n° 12445 | Fiche technique | 8286 caractères | 8286Temps de lecture estimé : 5 mn | 07/04/08 |
Résumé: Ne cherchez pas de logique. Ni d'époque, ni de lieu. Il n'y en a pas. | ||||
Critères: fh fmast fellation fdanus fsodo | ||||
Auteur : Archalouïs Envoi mini-message |
Traversant la salle en couleuvre, personne n’aurait pu esquiver son désir de suivre les principes d’une tenue somptueuse. Écharpe de vair et talon tourné à la perfection, la femme gantée vint s’échouer en délicatesse sur l’épaule du marquis. De l’autre, elle lui chatouilla les bourses. Le crâne du marquis se colora en cramoisi de honte devant tous les convives, et pourtant aucun ne réagit. Il était de mise, en ce temps-là, de flatter un homme important par le signe de sa virilité. Et ici la virilité faisait signe : sous le camocas exquis de son entrejambe ballotait une paire de boules aussi grosses que deux clémentines.
Le marquis avait la peau des couilles d’un vermillon de soupe au potiron, souple et chaude. Sa verge devait alors mesurer deux pouces de large et huit de long. Un bel ouvrage en somme. La main de la femme en soupesa le tout, et sa propriétaire esquissa un demi-sourire appréciateur qu’elle se hâta de dissimuler derrière la dentelle de son éventail.
Il ne fallait pas lui laisser le choix.
Le marquis déglutit, puis hésita. Parcourant du regard la salle, il croisa les regards patelins et les sourires métalliques des convives qui l’incitaient à obéir.
Et il suivit la femme, serpentant avec elle dans la salle pour une dernière fois, empruntant l’escalier à sa suite. Ce ne fut que dans la pénombre des tentures qu’il osa :
Il eut en guise de réponse un "Hum ? " brusque. Il l’avait tirée de ses rêveries.
Elle s’arrêta au milieu des marches de l’escalier et se tourna vers lui. Après l’avoir scruté quelques instants, elle plaqua ses prunelles contre le mur et prononça d’une voix naturelle qui accompagna la fin de l’ascension.
Il ne trouva qu’à hocher la tête.
Elle fit tomber à terre chacun de ses atours, et adopta la pose d’une pin-up en train de se trémousser. Docile, il lui vit les seins lourds, le galbe souligné. Sa peau dorée était uniforme et en son milieu s’étalaient deux superbes aréoles teintées d’un autre monde. Il voulut les sucer.
Elle lui tourna le dos, jambes serrées, et lui planta sous le nez un des séants les plus affriolants qui eut pu naître sur cette terre. Joliment bombé, son cul était aussi parfaitement fendu en deux qu’une pèche bien mûre. Entre ses deux lobes pouvaient se deviner les formes contractées de son petit anus. Le marquis avait le regard rivé dessus. Dans cette nation, le cul faisait loi.
Il n’attendit pas qu’elle se répète, et délaça sèchement ses braies qui glissèrent le long de ses jambes pantelantes. Son membre bandait rudement. Mais la demoiselle préférait dire bite, et se mordit la lèvre inférieure. Sous le coup de la vision de cette verge large à la hampe puissante et à la peau ambrée, découvrant à moitié un gland rosé et impatient, elle se sentit mouiller. Alors, contrairement à ses habitudes, elle s’agenouilla en face de lui et entrouvrit ses lèvres charnues.
Il réajusta d’un doigt anxieux ses lunettes qui glissaient de son nez, puis posa ses deux mains sur la nuque délicate et poussa longuement son membre à l’intérieur de sa gorge. Elle s’étouffa mais il continua. Il voulait la lui voir bouffer. Ainsi, dans un silence rythmé par les halètements et les bruits d’une succion étranglée, il donna de vifs va-et-vient avec sa bite. C’était comme s’il lui enculait la bouche. Lorsqu’il écrasait son gland contre sa glotte, il lui maintenait la tête enfoncée. À ces instants, sa bouche, outil de langage, n’était plus que le trou du cul d’une chienne. Il la méprisait.
Elle, rentrait violemment ses doigts dans la peau de sa chatte. À défaut de se branler sur les sensations, elle le faisait sur le concept. Pendant que sa gorge subissait les assauts de la grosse verge, elle massait avec une virulence appliquée les chairs de sa petite chatte maintenant humide et gonflée. Elle aurait voulu porter une culotte en coton pour sentir le tissu s’imprégner de sa cyprine. Ses doigts vinrent écraser son clitoris à s’en faire mal, et au beau milieu des réactions nauséeuses, elle parvenait encore à laisser éclore des gémissements.
Elle n’était bonne qu’à cela, lui murmurait-il. Elle n’était qu’une salope, et elle n’était plus que salope. Aux derniers instants de cet acte, juste avant que le marquis ne se retire par peur de jouir prématurément, elle étalait sa mouille sur son cul - devinant d’avance qu’il avait été élevé à ne pas aimer les chattes - et se mettait profondément deux doigts qu’elle écartait.
Elle lui sourit en s’essuyant sommairement les lèvres du revers de la main. Puis la femme se releva, retira ses doigts de son cul dilaté, et s’allongea à plat ventre sur le sol. Il s’agenouilla au-dessus d’elle, le membre posé sur son postérieur dont il écarta les lobes. Le sexe en main, il posa son gland sur le petit anus chaud de la callipyge et le poussa dessus, s’amusant à le faire riper.
Le marquis finit par y faire pénétrer son gland. Athlétique, il le garda à l’intérieur alors qu’il tendait les jambes derrière lui et venait s’allonger contre elle de tout son poids. Peu lui chalait. Elle avait les os durs. Son membre se fraya un passage à travers toute la longueur du cul de la femme, et cette dernière poussa un long soupir libérateur. Il lui faisait du bien. Qu’il la bourre. Qu’il la bourre donc, elle n’attendait plus que cela, et plus rien d’autre. Il ne se fit pas prier.
Il la défonça littéralement. Le torse plaqué contre son dos moite, il lui administrait de grands de coups de bite à faire frémir une pucelle. La largeur de sa hampe dilatait laborieusement son cul qui répondait en rythme à ses mouvements. Il devenait fou, murmurait des obscénités, mordait ses épaules frêles, lui écrasait son sexe contre l’anus. Ses testicules écrabouillaient gaiement son vagin, et sous le frottement intense de ses mouvements, le bouton de la femme était branlé contre le carrelage froid.
Elle commençait à divaguer. Les lunettes du marquis vinrent s’emmêler dans sa chevelure défaite, et il la plaqua au sol, aveugle, par les épaules. Elle avait mal. Soudain, il se retira et s’agenouilla. Sans autre forme de procès, il la força à se mettre à quatre pattes. Leur position était encore trop noble. Il agrippa ses hanches, enfonçant ses ongles noirs dans sa chair, et reprit de droit ce qu’il possédait. Il la pilonna de nouveau, longuement, dans une brutalité sans faille. Elle perdit la notion du temps. Cela dura.
Jusqu’à ce que la jouissance vienne. Éphémère et paradoxale, elle cria son plaisir, son joug, frappa ses poings au sol - la ridicule hystérique - et se berça dans le flot d’injures que lui assénait le marquis. Son sexe palpitait comme une pute encore quelques secondes après. Lui, il s’était retiré de son cul, et debout en face d’elle comme tout à l’heure, se manualisait dans le but d’assouvir ce qui devait l’être. Elle ravala le cri d’horreur que voulut vomir sa gorge, et s’agenouilla en tremblant.