n° 12479 | Fiche technique | 11375 caractères | 11375Temps de lecture estimé : 7 mn | 18/04/08 |
Résumé: Au fond d'elle-même , toute femme fantasme. Tout est dans l'art de déclencher le premier évènement. | ||||
Critères: voir exhib noculotte chaussures -prudes | ||||
Auteur : Humoureux Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Une paire de bottes en cuir... au débotté Chapitre 01 | Épisode suivant |
Avec ma femme Hélène, nous avons des relations sexuelles satisfaisantes mais qui manquent parfois de piment à mon gré. Je dirai que ma femme est du genre prude. Nous faisons toujours l’amour dans le noir. Varier les plaisirs n’est pas son genre. Mes tentatives pour la dévergonder se sont toujours soldées par un échec.
Par contre, j’ai le sentiment que nos amis Christiane et Bernard ont une vie sexuelle beaucoup libre que la nôtre (et la suite des évènements me le confirmera).
Je profite d’une soirée entre hommes avec Bernard pour me confesser…
Le vendredi soir, nous sommes donc chez Christiane et Bernard pour le dîner.
Christiane, belle femme dans la quarantaine, grande, élancée, porte une robe noire du plus bel effet et une paire de bottes noires en cuir qui lui vont à merveille. Bernard me fait un petit clin d’œil complice alors que nous nous installons, ma femme et moi, pour l’apéritif, dans une confortable banquette, face à la maîtresse de maison.
Hélène acquiesce alors que la maîtresse de maison se met à rougir.
Je comprends maintenant pourquoi Bernard m’avait invité à féliciter Christiane pour sa paire de bottes. Mais arriverai-je à convaincre ma prude Hélène de tenter la même aventure ?
Le reste de la soirée se passe de la façon la plus amicale. La table est toujours excellente et la cave abrite toujours de grands vins et champagnes.
En prenant congé de nos hôtes, Bernard ne peut s’empêcher de glisser :
À notre retour, nous faisons l’amour de façon plus sensuelle qu’à l’habitude. L’effet des bons vins qui ont agrémenté notre dîner…
Tout en caressant gentiment l’intimité d’Hélène, je lui glisse :
Et je ne lui laisse pas le temps de répondre, reprenant allègrement nos ébats amoureux.
Mon audace perturbe ma nuit et j’avoue avoir quelques difficultés à trouver le sommeil.
Le samedi après-midi arrive néanmoins très vite. Soleil printanier. Les évènements sont avec nous… Hélène s’est habillée simplement : chemisier blanc, jupe noire droite et bas noirs de qualité.
En guise de réponse, j’ai droit à un sourire complice et un gros bisou sur la bouche.
Nous voici devant la vitrine du magasin. Plusieurs paires de bottes made in Italy sont exposées.
Hélène a soudain un petit mouvement de recul. Aussi, je la prends par le bras et nous entrons de concert. Une vendeuse nous accueille : voilà qui n’était pas prévu dans le scénario, mais, bizarrement, Hélène semble rassurée.
Hélène s’assoit sur une chaise, jambes serrées, et je lui fais face. Elle s’est déchaussée lorsque la vendeuse revient de la réserve avec plusieurs boîtes.
Que dire de la vendeuse ? Elle doit avoir environ trente-cinq ans. Blonde, quelques rondeurs sympathiques, un regard doux, agrémenté de lèvres pulpeuses relevées par un rouge à lèvres assez discret. Je sens son parfum, enivrant, certainement de classe.
Elle tente d’enfiler une première botte, mais Hélène ne lui facilite guère la tâche en serrant les jambes…
À l’évidence, la vendeuse ne s’est pas aperçue du quiproquo de sa réflexion. J’adresse un petit clin d’œil d’encouragement à Hélène.
De fait, la vendeuse s’applique, monte la botte lentement à deux mains et décide d’écarter délicatement les jambes d’Hélène pour pouvoir poursuivre sa progression. Je l’observe et je la vois découvrir avec surprise l’entre-jambes de ma femme. Elle se tourne vers moi pour voir si je l’observe. Je lui fais un petit sourire pour l’encourager et elle reprend alors son cheminement.
Elle prend alors la deuxième botte et l’enfile avec plus d’initiative. Hélène s’est détendue. J’ai l’impression qu’elle a oublié qu’elle ne porte pas de culotte.
La deuxième botte est enfilée plus aisément et les mains de la vendeuse arrivent délicatement sur le genou d’Hélène. Ma femme semble apprécier la progression. Je la vois se détendre, fermer plus ou moins les yeux. Les mains de la vendeuse glissent doucement un peu plus loin sous la jupe d’Hélène. Je devine qu’elle approche des lèvres de ma femme, qui se laisse faire.
Moment de jubilation intérieure.
Un peu gênée de son audace, la vendeuse retire ses mains et les hume discrètement.
Hélène serait-elle en train de jouir ? Elle garde les yeux fermés.
J’ai sorti Hélène de sa rêverie ! Elle ouvre les yeux et me regarde.
Hélène est maintenant complètement détendue et je m’étonne, elle si pudibonde, de la voir aussi à l’aise, sans culotte, jambes écartées. Je devine, de loin, ses lèvres certainement gonflées d’un début de plaisir et sa toison qu’elle entretient régulièrement chez son esthéticienne. J’aimerais la prendre, lui faire l’amour, ici, devant la vendeuse, voire sauter la vendeuse devant ma femme, devant tout le magasin, afin de célébrer ce premier déclic… mais il me faut revenir sur terre !
La vendeuse a enfilé une première botte, puis la deuxième… Hélène a refermé les yeux : est-ce pour s’isoler ou pour mieux profiter du moment ?
Je m’approche délicatement de la vendeuse et lui glisse :
Je vois alors les mains de la vendeuse progresser à nouveau sous la jupe d’Hélène, jusqu’à sa grotte. Elle s’y enfonce certainement, y recueille un peu de sa jouissance, sort une main qu’elle porte à sa bouche pour la lécher, puis l’autre main, tout aussi mouillée, qu’elle m’invite à lécher discrètement à mon tour.
J’ose un baiser sur ses lèvres, m’essuie du rouge à lèvres, embrasse Hélène et lui glisse à l’oreille :
Dès dimanche, nous invitons nos amis à venir prendre l’apéritif et à découvrir les bottes qui auront, je l’espère, été l’élément déclencheur d’une longue longue série d’innovations sensuelles, sexuelles, amoureuses…
Je vous tiendrai au courant…