n° 12439 | Fiche technique | 17148 caractères | 17148Temps de lecture estimé : 10 mn | 05/04/08 |
Résumé: Un homme se sacrifie pour sauver sa femme | ||||
Critères: hhh hbi campagne hsoumis fdomine -totalsexe -groupes -hhomo | ||||
Auteur : Histochris Envoi mini-message |
Ma femme et moi aimons les longues promenades dans les bois. C’est un loisir agréable qui nous permet de nous ressourcer. Quand nous partons en vacances, nous veillons à pouvoir pratiquer cette activité.
Ce jour-là, nous étions dans les Alpes en randonnée de moyenne montagne, en route vers le Lac Bleu. Nous étions partis tôt le matin pour pouvoir passer la journée là-haut. Nous étions en juin, hors saison et donc quasiment seuls. Après quatre heures de marche à un bon rythme, nous arrivâmes sur notre objectif. C’était splendide. Nous étions ravis.
Nous nous installâmes pour pique-niquer au bord de ce lac d’un bleu incroyable. Tout autour de nous, les montagnes imposaient leurs flancs dénudés. Quel bel endroit !
Nous avions terminé de déjeuner et, le soleil donnant à plein, nous avions fini par nous effeuiller un peu pour profiter de ses rayons bienfaisants, cachés par un énorme rocher qui nous surplombait de deux à trois mètres. Je ne portais plus que mon string et ma femme était seins nus. Un parfum d’excitation flottait dans l’air. Je la sentais réceptive et, en ce qui me concerne, j’étais déjà tout à fait excité par la situation.
Elle ferma les yeux sans répondre. Elle souriait et était sans doute en train d’imaginer le gage qu’elle allait m’infliger.
Le lac n’est pas si grand, pensai-je en l’observant. Et puis, on n’est pas sur les Champs-Elysées, ce doit être possible.
Je tombai le string, affichant une semi-érection qui attira le regard de ma femme. Elle fit une moue dubitative.
Je partis donc par la gauche pour accomplir le tour du lac, sous le regard amusé de mon épouse qui restait à se prélasser au soleil. Je marchais d’un bon pas. Je la vis se lever et, sans doute pour me narguer, elle enleva son short, puis son string. Elle était maintenant nue. Quel bonheur !
Soudain, j’aperçus quatre hommes au sommet d’une butte. Comme ils étaient dans son dos, elle ne pouvait les voir. J’allongeai la foulée. Les hommes entamèrent la descente vers le lac et vers ma femme qui, toujours pour me narguer, faisait mine de se caresser la poitrine.
J’avais encore une boucle de 200 mètres à terminer. Je lui fis signe. Elle passa une main entre ses cuisses, tenant de l’autre un sein pour le relever vers sa bouche. Les hommes l’avaient en point de mire et je fus tenté de me mettre à courir. Je réitérai mes signes, tout en entendant sa voix, atténuée par la distance : Viens vite me prendre, je t’attends ! Je suis toute mouillée.
Cent mètres. Je trottinais en évitant les cailloux.
Les hommes étaient maintenant sur le rocher et observaient ma femme. En me voyant courir vers elle, elle s’installa au sol, en appui sur les coudes et cuisses largement ouvertes.
Elle se retourna, leva la tête, poussa un petit cri et attrapa ses habits pour se cacher.
Je pris mon string et le passai. Ils disparurent et je les entendis rire tandis qu’ils faisaient le tour du rocher. Ils débouchèrent devant nous. Quatre types robustes, plutôt jeunes, vêtus comme des bergers et d’allure un peu rustique.
Ils nous contemplaient, appuyés sur leur bâton de marche.
L’un deux me jeta un regard soudain glacial.
L’homme tendit son long bâton et le glissa habilement dans les vêtements que ma femme maintenait contre elle. Elle semblait apeurée. D’un geste précis de ce bâton, il arracha les vêtements de ma femme qui se retrouva donc nue face à eux.
Ils s’approchèrent d’elle. Je fis un pas pour m’interposer.
Ma femme se leva et se colla contre moi. Le premier des bergers, le regard braqué sur ma femme, lâcha ses affaires et ouvrit les boutons de sa chemise, tout doucement, exhibant un torse musculeux.
Il lança sa chemise et se pencha pour ôter ses chaussures. Puis il défit son pantalon. Les trois autres l’imitèrent et bientôt tout le monde fut nu. Je sentis le corps de ma femme se coller encore plus au mien. Elle avait chaud.
Le meneur attrapa ma femme par le bras et l’attira vers lui. Sa grosse main se plaqua immédiatement sur son sein.
Ses camarades tendirent leurs mains géantes vers le corps de ma femme. Tétanisée, elle les laissait faire.
Mon cri résonna dans la cuvette, mais surtout dans ma tête ! Ma femme me regardait, stupéfaite.
L’homme lâcha ma femme et elle s’écarta de lui. Ses seins pointaient. Peur ou excitation ?
Elle s’approcha de moi. Son regard avait changé. Elle posa sa main sur la bosse de mon string.
Elle passa derrière moi et baissa mon string, faisant surgir ma bite tendue. Elle posa les mains sur mes épaules et appuya.
Je fléchis les jambes.
Elle me tenait par les hanches. Son bas-ventre était collé à mes fesses. Elle bouillait littéralement, je sentais la chaleur de son sexe contre mes fesses. Un homme s’approcha, sa bite, qui me parut énorme, se balançait devant son ventre.
L’homme était devant moi. Au bout de son gland turgescent perlait une grosse goutte translucide.
Il posa sa main sur mes cheveux et m’attira. Son gland se posa sur mes lèvres. Sa goutte s’étala dessus.
Je fermai les yeux et ouvris la bouche. L’homme y glissa sa queue tandis que ma femme se relevait.
Elle installa le caméscope sur un rocher et enclencha l’enregistrement. L’homme commençait à coulisser dans ma bouche, jusqu’au fond. Il me baisait.
Je levai une main tremblante vers la hampe.
Je caressai les couilles velues et arrachai un soupir à l’homme. Petit à petit ma bouche se fit de plus en plus active. Un verrou venait de sauter. Je salivais abondamment, trempant la bite. Ma langue virevoltait autour du gland baveux, glissait sous la hampe fortement veinée. Je la lançai sous les couilles, vers le périnée. Je savais ce que moi j’aimais, alors j’y allais.
L’homme gémit, se cambra, m’ouvrit ses cuisses.
Les trois autres m’entouraient, maintenant. Ils présentaient la même raideur que leur acolyte.
La proximité de ces queues tendues pour moi me rendait fou. Ma langue glissa plus loin sur le périnée de ma victime. Les flashes prouvaient que ma femme immortalisait tout.
L’homme se retourna et écarta ses fesses à deux mains. Je vis son œillet et fondis dessus langue en avant. Je lapai cet endroit avec passion. Soudain, une nouvelle queue arriva contre ma joue. Je la pris en main et la caressai vigoureusement. Abandonnant un peu mon activité bucco-anale, j’avalai ce nouveau prétendant.
Ce commentaire, même s’il me fit plaisir, était inutile car j’étais lâché. De la queue et encore de la queue sous les yeux de mon épouse. Voilà ce que je voulais maintenant. J’entendais les commentaires graveleux de ces quatre types qui se plaisaient à me traiter de salope et de pute.
Ma femme semblait dans un état d’excitation incroyable. Je ne cessais de sucer la belle queue coulante et alternais avec l’œillet que j’avais réussi à dilater pour le lécher en profondeur et faire haleter l’homme de plaisir.
Je jetai un coup d’œil à ma moitié qui m’offrait aux désirs de ces inconnus. Elle se massait les seins avec passion. Elle était surexcitée. Tout en la regardant faire, j’avalai une nouvelle queue. J’y mis toute ma fougue, exagérant mes gestes pour qu’elle perçoive bien mon intention.
Elle prit place derrière moi et je sentis sa main caresser ma raie. Je me cambrais plus encore. Elle étala un produit lubrifiant, du beurre qui restait de nos sandwiches. Elle me tartina la raie, puis glissa un doigt dans mon anus.
Elle commença à m’enculer avec ses deux doigts et petit à petit la douleur disparut totalement. Elle écartait ma rondelle que je laissais s’ouvrir. Les hommes la regardaient faire en branlant leurs bites géantes pour les tenir raides.
Je sentis ses grosses mains m’attraper aux hanches.
Elle prit la hampe et frotta le gland contre mon œillet.
Je sentis le gland pousser et pénétrer mes reins. J’étais cambré au maximum, tête rejetée en arrière, extatique, attendant le moment où il allait disparaître en moi. La bite me pénétra lentement. L’homme m’attirait à lui, les doigts cramponnés à mes hanches, et je me laissais aller. J’entendis la respiration haletante de ma femme. Un homme vint s’agenouiller devant moi. Il n’eut rien à demander et je le pris en bouche avec gourmandise. Ma femme se pencha vers moi.
Je suçais, propulsé au rythme des coups de reins qui me baisaient. La bite me perforait les reins. Le ventre se collait à mes fesses, les mains étaient maintenant crispées sur mes épaules.
Un nouveau venu prit possession de mon cul et le quatrième de ma bouche. Je ne sais combien de temps ni combien de fois les types m’enculèrent ou profitèrent de ma bouche accueillante, mais leur désir ne cessait de grandir, leur ardeur également et ils montraient même une certaine violence. Je n’avais plus aucune retenue et les incitais à plus de force. Ma femme sentit venir le moment crucial.
Je fus mis sur le dos. Deux types prirent place. Je les repris en bouche un moment. Leurs sexes étaient gras de mes sécrétions anales, je les nettoyai parfaitement.
Le premier manifesta des signes de fatigue. J’ouvris la bouche et le branlai de ma main, faisant tourner ma langue sous le frein. Soudain, ce fut l’explosion. Sa semence gicla et je la reçus sur ma langue et mes joues. Ma femme me regardait, passionnée.
Le second eut droit au même traitement avec le même résultat, tout aussi abondant.
Pour parfaire le spectacle, je regardais ma femme en jouant avec ma langue baignant dans les semences qui l’avaient inondée, mais sans avaler. Les deux autres vinrent se libérer sur moi.
Soulagés, les types s’écartèrent et ma femme approcha. Elle me chevaucha, saisit ma queue et la dirigea vers son sexe. Elle était tellement trempée et ouverte que je m’y plantai à fond d’un seul coup. Elle se pencha, approcha sa bouche de la mienne et m’embrassa, tout en ondulant sur ma bite. Nous nous partageâmes tout le plaisir de ces quatre hommes, jusqu’à l’orgasme final.
Nous regardons parfois le film, dernier souvenir tangible de cette expérience que ma femme avait secrètement organisée.