n° 12446 | Fiche technique | 17299 caractères | 17299Temps de lecture estimé : 11 mn | 07/04/08 |
Résumé: Avec le recul apporté par cinq années de mariage, je me dis que, dès le départ, tout a été basé sur les apparences. | ||||
Critères: fhhh couleurs extracon copains grossexe grosseins fsoumise voir entreseins pénétratio gangbang -fhhh | ||||
Auteur : Le jeune homme vert |
Le vendredi soir, vers 23 heures, est mon moment préféré de la semaine. Assis confortablement sur le balcon de mon appartement parisien, un verre dans la main, j’écoute la rumeur de la ville monter jusqu’au quatrième étage et, en cette fin de juin, j’apprécie aussi la chaleur de ce début d’été. Ma femme repose déjà dans la chambre et, dans la tranquillité de la nuit, je réfléchis au sujet de philo entendu aux infos du soir :
Je suis en effet bien placé pour savoir qu’il ne faut jamais se fier aux apparences. J’ai épousé Cindy à vingt-trois sans le moindre doute. C’est une blonde fine mais avec des gros seins, un visage angélique et une silhouette de rêve. Je suis tout de suite tombé raide amoureux de cette jeune fille. J’ai déjà été surpris qu’elle accepte de sortir avec moi. J’étais plutôt mignon mais elle était vraiment canon. Il me fallut quelques semaines avec elle avant d’oser l’embrasser enfin mais, quelques mois plus tard, à mon grand bonheur, je l’épousais.
Elle s’est refusée à moi pendant ces mois-là, voulant que l’on se découvre mutuellement lors de notre nuit de noce. Je me suis aperçu, ce soir-là, qu’elle n’était plus vierge. Ce ne fut pas une réelle surprise, comment une telle poupée aurait-elle pu ne pas céder aux avances des mâles que sa silhouette mettait en rut ? J’étais quand même un peu déçu de ces longs mois d’abstinence. Mais, plus surprenant, je constatai qu’elle n’aimait pas vraiment les jeux de l’amour, pour lesquels elle n’était d’ailleurs pas très douée. C’était sûrement pour cela, d’ailleurs, qu’elle avait retardé le moment fatidique sans que cela lui coûte.
Avec le recul apporté par cinq années de mariage je me dis que, dès le départ, tout a été basé sur les apparences. J’ai épousé un canon pour l’image qu’il me renvoyait : un mec bien physiquement mais loin de valoir la beauté plastique de sa blonde, et qui s’envoie une fille sublime. Et la réserve initiale de Cindy pour le sexe, que j’ai pris pour une pudeur sensible, se révèle en fait un désintérêt pour la baise.
Mais ce système d’apparence marche parfaitement, et notamment vis-à-vis de notre entourage et de mes amis. Quand j’ai rencontré Cindy, Pierre, Christophe et Jean ont d’abord fait un peu la tête car cela signifiait, dans leur esprit, la fin de notre camaraderie, de nos sorties, de nos fous rires. Mais Cindy les a conquis par sa simplicité et bien évidemment sa beauté. Ils ont la langue pendante devant les gros seins fermes qui tendent ses t-shirts, le petit cul moulé sous les shorts ou les jeans serrés et les jolies jambes dévoilées par les mini-jupes. J’avoue que cet aspect-là de notre vie m’a, dans un premier temps, satisfait pleinement. Encore une question d’apparence.
Cindy accepte sans problème de me laisser sortir avec mes trois amis célibataires tous les vendredis soir et nous avons rapidement repris notre système tournant de parties de cartes. Un vendredi chez Pierre, un vendredi chez Christophe, un vendredi chez Jean et un vendredi chez moi. La seule différence, c’est que cela signifie maintenant trois soirées bière et pizzas, et une soirée poisson et légumes verts. Mais mes amis ingurgitent sans sourciller les courgettes ou les brocolis, car ils sont servis par une Cindy toujours sexy. Et, quand elle les sert, je vois avec plaisir les regards de mes partenaires se perdre dans le corsage de mon épouse.
Car pour ma femme, les apparences comptent apparemment autant que pour moi. Elle reçoit mes camarades sans se forcer du tout, toujours agréable et souriante, bien pomponnée et habillée, bref bandante. Et cela ne semble pas du tout être une corvée pour elle. Après le départ de mes amis, elle discute de la tenue du repas avec moi, de son déroulement, des remarques de mes amis, me faisant toujours remarquer les propos crus tenus par Pierre. Je l’ai toujours connu comme cela et je n’y prête plus attention depuis longtemps. Pierre est un sacré gaillard, un colosse de la nature, aimant la bonne chère et tous les plaisirs de la vie.
Je comprends rapidement que, sous l’apparence, là encore, Cindy est plus fascinée que choquée par le personnage. À la fois par sa corpulence et sa crudité. Je la sais plus mal à l’aise avec Christophe car je découvre, à mon grand regret, que Cindy est un peu raciste et Christophe est noir. Pourtant, c’est un superbe athlète, le plus beau et le plus racé de nous quatre sans aucun doute. Jean est adorable mais timide, assez effacé et plus ordinaire physiquement. C’est moi qu’elle a choisi et j’en ai été fier au début.
Cinq ans plus tard, je supporte beaucoup moins cette vie de couple, enviable par tous au niveau des apparences, mais désespérante dans sa quotidienneté et médiocre dans sa sexualité. Et puis, il y a cette énième discussion un vendredi soir chez Pierre, sur les filles évidemment, qui sont le principal sujet de préoccupation de mes trois amis célibataires. Mais je commence à me lasser des remarques sur mon bonheur conjugal, sur ma vie sexuelle éblouissante. Peut-être le refus opposé par Cindy la veille m’a-t-il exaspéré, toujours est-il que ce soir-là, pour la première fois, je ne me contente pas de mes habituelles réponses allusives où ils peuvent comprendre ce qu’ils ont envie d’entendre. La discussion est irréelle.
Surpris par mes précisions inhabituelles, ils s’enhardissent progressivement et deviennent très curieux. De la forme des seins de Cindy à son sexe blond, épilé ou non, de sa façon d’embrasser aux cris qu’elle pousse lors de l’orgasme, des positions qu’elle aime aux choses qu’elle me fait, tout y passe et je suis plusieurs fois choqué par la précision de leur curiosité. Mais, surtout, je n’en reviens pas. Je leur dis finalement la vérité toute nue, avec tout ce qu’elle a de décevant pour leurs propres fantasmes et ils concluent simplement par la remarque qui tue :
Je suis à nouveau prisonnier des apparences. Et c’est pour cela que je leur dis qu’ils n’ont qu’à juger par eux-mêmes. C’est d’abord la stupeur, personne n’osant comprendre que je leur donne l’autorisation de baiser Cindy. Mais l’aspect pratique prend vite le dessus. Nous mettons au point ensemble rapidement et sans difficulté un début de scénario qui me permettra de faire semblant de m’absenter pendant notre rendez-vous traditionnel du vendredi soir chez moi pour les laisser seuls avec Cindy et de revenir subrepticement pour les voir à l’œuvre en toute discrétion. Au fond de moi, et connaissant Cindy, je sais qu’ils vont se prendre un râteau magistral.
Nous venons donc juste de commencer à prendre l’apéritif ce vendredi soir quand le coup de fil donné par un ami me fait quitter l’appartement au prétexte d’un dossier à compléter au bureau. Après maintes excuses à mon épouse, je claque bruyamment la porte et revient avec précaution vers la porte du salon que j’ai laissée entrebâillée. Ce n’est évidemment pas éblouissant mais ca marche. Sauf que l’ambiance est tendue et pas un mot n’est échangé entre Cindy et mes potes depuis mon faux départ. Ils sont vraiment mal partis. C’est Pierre, comme d’habitude, qui prend l’initiative, c’est lui le chef de la bande. Il demande à Cindy :
Alors Pierre quitte son fauteuil et vient s’asseoir tout à côté d’elle sur le divan où siège déjà Christophe. Cindy se retrouve coincée entre Pierre et Christophe. Pierre lance la conversation sur un sujet bidon et pose presque par mégarde sa main sur son genou. Cindy se raidit mais n’ose se dérober après sa réponse initiale. C’est un cercle vicieux qui s’enclenche. Si elle avait dit non immédiatement, je crois que mes amis n’auraient pas osé aller plus loin. Maintenant qu’elle a laissé Pierre la toucher, elle n’ose plus se contredire et lui, croit qu’elle lui permet plus.
Dans la discussion qu’il nourrit habilement, sa main remonte lentement le long de la cuisse de Cindy, caressant l’intérieur avec douceur. Christophe et Jean regardent, stupéfaits, le bon déroulement du scénario. Ils ne pensaient peut-être pas eux-mêmes aller jusque là. Car les choses se passent assez vite, à ma grande surprise. Cindy a laissé la main de Pierre arriver trop haut, il pense donc que c’est gagné. Il la bascule vers le fond du canapé à l’aide de sa masse imposante, l’emprisonne de ses bras puissants et la bâillonne avec sa bouche.
Aussitôt, les mains de Christophe prennent le relais de celles de Pierre sur les cuisses de mon épouse. Cindy essaie tant bien que mal de résister à la langue de Pierre qui l’embrasse, aux mains de Christophe qui écartent ses cuisses. Malgré sa résistance, Pierre force sa bouche. Et c’est comme une digue qui rompt d’un seul coup. Tout son corps se relâche, acceptant déjà la défaite et Christophe remonte sans difficulté vers le trésor convoité et qui lui est devenu accessible de façon si soudaine après tant d’années de désir.
Pierre a senti l’abandon brutal de Cindy. Son bras ne cherche même plus à la maintenir, et ses mains pétrissent longuement les seins qui l’ont tant fait rêver. Il lui suffit de baisser les fines bretelles de la robe rouge le long de ses bras, la paralysant un peu plus, puis celles du soutien-gorge. Quand les obus jaillissent, un silence total accueille les gros seins lourds aux aréoles larges et sombres. À voir leurs têtes, mes trois camarades n’en reviennent pas de voir si facilement ces seins qui les ont tant fait fantasmer. Au fond d’eux-mêmes, ils ne devaient pas être convaincus par leur propre plan.
J’avoue que voir Cindy se laisser déshabiller sans opposer la moindre résistance et soulever même ses fesses pour laisser passer la petite culotte que Christophe lui retire commence à m’exciter. Pierre lui lèche les seins pendant que la langue de Christophe se perd dans le fin duvet blond de la chatte de mon épouse. Même Jean s’est enfin décidé à participer et il embrasse Cindy qui ne lui répond que mollement.
Pierre se lève et entreprend de se déshabiller. Ses deux collègues se retirent et s’installent dans les fauteuils pour suivre la joute incroyable qui va suivre. Car, en plus de sa masse imposante et d’un système pileux fourni, Pierre libère un sacré gourdin comme je n’en ai encore jamais vu. J’avais déjà noté, sous la douche après nos parties de foot, qu’il était bien monté. Mais sa bite dressée par le désir est incroyable et Cindy en reste bouche bée.
Il lui demande de s’allonger sur le canapé et s’installe, à genoux, entre ses jambes. Pierre contemple longuement ce corps qu’il a tant désiré et qu’il va enfin posséder. Il prend tout son temps pour contempler la fine toison blonde, la silhouette fine et les gros seins lourds. Ses yeux se fixent dans ceux de Cindy pour la soumettre à lui définitivement. Et il lui demande de prendre sa bite dans sa main et de l’introduire dans son sexe. Je reste sans voix devant la soumission de Cindy qui après s’être allongée dans le canapé sans opposition guide aussitôt la queue à l’entrée de son vagin et étouffe son cri quand l’engin pénètre dans ses chairs délicates.
C’est incroyable comme ses muscles sont souples car Cindy accueille sans trop de difficulté les va-et-vient de Pierre. Chaque coup, puissant, la fait remonter d’un centimètre dans le canapé et elle s’accroche aux rebords tellement Pierre la remplit. Mais Pierre arrête ses mouvements et lui décroche une main qu’il dépose sur le sexe blond en lui demandant de se masturber. Je reste sonné par une telle demande impudique et par la soumission de mon épouse qui s’exécute et se masturbe sous les yeux écarquillés de Christophe et de Jean pendant que Pierre la pilonne.
Ma femme semble totalement sous l’emprise du mâle qui la domine. Jamais eux comme moi n’auraient imaginé une telle scène. Cindy se fait jouir toute seule, simplement remplie par la bite de Pierre qui se contente maintenant de rester au plus profond de sa grotte pour ne pas jouir trop vite. Peut-être avait-elle des fantasmes exhibitionnistes qui étaient enfouis mais sa jouissance arrive rapidement sous mes regards incrédules. Dire que je leur avais dit qu’elle baisait mal et n’aimait pas ça. Mes amis ne me croiront plus jamais.
Pierre reprend rapidement ses mouvements dans le ventre de mon épouse. Il s’est accroché à ses gros seins lourds et la chevauche de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je vois le gros mandrin qui la perfore régulièrement, méthodiquement. L’accouplement est brutal, primaire, violent mais fait jouir une nouvelle fois Cindy qui hurle son plaisir sous les coups de boutoir de Pierre. Le spectacle de cette grosse bite dans cette chatte si délicate est fabuleux et je ne peux m’empêcher d’éjaculer dans mon pantalon tellement je suis excité. Pourtant Pierre n’en a pas fini. Il ressort son sexe du vagin de Cindy et le place entre ses deux gros seins. D’elle-même, Cindy resserre sa poitrine sur le sexe qui coulisse dans l’étroit sillon mammaire. Ce devait être le fantasme suprême de Pierre. Il éjacule une quantité inouïe de sperme sur les seins de ma blonde.
Cindy s’essuie et veut se redresser mais Christophe est déjà sur elle et la repousse dans le canapé. Il se glisse entre ses jambes et l’enfile aussitôt. Puis il saisit Cindy aux bras pour l’empêcher de se débattre et entreprend de l’embrasser pendant qu’il la chevauche à grands coups de reins. Cindy lui résiste longuement, sûrement son racisme qui refait surface, mais la bite au fond de son ventre emporte le combat. Quand le plaisir revient doucement chauffer son bas-ventre, elle offre enfin sa bouche à Christophe et cesse de se débattre sous le corps de l’athlète qui la possède.
Je vois la bite d’ébène entrer et sortir avec régularité de la fente visqueuse de ma femme, la peau noire collée contre la peau blanche et je me prends à espérer qu’après cet épisode elle appréciera enfin les gens sur leurs valeurs humaines et non sur la couleur de leur peau. Ses préjugés ne l’empêchent pas d’avoir un nouvel orgasme et Christophe crache lui aussi son sperme au fond de son vagin.
Reste Jean, qui s’est quand même déshabillé pendant le deuxième round. Quand Christophe se retire, Cindy ne se redresse même pas et laisse Jean s’installer entre ses jambes écartées. Bizarrement, Jean s’enfonce en elle mais reste buté au fond de sa matrice sans bouger. Il caresse interminablement le corps de mon épouse, sans doute encore surpris d’être dans son ventre. J’avoue que je suis heureux de l’attitude de mon épouse qui le reçoit aussi en elle évitant ainsi plus tard des histoires entre mecs pour une fille. Chacun lui aura mis sa dose. Et puis le spectacle est surprenant.
Après l’avoir longuement regardée et caressée, Jean embrasse doucement chaque parcelle du corps souple. Et c’est mon épouse qui noue ses jambes autour des reins de Jean, avance les hanches le long du pieu planté dans son ventre. Pour la première fois, elle n’est plus passive mais active et mes deux autres amis, bien contents de leur bonheur, restent sans voix devant le nouveau combat entamé. J’ai l’impression que Cindy veut faire jouir rapidement Jean mais ce dernier, bien fiché en elle, remonte tout doucement ses lèvres sur le haut du corps. Il arrive aux seins somptueux sur lesquels il s’attarde longuement. Quand il s’empare de sa bouche, Cindy active frénétiquement ses hanches sur la bite de Jean mais c’est elle qui sombre la première dans la jouissance. Quand il se répand enfin en elle, son sperme se mélange à celui de Christophe au fond du ventre puis coule le long des cuisses de Cindy.
Je la laisse partir vers la salle de bains avant de faire ma réapparition. Mes amis sont un peu gênés mais mon attitude les rassure. Quand Cindy revient, elle a troqué la robe rouge maculée de sperme pour un jean serré et un t-shirt moulant ses deux gros seins. Et quand je l’interroge sur son changement de tenue, le mensonge jaillit spontanément.
Les apparences sont donc sauves une nouvelle fois pour elle. Mais il va me falloir gérer l’avenir maintenant. Et sauver aussi les apparences…