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n° 12504Fiche technique8986 caractères8986
Temps de lecture estimé : 6 mn
25/04/08
Résumé:  Je l'avais remarquée depuis longtemps, cette petit brune aux yeux noisette...
Critères:  fh jeunes école lingerie pénétratio -prememois
Auteur : Chrome      
La fac c'est le pied

Je n’arrêtais pas de la croiser dans les couloirs de la fac. Une jolie petite brune avec un sourire à tomber, des fesses bien fermes et rondes comme je les aime tant, et des seins magnifiques parfaitement moulés dans un joli petit pull. Souvent lorsque l’on se croisait, j’avais remarqué les petits sourires et regards en coin qu’elle me lançait. Mais ma timidité m’empêchait d’aller l’aborder.


Un matin, alors que je me rendais en cours, je reconnus ses fesses qui se balançaient devant moi ; j’étais véritablement hypnotisé. Sans qu’elle s’en rende compte, elle fit tomber une feuille. Je m’empressai de la ramasser pour la lui rapporter. C’est au moment où elle s’assit à une table, que je lui rendis sa feuille en m’excusant de la déranger. Elle me fit un grand sourire et m’invita à lui tenir compagnie le temps que les professeurs arrivent. Elle s’appelait Alice et était en deuxième année. Alice était une jolie petite brune avec des yeux noisette à faire fondre n’importe quel homme. Elle était d’origine espagnole, avec des courbes magnifiques. Elle avait un teint de peau légèrement bronzé qui la rendait si craquante. Un 90C qui surplombait un ventre plat mis en valeur par un charmant petit piercing accompagné de fesses splendides. Le courant passa tout de suite et elle me proposa de l’accompagner pour le repas de midi.


L’idée de me retrouver seul avec cette superbe fille me rendait fou de joie. Mais combien fut ma peine lorsque je la vis m’attendre avec une de ses amies. Même si celle-ci était assez mignonne, elle ne présentait pas grand intérêt à mes yeux et visiblement cela semblait réciproque. Alice se rapprocha et tout en se collant à moi, elle me présenta son amie et m’informa qu’elle ne faisait que la déposer chez elle : ce fut un soulagement… Alice le comprit et me fit un clin d’œil en passant sa main dans mon dos pour aller me pincer les fesses.


Nous nous rendîmes dans un petit restaurant très sympathique où il faisait assez chaud. Rapidement elle enleva son pull pour se retrouver en petit débardeur, et sous mes yeux je voyais une magnifique poitrine enfermée dans un soutien-gorge en dentelles qui semblait trop petit pour contenir ces deux obus, ce qui les rendait encore plus attirants.


Je crois être resté figé une bonne minute à admirer ses seins. Elle m’en fit la remarque en rigolant et ajouta que, peut-être, l’occasion d’en voir plus se présenterait. Mon sang ne fit qu’un tour et je sentis déjà l’érection pointer dans mon boxer. Le repas touchait à sa fin malheureusement, et nous allions devoir nous quitter. De mon côté, je n’étais pas du tout pressé de partir mais ma journée était finie et pas la sienne. Je la raccompagnai jusqu’à sa salle de cours et lui demandai si on pouvait se revoir le soir même. Elle refusa en m’expliquant qu’elle avait déjà prévu quelque chose mais elle me proposa un cinéma après la fin de ses cours. J’acceptai sans hésiter une seule seconde tellement j’étais heureux et lui dis que je l’attendrais à la sortie de la fac deux heures plus tard. Elle me sourit et posa un léger baiser sur mes lèvres avant de partir en cours.


Je crois que ce furent les deux heures les plus longues de ma vie ; j’avais l’impression que le temps était suspendu. Une fois son cours fini, je l’accueillis avec mon plus beau sourire. Elle me prit la main et nous montâmes dans sa voiture. Je ne savais pas où nous allions précisément et je m’en fichais. Toutefois, elle devait passer chez elle pour se changer, me dit-elle. Elle vivait chez ses parents dans un petit bâtiment où il n’y avait pas d’ascenseur. Je la suivis et j’eus le plaisir et le privilège de pouvoir reluquer son superbe cul. Elle me fit visiter rapidement son appartement, avant que l’on se rende dans sa chambre.


Elle partit prendre une douche rapide pendant que je surfais sur Internet, mais il m’était difficile de rester concentré quand je savais qu’elle était juste à côté, nue sous l’eau. J’imaginais l’eau glisser sur les courbes de son corps que je rêvais de toucher. L’eau s’arrêta de couler, ce qui me sortit de mes pensées. Elle m’appela et me demanda de lui prendre des sous-vêtements et une serviette dans son armoire. Ses sous-vêtements étaient de toutes les couleurs et de tous types : je choisis finalement un ensemble string ficelle soutien-gorge assorti en dentelle. Je frappai à la porte et elle me dit d’entrer. Elle me faisait face, elle était encore toute ruisselante. Je restai figé, les yeux ébahis et la bouche grande ouverte. Elle s’approcha et me glissa à l’oreille qu’elle voulait que je l’essuie moi-même.


Je commençai instinctivement par ses seins en insistant sur ses tétons qui commençaient à pointer. Je sentis sa respiration s’accélérer. Je continuai mon « essuyage » en descendant vers son ventre. Je me mis derrière elle pour enfin toucher l’endroit que je convoitais tant : ses fesses. Je pris bien soin de les essuyer lentement et doucement. Parfois, je caressais ses cuisses et frôlais son sexe. Ça la rendait folle, m’a-t-elle dit. Elle écartait à chaque fois un peu plus les jambes. Rapidement je laissai tomber la serviette pour la remplacer par mes mains.


J’alternai les caresses sur ses fesses et les passages lents sur sa chatte où j’en profitai pour titiller son clitoris. Je bandais comme un fou, et ma bite me faisait mal. Elle se mit face à moi et nous nous embrassâmes réellement pour la première fois, pendant de longues minutes. Nos langues virevoltaient et se cherchaient. Elle s’attaqua à ma ceinture pour faire tomber mon pantalon. Alice mit sa main dans mon boxer pour caresser ma bite. Quant à moi, je passai mes mains sur son cul et glissai mes doigts entre ses deux globes pour venir titiller son anus. Elle me déshabilla totalement et mata ma queue. Selon elle, j’avais une bite magnifique et bien proportionnée : une queue assez longue de dix-sept centimètres et assez large.


Nous continuâmes à nous embrasser et ma bite n’arrêtait pas de frotter sa fente. Je sentais l’odeur de sa mouille se répandre dans la pièce. À chaque frottement, je faisais pénétrer ma queue de quelques centimètres avant de la ressortir entièrement. Ce petit jeu dura plusieurs minutes jusqu’à ce que je n’en puisse plus et que je la pénètre d’un coup brutal. Le cri qu’elle poussa quand je l’eus pénétrée me rendit fou, et je me mis à la défoncer. Je faisais de grands va-et-vient, m’enfonçant au maximum à chaque coup de reins. Je la remplissais entièrement. C’était un vrai délice de se sentir aussi bien enserré dans cette petite chatte. Chaque coup de reins la faisait crier plus fort chaque fois, et je sentais tous ses muscles se contracter autour de ma verge. Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, elle jouit très fort. Elle avait les yeux fermés et la bouche grande ouverte et tout son corps tremblait. Je la déposai sur son lit pour la laisser récupérer avant de découvrir, une nouvelle fois, son corps. Ce n’était plus qu’une poupée entre mes mains…


Doucement elle ouvrit les yeux et me sourit, elle était rayonnante avec ses seins qui pointaient vers le ciel et son sexe grand ouvert luisant de mouille. Je caressai son visage avant de l’embrasser. Elle reprit mon sexe en main pour le branler doucement. Elle me demanda de quelle façon je voulais jouir. Je répondis que je voulais la prendre en levrette face à un miroir et qu’elle devait porter un porte-jarretelles. Elle se leva et alla enfiler le porte-jarretelles, puis se mit à quatre pattes sur le bord du lit ; elle m’offrait son sexe. Je profitai quelques instants de la vue qu’elle m’offrait : un sexe lisse complètement mouillé et un anus légèrement dilaté.


Je me plaçai derrière elle et je lui dis de s’enfoncer sur mon sexe. Elle s’empala entièrement sur ma queue. Je restai figé quelques instants dans cet étau. Lentement, je fis des va-et-vient et la vue de son anus dilaté m’excita encore plus. J’accélérai le mouvement avec des coups de reins rapides et violents. J’allais bientôt exploser, je la retournai pour qu’elle me suce. Je lui ordonnai de me pomper et de me vider les couilles ; elle me suça comme jamais et je n’allais pas mettre longtemps à venir. Je sentais la sève monter et elle s’en rendit compte mais garda ma verge dans sa bouche, elle voulait avaler mon sperme et je n’allais pas la priver, bien au contraire !



Il s’agit du premier texte que je publie sur le site Rêvebébé, je suis à l’écoute de toute critique donc n’hésitez pas. Si vous souhaitez en parler ou en savoir plus contactez moi.