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n° 12426Fiche technique31200 caractères31200
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Temps de lecture estimé : 19 mn
03/04/08
Résumé:  La re-naissance sexuelle d'une femme.
Critères:  f ff ffh collègues fépilée piscine train voir exhib noculotte cunnilingu fdanus hdanus -initiat -couplea3
Auteur : Chercheur de bonheur  (Homme 51 ans qui aime écrire, entre autres choses)
La re-naissance

Le mercredi soir


Divorcée depuis quelques années, je mène une vie tranquille entre mon fils de dix ans et mon travail de responsable de service dans une grande entreprise. Lors du long week-end de l’Ascension que mon fils passait chez son père, une collègue avec qui je m’entendais bien m’invita dans la maison de campagne de ses beaux-parents. Son mari devait la rejoindre là-bas après un court voyage à l’étranger.

Nous partîmes en voiture le mercredi soir pour ce lieu qu’elle me décrivit : une grande maison isolée au milieu d’un parc, une vue magnifique et une piscine. À cette période de l’année, l’eau devait être bonne et tout s’annonçait pour passer un agréable moment.


Après quelques heures de route, nous arrivâmes. Effectivement, le lieu était magnifique. Tout de suite après avoir sorti les affaires de la voiture, mon amie me proposa un bain dans la piscine. Je remontai me changer pour mettre mon maillot de bain : un string et un haut qui mettait en valeur ma poitrine. Je redescendis et vis mon amie déjà dans l’eau qui faisait quelques longueurs. Me voyant, elle s’arrêta et me dit :



Elle nageait très bien. Je me mis à l’eau et nageai à ses côtés. Nous étions à peu près de la même taille et de la même corpulence, ce qui nous permettait de nager au même rythme. Après quelques longueurs, mon amie s’arrêta pour se reposer et s’assit dans l’eau sur les marches immergées. Je ne pus m’empêcher de la regarder. Je la découvris entièrement nue. Elle était très mignonne avec ses seins en forme de poire bien bronzés, des jambes bien faites. Mon regard arrivé à hauteur de son sexe, je le découvris pratiquement nu avec uniquement un petit carré de poils très bruns au-dessus de la fente. Quelle beauté ! Jamais, je n’avais pensé qu’un sexe de femme me ferait tant d’effet. J’avais l’habitude de m’épiler le maillot mais je n’avais jamais pensé à ne laisser que trois fois rien.


Troublée, je refis un aller-retour. En revenant vers elle, je la vis en face de moi, les jambes légèrement écartées. Son sexe était très visible, une fente nette surmontée d’un petit monticule qui cachait son clitoris. Mon émoi grandit et mes pointes de seins dardèrent sous mon maillot. Je m’assis à ses côtés. Nous discutâmes de tout et de rien. Elle me dit que si cela me tentait, je pouvais aussi nager nue, que cela ne la gênait pas. Au contraire, rajouta-t-elle, son mari et elle vivaient la plupart du temps ainsi dans leur maison. Cela me troubla car je n’avais pas l’habitude de parler de ça. Elle me dit aussi que son mari lui manquait et qu’elle avait hâte d’être au lendemain soir pour qu’il arrive. Elle me demanda si vivre seule était un choix. Je lui répondis que depuis que mon mari m’avait quittée je n’avais trouvé personne qui me plaise suffisamment pour avoir envie d’avoir une relation durable.


Elle voulut plus d’explications. Je lui dis qu’en fait, j’aimais toujours mon mari mais que j’avais reçu une éducation assez stricte où le sexe était considéré comme sale. C’est pourquoi j’étais un peu coincée. Mon mari me trouvait un peu prude et même s’il ne me l’avait jamais dit, je savais qu’il m’avait quittée pour ça. Je n’arrivais pas à me décoincer. Elle me dit que le fait d’en parler était un premier pas, que se changer demandait du temps, mais que si on le voulait du fond du cœur, les choses évoluaient dans le sens souhaité. Elle m’expliqua qu’elle et son mari avaient eu la chance d’évoluer en même temps. Au début de leur relation, il leur était difficile de parler de leurs problèmes, de travail comme de sexe, rajouta-t-elle. Et puis, au fil du temps, ils se mirent l’un l’autre à l’écoute de l’autre et maintenant, ils vivaient une grande histoire d’amour et de sexe. Je les enviais en me demandant si un jour, j’y arriverais.


Elle me proposa de dîner. Elle se mit debout et j’eus la vision de son sexe à quelques décimètres de moi. Il était lisse et légèrement entrouvert, laissant deviner des petites lèvres appétissantes. Elle marchait devant moi et son petit derrière m’émoustilla. Décidément, le fait de parler semblait effectivement me décoincer. Moi, être émue par la vision des fesses de ma copine, quel progrès et quelle nouveauté !


Elle s’habilla uniquement d’un tee-shirt qui lui arrivait au ras des fesses. Dès qu’elle bougeait, j’avais une vue soit sur sa fente soit sur ses fesses. Cette situation m’excitait beaucoup et je sentais mon sexe se mouiller de plus en plus. Mon clitoris pointait entre mes lèvres et je mourais d’envie de le caresser. Pendant qu’elle préparait un repas frugal, je montai dans ma chambre pour me changer. Après avoir enlevé mon maillot, je me regardai dans la glace et me trouvai finalement pas mal. Mes seins pointaient toujours, tellement j’étais excitée, et mes grandes lèvres cachées par mes poils châtains laissaient couler un peu de cyprine. Je me caressai doucement les seins puis une main descendit vers mon sexe. Un doigt sur le clitoris, un autre à l’orée de la fente et je me mis à me masturber rapidement. Je jouis rapidement en pensant au sexe de mon amie.

Je m’habillai uniquement d’un tee-shirt long et je restai nue dessous, puis je redescendis. Cette sensation nouvelle de nudité me remplit de plénitude. Dès qu’un courant d’air passait, je le sentais entre mes cuisses. Je me sentais libre de mes mouvements et de mes actes. Comme je levais les bras pour prendre un plat en haut d’un placard, mon tee-shirt remonta et dévoila mes fesses. Mon amie me dit en rigolant :



Après avoir dîné, nous nous installâmes dans les fauteuils spacieux du salon pour bavarder. Après avoir parlé du travail, nous en arrivâmes à parler de nos (ex) maris et de sexe. Je lui racontai mon malaise à laisser mon imagination et mes envies s’exprimer. Ainsi, je n’aimais pas faire de fellation à mes amants car je trouvais ça sale.

Mon amie me répondit :



Pendant qu’elle me racontait ça, je la regardais avec envie. Jamais je n’avais fait ça. Elle s’était assise de travers sur le fauteuil, une jambe enjambant l’accoudoir. Je distinguai son sexe. Ses lèvres avaient grossi au fur et à mesure de son récit, son clitoris pointait le bout de son nez. Ses pointes de seins tendaient son tee-shirt et sa voix était plus saccadée. Elle était excitée comme si elle allait faire l’amour. Pour ma part, j’étais dans le même état qu’elle. J’aurai aimé avoir le courage de me masturber pendant qu’elle me parlait. Tant pis ! Elle enchaîna :



En disant cela, je la vis descendre ses mains vers son sexe et elle se mit à se masturber devant mes yeux étonnés. Je ne me savais pas voyeuse mais quelle beauté de la voir s’enfoncer un puis deux doigts dans le vagin. Je n’osai pas faire comme elle mais pourtant, l’envie me tenaillait. Mes pointes de seins semblaient vouloir déchirer mon tee-shirt. Mon sexe ruisselait. Elle se caressa le clitoris qu’elle avait serré entre deux doigts et elle faisait des va-et-vient tandis que deux autres doigts coulissaient dans son vagin. Elle jouit rapidement en poussant de petits cris. Elle rouvrit les yeux et me regarda tendrement. Elle se leva, vint vers moi et prit ma main dans les siennes. Elle la descendit vers mon sexe et me dit :



L’envie me tenaillait au ventre, au sens propre du terme mais la honte me dictait de ne pas le faire.



Elle se leva et me fit un léger baiser au coin des lèvres puis s’accroupit devant moi.



Elle se retourna et se pencha pour ramasser son tee-shirt au sol. Dans son mouvement, je vis ses fesses s’écarter et aperçus son anus et ses lèvres encore entrouvertes et dégoulinantes de cyprine, nues sans aucun poil. C’était beau et excitant. Elle se releva et nous partîmes chacune dans notre chambre. Allongée dans mon lit, je repensai à cette journée. Aucun remords ne m’envahit. J’étais même plutôt fière d’avoir surmonté le côté sombre de mon éducation.


Le jeudi


Le lendemain matin, je me réveillai de bonne humeur après une nuit de sommeil peuplée de rêves érotiques. Je descendis ; mon amie, déjà levée, prenait son petit déjeuner sur la terrasse au soleil. Comme il faisait déjà chaud, elle n’avait pas mis son tee-shirt et était restée complètement nue.



Elle me sourit et continua son déjeuner. Je posai mon plateau sur la table. Avant de m’asseoir, je décidai de me mettre nue comme elle. Prendre son déjeuner nue au soleil, et en plus en compagnie de quelqu’un ; voilà une grande première pour moi. J’enlevai mon tee-shirt sous le regard étonné mais visiblement content de mon amie. Elle me dit que son mari devait arriver en soirée. Ce qui nous laissait le temps de bronzer toute la journée, rajouta-t-elle.



Après le petit déjeuner, je montai prendre une douche. Je me dis que tant qu’à tenter des expériences, autant y aller : je décidai de raser mon sexe entièrement. Je commençai par couper aux ciseaux les poils les plus longs et me mis sous la douche. La sensation de chaleur me fit du bien. Je me frictionnai bien le sexe et me rasai à l’aide de ces fameux rasoirs multi lames qui me servaient pour les jambes en dépannage. La sensation du rasoir autour des lèvres était douce. Moins il y avait de poils, plus la douceur s’installait. J’écartai bien les cuisses pour traquer le moindre poil y compris les quelques-uns autour de l’anus et dans la raie des fesses. Je sortis de la douche et me regardai dans la glace. Le résultat était bien au-delà de mes espérances. Je comprenais mieux mon amie. Mes doigts caressaient ma vulve et mes lèvres. Rien n’empêchait le contact et une douceur inconnue jusqu’à maintenant se dégageait de mon sexe.


C’est nue que je redescendis au bord de la piscine. Mon amie était dans l’eau et s’amusait à faire des cabrioles. Elle nageait sur le dos et je pouvais voir ses seins pointer au-dessus de la surface ; lorsqu’elle écartait les jambes pour donner des impulsions pour avancer, je voyais son sexe à la surface de l’eau. J’apercevais ses lèvres s’entrouvrir à chaque mouvement.


Avant qu’elle ne voie que je m’étais entièrement rasée, je me mis dans l’eau. Nous nageâmes l’une à côté de l’autre quelques minutes puis elle sortit de l’eau. J’y restai à faire quelques galipettes. Lorsqu’elle fut étendue sur son fauteuil, je sortis. Elle me regardait et je vis un grand sourire illuminer son visage lorsqu’elle découvrit mon sexe glabre.



Je m’avançai et elle m’examina.



Je me retournai et elle en profita pour passer délicatement une main sur mon sexe et s’insinuer dans la raie des fesses, touchant au passage mon œillet. Bien que surprise, j’écartai un peu plus les jambes, la caresse était trop bonne. Elle retira sa main puis me fit un large sourire.



La matinée continuait bien. Je m’allongeai à côté d’elle et me mis à penser à ce qu’elle m’avait dit. Nous bronzâmes toute la matinée alternant le dos et le ventre. Heureusement, les crèmes modernes permettent le bronzage sans les coups de soleil. Le midi, nous déjeunâmes d’une salade et d’un excellent rosé frais avant de retourner au soleil pour parfaire le bronzage. Je proposai à mon amie de lui passer de la crème sur le dos. Elle accepta et s’allongea sur le ventre. Je me badigeonnai les mains et commençai à les lui passer sur le dos et les épaules. Je descendis sur les fesses et les jambes. Je me mis à ses pieds pour lui masser les jambes qu’elle écarta légèrement. J’avais une vue splendide sur ses fesses et le début de ses lèvres. Elle se mit à onduler et à relever légèrement les fesses. Je passai la main dans sa raie, l’enduisant bien de crème, elle releva d’un coup ses fesses ce qui fit passer ma main entre ses jambes jusqu’à son clitoris déjà sorti. Elle se mit à gémir et à onduler de plus en plus. Je ne savais pas trop comment faire, c’était la première fois que je caressais un sexe féminin autre que le mien. Je rentrai deux doigts dans son vagin et fis des va-et-vient comme quand je me masturbais. Visiblement, elle aimait et me dit de continuer. De ma main libre, je continuai à lui caresser le dos et le bas des reins. Elle me dit :



Je compris et, doucement, je rentrai un doigt dans son anus. Elle se recula pour qu’il rentre au maximum. Je continuai à la pénétrer avec mes deux mains. Elle mit une main sous elle et se caressa le clitoris, passant parfois sur ma main. Je sentis son anus et son vagin se resserrer et elle se mit à crier de plaisir. Je laissai mes doigts en elle le temps qu’elle reprenne son souffle. Peu après, je les retirai doucement et tout en la regardant, je les léchai avec gourmandise. Elle se releva et m’embrassa fougueusement, nos langues se mêlèrent et nos lèvres restaient soudées. Elle se détacha de moi et doucement, sa bouche descendit d’abord sur mes seins qu’elle téta en en mordillant le bout, puis elle descendit, fureta mon nombril comme si elle voulait le pénétrer. Elle arriva à l’aine et me lécha autour des lèvres. Enfin, elle m’ouvrit le sexe à grands coups de langue et ma cyprine se mêla à sa salive. Elle me léchait divinement bien du clitoris jusqu’à l’anus qu’elle titillait. Elle pénétra en même temps mon vagin et mon anus avec deux doigts. Je fus surprise mais je continuai à remuer le bassin. Je m’empalai sur ces doigts. Elle sentit que j’allais jouir et elle me lécha le clitoris, libérant ma jouissance. Je criai de bonheur comme jamais cela ne m’était arrivé. Je repris mon souffle et l’embrassai.



En milieu d’après-midi, je partis acheter un souvenir au village. Je décidai de continuer à m’émanciper. Sans le dire à mon amie, je mis une petite robe assez décolletée et arrivant au-dessus des genoux. Je ne mis rien d’autre. En passant devant mon amie, toujours allongée à bronzer, je lui demandai en tournant sur moi-même :



Je la vis assez incrédule de remarquer que je n’avais pas de string.



Je m’exécutai.



Effectivement, la sensation était très agréable. Je me sentais fière d’avoir débloqué un autre tabou, celui de toujours cacher son sexe, et de me dire que même si j’étais nue sous ma robe, cela ne signifiait pas que j’étais une traînée, pour reprendre une expression de ma mère pour désigner les femmes qu’elle trouvait trop maquillées ou habillées trop court à son goût. Non, en fait, j’avais un grand sentiment de liberté et pas de dévergondage puisqu’en fait, j’étais la seule à me savoir nue. Les personnes que je rencontrais ne le voyaient pas et je ne faisais rien pour qu’elles le sachent. Être nue sous ma robe est une chose, m’exhiber en est une autre.


De retour, près de la maison, je vis une voiture garée à la porte. J’en déduisis que le mari de mon amie était arrivé. Je rentrai dans le jardin et les aperçus au bord de la piscine, tendrement enlacés. Alors que j’allais m’approcher pour saluer le mari et prévenir mon amie de mon retour, je la vis s’agenouiller devant lui et dégrafer son pantalon. Je m’arrêtai net, rouge de confusion. Je ne savais pas quoi faire : aller vers eux ou ressortir au risque de faire du bruit. Je décidai de ne pas bouger. Je ne pus m’empêcher de regarder.


Pendant qu’il enlevait sa chemise, elle descendit son pantalon et son boxer qu’elle posa par terre. Elle engloutit son sexe, fit de longs va-et-vient lentement. Elle le ressortit de sa bouche et lécha son gland puis descendit jusqu’aux testicules. Elle lui écarta doucement les jambes et je vis sa main courir sur ses jambes puis remonter sur ses fesses. Elle les griffait doucement du bout des ongles. Je prenais une leçon de fellation car jamais je n’avais fait ça comme ça. Elle se mit un doigt dans la bouche et l’enduisit abondamment de salive. Elle le passa entre les fesses de son mari puis je le vis s’écarter les fesses des deux mains et sa femme lui rentra doucement le doigt dans l’anus. Elle lui prit tout le sexe dans la bouche et reprit son va-et-vient. Cela dura un long moment pendant lequel ma main ne resta pas inactive. Je mesurai à ce moment tout l’intérêt de ne pas avoir de string. Je me caressai au même rythme que mes amis. À un moment, son mari lui prit tendrement la tête entre ses mains et la fit se mettre debout. Il l’embrassa longuement puis il descendit à son tour vers le sexe de sa femme. J’apercevais sa langue tourner autour du clitoris puis descendre et rentrer à l’orée du vagin. Il la retourna et elle lui présenta ses fesses. Doucement, elle se pencha en avant, écartant ses deux globes. J’apercevais son anus. La langue de son mari allait du clitoris à l’anus. Visiblement, ce n’était pas la première fois qu’il la caressait comme ça car leurs deux corps étaient à l’unisson. Il rentra sa langue dans l’anus laissant beaucoup de salive. Il se releva et la pénétra.


Je continuai de me masturber sans bruit. J’étais sûrement aussi mouillée que mon amie. Son mari la pénétrait doucement. Il sortit complètement son sexe et la sodomisa. Ses mouvements étaient souples. Je vis mon amie se caresser le clitoris. Ils allaient de plus en plus vite. Ils s’arrêtèrent. Il la coucha sur le sol et lui pénétra doucement le vagin. Rapidement, elle jouit en criant. Ils ne bougèrent plus. Son mari ressortit de son sexe. Le sien était toujours énorme. Elle le prit dans la bouche et le fit jouir rapidement. Elle le lécha jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de sperme. Elle l’embrassa. Ils se rassirent au bord de la piscine. Je n’osais pas finir ma masturbation de peur de faire du bruit. Doucement, je retirai mes doigts de mon sexe.


J’attendis quelques minutes et fis du bruit pour leur faire croire que j’arrivais à l’instant. Ils discutaient tous les deux, allongés sur le ventre et visiblement heureux. Mon amie me présenta son mari qui me dit de me mettre à l’aise. Oserai-je me mettre nue devant lui ? Dans un premier temps, je lui dis que je devais ranger le souvenir pour mon fils dans ma valise et j’en profitai pour m’éclipser. Je redescendis une dizaine de minutes après. Ils n’avaient pas bougé. Je me décidai et enlevai ma robe.



Je rougis et ne sus pas quoi répondre. Mon amie lui répondit que j’étais au début de ma libération sexuelle mais qu’elle pensait que j’étais bonne élève. Je m’allongeai sur le dos à côté de mon amie et repris mon activité matinale, c’est-à-dire bronzage. Le mari de mon amie se leva pour aller nager. Lorsqu’il passa devant moi, je le regardai en détail. Il était très musclé et aucun poil n’apparaissait sur sa poitrine. De même, son sexe était complètement rasé. Cela donnait l’impression qu’il était énorme. Il se mit à l’eau et fit des longueurs. Mon amie qui bronzait toujours s’assit les pieds dans l’eau au bord de la piscine. Elle écarta les jambes lorsque son mari revint vers nous.



Disant cela, elle entreprit d’écarter ses grosses lèvres pour découvrir l’entrée de son vagin et se caressa le clitoris pour le faire saillir de son capuchon. Ce qui arriva quasiment instantanément. Son mari continua sa longueur puis fit demi-tour. Je me mis à l’eau et le suivis. En revenant, comme lui, je ne pus m’empêcher de regarder en direction de mon amie. Effectivement, la vue de son sexe à hauteur des yeux, à la limite de l’eau, était excitante. Je voyais son sexe nu, ses grosses lèvres gonflées de désir, son clitoris qui saillait. Comme son bassin était basculé, je voyais aussi son petit œillet. Il me semblait que de la cyprine s’écoulait de son sexe. Nous continuâmes quelques longueurs. Arrivé à un mètre de mon amie, son mari ralentit puis doucement s’approcha d’elle et entreprit de la lécher. Je me mis à côté d’eux et les regardai. Mon amie me fit un sourire pour me signifier qu’elle était d’accord.


La langue de son mari allait du clitoris à l’anus lentement. Elle s’attardait tous les centimètres, il lécha le clitoris en enroulant sa langue autour puis l’engloutit entre ses lèvres. Il descendit ensuite vers l’entrée du vagin et prenant soin de bien lécher les grosses lèvres et d’écarter les petites lèvres. Elle se caressait les mamelons pendant que son mari continuait de la lécher. Je m’approchai de lui et lui passai la main entre les jambes sous l’eau. Son sexe était tendu. Mon amie me vit et me dit que je pouvais continuer. Lentement, je le masturbai. Je remontais jusqu’à ses reins et parfois, un doigt s’insinuait dans la raie des fesses. Il se pencha en avant, me présentant son anus. Son sexe grossissait. Mon amie ondulait de plus en plus. Je voulus faire jouir son mari en même temps qu’elle. Dès qu’elle commença à gémir, je masturbai son mari plus vite et le sodomisai avec un doigt. Je sentis son sperme remonter sa verge et il éjacula quand sa femme cria son plaisir.


Nous sortîmes de la piscine et commençâmes à discuter. Mon téléphone portable sonna. C’était mon ex-mari, qui m’annonça que notre fils avait fait une chute de vélo et s’était cassé le bras. Il était à l’hôpital. Aussitôt, je demandai à mes amis de me conduire à la gare pour le rejoindre. J’enfilai rapidement ma petite robe et pris mon sac. Un train partait dans le quart d’heure qui suivait. Je laissai mes amis, leur souhaitant un bon week-end et montai dans le train.


Dans le train, je pensai à mes amis en même qu’à mon fils et à mon mari. Que de temps perdu ! Heureusement, le train n’était pas bondé et seule une jeune fille était assise en face de moi dans le compartiment. Elle semblait sagement lire une revue. J’en profitai pour m’étaler un peu sur la banquette et me reposer. Je somnolais en pensant à mes nouvelles expériences sexuelles et quasi instantanément mon sexe se mit à gonfler et l’envie de me caresser se fit de plus en plus forte. Ma voisine avait posé sa revue et avait les yeux fermés, semblant endormie. J’en profitai pour écarter mes cuisses de manière à pouvoir me caresser sans que cela ne se voie trop. Je mis un pied sur la banquette d’en face et je me caressai doucement les lèvres, heureuse de n’avoir pas mis de sous-vêtement. Je décapuchonnai mon clitoris et le frottai entre deux doigts. Mes lèvres gonflèrent et mon sexe commença à couler. Je me mis un doigt dans le vagin en me caressant le clitoris. Après quelques minutes de caresses douces, je jouis sans faire de bruit et rouvris les yeux. Ma petite voisine me regardait, toute rouge, visiblement décontenancée de voir une femme se masturber dans un train. Je lui souris. Elle bredouilla quelques mots, s’excusant de m’avoir regardée. Je la rassurai en lui disant que cela ne me gênait absolument pas et que si bon lui semblait, elle pouvait le faire également. Elle ne savait que penser, se demandant si je plaisantais en me moquant d’elle. Je la rassurai en lui expliquant que trop longtemps je m’étais interdit beaucoup de choses en matière de sexe et sûrement aussi dans la vie de tous les jours et que c’était idiot.