Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12447Fiche technique13167 caractères13167
Temps de lecture estimé : 8 mn
07/04/08
Résumé:  Au rayon littérature érotique d'un magasin, je tombai sous le charme d'une jeune femme sexy.
Critères:  fh inconnu magasin toilettes voir exhib fmast hmast -mastf -masth
Auteur : Histochris            Envoi mini-message
Pour l'amour des yeux

J’ai longtemps cru que seuls les hommes avaient des fantasmes cochons. Je pensais, comme beaucoup, que les femmes avaient besoin d’éprouver quelque sentiment pour se livrer sexuellement. Et que la morale toujours les retenait. J’étais, en fait, incapable d’imaginer une femme rêvant à des scènes de sexe. Je ne les en croyais pas capables.


Mesdames, ne m’en veuillez pas, mais avouez que c’est le discours convenu et traditionnel entretenu par beaucoup.


J’ai changé d’avis, il y a quelques années, en rencontrant celle qui est depuis devenue ma femme. J’ai découvert le jour de notre rencontre combien une femme pouvait aussi avoir des envies, liées à des fantasmes particuliers et passer à l’action dans le but de satisfaire un besoin. Ma femme aime se montrer. Ce qui nous a fait nous rencontrer, c’est le fait que j’aime regarder.


J’étais ce jour-là dans un magasin d’une grande enseigne, au rayon littérature érotique. J’avais bien remarqué la présence inhabituelle de cette charmante jeune femme. Elle était jolie, un visage doux, un regard timide, un peu fuyant. Cet aspect ne correspondait pas à sa tenue. Elle portait une jupe courte, un chemisier blanc sous une veste courte ouverte. Des bottes de cuir jusqu’aux genoux et j’adore les bottes. Ses jambes étaient délicieusement gainées de soie car elle portait un collant.


J’eus immédiatement une émotion et tombai sous le charme de cette jeune femme sexy, égarée au milieu de ce rayon de perdition. Je feuilletais quelques livres, sans conviction car j’étais plus intrigué par son manège. Toujours avec cet air d’ingénue, elle lisait aussi. Elle tenait une BD en main du dessinateur Serpieri.


Elle s’accroupit, plongée dans sa lecture. Elle semblait ne plus faire attention à ce qui l’entourait.


Doucement, je m’approchais d’elle, l’air de rien. Je voulais sentir son parfum. Un délice. J’étais excité par elle. Je bandais déjà et j’avais envie d’en voir plus. De ma position, je découvris que son chemisier était très largement ouvert. J’aperçus même un sein. Surtout que personne ne vienne ! Que personne ne vienne troubler l’instant. Je la veux pour moi seul.


Ce sein, rond, plein ! J’apercevais le téton. Il était gonflé. Elle devait être excitée par la lecture de cette BD érotique. Elle leva soudain la tête et me surprit le regard plongé dans l’ouverture de son chemisier. Elle me fit un sourire tellement plein de douceur que je sus que quelque chose se passait. Elle avait forcément vu que je la déshabillais du regard. Elle se replongea dans la lecture de cet album. Elle écarta encore ses cuisses.



Sa jupe s’était relevée sur le haut de ses cuisses. Mais du coup, j’étais là un peu haut. Je fis deux pas de côté, un coup d’œil, encore un pas. J’aperçus son entrejambe caché par le délicat barrage de son collant. Pas de culotte ! Rien que le collant, barrière perméable et fragile. Là, tapi derrière l’écran noir diffus, son sexe ! À portée de regard, si j’avais été plus près.


Je ne me cachais plus et la regardais franchement. Je ne maîtrisais plus un désir violent. J’avais maintenant envie d’elle. Je me vis baissant ce collant pour découvrir le fruit juteux.


Elle bougea, cherchant une position plus confortable sans doute. Elle était assise sur ses talons, totalement impudique, totalement offerte à mes regards. Elle passa une main dans son chemisier. Je vis qu’elle palpait son sein. Ses gestes ne me trompaient pas, elle avait entamé un massage de ce téton que j’avais aperçu bandé. Elle était en train de se caresser, là, accroupie devant moi.


Je bandais très fort et sans la moindre pudeur, je posai ma main sur la bosse qui déformait mon pantalon. Je priais pour que rien ne vienne interrompre cet instant. Cachée par les bacs de livres qui la rendaient invisible depuis l’allée, elle n’était que pour moi. Et malheureusement, un couple s’approcha.


La jeune femme timide se referma comme une huître et se releva. Le couple ne se rendit compte de rien. Mais le charme était rompu. Elle passa à côté de moi, me lança un sourire. Elle avait la BD sous le bras. Elle se dirigea vers la caisse du rayon. L’aborder romprait le charme. Ne pas l’aborder serait la perdre.


Elle se tenait à la caisse et payait la BD qu’elle avait décidé d’acheter. Avant de partir, elle se retourna vers moi. Elle me fit un grand sourire qui dura. Puis, elle tourna les talons et disparut.


Je la suivis. Elle marchait dans la galerie marchande. Je devinais son petit cul rond sous sa jupe. J’imaginais ses fesses moulées par la soie, la couture du collant s’enfonçant entre ses fesses qu’elle avait, sans doute, belles.


Elle tourna dans un couloir qui menait vers les toilettes. Le noir qui les gardait lui fit un grand sourire et même un geste amical de la main. Elle lui dit un mot à l’oreille. Le type me regarda et hocha de la tête en souriant.


Elle déposa un billet de 50 euros sur le comptoir et pénétra dans les toilettes des femmes. Le noir me regarda en souriant et me fit un geste de la tête, m’invitant clairement à pénétrer dans les toilettes des femmes. Je ne me posai pas de question et entrai dans ces toilettes de luxe parfaitement propres.


Personne.


Elle devait être dans l’un des boxes. Un seul était fermé, le dernier. Je m’approchais doucement. Je vis le bout de l’une de ses bottes passant sous la cloison. Quelque chose apparut ensuite, son chemisier. Elle l’avait jeté au sol. Je vis alors un trou dans la cloison qui séparait les deux WC.


J’entrai dans le WC et fermai la porte. J’étais très tendu dans tous les sens du terme. Je m’assis sur la lunette des WC et plaçai un œil face au trou. Elle était assise face à moi, adossée à la paroi. Elle avait le torse nu. Elle regardait le trou et ne devait voir que mon œil, puisque j’avais bien compris que seul mon regard l’intéressait.


Elle se massait les seins. Elle avait une belle poitrine, voluptueuse, parfaitement souple sans être tombante. Le genre de poitrine que l’on prend plaisir à pétrir avec force. Des tétons gonflés, bruns foncés surgissant d’aréoles petites parfaitement dessinées. Elle n’avait plus que son collant et ses bottes. Je ne pouvais évidemment tout voir et je me concentrai alors sur son entrejambe.


Mes amis, quelle vue. Le collant moulait sa chatte. Elle était totalement épilée et son excitation l’avait rendue liquide et des traces blanches s’étalaient sur le collant. J’aurais voulu défoncer la porte et me précipiter à genoux entre ses cuisses pour sucer le collant.


Je sortis ma bite. Elle m’entendit faire. Elle abandonna sa position et elle s’approcha de la cloison. Je me reculai et m’affalai sur cette cuvette, le dos contre la cabine. Je vis son œil dans le trou. Je tenais ma queue en main. Elle était en pleine forme, tellement gonflée, une belle bite déjà coulante. Elle m’observa quelques instants. L’œil disparut. Je m’approchai.


Elle était debout, un pied botté posé sur la lunette des toilettes. Ainsi ses cuisses étaient bien ouvertes. Ses doigts fins passaient sur le collant, massant la chatte ouverte, ses lèvres se collaient au fin maillage et l’enduisaient encore de son jus épais.


Je devais me retenir pour ne pas entamer une caresse sauvage de mon membre tellement j’étais excité. En regardant vers le haut, je vis que de l’autre main elle maltraitait alternativement ses tétons, elle les pinçait avec force. Elle se mordait les lèvres, ouvrait la bouche, passait sa langue sur ses lèvres, elle était sexy en diable, j’avais envie d’elle.


Elle passa sa main à l’intérieur du collant. Je bandais comme un fou. Cette bosse rendait le collant plus transparent. Son majeur flirtait avec son clitoris. J’entendais sa respiration puissante, des petits soupirs, parfois un gémissement. Elle se plia en deux quand il disparut dans son ventre.



Elle me comprit et m’offrit la vue de son doigt allant et venant entre ses lèvres. J’avais envie de lui prouver mon désir et me levai, présentant mon gland devant le trou et y fit pénétrer ma queue. Elle gémit plus fort. Elle appréciait mon compliment. Je souhaitais qu’elle enroule ses doigts autour, me caresse délicatement. Elle ne le fit pas. Heureusement ! Je ressortis ma queue et me rassis pour la contempler encore.


Elle s’était tournée et me laissait voir son fessier. Ses doigts œuvraient encore sur sa chatte. Très souple, elle était cambrée au maximum et faisait un grand écart acrobatique. Un pied posé sur la chasse d’eau, l’autre au sol. La paroi qui me séparait de ce fantasme vivant me rendait dingue mais participait de façon incroyable à mon plaisir de privation. Je voyais trois doigts aller et venir dans sa chatte béante. J’entendais le bruit des chairs qui se décollaient, et voyais le jus qui engluait ses doigts.


Le collant commençait à se filer. Doucement. La dernière barrière sur son corps se détruisait lentement et son sexe m’apparaissait de plus en plus clairement. Sa caresse était de plus en plus ardente. Elle murmurait son plaisir, la joue collée contre la paroi opposée, concentrée sur le plaisir auquel je participais en la regardant faire.


Ma queue coulait, je refusais de la toucher de peur d’éjaculer brutalement. Mais je ne pus résister à l’envie de me déshabiller totalement. Volontairement, je jetai mes habits au sol pour qu’elle sache. Qu’elle sache que j’aimais son spectacle et que je la désirais. Elle tourna son visage vers le sol. Elle eut un bref sourire.


Elle se baisait avec quatre doigts, dilatant sa chatte qui acceptait l’hommage. Le collant quasiment détruit me laissait voir la raie de ses fesses ouvertes et son œillet brun. Elle posa une main sur une fesse et l’écarta. Son majeur se tendit et effleura la pastille brune. Elle soupira.


Je l’entendis murmurer :



Sa voix. La première fois que j’entendais sa voix.


Le majeur caressait l’œillet. L’ongle vermillon disparut entre les muscles ronds qui l’acceptèrent. Je pense que cette double caresse l’acheva. Elle se mit à soupirer et son corps à s’agiter de façon désordonnée. Elle était en train de jouir sous mes yeux. Au paroxysme de son orgasme, le majeur s’enfila entièrement entre ses fesses.


Elle resta comme prostrée quelques instants, haletante, essoufflée. Puis elle revint à la vie. Elle était belle. Elle retira son collant complètement. Je tentai ma chance et enfonçai ma queue au gland luisant dans le trou. Allait-elle calmer la tempête qu’elle avait fait naître. J’attendais ridiculement planté dans cette cloison qu’elle fasse un geste pour moi.


L’attente était insupportable.


Soudain, un effleurement léger. Le collant ! Elle le balançait sur ma queue pour une caresse irréelle. Une bouche m’aurait comblé mais ce discret balayage me procura des sensations nouvelles qui renforcèrent mon érection. Je bougeais mimant le coït pour prouver mon plaisir.


Un souffle chaud sur mon gland !


J’attendais, appelais sa langue. Elle soufflait de très près car c’était chaud sans cesser de me caresser avec le bas.


Plus rien. Le collant tomba au sol. La porte de sa cabine claqua. J’entendis le bruit de ses talons sur le marbre. Elle partait me laissant avec ma raideur et ma déception. Je ramassai le collant. J’aperçus les taches blanchâtres et le portai à mes narines pour humer son odeur. J’étais anéanti mais toujours raide.


Je léchai le collant, l’aspirais pour tout sucer. C’était délicieux, parfumé. J’empoignai ma queue avec le collant et me mis à me branler en repensant à ce que j’avais vu. Je jouis comme un fou, abondamment, mêlant ma semence à ses sécrétions dans un acte solitaire et désespéré.


Je me rhabillai et sortis de la cabine, un peu triste.


À son comptoir, le noir me fit un sourire. Je ne répondis pas à cette bonne humeur qui n’était pas la mienne.



Je me retournai.



Je lui rendis enfin son sourire.


Trois jours après, elle déposait 50 euros sur le comptoir du noir.

Trente jours après, je défonçais la porte de sa cabine.