n° 12496 | Fiche technique | 16017 caractères | 16017Temps de lecture estimé : 10 mn | 24/04/08 |
Résumé: C'est en 2003 que j'ai fait la connaissance de Romain... Quatre ans plus tard, nous nous retrouvons pour poursuivre une conversation entamée à l'époque... | ||||
Critères: hh jeunes grossexe vacances fellation anulingus préservati hsodo init | ||||
Auteur : Bruno X |
Juillet 2003 :
Possédant depuis peu le BAFA, diplôme permettant entre autres de devenir surveillant en camp de vacances pour enfants, je décide de chercher un job d’été dans ce domaine. Mais avant tout, laissez-moi me présenter. Je m’appelle Bruno, j’ai dix-huit ans à ce moment, et j’habite Challans en Vendée.
Challans, c’est la seconde ville de Vendée, avec 16.781 habitants, et surtout, un patrimoine dont la ville est très fière, avec notamment son église Notre-Dame, son abbaye de Coudrie et son château de la Vérie datant du IXè siècle.
En ce qui me concerne, je suis plutôt du genre solitaire et casanier, sans doute deux raisons qui font qu’à dix-huit ans, je n’ai jamais eu de relations sérieuses et encore moins de rapport sexuel.
Je me lance alors sur Internet pour trouver un camp de vacances cherchant des surveillants / animateurs et je trouve mon bonheur avec un camp dans la région de Ganges, dans les Cévennes, dont le départ est programmé à dix kilomètres de chez moi.
Après avoir envoyé mon CV par mail à l’organisateur du séjour, je reçois une réponse de ce dernier m’affirmant qu’il a alors beaucoup de difficultés à trouver un dernier surveillant et que ma candidature arrive au bon moment.
Un entretien téléphonique et une rencontre plus tard, il me propose alors un CDD de deux semaines, que j’accepte volontiers. Le camp se déroulera les deux premières semaines du mois d’août et j’apprends que nous serons quatre animateurs pour un groupe de quarante enfants de huit à quatorze ans.
Le jour du départ sonne, mon père m’accompagne au lieu de rendez-vous du car. Lorsque j’arrive, de nombreux enfants sont déjà là, accompagnés de leurs parents, tout le monde s’agite, les parents crient et les enfants crient encore plus fort. Le ton est donné.
Mon père me dépose et file au boulot. J’aperçois alors Georges, l’homme qui m’a donné le poste. Il est entouré d’une femme et d’un jeune homme qu’il me présente comme étant les deux autres animateurs. Notre petit groupe sera donc composé de Georges, cinquante-cinq ans, animateur en camp de vacances depuis plus de trente ans ; Samantha, trente-six ans, style un peu « garçon manqué », qui fait là son dixième camp de vacances ; Romain, dix-neuf ans, pour qui, tout comme moi, ce sera la première expérience du genre ; et moi…
Le voyage se passe dans un calme relatif, malgré quelques larmes dues à la séparation d’avec les parents.
À notre arrivée au camp, je découvre alors un superbe endroit. Un immense terrain, entourant un lac artificiel, plusieurs baraquements semblables à ceux que l’on peut trouver dans les camps militaires, un grand réfectoire et enfin, un dernier bâtiment pour les douches.
Les enfants sont répartis dans deux baraquements différents selon leur sexe, avec exactement vingt-trois filles pour dix-sept garçons. Le dortoir est composé de plusieurs petites chambres de quatre personnes avec de nombreux rangements et une décoration très « campagnarde ».
Ayant quasiment le même âge, Romain et moi nous sommes naturellement rapprochés pendant le voyage et nous sommes découvert de nombreux centres d’intérêts communs, comme le sport, le cinéma ou la musique. Il a été convenu que nous occuperons une chambre tous les deux dans le baraquement des garçons.
Une fois tout ce petit monde installé, les enfants ont pris une douche, ont mangé et sont partis se coucher, épuisés par le long trajet. Ce n’est qu’à ce moment que Georges nous a donné « quartier libre » à Romain et moi, pour nous permettre de nous doucher à notre tour.
Les douches sont composées de petites cabines individuelles et d’une rangée de lavabos, comme on peut en trouver dans certains campings. Étant d’un naturel assez pudique, j’ai pris mes vêtements avec moi dans la cabine et une fois ma douche terminée, je me suis séché et habillé dedans.
Oui mais voilà, Romain ne partage visiblement pas la même pudeur que moi… Lorsque je sors de la cabine, il est devant moi, nu en train de se sécher. Je reste quelques instants sans bouger, la surprise de le voir ainsi dans le plus simple appareil m’ayant scotché sur place. Romain ne fait même pas attention à ma réaction et continue à se frictionner le corps. Finalement, je reprends mes esprits, mais je ne peux m’empêcher de le regarder, de le contempler, de le « mater » pour être honnête.
Il n’est pas très musclé, mais son sexe est bien plus gros que le mien. J’ai toujours trouvé que mon sexe était trop petit, surtout en ce qui concerne le diamètre, mais le sien est tout à fait impressionnant et surtout très beau. Une longue colonne de chair, un gland parfaitement dessiné et des couilles assez imposantes.
Finalement, voyant mes regards en coin, Romain se décide à parler :
Je n’en reviens pas d’avoir prononcé ces paroles, et pourtant, je les ai dites.
Je me sens rougir comme jamais, j’ai du mal à articuler, mais de toute façon, il n’y a plus d’échappatoire possible, j’ai lancé le sujet.
La vérité à ce moment, c’est que je sens monter en moi un désir croissant de toucher son sexe, mais mes jambes ne veulent pas suivre, je suis bloqué sur place. Pourtant, l’excitation est tellement forte que…
Voilà le seul mot qui est sorti de ma bouche à ce moment précis.
Romain m’attire à l’écart des baraquements, me plaque contre un arbre et me demande :
Mon acquiescement lui suffit et mon pantalon se retrouve sur mes chevilles, aussitôt rejoint par mon caleçon. Mon sexe est en érection depuis notre départ des douches et le fait qu’il se retrouve ainsi à l’air libre, offert au regard de Romain, ne fait que le rendre toujours plus dur.
Romain saisit alors ma queue et me branle énergiquement. Jamais personne ne m’avait touché le sexe, mais les caresses de Romain sont exquises. Il semble être expert dans ce genre d’exercice, il sait exactement comment m’amener au bord de la jouissance pour ensuite faire retomber la pression, et recommencer son manège encore et encore.
Au bout de quelques minutes de « branle », il accélère ses mouvements et, dans un incroyable orgasme, mon sperme coule le long de mon sexe pour venir s’écraser sur sa main. Lorsqu’il lâche son emprise, sa main est entièrement recouverte du fruit de ma jouissance.
J’avoue avoir été extrêmement troublé par cette expérience, un mélange de plaisir et de honte, qui ont fait que nos relations pendant la fin du séjour s’en sont trouvées touchées. Nous n’avons pas reparlé de ce moment et à la fin du camp de vacances, nous nous sommes quittés sans échanger nos adresses.
oooOOOooo
Mars 2007 :
Depuis mon « expérience » avec Romain, ma vie privée n’a pas évolué et je n’ai toujours eu aucun rapport sexuel, que ce soit avec une fille ou avec un garçon. J’ai maintenant vingt-deux ans, je travaille comme préparateur de commandes chez un grossiste en pièces détachées de voitures.
Quand un jour, sans raisons apparentes, Rémi, mon collègue depuis trois mois, me demande si je suis gêné qu’il soit gay, je lui réponds que d’une part j’ignorais totalement qu’il était gay et que d’autre part ça ne me dérange pas outre mesure. Il va jusqu’à me montrer une photo de son petit ami.
Et là, c’est le choc ! Sur la photo, je reconnais immédiatement Romain… Mon sang ne fait qu’un tour et ma vision s’embrouille, j’essaye de ne rien laisser transparaître, mais force m’est de constater que je suis sous le choc.
Pendant les quelques jours qui suivent cet événement, je suis distrait et je comprends que je désire vraiment revoir Romain. Ma vision des choses a sûrement évolué depuis quatre ans… Je crois que je suis prêt à « aller plus loin » et je veux que ce soit avec Romain… En même temps, je me dis qu’à présent il est avec quelqu’un que je connais bien, en plus, et à qui je ne veux pas faire de mal.
Cependant, le destin va choisir pour moi, en ce jour de mars 2007. Rémi est parti chez un client pour un problème avec une commande et c’est justement le moment que choisit Romain pour passer à l’atelier. Lorsqu’il m’aperçoit, je comprends vite qu’il m’a reconnu. Il paraît très étonné de me revoir après toutes ces années, mais il semble également plutôt content.
Nous discutons un moment et il me propose de passer chez lui pour boire un verre. Mes scrupules concernant Rémi disparaissent aussitôt et j’accepte sans être vraiment certain de ce qui va se passer.
Nous nous retrouvons donc chez lui. Je suis assis dans un fauteuil, dans son salon, à boire une bière et à évoquer ces quatre dernières années. Soudain, Romain me dit :
Il ne m’en faut pas plus pour comprendre qu’il souhaite la même chose que moi. Mon regard change, je me lève et je m’approche de lui.
Sans le quitter des yeux, je retire son tee-shirt, déboutonne son jean et descends sa fermeture éclair. Je place mes mains de chaque côté de son pantalon et le fais glisser le long de ses jambes. Sans attendre une seconde, je baisse son caleçon et redécouvre avec un plaisir non dissimulé sa magnifique queue. Elle est encore plus belle que dans mes souvenirs et je m’empresse de la toucher. C’est la première fois de ma vie que je touche le sexe d’un autre homme et cette sensation nouvelle m’électrise.
Je commence à le branler lentement. Son sexe gonfle sous l’effet de mes caresses. N’y tenant plus, j’approche ma bouche et d’un seul coup, j’enfourne cette superbe queue au fond de ma gorge. Ma langue tourne autour de sa hampe, titille son frein et joue avec son gland.
Je profite de la situation pour lécher ses couilles tout en le branlant, et je sens la respiration de Romain se faire plus forte et plus rapide. Je remarque également qu’il a les yeux fermés et qu’il se mord la lèvre inférieure. Il doit vraiment aimer ce que je lui fais. Puis, il se retire de lui-même de ma bouche, ramasse son pantalon au sol, fouille dans l’une de ses poches et en sort un préservatif. Légèrement inquiet, je lui dis :
Ses paroles me rassurent et l’excitation gagne en intensité. À présent, je n’ai plus qu’une seule envie, c’est de sentir sa queue me pénétrer, sentir mon anus se dilater pour faire de la place à ce merveilleux sexe.
Romain me fait placer sur le canapé, sur le dos. Il me relève les jambes et écarte lentement mes cuisses, mon sexe est en érection comme jamais et il me fait mal. Romain me relève encore un peu les fesses, ma position lui offre une vision parfaite de mon petit trou, complètement offert à ses fantasmes.
Il enfile le préservatif et l’enduit de salive sur toute sa longueur. Il approche sa bouche de mon cul et je sens sa langue se poser sur mon anus. Ce moment est tellement intense que je ferme les yeux pour mieux me concentrer sur mon plaisir, je sens sa langue jouer avec mon petit trou, sa salive se répand sur toute la zone et il va même jusqu’à me lécher les couilles.
Puis il se relève et place sa queue sur mon anus. Il veut commencer à me pénétrer, mais mon cul refuse de lui ouvrir le passage, je suis trop stressé. Comprenant la situation, Romain me rassure avec des paroles douces et des caresses à l’intérieur de mes cuisses. Petit à petit je me détends, toujours les yeux fermés, et je ressens une douleur.
J’ouvre les yeux et je remarque que Romain a rentré son gland complètement dans mon anus. Il reste quelques instants sans bouger, puis force lentement le passage. À chaque millimètre de sa progression, je peux sentir mon anus se dilater un peu plus et je sens surtout son sexe s’enfoncer de plus en plus profondément dans mes entrailles.
Progressivement, la douleur laisse place au plaisir et je vois que sa queue est presque entièrement dans mon cul. Je ne me serais jamais cru capable d’absorber un tel engin. Voyant que la douleur et l’inquiétude ont laissé place au plaisir, Romain accélère légèrement ses mouvements de bassin. Le frottement de son sexe contre mes parois me procure des sensations jamais rencontrées, mais ô combien sensationnelles.
Au bout de quelques minutes, il se retire de mon anus, s’installe sur le canapé et m’invite à m’asseoir sur lui. Je me mets face à lui, place mes jambes de chaque côté de ses cuisses, laisse descendre mon bassin et m’empale lentement sur sa tige. Mon cul étant encore bien dilaté, la pénétration n’est pas difficile, mais la position me fait découvrir des sensations nouvelles et mon anus commence à s’habituer à cette présence imposante.
Mais après quelques mouvements de plus, je sens sa queue se ramollir. Je quitte ma monture à regret, il enlève son préservatif et me demande de le sucer pour faire « repartir la bête ».
Je reprends donc ma fellation avec gourmandise, m’attardant longuement sur son gland. Mais Romain ne semble pas décidé à s’arrêter maintenant, il sort un nouveau préservatif de la poche de son pantalon, l’enfile en quelques secondes et me fait placer à quatre pattes sur le sol, avec le torse posé sur le canapé.
Une légère pression de sa part sur mon dos m’oblige à me cambrer davantage et à lui offrir un peu plus mon cul. Il reprend place en moi assez facilement et cette fois, ses mouvements sont plus sec et rapides. Il se sent pousser des ailes et accélère encore, m’arrachant de grands cris mêlant douleur et plaisir. Lorsqu’il se retire de mon anus, ne laissant qu’un trou béant, je suis épuisé, mais tellement bien.
Romain retire alors sa capote et m’éjacule sur les fesses, le premier jet de sperme m’atteint même le milieu du dos. Il me fait alors retourner et commence à me branler énergiquement. Mon orgasme ne tarde pas à arriver et comme quatre ans auparavant, mon sperme se répand sur sa main experte.
Romain et moi sommes restés amants pendant six mois. Rémi n’a jamais rien su de la situation.
Romain a déménagé en septembre 2007. Je ne l’ai pas revu depuis.