit par m’expliquer l’utilisation des trous dans le mur :



Je suis estomaqué, j’ai du mal à réaliser ce que Bertrand me raconte.



Bertrand semble surpris.



Effectivement, je ne m’attendais pas à cela, je balbutie, je ravale ma salive essayant de comprendre :



Bertrand rentre dans une explication érotico fantasmagorique :



C’est tout bonnement inimaginable, jamais j’aurais cru que l’on pouvait faire des choses pareilles, je ne suis pas un puritain, mais quand même… Aller aussi loin dans la débauche !


Bertrand m’expliqua qu’il y avait bien pire, et qu’au vu de la demande client, il était fier d’avoir conçu son concept…


Nous fûmes arrêtés par un des « serveurs », un colosse black de près de deux mètres, qui venait rappeler à Bertrand que le club commençait à se remplir, déjà deux couples et une femme seule…


Bertrand me regarda, fier comme un coq.



Bertrand me coupa.



Je finis par accepter, j’étais à la fois excité et apeuré, mais je suivis Bertrand jusqu’à cette petite cachette. Là, confortablement assis sur un tabouret, j’attendais avec Bertrand de voir apparaître les deux mains de la femme venue s’amuser, comme disait Bertrand. Celui-ci avait passé l’info au serveur de « s’occuper » du salon numéro 7, celui de la femme seule…



Les voix étaient déformées par l’épaisseur de l’isolant, mais nous comprenions ce qui se disait, le serveur invitait la femme à glisser ses mains dans les trous gantés pour y découvrir une surprise. Il avait un certain charisme qui mettait en confiance…


Quelle fut ma joie lorsque je vis les mains apparaître. Bertrand m’ordonna de les saisir rapidement. La femme surprise tenta de se défaire de l’emprise, mais je tenais bon, j’étais même fier de la maîtriser ainsi. Nous entendions la femme crier son mécontentement :



Le serveur d’un ton sec la stoppa.



La femme ne disait plus rien, elle ne tirait plus sur ses mains pour se libérer, il y eut un grand silence…


Bertrand me regarda et me dit :



Au moment où Bertrand sortait de notre cachette, la femme que je tenais se remit à bouger, mais cette fois-ci, cela sembla bien différent, les mains ne voulaient pas sortir, mais allaient d’avant en arrière…


Ça y est, la salope est en train de se faire sauter, je commence à l’entendre, elle semble y prendre goût, la cochonne… J’y crois pas… Maintenant, je l’imagine le cul en l’air, à genoux sur ce canapé, sa robe relevée sur ses hanches et ce grand Black en train de la labourer, il doit lui peloter les seins en même temps… C’est sûr, elle prend son pied, je l‘entends clairement.



Le serveur l’insulte.



Ouah, je n’en revenais pas et je bandais comme un âne. Si j’avais pu avoir une troisième main !


C’est pas vrai, je reconnais Bertrand, sa voix est déformée, mais c’est bien lui, ah le salaud…



Oh putain, ça y est, ils la prennent en sandwich ! Maintenant c’est elle qui me tient les mains, elle me plante les ongles dans les poignets. Elle hurle son plaisir, elle râle, elle gémit, elle crie, se raidit. Sa pression sur mes poignets est au maximum, elle jouit. Je l’imagine empalée sur le sexe du black et Bertrand qui l’encule. Elle doit être aux anges, la salope. D’ailleurs moi aussi, et sans me branler je viens de décharger dans mon slip.


La femme me lâche, ses deux mains sont pendantes, elle récupère… C’est incroyable ! Je tente de reprendre moi aussi mes esprits. Soudain, Bertrand rentre dans notre cachette.



Il regarde la tache sur ma braguette.



Une fois repris mes esprits et après avoir nettoyé mon pantalon, je regagne le bar où m’attend Bertrand.



Le jeune barman, se permit :



Je regardai Bertrand.



Compatissant, le serveur tenta de me rassurer :



Bertrand avala sa salive.



Oh putain, ma femme, ils l’ont… Elle s’est faite… Ah ! Et moi qui la tenais en prenant mon pied. Et elle qui jouissait comme jamais ! Elle a pris son pied aussi ! Ah, je meurs…


Si vous avez aimé cette histoire, bientôt la suite…