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n° 12464Fiche technique22930 caractères22930
Temps de lecture estimé : 14 mn
13/04/08
Résumé:  Je rencontre une femme dans un magasin et fais l'amour avec elle sur le capot de sa voiture.
Critères:  fh fplusag jeunes inconnu parking fellation préservati pénétratio fdanus fsodo -occasion -lieuxpubl
Auteur : Seb      Envoi mini-message
Les joies du shopping

Cette histoire s’est déroulée quelques jours avant Noël. Je n’avais pas encore trouvé tous les cadeaux que j’allais faire et j’errais donc dans un magasin d’électroménager à la recherche d’un cadeau pour mes parents. Je n’avais pas d’idée précise et il faut dire que je n’étais pas vraiment concentré sur ma tâche. J’ai toujours adoré arpenter les magasins sans but, seulement pour admirer clientes et vendeuses, à la recherche du string dépassant du jean taille basse ou du décolleté offrant une vue plongeante sur de généreuses poitrines.


Ce jour-là, je m’étais donc accordé une demi-heure de flânerie à regarder les demoiselles du magasin avant de me mettre sérieusement à chercher les cadeaux. Il y avait beaucoup de monde dans le magasin et toutes les vendeuses étaient très occupées. Je pouvais donc les mater tout à loisir sans avoir peur d’être repéré.


Mon regard fut d’abord attiré par une grande blonde avec des cheveux très longs lui tombant dans le dos. Elle portait la tenue du magasin, jupe et chemisier et, petit détail qui m’a toujours excité, elle était chaussée d’une magnifique paire de bottes noires. Je m’approchai d’elle et je remarquai vite la trace d’un string sous sa jupe. Me déplaçant d’un rayon à un autre, je découvris son visage : de très beaux yeux verts et un magnifique sourire. Sa poitrine était assez petite mais cela n’enlevait rien à son charme. Malheureusement, elle portait une bague au mauvais doigt. Faisant semblant de choisir un CD, je la regardai expliquer à une petite grand-mère comment marchait un lecteur DVD.


C’est alors que j’ai aperçu la protagoniste principale de mon récit. Je la vis tout d’abord de dos. Elle était brune, les cheveux mi-longs, de taille moyenne. Perchée sur de longues bottes noires remontant presque jusqu’au genou, ses jambes étaient voilées soit par un collant, soit par des bas. Je ne pouvais voir de dos qu’un manteau gris qui lui arrivait à mi-cuisses, ce qui laissait présager une robe ou une jupe des plus courtes. Sa fine silhouette était très agréable et devait correspondre à un très beau corps. Évidemment, à la vue de cette femme, toute mon attention se reporta sur elle.


Après avoir bien détaillé le verso, je décidai d’aller découvrir le recto. Faisant semblant de chercher quelque chose, je m’approchai du rayon TV où elle était. Je me plaçai un mètre à sa gauche et avec de furtifs coups d’œil, je pus la découvrir beaucoup mieux. Elle avait des yeux marron, un visage agréable et des seins de taille moyenne (à vue de nez un 90 B). Son manteau ouvert me permettait d’admirer le reste de sa tenue constituée d’une jupe noire très courte et d’un chemisier blanc qui moulait légèrement ses seins. Tout en l’observant, j’essayais d’évaluer son âge. Elle avait la quarantaine passée mais était encore une très belle femme. Je me fis la remarque qu’elle pourrait être ma mère et cela me fit sourire.


Les mains dans les poches de son manteau largement ouvert, elle se déplaçait lentement devant les écrans comme quelqu’un qui semblait perdu. Je n’arrivais pas à détacher mon regard de ce corps si attirant et j’avais toutes les peines du monde à rester discret. Je sentais un début d’érection monter en moi. C’est alors qu’elle s’accroupit juste à côté de moi. Quand elle se baissa, sa jupe si courte remonta encore le long de ses cuisses, laissant apparaître le liserai d’une paire de bas noirs. Cette vision acheva de durcir mon érection et je décidai de tenter ma chance avec cette belle inconnue. Alors qu’elle se relevait, j’engageai la conversation :



Tournant la tête vers moi, elle m’interrogea :



Elle se tourna vers moi et mit ses deux mains sur ses hanches, me regardant d’un air décidé. Ce faisant, ses bras écartèrent les pans de son manteau, me faisant alors encore plus découvrir ses seins, ses hanches et ses jambes. Je dois avouer qu’elle avait une silhouette fabuleuse pour une femme de cet âge.



Tout en discutant avec elle, j’essayais de percer son chemisier pour voir son soutien-gorge. Je n’arrivais à voir que l’ombre d’une dentelle sur le galbe de son sein droit. J’avais beaucoup de mal à détailler son corps sans pour autant qu’elle remarque que je la matais comme un fou.



Ce faisant, ma main se dirigea vers l’étiquette du produit et la sienne en fit de même. Nos doigts se frôlèrent et à ce contact, elle me sourit malicieusement.



Je m’agenouillai à ses côtés et là encore, la vue de ses bas sous sa jupe m’émoustilla. Nous restâmes quelques minutes agenouillés presque l’un en face de l’autre. Je ne pouvais m’empêcher d’admirer ses jambes, le liseré de ses bas et ses deux seins qui pointaient sous son chemisier. Plus nous discutions et plus elle fixait mon regard. Elle avait compris que je la dévorais des yeux et elle me testait. Mes regards étaient plus furtifs, je devais faire semblant de regarder les téléviseurs avant que mes yeux ne puissent rapidement glisser sur son corps.


Au bout d’un moment, elle se releva et, avant que je n’aie eu le temps de me relever à mon tour, elle m’offrit une vue magnifique de ses jambes. Elles étaient là, à quelques centimètres de mes mains, à quelques centimètres de ma bouche, semblant si fermes et si fines, couvertes de ses bas noirs si raffinés. Je mis plusieurs secondes à réagir et quand je me levai, un trouble régnait entre nous. Elle décida d’y mettre fin.



Je lui tendis la main en guise d’au revoir. Elle me la saisit et la serra avec un sourire et un regard plein d’envie, ce qui acheva de me troubler. Un dernier coup d’œil à ses seins et je m’éloignai d’elle. Après un dernier coup d’œil à ma petite vendeuse blonde, je quittai sur-le-champ le magasin.


J’ai traîné une demi-heure dans d’autres magasins de la zone commerciale et, une fois mes achats faits, je me dirigeai vers le parking souterrain où était garée ma voiture. J’allais arriver à celle-ci quand, à quelques mètres de moi, je vis ma charmante inconnue en train de ranger ses courses dans le coffre d’une Peugeot rouge vif. Elle était penchée en avant et ses fesses rebondies me semblaient encore plus belles que dans le magasin. Encore frustré par la tournure des évènements et passablement excité, je me dirigeai vers elle. Tout en m’approchant, j’observai tout à loisir ses jambes et son postérieur, qu’elle offrait sans le vouloir à mes yeux alléchés. Je ne savais pourquoi, mais quelque chose me poussait à aller lui reparler. Était-ce ce sourire si ambigu quand je lui ai dit au revoir ? Ou bien cette tenue si excitante ? Ou tout simplement le fait que j’avais envie de la baiser ? J’arrivais à deux mètres d’elle quand elle referma son coffre et se retourna. Surprise, elle poussa un cri, mais bien vite la stupeur s’effaça sur son visage pour laisser place à un large sourire et à des yeux malicieux.



J’avais alors tout son corps pour mes yeux ; sa jupe me parut encore plus courte que dans le magasin et ses seins m’apparurent dans toute leur splendeur, tendant son chemisier légèrement déboutonné. Je me tenais à côté de la porte conducteur et avec un grand sourire, elle me demanda de me pousser légèrement ; galamment, je lui ouvris la portière.



Dans ma tête, je ne pus m’empêcher d’ajouter :



Elle se pencha à nouveau en avant, encore plus que devant le coffre, pour ranger son sac à main sur le siège passager et son manteau sur les sièges arrière. Alors qu’elle rangeait je ne sais quoi dans son sac, il n’y avait plus que ses fesses et ses jambes qui sortaient de l’habitacle. Mais quelle vision ! Ses fesses fermes et rebondies étaient admirablement moulées par sa courte jupe et le tracé d’un petit string me sautait aux yeux. Sa jupe remontait tellement que je voyais non seulement tout le liseré de ses bas mais aussi les attaches d’un porte-jarretelles.


À cette vision, j’attrapai une érection formidable et, discrètement, je replaçai mon sexe douloureux du mieux que je pouvais. J’avais toutes les peines du monde à me retenir pour ne pas me jeter sur elle tel un sauvage. Quand elle se redressa, mes yeux quittèrent difficilement ses fesses pour les siens. Elle se retourna en fermant la portière et, en voyant mon regard affolé par ce qu’il venait de découvrir, elle me fit un petit clin d’œil pour me signaler qu’elle se doutait dans quel état je devais être. Je ne savais pas quoi penser : jouait-elle seulement à m’allumer, voulait-elle me draguer, ou bien était-ce moi qui me faisais des films ? Devant le silence et la gêne de la situation, c’est elle qui relança la conversation en allant appuyer son postérieur sur le capot de sa voiture.



Nouveau clin d’œil et en même temps, elle caressa la commissure de ses lèvres avec le bout de sa langue. Je montai encore plus dans l’excitation, elle enchaîna :



Elle était toujours appuyée contre le capot de sa voiture et moi j’étais face à elle, à moins d’un mètre de son corps, avec une formidable érection dans le pantalon.



Et c’est là que tout a basculé, sa réponse changea le cours de mon après-midi. En écartant les jambes sur le capot, mettant à jour ses bas noirs et me fixant droit dans les yeux, elle me répondit :



À ces mots, mon sang ne fit qu’un tour ! Sans un mot, je me collai à elle et saisis fermement ses deux cuisses à pleine main. Nos visages étaient presque collés, nos yeux ne se quittaient pas.



Il est vrai que moi aussi je mourais d’envie de libérer mon sexe comprimé dans mon pantalon. L’excitation prit le dessus sur la raison et je me moquais bien d’être surpris ici en train de la baiser. Ma bouche s’approcha de la sienne mais elle pencha ma tête pour m’offrir son cou.



Je compris que ma compagne devait être mariée et devait avoir des scrupules à embrasser quelqu’un d’autre… mais pas à se faire sauter par un inconnu dans un parking ! Ma bouche se mit à dévorer son cou tandis que mes mains caressaient ses cuisses fermes. Quant à elle, elle me griffait plus qu’elle ne me caressait le dos au travers de ma chemise. Elle voulait du sexe viril, elle allait être servie ! Je la basculai en avant sur le capot et commençai à déboutonner son chemisier. Puis arrivé à la moitié, je le déchirai d’un coup, faisant sauter les boutons encore en place. Cela lui arracha un petit cri de surprise, mais bien vite un sourire incitateur me demanda de continuer. J’avais sous mes yeux ses deux obus, encore prisonniers d’un magnifique soutien-gorge jaune pâle en dentelle. Je pris ses deux seins à pleine main et les pétris fortement. Je sortis ses tétons durcis du soutien-gorge et les fis rouler sous mes doigts puis les mordis assez brutalement, je dois l’avouer. Mais elle aimait cela ; elle soupirait à chaque fois que j’effleurais ces parties si érogènes de son anatomie et criait même quand je les brutalisais un peu. Puis une de mes mains remonta sa jupe pour découvrir un joli string jaune lui aussi, complément du soutien-gorge, ainsi que le porte-jarretelles dont la vision m’avait tant excité peu de temps avant.


Je caressai lentement le tissu de son string et je m’aperçus qu’il était trempé. Je l’écartai donc pour découvrir un sexe entièrement rasé et déjà un peu ouvert. Je glissai vite un doigt puis deux dans sa fente ruisselante tandis que mon pouce titillait son clitoris. Elle voulut m’empêcher de glisser un troisième doigt, mais je ne l’écoutai pas. Le passage fut plus difficile que pour les deux premiers mais elle mouillait tellement que je le pus, ce qui lui tira un nouveau cri où se mêlait plaisir et douleur. Je lui fouillai donc la chatte avec trois doigts, alors que ma main gauche continuait à malaxer ses seins. Elle acceptait ce traitement, totalement offerte à moi, exprimant largement son plaisir.


Puis, retirant ma main, je lui tirai le bassin pour la faire descendre du capot. Elle comprit immédiatement et s’agenouilla devant moi. Défaisant mon pantalon, elle libéra mon sexe de sa prison et se retrouva avec ma bite juste devant les yeux. Telle une morte de faim, elle se rua sur ma queue pour l’avaler goulûment. Elle ne prenait pas le temps de bien lécher toutes les parties de ma bite et se contentait d’avaler férocement mon gland, alors que sa main branlait la base de ma bite. Rapidement, mes mains se posèrent sur sa tête et je lui imprimai le rythme que je souhaitais. J’ai toujours adoré qu’une fille avale complètement ma bite et j’en profitais avec ma compagne. Je lui bloquai la tête quand elle tenait une grande partie de mon membre en bouche. Même si elle tira au cœur, elle ne dit rien et continua à me sucer avec une grande conscience professionnelle, si j’ose dire. C’était loin d’être une des meilleures pipes que l’on m’avait faites mais la voir agenouillée devant moi dans ce parking, en train de dévorer mon organe, m’excitait assez. Au bout d’un moment, je lui retirai la tête de mon entrejambe :



Elle trouva facilement la capote que j’avais toujours dans la poche de mon pantalon. au cas où. Elle me la montra en souriant :



Elle déchira l’emballage et en sortit le préservatif. Après un dernier coup de langue sur mon gland, elle me le déroula sur la bite. Une fois la protection en place, elle se releva à côté de moi. Elle s’appuya sur le capot et me présenta ses fesses en les écartant avec ses deux mains. Je me plaçai derrière elle et présentai ma queue devant sa chatte humide. D’un seul mouvement, je l’empalai jusqu’à la garde. Ma rudesse la surprit et lui arracha de nouveau un grand cri. Je sentis qu’elle était un peu contractée mais rapidement son vagin s’adapta à ma bite et je commençai à la limer. Mes mouvements furent assez lents au début pour devenir rapides, voire effrénés. Ses cuisses tapaient sur le pare-chocs alors que mes couilles martelaient ses fesses. Je tenais ses seins à pleine main et les pétrissais au gré de mon va-et-vient. Puis je lui appuyai sur le dos pour que son ventre repose sur le capot.


Sous l’effet de ma pénétration, ses seins lustraient le capot. J’étais très excité d’avoir cette femme de deux fois mon âge sous ma domination. Je la tenais par la taille quand mes doigts s’approchèrent de son œillet. Je commençai à masser doucement le tour de son anus qui réagit aussitôt. Dès que mon pouce s’aventurait plus sur son trou, je le sentais prêt à s’ouvrir. Je crachai dessus pour lubrifier un peu et mes doigts s’immiscèrent rapidement à l’intérieur. Elle ne disait rien devant cette nouvelle incursion dans son être, ce qui me poussait à continuer. Quand je jugeai que son petit trou était assez dilaté, j’arrêtai de la pénétrer pour présenter mon sexe devant lui. Je pressai lentement ma queue mais je ne réussis pas à rentrer du premier coup. Voyant cela, elle cracha sur ses doigts et les inséra dans son anus. Je la regardai se fouiller l’anus devant moi, tout en lui caressant les seins. Quand elle fut prête, elle prit ma queue en main et la présenta à l’entrée de son fondement.


D’un coup de reins, ma bite entra en elle assez facilement. Elle ne cria pas, soupira même de plaisir. Son anus s’adapta assez vite à mon membre et je coulissai facilement en elle : elle devait avoir l’habitude de se faire prendre par ce trou-là. Rapidement, elle se remit à crier son plaisir et j’avais l’impression qu’elle préférait être enculée que pénétrée ! Ma main droite s’occupait de son clitoris, ce qui renforçait son plaisir. Quand mes doigts glissèrent à nouveau dans son vagin, je sentis que sa jouissance était proche. En effet, son bassin ondulait de plus en plus et ses cris étaient très rapprochés. D’un coup, elle se raidit et explosa, manifestant bruyamment son plaisir. Ses muscles se contractèrent autour de mon sexe et j’eus toutes les peines du monde à ne pas jouir moi aussi ; mais je ne voulais pas jouir dans la capote. Je continuai à la limer jusqu’à ce qu’elle se calme un peu, puis je me retirai et ôtai la capote. Elle se retourna et s’assit sur le capot :



C’étaient les premiers mots que nous échangions depuis que je l’avais pénétrée. Elle m’obéit et se positionna devant moi, un sourire au coin des lèvres.



Et aussitôt, elle se remit à me sucer, mais beaucoup plus doucement que tout à l’heure. Je sentais que son désir était assouvi et qu’elle se concentrait uniquement sur mon plaisir. Et elle était très douée ! Je sentis vite l’éjaculation approcher à nouveau, mais je ne voulais pas en finir comme ça. Je mis mes mains sur sa tête et je commençai à lui imprimer mon rythme.



Elle comprit vite ce que je voulais et ferma la bouche autour de ma queue. Je me mis alors à exécuter un va-et-vient avec ma bite dans sa bouche de plus en plus vite. Mon gland tapait contre son palais et atteignait le fond de sa gorge, mais elle ne disait rien et me laissait faire. Le plaisir monta vite en moi et je déchargeai ma semence au fond de sa bouche dans un grand râle. Je continuai à la limer jusqu’à ce que tout mon sperme se soit écoulé de mes couilles. Je retirai alors ma queue de sa bouche et je la vis avaler mon sperme avec plaisir.


Je me rhabillai en silence alors qu’elle se relevait et tentait de faire de même. En effet, son chemisier avait souffert de ma rudesse lorsque je l’avais déshabillée sur le capot de la voiture. Elle aussi gardait le silence et se dirigea vers la portière conducteur. Je me plaçai à côté d’elle et lui ouvrit la portière. Elle me gratifia d’un sourire et se pencha pour prendre quelque chose dans son sac. D’avoir la même vision sur son cul que tout à l’heure me provoqua un nouveau début d’érection. Elle se redressa et glissa un morceau de papier dans ma poche tout en m’embrassant sur la joue.



Puis elle rentra dans sa voiture et démarra. Le temps qu’elle ferme la portière, je pus voir une dernière fois ses bas noirs dépassant de sa jupe. Je la regardai s’éloigner puis je pris le papier qu’elle m’avait laissé. Il y avait son numéro et son prénom, que j’ignorais jusque là : Anita. Je rejoignis ma voiture et rentrai chez moi, l’esprit rêveur.


Le soir dans mon lit, j’ai repensé à cet après-midi fabuleux et je me suis branlé en repensant à Anita. J’ai rangé précautionneusement le papier avec son numéro, en me doutant qu’il servirait vite…