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Temps de lecture estimé : 21 mn
26/04/08
Résumé:  Toutes les candidates se réunissent en salle de conférence pour avoir les résultats de l'épreuve du matin. Et puis, pour celles qui sont retenues, il est temps de préparer la suite...
Critères:  fffh jeunes inconnu fellation humour -humour
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Le tournoi (part.1)

Chapitre 03 / 06
Résultats et entraînement

Résumé de l’épisode 1 : Ma copine Audrey et moi (Charlene) nous sommes inscrites à une compétition sans précédent qui vise à déterminer parmi plus d’une centaine de jeunes femmes laquelle sera la plus impressionnante bombe sexuelle. Tania, une hôtesse chargée de l’accueil, nous a d’abord guidées jusqu’à nos loges, où l’on trouve tout, des plus somptueuses tenues aux maquillages les plus extravagants, puis nous a préparées à une première épreuve de sélection sur des critères physiques, que nous avons passée ce matin.


Résumé de l’épisode 2 : En attendant les résultats, Tania nous a montré les différents lieux qu’héberge le magnifique complexe. Audrey et moi allons nous détendre avec une séance de massage avant de passer un peu de temps à la piscine. Puis, au restaurant, nous rencontrons Estelle et Lisa, deux candidates impressionnantes issues du milieu X.








Je m’étirai en m’éveillant au son répété de cognements contre ma porte. Je regardai la pendule ; quatorze heures cinquante ; j’avais dormi longtemps. Je me levai en m’étirant une fois encore. Les sons mêlés de grincements réguliers et de gémissements plaintifs se faisaient entendre, venant apparemment de la loge voisine d’Audrey.


« N’importe quoi ! » pensai-je en me servant un grand verre d’eau. « Elle a dû conclure avec Estelle… » Je rigolai intérieurement. On toqua encore à la porte. Je vidai d’un trait mon verre et allai ouvrir. C’était Tania.



Elle raya mon nom sur un carnet où la plupart des lignes étaient déjà barrées.



Elle raya aussi le nom d’Audrey.



Elle s’éloigna rapidement pour aller frapper à la loge 60. Je refermai la porte, choisis et passai rapidement des vêtements qui me mettraient un peu plus en valeur que mon vieux jean et sortis bientôt dans le couloir.


J’aperçus plusieurs jeunes femmes se dirigeant sans doute vers la salle de réunion. J’allai frapper à la porte de mon amie. Pas de réponse. Je tambourinai alors, et finis même par taper brutalement en beuglant :



La porte s’entrouvrit bientôt de quelques centimètres, laissant partiellement apparaître le corps nu de ma copine.



Elle s’effaça finalement en ouvrant plus grand la porte ; j’entrai. Une redoutable odeur de fauve m’assaillit et je découvris, tout de même surprise, non pas une, mais deux jeunes femmes vautrées sur la banquette dépliée, cachant vaguement leurs corps nus à l’aide des draps en vrac. Je reconnus Estelle et Lisa, les filles avec qui on avait déjeuné. Elles m’adressèrent un vague salut gêné.



Un gros vibromasseur tomba soudain de la banquette et roula un peu sur le sol.



En me tournant vers les deux conquêtes de ma copine, j’ajoutai :



Et elle me poussa quasiment dehors en refermant la porte sur moi. Je me marrai et pris le chemin du hall d’accueil. Quand j’y parvins, j’y trouvai au moins une centaine de filles qui attendaient en discutant en petits groupes. D’autres arrivaient encore. Je cherchai à reconnaître quelqu’un, mais à part l’horrible Cindy et ses copines, avec qui Audrey s’était pris le bec à plusieurs reprises depuis qu’on était arrivées, je ne vis que l’hôtesse qui gardait dans la matinée la porte des jurés, et qui veillait cette fois devant celle de la salle de conférence.



Une autre jeune femme, seule aussi, s’était approchée de moi, avec une apparente envie de discuter :



C’était une jeune Asiatique, très mignonne, aux traits fins et aux yeux vifs, petite et plutôt maigrichonne, vêtue d’un jean serré et portant une veste également en jean par-dessus un simple tee-shirt blanc.



Elle me désigna discrètement un groupe dans lequel se trouvait justement Cindy. Je me marrai en répondant :



Je m’arrêtai en pensant que peut-être, mon interlocutrice tournait aussi des films pornographiques.



Une annonce faite au micro nous interrompit :



Nous avançâmes dans le flot des concurrentes qui s’engouffraient vers la salle de réunion. Je jetai un regard en arrière, cherchant Audrey, mais elle ne semblait pas être encore arrivée. Nous passâmes la porte et entrâmes dans une très grande salle où des dizaines de rangées de sièges étaient installées, marqués chacun d’un numéro et faisant face à un bureau sur une estrade où siégeaient déjà deux des juges devant lesquels j’étais passée le matin.



Je repérai la rangée où devait se trouver mon numéro et me faufilai entre des dizaines de jeunes femmes, dont certaines déjà assises. L’une d’entre elles baissa rageusement une feuille en s’écriant :



Je parvins enfin au siège marqué 58. Sur le fauteuil était posé un feuillet de deux pages portant le même numéro. Je me précipitai pour le prendre avec un brin d’inquiétude et m’assis pour le lire.



Je baissai mon papier et aperçus debout près de moi le pesant visage de l’affreuse Cindy.



J’avais oublié que cette conne avait le numéro 57 et serait donc tout à côté de moi. Je l’ignorai et ouvris mon feuillet. La première chose que je vis fut un encadré avec marqué en gras : TOTAL : 93. Je refermai le dossier en criant :



Les mouvements et les discussions s’interrompirent autour de moi, et Cindy me lança un regard noir ; en riant, je cachai mon visage derrière mes feuilles de notation. Mais je me repris et en poursuivis la lecture : visage : 9 / 10 ; expression : 5 / 5 ; chevelure et coiffure : 3 / 3.


Un micro grésilla soudain ; en relevant les yeux, je vis que la plupart des sièges étaient maintenant occupés et que toutes les filles étaient plongées dans la lecture de leurs dossiers. Une vingtaine de chaises étaient vides dans la salle, dont notamment celle d’Audrey. Je me retournai encore une fois pour voir si elle n’était pas en train d’arriver.



C’était l’un des évaluateurs qui avait pris la parole au micro.



Une rumeur parcourut la salle. Il continua :



Je me replongeai dans la lecture de mon feuillet, tout en continuant d’écouter vaguement.



Yeux : 3 / 3.



Sourire : 4 / 4.



Allure générale : 10 / 10.



Exécution : 4 / 5.



C’était la voix d’Audrey, qui arrivait péniblement jusqu’à côté de moi. Je levai les yeux vers elle avec un grand sourire en tendant sous les siens mon feuillet, lui montrant mon magnifique 93. Mais elle n’eut sans doute pas le temps de le voir :



Tandis qu’Audrey s’asseyait, je me tournai vers la délicate Cindy qui mâchonnait encore un de ses gracieux chewing-gums :



Et sans écouter ses rodomontades, je me retournai aussitôt vers Audrey qui venait de se saisir de son feuillet :



Celle-ci se pencha pour me chuchoter :



Plusieurs jeunes femmes se retournèrent ; je dus rougir quelque peu en réalisant que j’avais peut-être parlé un peu fort.



Plusieurs se retournèrent encore, me dardant cette fois-ci des regards jaloux. Cindy mâchonna même plus vite encore son bout de plastique en me jetant des yeux noirs presque haineux. Ça me plaisait. Audrey s’était plongée dans le détail de ses notes. Je poursuivis la lecture des miennes : silhouette : 9 / 10 ; poitrine : 13 / 15 ; hanches et fesses : 14 / 15 ; jambes : 4 / 5 ; harmonie : 5 / 5 ; prestance : 10 / 10.


Puis je me penchai par-dessus l’épaule de mon amie pour lire les siennes : visage : 8 / 10 ; expression : 4 / 5 ; cheveux : 3 / 3 ; yeux : 3 / 3 ; sourire : 3 / 4 ; allure : 8 / 10 ; exécution : 5 / 5 ; silhouette : 8 / 10 ; poitrine : 14 / 15 ; hanches et fesses : 13 / 15 ; jambes : 4 / 5 ; harmonie : 4 / 5 ; prestance : 9 / 10. La voix au micro retentit de nouveau :



Le silence le plus absolu régna dans la salle l’espace de quelques secondes.



Un vaste brouhaha s’éleva aussitôt.



De nombreuses filles se levèrent immédiatement, et presque toutes se remirent à parler. Au milieu du vacarme général, Audrey me dit quelque chose que je ne compris qu’à peu près, à propos du côté sympa de pouvoir encore profiter un peu même si on était éliminée. J’acquiesçai des yeux et me levai à mon tour en lui désignant la sortie ; elle me suivit et, portées par le flot, nous parvînmes doucement dans le vaste hall d’accueil, où le bruit des discussions était tout de même moins assourdissant.


Je cherchai Maï-Linh du regard et Audrey devait tenter de retrouver Estelle et Lisa. Mais ce fut celle que nous ne cherchions pas qui se présenta : l’aimable Cindy nous harangua d’un air offensif :



Je me retournai ; c’était la jeune Asiatique.



Je la présentai à Audrey, mais celle-ci ne m’écoutait pas vraiment. Elle paraissait concentrée sur ce qui passait derrière moi.



Maï-Linh se retourna pour voir de qui on parlait et, découvrant Cindy, nous dit :



Audrey et moi la regardâmes, étonnées.



C’était Estelle qui était parvenue à nous retrouver au beau milieu du tumulte général.



Je rageai intérieurement.



Nous secouâmes négativement la tête. Puis pendant qu’Audrey et Estelle parcouraient le hall du regard en la cherchant des yeux, j’expliquai à Maï-Linh qui étaient toutes ces filles et comment nous avions fait connaissance.



Je pestai une nouvelle fois tacitement.



Elles acquiescèrent, l’une après l’autre. Nous retraversâmes tous les couloirs jusqu’à la porte marquée 58 que j’ouvris en composant mon code. Nous entrâmes toutes et je tentai rapidement de mettre un peu d’ordre dans les fringues éparpillées dans toute la pièce. Audrey alla chercher un siège dans sa loge et nous pûmes ainsi nous asseoir toutes les cinq. Je trouvai au fond du minibar une bouteille de champagne et nous trinquâmes à notre "première victoire".


Tandis qu’on se demandait en quoi consisterait précisément cette fameuse épreuve pratique qui nous attendait, nous risquant en riant aux hypothèses les plus scabreuses, on frappa à la porte. J’allai ouvrir. C’était Tania qui entra avec son carnet à la main.



Elle hésita, avant d’accepter finalement un coca. Je lui présentai Estelle, Lisa et Maï-Linh et elle commença de nous expliquer un peu plus en détails ce que serait ce second test éliminatoire :



L’expression utilisée déclencha l’hilarité d’Audrey. Mais Tania, imperturbable, continua en lisant sa fiche :



Audrey ne pouvait plus s’arrêter de rire.



En esquissant un sourire, Tania poursuivit :



Audrey applaudissait en riant aux éclats, et son rire commençait à devenir communicatif. Nous nous retenions toutes pour ne pas pouffer tandis que Tania achevait difficilement :



Audrey se tapait sur les cuisses en hurlant et se leva en urgence pour foncer aux toilettes en beuglant qu’elle allait bientôt se pisser dessus. Tania respira longuement et but une gorgée de coca. Nous nous calmâmes toutes peu à peu, et même mon amie nous rejoignit bientôt, à peu près apaisée. Mais l’hôtesse reprit en souriant de nouveau :



Et nous explosâmes toutes immédiatement d’un fou rire inextinguible, au milieu duquel Tania tentait tout de même de poursuivre. Nous comprîmes finalement qu’on serait notées sur cent : soixante points avec le gars et quarante avec la fille, quinze points par pratique imposée et vingt-cinq points pour tout le reste.


Avant de partir, Tania fut également en mesure de nous donner à toutes nos horaires de passage. Audrey et moi devrions nous présenter à dix-huit heures, mais pas vers le même jury, B pour moi et C pour elle. Notre hôtesse nous abandonna finalement en nous souhaitant bon courage et promit de venir nous retrouver vers dix-sept heures trente pour nous "préparer", ce qui déchaîna une nouvelle crise de rire chez Audrey.


Tania partie, nous discutâmes encore un peu tandis que Lisa et Estelle débattaient de la meilleure stratégie à adopter et que Maï-Linh et moi nous demandions comment les notes pourraient être objectives. Audrey finissait discrètement la bouteille de champagne en ponctuant chacune de ses gorgées de « Bah, au point où on en est… » ou encore « De toute façon, vu ce qui se prépare… »



Les autres me regardèrent étrangement. Un souvenir parut éclairer soudain les yeux d’Audrey qui beugla :



Ma copine la regarda comme si elle était un ovni, puis finit par lui dire :



Sous mes yeux amusés et ceux écarquillés d’Audrey, Lisa farfouilla dans les étagères et revint avec un petit flacon et un long gode. Elle posa le sexe factice sur les genoux de mon amie, qui se frotta les yeux en se pinçant discrètement, et se mit à lire attentivement ce qui était marqué sur le tour du flacon.



Je regardai Estelle en me levant :



Elle se leva sans bien comprendre ce que je voulais.



Suivie de la somptueuse blonde jeune femme, je sortis de ma loge sous les yeux perplexes des trois autres.



Elle me lança un nouveau regard interrogateur.



Elle sourit à son tour en me répondant :



Nous descendîmes d’un étage et marchâmes jusqu’à l’entrée du restaurant. Il était apparemment vide. On entra. Dans un coin de la salle, deux femmes terminaient apparemment un service de nettoyage. Nous regardâmes de l’autre côté, vers les cuisines. Trois types, portant un tablier blanc, étaient attablés et savouraient un café en discutant. Il y avait un gros moustachu d’au moins cinquante ans qu’avait un truc blanc sur la tête et deux plus jeunes.



Mais les deux jeunes nous contemplèrent avec un très net intérêt.



Estelle respira à fond et se cambra tant qu’elle pouvait. On s’approcha ; j’arborai un air infortuné et suppliant et, en regardant le sujet de notre choix, demandai :



Tandis que, pour une raison indéterminée, le gros levait les bras au ciel en soupirant, Estelle et moi nous regardâmes, indécises. Je la questionnai du regard. Elle haussa presque imperceptiblement les épaules en écarquillant vaguement les yeux.



Estelle se retint de pouffer, pinçant excessivement ses lèvres.



On reprit le chemin de ma loge.



Il était brun, assez grand et apparemment pas trop mal foutu sous son pauvre tablier blanc. Son visage, bien que relativement quelconque, était plutôt agréable.



Ses yeux s’écarquillèrent soudain en changeant d’expression et il nous considéra l’une après l’autre avec un regard avide.



On revint devant ma loge, je recomposai le code et nous entrâmes. Et nous découvrîmes avec stupéfaction Lisa en train de faire aux deux autres une démonstration de "deepthroat". Assise, la tête levée vers le plafond, elle tenait au-dessus de son visage le gode déjà longuement enfoncé dans sa bouche. En nous voyant, elle le retira doucement et le posa à côté d’elle.



À l’évidence, il était prêt. Mais, comme pétrifié, il nous regarda l’une après l’autre sans oser bouger. Je l’encourageai en le massant doucement pendant qu’Estelle lui ôtait son tablier.



Et elle s’approcha du garçon, s’agenouilla à ses pieds et dégrafa tranquillement son pantalon. Elle l’abaissa quelque peu, révélant un caleçon blanc avec des petits cœurs qu’elle descendit également en commentant :



Le sexe tendu à bloc du jeune homme lui jaillit presque au visage. Elle s’en empara d’une main et le masturba doucement tout en regardant Audrey :



Et elle referma rapidement ses lèvres autour du gland et les glissa tout d’abord quelque peu le long du sexe en trois ou quatre courts va-et-vient qui provoquèrent déjà les gémissements complimenteurs du garçon. Mais elle ferma soudain les yeux et parut déglutir avec peine en avançant sa tête vers le pubis du jeune homme, qui miaulait presque en la regardant l’engloutir, ébahi. Elle bougeota encore très légèrement d’avant en arrière lorsque ses lèvres ne furent plus qu’à deux ou trois centimètres de la base du sexe, puis se recula bientôt et libéra la queue, qui oscilla bêtement quelques secondes.



Une autre qui hallucinait, c’était Audrey.



Et Lisa vint à son tour s’agenouiller aux pieds du jeune homme et le suça une bonne minute, caressant son gland avec sa langue, puis l’engloutissant presque entièrement à trois reprises, le faisant alternativement gémir et râler.


Elle se releva finalement et, avant toute chose, alla se saisir d’un coussin qu’elle posa devant les pieds de JB (qui se branlait tout doucement en attendant la suite) en disant :



Celle-ci lui lança le petit flacon et elle pressa deux ou trois secondes sur le dessus en dirigeant le petit tube vers le fond de sa gorge. Puis, avec une légère moue, elle me le tendit. Je m’en saisis. Elle s’agenouilla sur le coussin et JB présenta son sexe devant ses lèvres. Elle commença à le sucer doucement et d’un seul coup, se crispant quelque peu, fit disparaître presque toute la queue dans sa bouche, au son d’une nouvelle plainte du garçon.



Pendant qu’Estelle continuait à faire mugir notre invité, elle s’approcha de moi et me prit le flacon des mains.



J’obtempérai, ouvrant bien grand mes mâchoires, comme chez le dentiste. Elle dirigea le petit tube vers ma gorge et pressa quelques secondes. Je sentis le produit toucher l’arrière de ma bouche et eus presque aussitôt une curieuse sensation de léger engourdissement ; ça me faisait comme la bouche pâteuse, mais seulement vers le fond.


Lisa me caressa la joue avec un sourire et retourna s’asseoir. Estelle se releva en me disant :



Je vins m’installer aux pieds du garçon qui me darda des yeux délirants. Je lui souris avec malice et me mis à le sucer très doucement, jouant d’abord seulement autour de son gland tout gonflé. Il caressa mes cheveux en fermant les yeux et en gémissant. Je refermai une main sur la base de sa hampe et fis très lentement glisser mes lèvres tout le long de son sexe.


Et quand je le sentis effleurer le fond de ma gorge, je déglutis en forçant ma tête encore un peu en avant. Et, sans le haut-le-cœur auquel je m’étais attendu, j’avalai le bout de son sexe. Et, avec malgré tout une horrible sensation d’étouffement, je gobai encore quelques centimètres de son organe, lui arrachant un nouveau râle de plaisir, et tentai ensuite quelques minuscules va-et-vient, avant de me reculer et de le libérer d’un trait.



Et elle me remplaça et suçota quelques secondes avant de le gober avec peine petit à petit, en se crispant toujours un peu plus. Mais alors que la presque totalité du sexe avait disparu entre ses lèvres, elle rouvrit les yeux avec un air étonné et poussa une sorte de vagissement. Elle se recula jusqu’à n’avoir plus que le gland dans sa bouche et recommença presque aussitôt, plus rapidement, à l’avaler. Et elle joua ainsi trois ou quatre fois, sans apparemment se lasser. Le garçon lui tenait fermement la tête et faisait visiblement des efforts désespérés pour ne pas jouir. Mais elle finit par se relever et d’une voix enjouée nous déclara :



Audrey retourna s’asseoir sur la banquette et plongea un doigt au fond de sa bouche, cherchant apparemment à palper sa gorge sous nos yeux étonnés. Je regardai Estelle, puis les autres, puis JB qui s’était remis à se branler très doucement. Avec un sourire, je m’adressai à lui :



Les filles se marrèrent ; lui meugla :



J’adressai un clin d’œil à Estelle et m’approchai d’elle. Je m’agenouillai à califourchon sur ses cuisses et l’embrassai soudain follement, refermant aussi mes mains sur ses seins. Je devinai sur ma gauche le garçon accentuer significativement le rythme de son bras. Je pelotai un instant l’imposante poitrine à travers le tissu du chemisier. Estelle posa ses mains sur mes fesses et glissa sa langue entre mes lèvres en gémissant doucement.


Mais c’en fut déjà trop pour le jeune homme ; je l’entendis soudain râler plus fort ; je me retournai vers lui juste à temps pour l’admirer envoyer valser partout devant lui un peu de sa semence en me jetant des yeux brûlants furieux qu’il ne parvint finalement plus à tenir ouverts. Je roulai un dernier palot à Estelle et me relevai. JB s’astiquait encore un peu en se félicitant :



On le regardait toutes en silence. Mais Audrey lui dit finalement :



Il la regarda, en se rhabillant, d’un air mi-gêné mi-fier.



Je rigolai en allant chercher de quoi nettoyer.



Je m’approchai de lui avec le rouleau d’essuie-tout et le lui tendis, affectant un air suppliant :



Il nettoya vaguement sous nos yeux amusés, puis il dut se trouver con car il sortit sans nous adresser le moindre mot. Je le rattrapai dans le couloir et lui pris le bras en lui disant :



Et sous ses yeux hagards, je déposai un rapide baiser sur sa joue.



Estelle, Lisa et Maï-Linh étaient sur le point de partir :



Elles sortirent, nous laissant, Audrey et moi, les yeux dans le vague à imaginer le déroulement de la seconde épreuve qui nous attendait.