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n° 12422Fiche technique24811 caractères24811
Temps de lecture estimé : 14 mn
02/04/08
Résumé:  Jurgen vient chez moi pour regarder des pornos. Ce soir il est accompagné de Betty, sa nouvelle conquête, avide d'apprendre ce qu'est le porno...
Critères:  fhh extraoffre inconnu copains voir vidéox fellation cunnilingu double sandwich fsodo hgode init -totalsexe -filmx
Auteur : Captain Beaujol
Betty découvre la vidéo X

Betty découvre la vidéo X



Cette histoire est l’une des plus étranges qui me soit arrivée. À l’époque, je vivais seul dans un petit deux-pièces du cinquième arrondissement. Non seulement j’étais célibataire mais je dois avouer que ma vie amoureuse ressemblait à un désert. Je me contentais de très rares aventures sans lendemain. Tout simplement, je n’avais pas encore trouvé la femme idéale.


Cette situation correspondait plutôt mal à mon tempérament méditerranéen un peu chaud. Du coup, j’avais recours à ma grande passion : les films pornographiques. J’en avais toute une collection, soigneusement choisis dans les magasins de vidéos ou dans les sex-shops. J’aimais lire les « critiques » dans la presse masculine, faire mon choix en regardant les photos, les jaquettes. J’avais fini par développer un goût et un instinct pour choisir avec certitude un bon film, évitant les arnaques ou tout simplement les films manquant d’esthétique.


Quasiment chaque week-end, je me procurais ainsi un nouveau film et m’adonnais pendant quelques soirées aux joies de la masturbation, certain que c’était là un moyen comme un autre d’attendre la femme qui saurait me révéler totalement.


Je n’étais pas seul dans ce cas, du reste, et plusieurs de mes bons amis auxquels je m’étais confié pratiquaient la vidéo pornographique à des degrés divers. Avec plaisir, je partageais mes goûts en leur prêtant des DVD ou même, dans le cas de mon meilleur ami, en les visionnant avec lui. Bien que nous n’en parlions pas aux autres copains, nous vivions ces soirées avec innocence et sans plus qu’une très légère ambiguïté. Le film terminé, nous sortions souvent dans un bar pour refaire le monde, comme les deux vieux potes que nous étions.


Ce soir-là, Jurgen devait justement passer. Il revenait d’un job de plusieurs mois en Suisse et commençait à me manquer véritablement. Pour l’occasion, j’avais déniché ce que je supposais être une petite perle dans un sex-shop du boulevard Montmartre. La jaquette annonçait trois de mes actrices préférées dont une brune plantureuse qui donnait chaque fois l’impression d’aimer ce quelle faisait (à tel point que j’étais persuadé qu’elle prenait réellement du plaisir à tourner). Il y avait également deux ou trois acteurs masculins plutôt beau gars et bien dotés, à en croire les photos au dos du DVD. Enfin, le scénario, ou plutôt « l’argument » comme l’on dit pour ce genre de film, avait l’air accrocheur quoique fort classique comme souvent dans ce domaine.


J’attendais Jurgen, donc, en sirotant un petit pur malt sans glace, vautré dans le canapé. Mes yeux ne cessaient de revenir à la jaquette, posée devant moi sur la table basse. Le DVD était déjà dans le lecteur mais je ne l’avais pas encore visionné. Nous aimions souvent découvrir en commun mes trouvailles. Quand le film était bon, nous avions parfois jusqu’à trois ou quatre orgasmes chacun avant de sortir au pub.



J’étais tout frétillant d’impatience et, en fait, déjà en érection sous mon jean. J’imaginais ce que pourrait bien être la première scène du film et pour tout dire j’en bavais d’avance. J’aurais été bien plus ému encore si j’avais pu prévoir ce qui se produisit ce soir-là.


La sonnette me fit sursauter.



Mais la sonnette retentit à nouveau. Merde, si ça se trouvait ce n’était pas Jurgen. J’allai à la porte en maugréant intérieurement et ouvris. C’était bien Jurgen, mais… accompagné.


Il avait l’air moitié enjoué, moitié gêné. La jeune femme qu’il tenait par la taille était absolument superbe : brune, cheveux longs, avec des yeux marron clair, très doux. Elle était grande et fine, comme Jurgen, et je me fis instantanément la réflexion qu’ils semblaient bien assortis.



J’ai dû le regarder avec un drôle d’air et il a repris comme pour s’excuser :



Sur ces mots, il tourna la tête vers Betty avec un grand sourire. Pour ma part, je me mis à rire :



Betty eut une expression légèrement amusée qui fit retrousser son nez, et plisser ses yeux de félin. Bon sang, où Jurgen avait-il déniché ce canon ?


Reculant d’un pas, je les priai d’entrer et refermai la porte. Nous nous sommes assis et je les pressai tous deux de questions :



Ils répondaient alternativement, riant quand ils se coupaient la parole, tous deux empressés de me raconter leur histoire. Ils s’étaient rencontrés pendant le stage de Jurgen. Betty était suisse et, effectivement, une petite pointe d’accent charmant colorait ses paroles. En moins d’une semaine, ils avaient eu un véritable coup de foudre et, depuis près de deux mois maintenant, ils ne se quittaient pas. Connaissant Jurgen, c’était un record !


Pour ma part, je leur indiquai tout simplement qu’au premier coup d’œil on voyait qu’ils allaient bien ensemble. Jurgen et Betty l’apprirent avec bonheur. En une demi-heure, j’avais retrouvé mon vieux pote et entamé avec Betty une amitié solide que l’avenir n’a du reste jamais désavouée, bien au contraire.


La conversation continuait sur un ton simple et enjoué. Ayant proposé des boissons, je me levai pour prendre les verres à la cuisine. Jurgen prenait une marguarita, comme à son habitude (au moins une chose qui n’a pas changé, me dis-je) et Betty un kir.


Le temps de servir et je revins au salon où j’eus un sursaut qui me fit presque lâcher les verres. Putain, le boîtier du DVD ! Je l’avais laissé sur la table, et maintenant, cet abrutit de Jurgen était en train de le montrer à Betty. Je me sentis grillé, archi-grillé. Autant mon onanisme avoué ne me gênait pas vis-à-vis des mecs, autant j’aurais préféré le taire à Betty.


Avec le sentiment de passer pour un con je déposai les verres sur la table. Je ne savais trop que dire et franchement j’avais peur de m’enfoncer plus si je tentais de me justifier. Mais Betty soulagea tout de suite mes angoisses :



Et elle partit d’un grand éclat de rire, aussitôt suivie par Jurgen… et moi-même.


En quelques mots, elle m’avait remis à l’aise et la conversation continua tout naturellement sur ce thème qui me passionnait. J’avouai ainsi à Betty mon goût pour les films X, le fait de les choisir, de les collectionner. Je ponctuai tout ça d’anecdotes plus ou moins salaces sur la vie des acteurs, des réalisateurs. Jurgen me suivait sans hésitation, commentant avec moi telle ou telle tendance du X. Nous en étions à la mode des films amateurs, à laquelle je souscrivais moyennement, quand Betty glissa discrètement un mot à l’oreille de Jurgen.


Celui-ci la regarda droit dans les yeux, puis moi, puis Betty à nouveau, l’air un peu éberlué :



Betty prit la parole en regardant la jaquette du DVD :



En fait, je n’en savais rien. Les quelques fois où j’avais eu l’occasion de regarder des films avec une copine, elle avait trouvé ça chiant ou nul ou hilarant. Jamais excitant, ni insolite, ni motivant d’une manière ou d’une autre. Mais je voyais bien que Betty avait pris sur elle pour demander ça, elle rosissait et devait sûrement déjà regretter ce qu’elle venait de dire. Jurgen quant à lui me regardait, l’air quelque peu dépassé par les événements. J’aurais été ennuyé pour elle de refuser…



Et, voyant aussitôt Betty se détendre, je continuai :



Je saisis la télécommande et mis en route.



Le début du film était plutôt laborieux, comme souvent il faut bien le dire. L’historiette se mettait en place, ressemblant vaguement à un policier de série B. Souvent, Jurgen et moi on zappait pour arriver plus vite à l’action. Mais là je dois bien avouer que, cette première scène tant attendue, je la redoutais un peu maintenant. Je profitai de l’instant pour me lever et fermer les stores et j’allumai juste une petite loupiote histoire de créer une ambiance. Malgré tout, on sentait un certain embarras. Jurgen n’arrêtait pas de se racler la gorge et Betty restait étrangement immobile, tendue.


Puis la scène X commença lentement. Un petit malfrat était capturé dans son repaire et menotté sur une chaise par deux femmes flics aux allures quelque peu dominatrices. Elles lui expliquèrent qu’elles allaient utiliser tous les moyens pour « le faire parler » et, joignant le geste à la parole, l’une d’elle, une blonde vraiment sexy, ouvrit la braguette du gars. Sortant un sexe de belle taille presque totalement en érection, elle se mit à le caresser pendant que l’autre nana, une brunette au teint halé, posait les questions au loubard. Dès qu’il répondait à côté, la blonde arrêtait de le caresser et le type la suppliait de recommencer.



Et elle se mit à lui faire une pipe pas possible. Elle dévorait littéralement son sexe, mais s’arrêtait de temps en temps pour qu’il la supplie de recommencer. Pendant ce temps, la brune se déshabillait lentement, en se caressant.


À cet instant précis, j’avoue avoir été légèrement emmerdé : malgré tout le bizarre de la situation, je commençais à avoir une sérieuse érection et… ça se voyait un peu sous mon jean. Je me félicitais d’avoir baissé la lumière. Un coup d’œil vers Jurgen me suffit pour constater qu’il était exactement dans la même situation que moi, la braguette gonflée et l’air un peu gêné aux entournures. Betty ne décollait pas ses yeux de l’écran, le regard fixe et dilaté.



Mais elle n’en dit pas plus. Sur l’écran, l’action avait nettement progressé et les deux filles se relayaient pour titiller le gars qui commençait à n’en plus pouvoir. Je ne pus retenir un commentaire sur le self-control des acteurs que j’admirais réellement. Jurgen rit :



Betty tourna un instant la tête vers lui, amusée, puis revint rapidement à l’écran, comme si elle ne voulait pas en louper une miette. La scène était presque drôle : les deux nanas s’empalaient alternativement sur le pauvre type assis sur sa chaise et menotté. À chaque fois qu’il semblait au bord de l’orgasme, elles se retiraient précipitamment et lui posaient une série de questions. L’acteur jouait bien la comédie et semblait au bord de craquer. Finalement, la flic blonde eut le dernier mot :



Aussitôt, il avoua le secret si bien gardé (l’heure et le lieu d’une livraison de faux billets). Les deux femmes flics eurent un grand éclat de rire et laissèrent le type planté-là :



Suivit alors une scène de transition de quelques minutes, pendant laquelle j’allais chercher de quoi grignoter et de nouveaux apéritifs pour tout le monde. Quand je revins, Betty commentait la scène avec Jurgen. Elle semblait véritablement étonnée et intéressée par ce qu’elle venait de voir.



Betty eut un sourire en disant :



Pendant ce temps, le film continuait : de retour au commissariat, la brune tapait son rapport, en omettant les détails scabreux, tandis que la blonde cherchait partout un collègue. Le trouvant finalement à la cafétéria, elle lui annonça que le type avait parlé :



En fait de coin tranquille, ils se retrouvèrent au parking, dans la voiture du collègue. Pendant dix minutes, il fit absolument tout pour satisfaire sa partenaire.


Toute gêne semblait avoir disparu entre Betty, Jurgen et moi. Aussi, tout à mon excitation, je glissai furtivement une main dans mon caleçon. Je vis également que Jurgen avait posé une main très haut sur la cuisse de Betty, sans que celle-ci la repousse. Au contraire, elle se tortillait légèrement pour que sa jupe remonte un peu sur ses jambes. Je regardai son visage : elle ne quittait pas l’écran des yeux et gardait la bouche entrouverte, le souffle un peu court. Puis elle déplaça une main en direction de la braguette de Jurgen, en forme de bosse, et se mit à le caresser doucement à travers son jean. Comme pour leur accorder une certaine intimité, je fixai à nouveau l’écran.


Le film continua ainsi, avec une succession de scènes très bien filmées et véritablement excitantes. Jurgen et Betty s’étaient enhardis et j’avais carrément éteint la lumière. Je ne voyais plus très bien mais Jurgen s’était mis à quatre pattes devant le canapé, repoussant légèrement la table basse, la tête entre les cuisses de Betty qui gémissait doucement.


Je craquais un peu et, oubliant mes derniers restes de pudeur, je sortis mon sexe incroyablement dur et commençai à me caresser.


À ma droite, Betty souleva ses fesses pour que Jurgen puisse ôter sa jupe et sa culotte. En dessous, elle n’avait que des bas sur ses cuisses sublimes. Elle était vibrante de désir et cela se voyait. Avant de la caresser à nouveau des mains et de la langue, Jurgen me lança un sourire radieux.


Sur l’écran, on voyait maintenant en gros plan la petite brune se faire prendre simultanément par deux hommes. Elle était couchée sur le premier tandis que l’autre se tenait presque debout derrière. Les deux gars l’avaient abondamment enduite de gel et avaient glissé plusieurs doigts dans ses orifices pour mieux « la préparer ». La fille gémissait d’un plaisir réel, toute à l’attention que lui portaient les deux hommes. Betty ne s’y trompa pas :



J’allais répondre mais j’eus le souffle coupé quand Betty posa sa main sur mon sexe.



Et elle se mit à me branler avec énergie, tandis que Jurgen s’était un peu redressé et glissait deux doigts dans son sexe.



Il se leva et partit chercher du gel dans la salle de bain. J’en utilise souvent lorsque je me masturbe, pour éviter les irritations. Betty n’y tenait plus, elle se coucha en chien de fusil sur le canapé et se mit à me sucer avec application, mais toujours en gardant un œil sur l’écran. Le contact doux de cette bouche magnifique, la tête de cette fille que je ne connaissais pas une heure auparavant, me rendaient complètement fou. Je passai mes mains dans ses cheveux, la forçant à prendre toute la longueur de mon sexe dans sa bouche. Puis, je glissai une main sous son tee-shirt, palpant son sein, pinçant légèrement la pointe toute dure entre mes doigts.


Jurgen revint et étala aussitôt des tonnes de gel, non sans l’avoir fait un peu réchauffer sur ses mains, sur les fesses et le sexe de Betty. Lorsqu’il la jugea suffisamment lubrifiée, il introduit un, puis deux doigts dans sa chatte trempée et glissante. Il se mit à lui parler très crûment :



À chaque fois, Betty faisait « Hmm, hmm » comme si elle acquiesçait, tout en continuant de me sucer, de mieux en mieux même, au fur et à mesure que les caresses et les paroles de Jurgen faisaient effet. Elle eut un tressaillement et, jetant un léger regard maintenant habitué à la pénombre, je compris pourquoi : Jurgen avait maintenant glissé deux doigts dans son cul et faisait des cercles de plus en plus larges. Il me prit à témoin :



S’adressant à Betty sur un ton de commandement, il ajouta :



Betty lâcha mon sexe et hurla presque :



Rapidement, elle grimpa sur moi et d’une main précise guida mon sexe que je sentais énorme dans son vagin. Mon gland passa ses lèvres brûlantes, puis elle s’enfonça autour de moi, centimètre par centimètre. Je me calai au fond, elle était brûlante. Jurgen vint se poster derrière et fit aller son gland dans l’anus de Betty. Il entra lui aussi tout doucement et je le sentis presque contre moi, au travers de Betty qui frissonnait de plaisir et gémissait sans interruption. Jurgen s’adressa à moi d’un ton faussement détaché :



Aussitôt, je pris le même ton de conversation anodine :



Effectivement, Jurgen faisait tourner son sexe sur les bords et les parois de Betty, qui gémissait et balbutiait des trucs incohérents. En tout cas, impossible de se tromper sur son plaisir. Son minou autour de moi brûlait et ruisselait littéralement, et j’en fis la remarque toujours sur le même ton. J’étais moins libre de mes mouvements que Jurgen mais j’arrivais un peu à faire bouger mes hanches, et mon sexe allait et venait sur un à deux centimètres.


Je fermais les yeux pour mieux sentir les lèvres gonflées de Betty et son vagin incroyablement souple. Quand elle se mit à m’embrasser passionnément, mordant mes lèvres et ma langue, je n’y tins plus et je sus que j’allais finir par exploser dans son ventre. Loin de se calmer, elle se mit à bouger furieusement d’avant en arrière en hurlant des obscénités :



Jurgen craquait aussi :



Pendant la minute suivante, plus un mot intelligible ne fut prononcé, ce ne furent que gémissements et cris, pendant que Betty allait et venait comme une folle d’avant en arrière, d’une bite à l’autre, s’empalant un peu plus chaque fois. Je crois que nous avons explosé tous les trois au même instant exactement. En jouissant, j’eus l’impression de voir des étoiles scintiller dans le regard extraordinairement dilaté de Betty. Je crois qu’elle a joui plus fort que Jurgen et moi réunis ! Je me déversais en elle en longues giclées, et Jurgen faisait de même. Tout le ventre de Betty ruisselait de sperme brûlant. Nous sommes restés ainsi pendant une minute, presque évanouis.


Jurgen bougea le premier, se plaignant d’un début de crampe, permettant à Betty de se décoller de moi. Nos torses étaient presque soudés par la sueur et nos ventres par tous les fluides que nous avions déversé en elle. Elle se redressa et, tournant la tête, embrassa furieusement Jurgen. Il lui rendit son baiser en faisant aller sa main sur ses seins. Le baiser dura au moins deux minutes pendant lesquelles le vagin de Betty entourait encore mon sexe fatigué. Elle fit encore une ou deux allées et venues avant de se dégager de moi avec un plop mouillé. Et nous nous vautrâmes tous les trois dans le canapé, membres mélangés, langoureux comme après une grasse matinée.


Pendant toute la soirée, la nuit, et une bonne partie du lendemain, nous avons comblé Betty de toutes nos ardeurs. Elle était avide d’apprendre, d’essayer, d’oser. Elle nous réclama les scènes les plus hard de ma vidéothèque, ainsi que celles avec deux hommes et une femme, qu’elle photographiait littéralement des yeux avant de nous les faire rejouer. Je ne sais plus combien de fois nous avons fait l’amour, à deux, à trois, devant un film, sous la douche…


Le lendemain, nous nous sommes assoupis de midi jusqu’au soir. En nous réveillant, nous avions tous trois réuni assez de force pour sortir un peu, aller prendre quelques bières au pub. La soirée fut fantastique, nous avons ri, bu, discuté, ri encore et les gens autour se demandaient sûrement d’où pouvait bien venir une si belle complicité…