Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12506Fiche technique31311 caractères31311
Temps de lecture estimé : 17 mn
25/04/08
Résumé:  Massage, piscine, restau... nous allons nous détendre un peu, Audrey et moi, en attendant les résultats de la première épreuve.
Critères:  fh ff fbi jeunes copains piscine fgode fdanus humour -humour
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Le tournoi (part.1)

Chapitre 02 / 06
Détente

Résumé de l’épisode 1 : Ma copine Audrey et moi (Charlene) nous sommes inscrites à une compétition sans précédent qui vise à déterminer parmi plus d’une centaine de jeunes femmes laquelle sera la plus impressionnante bombe sexuelle. Tania, une hôtesse chargée de l’accueil, nous a d’abord guidées jusqu’à nos loges, où l’on trouve tout, des plus somptueuses tenues aux maquillages les plus extravagants, puis nous a préparées à une première épreuve de sélection sur des critères physiques, que nous avons passée ce matin.








Nous retournâmes donc dans ma loge, et attendîmes que Tania nous y rejoigne en nous mettant plus à l’aise. Je revêtis mes propres sous-vêtements, mon jean et mon tee-shirt, mais mon amie garda sa fine culotte de lingerie noire et n’enfila par-dessus qu’un ample tee-shirt qui lui descendait jusqu’aux cuisses.



On frappa juste à cet instant à la loge. Audrey soupira tandis que je lui adressai un clin d’œil narquois en ouvrant la porte. Tania entra avec un plateau chargé de trois cafés qu’elle déposa en nous informant :



Tania la regarda sans comprendre.



Je tournai la tête vers la sienne qu’elle avait appuyée sur mon épaule ; elle me sourit puis me déposa un smack.



J’allai prendre un des gobelets qu’avait amenés l’hôtesse et soufflai doucement sur la fumée qui en sortait, avant d’ajouter avec un sourire :



Elle but une gorgée de café, puis reprit, plus ou moins sérieusement :



Audrey manqua d’avaler de travers et toussa ; je répondis sur le même ton :



Nous éclatâmes de rire. Je bus un peu de café avant de demander une nouvelle fois :



Tania acquiesça d’un hochement de tête.



Mon amie leva les yeux jusqu’à la pendule murale qui enlaidissait le mur triste de la loge et indiquait dix heures vingt-cinq. Et elle demanda ensuite innocemment à brûle-pourpoint :



Tania manqua à son tour de s’étouffer avec son café et répondit en rigolant :



Elle vida son gobelet, puis reprit son plateau en disant :



Audrey se leva à son tour pour la suivre. Je l’arrêtai :



En souriant, je fouillai néanmoins rapidement le bas de l’armoire et en sortis un maillot deux-pièces noir ; j’attrapai également une serviette et sortis à la suite de mon amie.


Tania nous guida par de nouveaux couloirs et emprunta un escalier descendant deux niveaux jusqu’à un corridor imprégné d’une typique odeur de chlore. Nous croisâmes plusieurs autres jeunes femmes, sans doute des concurrentes, et passâmes devant plusieurs portes, dont certaines étaient ouvertes, et devant chacune, notre guide nous informait :



Nous poussâmes la porte entrouverte du salon de massage. Elle donnait dans une sorte de petit patio qui à son tour ouvrait sur trois cabines de massage. L’une était fermée et de la lumière filtrait sous la porte. Dans les autres, ouvertes et éteintes, on devinait une couchette surélevée et un petit meuble à roulettes rempli de divers produits. Un homme et une femme attendaient dans le hall, assis sur des fauteuils et discutant. Ils se levèrent quand nous entrâmes :



Un long gémissement féminin monta de la cabine fermée, m’interrompant. L’homme et la femme se regardèrent et éclatèrent soudain de rire.



Elle ne put encore s’empêcher de rigoler. Le jeune homme qui parvenait à reprendre son sérieux s’adressa à Audrey en désignant l’une des cabines :



Mon amie parut hésiter, me regarda et lâcha finalement :



La porte de la cabine fermée s’ouvrit à cet instant et une jeune femme resplendissante en sortit, souriant d’un air détendu, suivie d’un jeune homme en sueur qui paraissait épuisé. Il vint s’asseoir lourdement près de nous en soupirant :



La jeune femme qui venait de sortir se recoiffa et tira sur ses vêtements puis annonça gaiement :



Elle sortit sous les regards rieurs des deux autres employés.



Je posai ma serviette et mon maillot de bain sur un des fauteuils et suivis l’autre jeune homme dans la troisième cabine. Il ferma la porte derrière nous en me proposant de retirer mon tee-shirt puis de m’installer. Sous ses yeux dubitatifs, pour être plus à l’aise, j’ôtai en fait la quasi-totalité de mes vêtements, ne gardant que ma culotte. Il faisait des efforts désespérés pour ne pas attarder ses yeux sur ma poitrine, toujours maintenue tendue par le gel. Je m’allongeai à plat ventre sur la couchette en souriant.


Il frotta ses mains en y étalant une sorte de crème et commença de me masser le dos et les épaules. Avec professionnalisme, il pétrissait le moindre de mes muscles de mon cou jusqu’à mes reins. Une dizaine de minutes durant, je savourai les mouvements de ses mains expertes. Il avait entamé la discussion :



Il ne répondit rien ; mais ses caresses s’attardaient de plus en plus vers le haut de mes fesses. Je poursuivis avec malice :



Il avait l’air plutôt embarrassé.



Cela dut lui sembler une invitation suffisante car il précipita une main dans ma culotte, caressant mes globes fessiers et effleurant mon anus. J’avais très envie de jouer avec ce jeune homme…



J’en profitai pour lui lancer un long regard embrasé et commençai, sous ses yeux fiévreux, à me caresser doucement les seins. Il trouva toutefois assez d’énergie pour me répartir avec un sourire :



Sans doute ayant peur que je ne change d’avis, il referma à la hâte ses mains sur mes seins et se mit à les malaxer avec ferveur. Je le laissai faire quelques secondes, jusqu’à ce qu’il tente même de venir les embrasser ou les suçoter. Mais je bloquai sa tête et le repoussai. Il beugla :



Il s’était reculé d’un ou deux pas et entreprit de déboutonner à la hâte son pantalon pour me présenter fièrement son sexe tendu. Je contemplai un court instant celui-ci et prononçai, arborant un air déçu, mais souriant encore :



Mais ça ne l’arrêtait pas, il se branlait avec vigueur en contemplant ma poitrine. Toujours espiègle, je lui demandai :



Il immisça deux doigts en moi en continuant de s’astiquer de plus belle, puis dut décider que ça allait et vint se positionner au bout de la couchette de massage, vers mes pieds, et me tira sauvagement par les jambes jusqu’à ce que mes fesses soient au bord de la banquette. Il appuya mes jambes sur ses épaules, puis écarta d’un doigt ma culotte mouillée et sans ménagement aucun, enfonça son sexe dans le mien. Je gémis doucement, imperceptiblement même, en comparaison de ses grognements rauques.


Il se mit immédiatement à me défoncer à toute berzingue, assénant de grands coups de bassin, qui menaçaient à chaque fois de faire s’effondrer la couchette. Je savourais du mieux possible ses rapides déhanchements, mais au bout de deux petites minutes à peine, il se mit à mugir et s’agiter plus fort encore, pour finalement se retirer de mon corps et larguer en râlant sur mon pubis et ma culotte cinq ou six jets de sperme chaud.


Je le regardai avec pitié finir de jouir ; il remballa son sexe et me dit, apparemment heureux :



Il dut s’apercevoir que j’étais insatisfaite, car il demanda :



Il rougit et arracha deux ou trois tranches d’essuie-tout pour effacer les traces de sa prompte jouissance, puis proposa :



Je me dressai pour me relever ; je retirai ma culotte sous ses yeux perplexes.



Je ramassai mes autres affaires ; il me regarda sortir sans un mot. Dans le hall, l’autre masseur s’était endormi, la tête en arrière, sur un fauteuil. « Eh ben ! Quelle équipe ! » pensai-je en me rendant ensuite directement dans la cabine du milieu où devait se trouver Audrey.


Toujours nue, j’ouvris la porte et trouvai mon amie à plat ventre, les fesses légèrement relevées, se tortillant, une main passée entre ses jambes, occupée à se caresser le clitoris en gémissant tandis que la masseuse, debout à côté d’elle lui enfonçait avec acharnement un gros gode tout en lui tenant les fesses de l’autre main.



J’observai la masseuse, qui, sans s’interrompre, me sourit bien naturellement en retour, avant de regarder ma poitrine.



Elle dut comprendre que quelque chose n’allait pas et me proposa, tout simplement :



Je contemplai une dernière fois la scène : ma copine paraissait prendre son pied comme personne et contrastait à l’extrême avec l’employée qui ne laissait pas transparaître la moindre émotion. Comme celle-ci me regardait à nouveau, je lui conseillai :



Et je sortis tandis qu’un hurlement plus fort et plus long montait derrière moi. Je quittai le salon de massage et me dirigeai à poil, portant mes vêtements en boule contre mon ventre, vers le bout du couloir où nous avait entraînées Tania. Et descendant quelques nouvelles marches, je parvins à la piscine.


Quelques jeunes femmes barbotaient ; deux ou trois m’observèrent arriver nue, poser mes affaires sur un transat et passer ensuite mon maillot de bain. Je passai rapidement sous une des douches, avant de plonger la tête la première dans l’eau tiède.


Je parcourus trois longueurs de la petite piscine à toute allure, sans prêter la moindre attention à ce qui se passait autour de moi. Mais je trouvai soudain Audrey sur mon trajet, debout dans la piscine où elle était rentrée seulement vêtue de sa petite culotte de dentelle noire.


Je m’arrêtai et me tins debout devant elle ; elle me pressa contre son corps et m’embrassa à pleine bouche, avant de m’annoncer, joyeuse :



Elle s’allongea sur le dos, faisant la planche. Seuls ses seins dépassaient outrageusement le niveau de l’eau. Elle clama presque :



Je regardai partout autour de moi et continuai :



Elle se redressa et s’avança vers moi avec détermination :



Elle m’embrassa à nouveau en passant une main dans mon soutien-gorge et l’autre dans ma culotte, étreignant mes fesses. Elle leva un genou entre mes cuisses et sa main titilla ma raie. Je la laissai faire et m’abandonnai à ses caresses pétulantes.


Elle me poussa doucement jusqu’au bord de la piscine, où l’eau était moins profonde. Me retenant des coudes au rebord, je penchai la tête en arrière. Elle avait soulevé le haut de mon bikini et refermé ses deux mains sur mes seins qu’elle s’était mise à dévorer avec passion en continuant de presser son genou entre mes cuisses écartées.


Une jeune femme s’approcha de nous juste au moment où Audrey repassait une main dans mon slip de bain et cherchait mon clitoris durci.



Je poussai en guise de réponse un petit gémissement tandis qu’Audrey tournoyait un doigt sur mon organe gonflé.



La nana repartit en bougonnant et jugea spirituel de se mettre à nager en battant férocement des jambes pour nous arroser. Mais Audrey se remit à me déguster la poitrine et sa deuxième main rejoignit l’autre entre mes cuisses. Elle glissa deux doigts dans mon sexe tout en insistant plus encore sur mon clitoris.

Ses deux doigts allaient et venaient en moi au rythme croissant des caresses circulaires de son autre majeur. Et sa bouche alternait, d’un de mes seins à l’autre, puis à ma bouche où elle cherchait à enrouler sa langue autour de la mienne. Je gémissais de plus en plus fort. Elle approcha soudain ses lèvres de mon oreille et murmura :



Et avant que je ne comprenne comment, un autre doigt forçait l’entrée de mon anus, s’y immisçant très doucement et m’excitant plus encore, si c’était possible.


Je me déhanchais de plus belle sous les mains expertes de ma copine insatiable dont l’unique but était de me faire jouir à grands cris. Ses doigts m’exploraient de plus en plus vite et mon clitoris, durci comme jamais, virevoltait sous ses pressions habiles.


Et je ne tardai pas à me cambrer dans un ultime soubresaut et un cri plus violent, secouée ensuite de deux ou trois spasmes d’une jouissance que j’achevai en haletant, crispée, les bras serrés autour du cou de mon amie.


Ce fut moi, cette fois-ci, qui plaquai tendrement mes lèvres sur les siennes, avant de réajuster mon maillot sur mon corps apaisé.



Elle commença de partir pour une longueur de brasse. J’atterrissais doucement. Je m’aperçus que nous avions fait fuir plusieurs nageuses ; il ne restait plus que deux jeunes femmes en plus de nous deux. Je me mis à patauger timidement à la suite de ma copine.


On nagea une petite demi-heure sans quasiment nous arrêter, puis, à l’écoute de nos ventres affamés, nous décidâmes de nous préparer à aller manger. Une grosse pendule au-dessus du bassin indiquait midi moins le quart. Je sortis et m’essuyai rapidement puis passai la serviette à Audrey, qui attendait quasiment nue à côté de moi. Elle se sécha à peu près à son tour. Nous repassâmes nos vêtements et partîmes rejoindre nos loges, non sans croiser encore plusieurs concurrentes qui rejoignaient sans doute l’un des nombreux lieux de détente.


Nous parvînmes à nos chambres et nous prîmes chacune une douche, avant de nous rhabiller décemment. Et vers midi et demie, nous descendions jusqu’au restaurant que nous avait indiqué Tania. C’était assez petit mais il y avait une table libre. Nous nous y installâmes et un serveur, archétype du dragueur italien, vint bientôt nous donner une carte.


Ni Audrey ni moi n’avions envie d’une grande bouffe et nous commandâmes un bête steak-frites chacune et un petit apéro, histoire de. Nous terminions nos whiskies au coca lorsqu’une jeune femme s’approcha de notre table et nous demanda avec un aimable sourire :



Pendant qu’Audrey dévisageait la jeune femme attentivement, je regardai discrètement autour de nous : il n’y avait effectivement plus une table libre.



La jeune femme prit le siège à côté d’Audrey. Je la contemplai : elle était vraiment très jolie, un visage de poupée, au teint frais, encadré de longs cheveux blonds qui ondulaient jusqu’à ses épaules, et un corps plutôt fin surplombé d’une poitrine très impressionnante.



Elle accompagna cette dernière phrase d’un regard fugace vers mes seins. J’acquiesçai et mon amie la renseigna :



« Tu m’étonnes ! » pensai-je. Si elle n’était pas retenue, personne ne le serait… Plusieurs jeunes femmes passèrent à côté de notre table en cherchant apparemment des places libres et je reconnus les deux bimbo-pétasses qui étaient passées juste avant nous vers les juges, ce matin. Celle qui s’était engueulée avec Audrey aperçut cette dernière et se mit à beugler :



Mais l’une de ses collègues l’arrêta :



Et elles s’éloignèrent, tandis que la dénommée Cindy pestait en grommelant.



On l’observa toutes les deux avec étonnement.



Nos regards durent changer d’expression.



Le serveur revint à cet instant nous apporter nos plats, qu’il déposa en considérant attentivement la poitrine de notre invitée surprise. Il prit ensuite sa commande ; elle choisit la même chose que nous ; il repartit.



L’intérêt d’Audrey parut soudain accru.



Je mangeai un peu en me disant que la compétition allait être bien serrée si toutes nos concurrentes étaient des pornstars aguerries.



Le serveur revint apporter l’assiette de notre voisine et contempla une fois encore sans la moindre discrétion l’objet de la conversation en cours.



Une autre jeune femme s’approcha de notre table et vint saluer Estelle d’un smack.



Elle était aussi brune qu’Estelle était blonde, et très jolie aussi, mais d’une beauté plus froide et moins avenante. Ses habits moulants laissaient deviner des courbes enchanteresses. Et elle portait de petites lunettes qui soulignaient presque le bleu profond de ses yeux rieurs.



Je dégageai la chaise à côté de moi. La jeune femme s’y installa en nous saluant, Audrey et moi, tandis qu’Estelle faisait les présentations :



Puis, en se tournant vers nous, elle continua :



Mon moral baissa encore d’un cran. Je repensai aux paroles de Tania ; elle disait que la plupart des candidates étaient issues du X ; eh ben, ça se confirmait. Les deux "comédiennes" se mirent à discuter sans plus faire attention à nous :



C’était Audrey, qui n’avait pu s’empêcher d’intervenir. Estelle esquissa un sourire et continua :



Audrey sembla une fois encore davantage captivée. Moi ça me saoulait et je commençais à me sentir très fatiguée. Je me levai en disant :



Puis à Audrey :



Elle m’adressa un clin d’œil et me fit signe de m’approcher. Je m’avançai jusqu’à être à côté d’elle et m’accroupis pour être à sa hauteur, croyant qu’elle voulait me dire quelque chose tout bas. Mais elle se contenta de me serrer dans ses bras et de me rouler un gros palot. Du coin de l’œil, j’apercevais Estelle et Lisa qui nous observaient, amusées.



Je la regardai en essayant de comprendre, mais rien ne vint. Je levai le camp en saluant une dernière fois et décidai en bâillant d’aller m’étendre quelques minutes. Le restaurant était plein ; je sortis en passant entre plusieurs tables complètes de jeunes femmes toutes plus belles les unes que les autres, qui me regardaient marcher de leurs yeux critiques.


Je parvins à ma loge et, après avoir poussé suffisamment les dizaines de fringues qui l’entassaient, m’allongeai sur la banquette et m’endormis presque immédiatement.