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n° 12473Fiche technique8608 caractères8608
Temps de lecture estimé : 6 mn
15/04/08
Résumé:  Imaginaire ? Peut-être pas tant que ça...
Critères:  fh inconnu essayage fsoumise voir exhib miroir vidéox photofilm nopéné
Auteur : Alaink  (vrai ou faux ?)            Envoi mini-message
Lingerie



À la sortie de son travail, Chantal s’est promenée un peu dans le sixième arrondissement. Elle aime bien ce quartier et ses boutiques. Maintenant, il est un peu plus de dix-neuf heures et les boutiques sont fermées. Seule règne encore un peu l’animation autour de la Grande Épicerie. Elle décide de prendre le métro. En passant, elle voit une boutique encore ouverte, dont la vitrine est éclairée. Une lingerie. Et sous ses yeux, un joli soutien-gorge. Elle a envie de l’essayer. Elle pousse la porte. La boutique est vide, pense-t-elle en ne voyant ni cliente ni vendeuse. Au même instant, elle entend une voix dans le fond. C’est un homme, la quarantaine, visiblement le patron en train de faire les comptes de la journée.



Il plonge le bras, regarde la référence, va devant une commode, ouvre un tiroir et en sort l’objet convoité.



Et il ouvre un rideau. Un temps d’hésitation pour Chantal. Seule avec un homme, dans une boutique de lingerie… Enfin, se dit-elle, il ne va rien m’arriver dans une boutique au centre de Paris. Et elle entre dans la cabine. Elle ôte sa veste, passe son pull par dessus la tête, dégrafe son soutien-gorge et commence à mettre le nouveau. Le patron ouvre la cabine alors qu’elle n’a pas fini.



Il regarde Chantal finissant de l’agrafer dans le dos.



Il la regarde et finit par lui dire :



Il va à nouveau devant la commode, prend un emballage et en sort un ravissant soutien-gorge qu’il montre à Chantal.



Et sans attendre, il lui dégrafe le premier soutien-gorge, fait glisser les bretelles sur les épaules. Chantal se trouve subitement seins nus devant cet homme. Elle est troublée et rougit un peu.


Le patron ne se départit pas d’un calme professionnel. Il lui écarte les bretelles du nouveau soutien-gorge pour qu’elle enfile les bras, puis lui agrafe dans le dos. Ceci fait, il plonge la main dans chaque bonnet pour lui mettre les seins correctement en place. Chantal rougit encore un peu plus mais c’est fait si professionnellement qu’elle ne dit rien…



Et il la guide hors de la cabine devant un immense miroir. Chantal pense qu’elle est là, en sous-vêtements, dans la boutique. Une cliente pourrait entrer… et puis cet homme qui la regarde…



Chantal ne peut qu’approuver. Il repart vers la commode, en sort un autre sachet, l’ouvre et tend à Chantal un slip assorti.



Chantal obéit. Elle est suffisamment troublée pour ne pas oser refuser. Elle va vers la cabine, défait les boutons et la fermeture à glissière de son jean, le fait tomber à ses pieds et s’apprête à enfiler le slip par-dessus sa culotte. Le patron l’arrête.



Chantal pose le slip, met les mains à ses hanches et descend sa culotte. Le patron reste là devant elle et la regarde. La gêne de Chantal est grande mais en même temps, elle a du plaisir. D’habitude, quand elle se déshabille devant un autre homme que son amant, c’est un médecin avec un regard clinique. Là, c’est juste pour le plaisir d’être belle. Elle pousse la culotte du pied et enfile le slip. Vrai, qu’il est beau.



Et il l’amène à nouveau devant le grand miroir de la boutique. Il apporte un second miroir, sur pied, le met derrière Chantal et l’invite à se regarder. Elle se tourne, pivote. C’est vrai que l’ensemble est très joli. Elle ne pense même plus au lieu, à cet homme. Elle se regarde et se trouve très jolie elle aussi.



Chantal rougit ; elle n’a jamais porté un string. Elle n’a pas le temps de répondre qu’il lui tend un minuscule string.



Chantal est si troublée qu’elle ne va même plus jusqu’à la cabine. Au milieu de la boutique, elle se défait du slip, ne pensant même plus qu’une cliente pourrait entrer, et elle enfile précautionneusement le string. Elle n’en a jamais porté et hésite pour placer l’arrière au bon endroit. Le patron l’aide ; le revers des mains sur chaque fesse, il passe le bout des doigts sous le ruban et le place correctement. Il fait pivoter Chantal en la prenant par les hanches, lui ajuste l’avant et lui dit en souriant, tout en lui caressant les poils du pubis qui dépassent de chaque côté :



Chantal rougit encore une fois. Elle va d’elle-même vers la glace, se tourne et se retourne, se trouve très belle, très à son avantage. Ses seins paraissent plus gros, ses fesses sont mises en valeur et voyant les poils qui dépassent, elle pense que le plus simple sera de tout raser ; elle y pensait depuis longtemps, c’est le moment.



Il lui dit un chiffre. Chantal sourit. Le prix annoncé est le prix du soutien-gorge seul en vitrine. Elle est d’accord.



Chantal ne se soucie plus du lieu ni de l’homme et se dévêt intégralement dans la boutique avant d’enfiler ses propres vêtements. Elle paie et quitte la boutique avec les remerciements d’usage. Elle est heureuse ; elle a fait une bonne affaire et lors de sa prochaine sortie, elle sera fière de ses sous-vêtements…


Quand elle a quitté la boutique, le patron décroche son téléphone et appelle son voisin le chausseur.



Quand Jacques entre dans la boutique, le patron ferme la porte à clé, éteint les lumières et entraîne son voisin dans l’arrière-boutique. Il allume un moniteur vidéo, touche à deux magnétoscopes et finit par dire : que le spectacle commence ! Et sur l’écran, on voit Chantal se déshabiller, Chantal enfiler un soutien-gorge, Chantal seins nus, Chantal se regardant dans la glace… Avant que Chantal entre, il avait déjà branché les deux cameras de surveillance et toute la scène a été filmée. C’est pour ça qu’il avait invité Chantal à venir se voir dans le grand miroir de la boutique. C’est un miroir sans tain et derrière, il y a une des deux caméras. Quand la projection se termine, le patron dit en riant à son voisin :