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Temps de lecture estimé : 10 mn
12/04/08
Résumé:  Rencontres dans un club de travestis.
Critères:  hh hhh nympho grossexe hsoumis hdomine lingerie hféminisé travesti trans intermast fellation préservati hgode hsodo jouet gangbang -totalsexe -travesti
Auteur : Sandra2      
Voluptueuses rencontres

Par une belle après-midi d’été, j’entends sonner le téléphone. C’est le patron d’une boîte de rencontres pour travestis qui m’appelle.



Je suis heureuse de son coup de fil car il me présente souvent des partenaires BCBG, très féminines qui partagent mes goûts. Très vite, je ressens l’excitation particulière du premier rendez-vous car je sais que dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec comme seul but de prendre et de donner du plaisir.


J’agrafe avec fébrilité ma guêpière en plaçant avec soin mes prothèses en silicone dans mes bonnets 105 C. Puis, j’enfile un adorable slip ouvert et des bas à couture que je fixe à quatre paires de jarretelles. Sortant d’un tiroir un préservatif féminin, je m’étends sur le lit pour l’installer. Je le glisse dans mon fourreau en prenant soin de déployer la corolle en latex autour de ma rosette. J’aime utiliser cette protection qui me donne davantage l’impression d’être une femme. Elle est aussi très pratique car je peux la garder toute la journée en étant prête à chaque instant à faire l’amour sans devoir la changer entre deux rapports. Je passe autour de ma taille une jupe marron foncé que j’assortis à un corsage plus clair. Devant la coiffeuse, je pose mes faux cils et une perruque blonde coupée au carré. Je termine en donnant une légère retouche à mon maquillage.

Enfin prête, je quitte mon appartement d’un pas rapide juchée sur mes hauts talons.


Arrivée au club, j’interpelle Steve en montant l’escalier.



J’ai à peine le temps de m’allonger sur le lit que Betty apparaît dans l’embrasure de la porte. C’est une ravissante blonde visiblement débutante et timide qui reste figée sur place. Elle porte une nuisette transparente et un collant moule son sexe, qui la rend provocante malgré elle. Son maquillage excessif et son rouge à lèvres peu discret témoignent de son inexpérience. C’est donc avec amusement que je me vois assumer le rôle d’initiatrice dans cette rencontre.



Je retire mon corsage et ma jupe en ne gardant que ma guêpière. Elle s’avance d’un pas hésitant jusqu’à moi et me laisse mordiller sa queue à travers le nylon. Je continue à l’exciter en la masturbant lentement.

Puis, je frotte son gland sur les fibres nylon de son collant pour la faire bander rapidement. Je vois qu’elle ne pourra pas se retenir très longtemps, aussi je décide d’agir.



Dans le même temps, j’écarte lentement mes cuisses en la défiant du regard. Betty, le rouge aux joues, fixe la fente de mon slip en voyant mon œillet s’ouvrir peu à peu. Pendant que je la fais attendre en me caressant, elle s’agite nerveusement.



À ces mots, elle se jette sur moi comme un chien fou en me donnant à peine le temps de saisir sa queue pour l’engager dans mon fourreau.

Elle m’embroche avec fougue dans un rythme effréné pendant que je me presse contre elle. Quand ses gémissements m’annoncent l’imminence de son orgasme, je croise mes jambes dans son dos et lui enfonce mon majeur dans l’anus. Elle se tétanise un instant. Puis, elle jouit par saccades, en m’inondant du flot de sperme de ses vingt ans.


Stimulée par ce spectacle, je l’allonge sur le ventre et lui écarte les fesses à deux mains. En forçant son passage, je me rends compte qu’elle est très étroite et qu’elle n’a certainement pas dû connaître beaucoup de partenaires. Cette pensée, associée à la pression sur mon sexe, me fait rapidement exploser en elle. Après nous être caressées un moment, elle me quitte à regret.


Tout de suite après son départ, je vois entrer Claudia, une superbe rousse transsexuelle. Elle porte un corset et des cuissardes de couleur rouge et noire qui m’indiquent clairement ses penchants de dominatrice. Je rentre immédiatement dans son jeu en prenant un air effarouché et en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses, comme pour me protéger.



Je remarque avec satisfaction qu’elle a un sexe marteau. C’est-à-dire un gland épais que l’on sent toujours mieux lors des rapports. Elle glisse ses mains sous ma jupe en la remontant sur mon ventre. Pendant ce temps, je ne me lasse pas de contempler ses seins sublimes qui me donnent une érection spectaculaire. Elle se montre d’ailleurs surprise par la taille de mon sexe. Ses doigts inquisiteurs fouillent l’intérieur de mes cuisses sans vergogne en se posant sur ma corolle en latex.



La voyant hésiter, je la masturbe d’une main experte en la faisant fléchir.



Je l’aide de mon mieux lorsqu’elle force mon anneau avec son gland turgescent.



Ayant passé mes sphincters, elle entame des va-et-vient de plus en plus puissants. Je suis très excitée par le bruit caractéristique de sa queue qui s’active en moi et par ses bourses qui me fouettent l’intérieur des cuisses quand elle plonge dans mes reins. Claudia se rend compte de mon état et serre la base de mon sexe pour m’empêcher de jouir. Soudain, elle explose en moi pendant que je contracte mes muscles intimes pour finir de la vider. Se rajustant, elle me quitte rapidement et sort de la chambre en me laissant dans un état d’excitation intense.


Heureusement, deux ensorcelantes brunettes lui succèdent. Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose. Elles viennent vers moi en souriant et nous faisons très vite connaissance. Tout en jetant un regard intéressé sur mon sexe en érection, elles m’expliquent qu’elles sont venues au club pour réaliser l’un de leur fantasme, qui est de me pénétrer toutes les deux en même temps. Les sens mis en ébullition par Claudia, j’accepte leur proposition en les masturbant jusqu’à ce que leurs queues atteignent une taille respectable.



Je m’accroupis en lui tournant le dos et m’abaisse en faisant entrer son sexe peu à peu dans mon fourreau. Puis, je m’étends sur elle en écartant les jambes pour inviter Sabrina à venir me baiser.



Elle reste figée devant ce spectacle et ne peut détacher ses yeux du sexe de Natacha qui va-et-vient en moi. Elle finit par se mettre à genoux entre mes cuisses. Très souple, elle m’enfile en se penchant en même temps sur moi pour me faire une fellation d’enfer. Sodomisée et pompée à la fois, je sens la sève monter rapidement dans mes reins. Je ne résiste pas longtemps et me répands dans sa bouche en gémissant de plaisir.


Retrouvant mes esprits, je décide de prendre l’initiative. Déclenchant de puissantes bascules du bassin d’avant en arrière, je me trémousse sur Natacha. Qui ne tarde pas à se vider dans mes fesses. Sabrina, le souffle court, me lime maintenant sans s’arrêter, excitée de frotter son gland sur celui de son amie. Elle regarde mes jambes gainées de nylon brasser désespérément l’air, ce qui témoigne de mon émotion lorsqu’elle m’empale.


Le moment venu, je la fais se coucher sur moi et croise mes jambes dans son dos en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles pour l’exciter davantage. Telle une mante religieuse, je resserre mon étreinte pour mieux lui dévorer le sexe. Saisissant un gode caché sous l’oreiller, je le vrille sournoisement dans ses reins en le tournant de droite à gauche pour l’embrocher plus vite. Surprise, elle se redresse en me regardant d’un air étonné. Je m’active de plus belle jusqu’à ce qu’elle explose dans une succession de spasmes. Lorsqu’elle se retire, elle laisse échapper une dernière coulée de sperme qui dessine une arabesque blanchâtre sur mes bas noirs.


Souhaitant conserver pour la journée la semence de mes partenaires, je m’enfonce un plug dans l’œillet. Ensuite, je me lève et les raccompagne à la porte pendant que Sabrina me suggère d’autres jeux en prévision d’une prochaine rencontre.


Restée seule, j’agrafe rapidement ma jupe pour aller rejoindre Mirella qui m’attend chez elle. C’est une transsexuelle de la Jamaïque, arrivée à Paris depuis deux ans, que je vois chaque semaine. Elle m’ouvre la porte dans un superbe déshabillé ivoire qui fait ressortir la couleur de sa peau. Lorsque je m’assois prés d’elle, son regard se pose sur la tache blanchâtre qui macule mon bas. Soupçonneuse, elle glisse sa main sous ma jupe, en s’apercevant tout de suite de la présence de mon préservatif.



Je m’allonge sur la table médicale en posant mes escarpins dans les étriers. Mirella se place entre mes cuisses pour m’enlever le plug et ma protection féminine.



Je souris en pensant que certaines fois, je rentre chez moi avec ma protection pleine de foutre. Elle enfonce un spéculum dans mon fourreau et l’écarte pour me lubrifier. Puis, m’aidant à me lever, elle m’entraîne dans la pièce voisine en me faisant découvrir son dernier achat. Je découvre un objet étrange ayant l’apparence d’un cheval d’arçons.



Elle règle la hauteur pour que j’aie les jambes tendues et les pieds bloqués au sol dans des attaches spéciales. Je suis totalement immobilisée et incapable de me soulever. Elle appuie sur un bouton et je sens une trappe s’ouvrir sous moi.



Mirella appuie sur un bouton et le plug commence à s’enfoncer imperceptiblement dans mon anneau. Je suis surprise de ressentir du plaisir quand mes chairs se distendent. Vingt minutes plus tard, je suis embrochée jusqu’à la garde, la queue dressée prête à exploser.



Cette comparaison me trouble et j’ai du mal à la croire.



Elle me lèche la queue pendant que le pieu plongé dans mes reins se met à vibrer avec intensité. Je craque, surtout lorsqu’elle fait glisser son ongle sur toute la longueur de mon frein, en me donnant des sensations extraordinaires.



Soudain, je vois les premières gouttes de sperme perler à la surface de mon gland. Je gémis doucement lorsqu’une coulée épaisse et régulière sort lentement de ma verge en se déversant dans sa gorge. Je ressens un plaisir intense lors de cette éjaculation continue qui me donne un bonheur sans égal. Complètement sonnée, je regarde le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe. Mirella finit par me détacher en me faisant passer une séduisante combinaison en satin rouge et noir par-dessus ma guêpière.



Je me dirige vers son lit, troublée de sentir la tension de mes bas et d’entendre le crissement des fibres de nylon qui se frottent sur mes cuisses à chacun de mes pas. Mirella me rejoint rapidement. En plus de son déshabillé, elle porte à la taille un impressionnant gode-ceinture. Je m’aperçois avec surprise que son sexe est à l’intérieur.



Il a des dimensions comparables au plug et je comprends mieux la raison de mon initiation précédente. Mirella se penche pour m’embrasser à pleine bouche en plaquant ses seins magnifiques contre moi. Puis, me mettant sur le dos, elle place deux coussins sous ma croupe pour me mettre à la hauteur du pal qui se balance lourdement entre ses cuisses.



Je la retrousse fébrilement sur mes hanches, en dévoilant mes bas et mes jarretelles tendus à craquer. Elle m’écarte les cuisses et contemple ma rosette qui s’ouvre comme une fleur. Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert. Mais, Mirella ne se laisse pas distraire et poursuit, en faisant semblant d’ignorer mon état. Elle m’enfonce son majeur dans les fesses en le recourbant vers le haut pour masser mon point G. Elle regarde avec fascination mes sphincters se contracter sur son doigt, ce qui lui prouve que je ne reste pas insensible à cette caresse. Elle me masturbe également d’une main experte pour m’étourdir de plaisir.



Pointant le gode à l’entrée de ma grotte, elle le rentre par petites pressions successives.



Puis, elle le plonge dans ma croupe, en me regardant droit dans les yeux. Haletante, la poitrine palpitante, je me laisse prendre sans résister. Elle me cloue sur le lit comme un papillon, en s’aidant de ses mains agrippées à ma taille pour finir de m’empaler sur le gode.



Soudée à moi, elle me travaille l’œillet sans faiblir, avec une habileté diabolique. Ne pouvant plus résister, je finis par exploser en déchargeant un flot de sperme sur ma guêpière. Peu après, elle retire son gode-ceinture et réajuste ses jarretelles en prenant des poses lascives pour m’exciter à nouveau. Puis, sortant son sexe d’une taille impressionnante, elle se masturbe avec un érotisme torride en me rejoignant sur le lit.


Elle aime lorsque qu’avec l’aide de mes pieds, je décalotte son gland en le frottant sur les fibres satinées de mes bas. Mais elle craque littéralement quand je lui enfonce lentement mon orteil dans l’anus. La voyant trembler de désir, je décide de passer à l’action. Lui faisant face en la laissant allongée sur le dos, je m’assois sur elle et pousse une à une des boules anales dans son intimité en l’entendant soupirer d’aise. Ensuite, je guide son sexe dans ma grotte restée largement ouverte. Sapant sa résistance, je bascule en rythme mon bassin d’avant en arrière. Puis, je tourne lentement mes fesses autour de ce pivot de chair, en contractant mes muscles intimes. Je suis sur son visage l’irrésistible montée de son orgasme. Quand je l’entends gémir, je me trémousse de plus belle en la faisant succomber rapidement à mon massage fessier.


Elle explose en moi dans de nombreux spasmes. Dans le même temps, je tire sur le fil qui pend entre ses cuisses en sortant d’un coup sec les boules anales de son conduit. Elle pousse un cri en ayant un dernier sursaut avant de s’immobiliser, étourdie de plaisir. Totalement comblées et épuisées, nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l’une de l’autre.