Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12517Fiche technique24172 caractères24172
Temps de lecture estimé : 14 mn
30/04/08
Résumé:  Prêtresse du plaisir, Sandra utilise tous les moyens à sa disposition pour me donner des orgasmes fabuleux. Dominatrice soft, elle me fait connaître le plaisir anal. Elle me fait essayer sa lingerie en me transformant en femme.
Critères:  fh hsoumis fdomine lingerie travesti cunnilingu anulingus hgode hsodo jouet -fsodoh
Auteur : Sandra2      
Fascinante maîtresse


Je retrouve avec impatience Sandra qui aime prendre l’initiative lors de nos jeux érotiques.

Elle s’approche de moi en souriant :



Elle me tend un ensemble de dessous affriolant.



Elle m’aide à passer une guêpière très sexy avec ses quatre paires de jarretelles, puis elle place de somptueuses prothèses en silicone dans mes bonnets 105c. Ma taille élancée me permet de supporter aisément cette poitrine de rêve qui m’aide à devenir physiquement et mentalement une femme.

Avec beaucoup de sensualité, elle tire sur mes bas pour maintenir les coutures bien alignées en les accrochant aux jarretelles.

Je me glisse dans une craquante combinaison satinée rouge ornée de dentelle noire pendant qu’elle remonte deux ravissantes jarretières le long de mes cuisses en me provocant une érection spectaculaire.

Satisfaite de mon apparence, Sandra me fixe d’un regard brûlant en laissant ses mains s’égarer sous ma nuisette.



Me voyant succomber à ses caresses, elle en profite pour m’enfiler un adorable slip ouvert qui met ma queue en valeur en dévoilant l’accès à ma grotte. Une longue robe de nuit fendue jusqu’à mes hanches et des escarpins achèvent ma transformation.



Sans me laisser le temps de réagir, elle soulève mes dessous et me plante un plug dans les fesses.



Assise devant la coiffeuse, je retrousse mon déshabillé en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour faire crisser mes bas et contracte mes fesses pour sentir vivre l’objet plongé dans mon intimité.

Pendant ce temps, Sandra me maquille les yeux et me pose des faux cils en fixant d’un regard brûlant mon sexe en érection plaqué contre mon ventre. Elle achève ma métamorphose en m’appliquant un rouge intense sur les lèvres et en me coiffant d’une perruque blonde bouclée très glamour.

Perchée sur mes talons aiguilles, je fais quelques pas devant la glace qui me renvoie l’image d’une fille attrayante. J’admire ma taille élancée, sanglée dans cette ravissante guêpière et je tire sur mes bas en caressant avec volupté la douceur du voile satiné.

Mon regard s’attarde sur le galbe parfait de mes jambes, mis en valeur par mes escarpins.

J’ai maintenant toutes les armes de la féminité et compte bien m’en servir.



À genoux devant moi, elle plonge la tête dans mes dessous et remonte ses mains le long de mes cuisses en jouant avec l’objet qu’elle m’a planté dans l’œillet.

Un moment plus tard, après m’avoir bien excitée, elle m’entraîne vers la chambre et me culbute sur le lit. D’un regard lourd, elle relève lentement ma robe de nuit sur mes seins en découvrant ma guêpière.

Sournoisement, sa main glisse dans la fente de mon slip et se referme sur mon sexe qu’elle masturbe jusqu’à ce qu’il atteigne sa taille idéale.

Elle s’absente un instant et je la vois revenir avec un gode-ceinture à la main.



Il est équipé d’un triple sexe qui lui permet de s’en planter un dans la chatte et un autre dans les fesses. Le troisième, démesuré, m’étant réservé.

Elle enfile sa culotte en latex en s’enfonçant les deux premiers godes, puis elle prend son temps pour attacher solidement le mandrin qu’elle me destine.



Elle a les seins dressés dans un corset rose et noir et la taille serrée dans une minijupe de cuir ultra courte qui laisse apparaître le pli de ses fesses. Je suis fascinée par ce sexe géant qui retombe lourdement sur ses cuissardes.

En riant, elle le plaque contre sa cuisse pour évaluer sa taille :



Me défiant du regard, cambrée sur ses talons aiguilles qui mettent sa chute de reins en valeur, elle l’agite lentement en me donnant des frissons. Provocante, la bouche entrouverte, elle se passe la langue sur les lèvres en s’approchant de moi.

Mon cœur bat la chamade devant cette envoûtante femme phallique qui fait vivre cette queue à chacun de ses pas.

Mimant un coït imaginaire, elle bascule son bassin d’avant en arrière en tenant le gode à deux mains.



Elle se place derrière moi et force mes cuisses avec son genou pour y glisser l’énorme dard qu’elle fait coulisser entre mes jambes.

Sandra masse mon périnée en me prodiguant ses caresses jusqu’à ce que ma verge soit en érection. Me voyant prête pour la suite, elle m’enlève le plug en examinant attentivement ma rosette.

Passant son doigt sur le pourtour plissé de mon anus, elle sent un léger renflement qui lui révèle mes pratiques sodomites. Elle me lèche longuement l’œillet et me donne un plaisir fabuleux lorsqu’elle plonge sa langue dans mon fourreau.

Un moment plus tard, elle sourit d’un air complice et me dit :



Elle pointe le gode à l’entrée de ma grotte en exerçant de petites pressions successives.

Je sais qu’elle va l’enfoncer à fond car elle me prend en levrette qui est la position la mieux adaptée aux pénétrations profondes. C’est donc avec une certaine fébrilité que j’attends son assaut.

Elle s’accroche à ma taille et tente sans succès de forcer mon passage.

Déçue par ses échecs successifs, elle retire le gode de son attache pour le lubrifier abondamment.



Elle l’emboîte à nouveau sur son socle avec un bruit sec qui me fait frissonner, puis, prenant une seringue, elle aspire une forte quantité de lubrifiant dans un bocal et me plonge la canule dans les fesses. Elle appuie lentement sur le piston pour répartir le gel en répétant une nouvelle fois l’opération. Je sens un liquide frais m’envahir le ventre.



Elle écarte délicatement la fente de mon slip et pose le gode contre ma rosette.



Son assaut est tellement puissant que je vacille sur mes genoux lorsqu’elle force mon passage. Dilatée à l’extrême, ma rondelle cède brutalement et je crie de douleur quand mes chairs s’écartent sous la pression de ce pal qui m’ouvre en deux.

Sandra me relève une jambe pour s’enfoncer le plus possible et me masturbe avec une telle virtuosité que je finis de m’embrocher moi-même sur ce pieu qui me défonce.

Voyant cela, elle m’encourage en se collant contre moi pour m’empaler plus efficacement.



Soudain, le gode bute contre un obstacle et je vois le visage de Sandra s’assombrir.



J’ondule et roule du bassin pour changer l’inclinaison du gode en l’aidant à franchir un repli sinueux de ma muqueuse.

Ravie, Sandra me baise de plus belle et gémit de plaisir en sentant les deux godes coulisser en elle. Elle s’active avec fougue sans s’arrêter de me branler.

M’ayant embrochée jusqu’à la garde, elle se décide enfin à me faire jouir.

Très expérimentée, elle se concentre sur ma glande intime qu’elle stimule de petites pressions successives qui me mettent le feu au ventre. Puis, elle ne cesse de mouliner dans mes entrailles en suivant sur mon visage le plaisir intense qu’elle me donne.

Enfin, elle m’achève en grattant mon frein avec son ongle jusqu’à ce que ma semence gicle en abondance sur ses doigts.

Lorsqu’elle sort le pal de mes fesses, elle voit ma rondelle s’étirer sur l’énorme cylindre noir comme pour mieux le retenir, puis elle enlève son gode ceinture et me dit avec impatience :



Je l’allonge sur le dos et lui murmure à l’oreille ce que je vais lui faire.

Aussitôt, elle s’abandonne sans réserve et ses yeux brillent de désir quand elle voit le plug vibrant que je tiens à la main. Elle laisse échapper un soupir quand je le vrille dans ses fesses.

Son diamètre important vient comprimer fortement son vagin en le rendant plus sensible à la pénétration.

En me souriant, elle écarte les jambes et saisit ses talons aiguilles à deux mains pour m’offrir sa chatte. Cette vue excitante et son regard torride me stimulent les sens.

Je l’entends gémir doucement quand je m’engouffre en elle.



Survoltée, elle m’emprisonne la taille en nouant ses cuisses dans mon dos. Le gland pressé contre la fine membrane qui sépare ses parois anale et vaginale, je ressens les vibrations du plug qui me font bander comme un fou.

Un instant plus tard, ne voulant pas jouir trop vite, je me retire pour lui faire découvrir d’autres jeux en lui enlevant le plug.

Avec la paume de main, je pousse un gode dans son vagin et lui enfonce en même temps mon majeur dans les fesses. Tandis que de l’autre, j’applique un vibro sur son clito.

Son orgasme monte aussi vite que mon sexe se durcit.

Je prends du plaisir à frotter mes jambes gainées de nylon sur les siennes et à entendre le crissement de nos bas quand je la bascule doucement sur le côté pour rentrer dans ses fesses.



Emboîtées l’une dans l’autre, je pilonne son vagin avec le gode et fais vibrer son clito qui ne me résiste pas longtemps. Lorsqu’elle jouit, elle m’inonde le ventre de cyprine en criant sans retenue son plaisir.



Elle se met sur le dos pour reprendre ses esprits en me laissant m’activer à ma guise dans ses reins. Allongée sur elle, je lui travaille l’œillet depuis un moment, quand soudain elle m’emprisonne la taille avec ses cuissardes.



D’une main, elle me presse les bourses et de l’autre elle me plante sournoisement un gode dans les reins. J’essaie désespérément d’échapper à ce pieu qu’elle manie avec une efficacité diabolique. Implacable, elle ne me laisse aucune chance et le pousse à fond dans mon ventre.

Au bord de la jouissance, sentant monter ma sève, j’abandonne toute résistance.

Elle me jette un regard triomphant quand je crie de plaisir en déchargeant en elle, puis elle se relève pour éponger avec une certaine incrédulité les longues coulées de sperme qui s’échappent abondamment de ses fesses, très surprise par la quantité recueillie.



Assise face à moi, elle écarte les cuisses en commençant à se masturber d’un air coquin.

Puis, avec un érotisme torride, elle s’enfonce un gode dans la chatte et pose un vibro sur son clito. Au bout d’un moment, submergée par le plaisir, son regard se voile.

Elle est vraiment très belle.

J’admire ses gestes gracieux, ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur son ventre et ses bas à couture sortant de ses cuissardes.

Sans pudeur, elle jouit devant moi, le corps agité de spasmes incontrôlés.

Toujours brûlante de désir, elle se met à genoux sur le lit, la croupe surélevée et la tête dans les draps. Elle s’offre à moi en creusant les reins tout en me regardant vicieusement.



Ne pouvant lui résister, je m’agenouille derrière elle en lui pétrissant les fesses, puis j’écarte ses globes à deux mains en la pénétrant d’un coup puissant.



Elle entame de lents va-et-vient en accélérant progressivement le rythme. Au bout d’un moment, j’entends le claquement de ses fesses sur mon ventre et ses gémissements de plaisir qui m’enflamment les sens.

Sandra, s’apercevant que j’ai de plus en plus de mal à me contrôler, s’arrête un instant, puis elle se plaque contre moi et se tortille lascivement sur ma queue en me malaxant les bourses.

Ne pouvant plus me retenir, j’explose dans son fourreau en donnant un dernier coup de reins qui nous fait tomber à plat ventre sur le lit.

Entraînée par le poids de mon corps, je la transperce jusqu’à la garde en sentant ses sphincters me serrer la queue.

Reprenant ses esprits, elle se lève et sort d’un tiroir un plug gonflable vibrant d’une redoutable efficacité. Elle l’agite triomphalement devant moi avec une lueur d’excitation dans les yeux.



D’un geste précis, elle le plonge dans mes reins en le gonflant rapidement.

La pression écrase ma prostate qui se défend en laissant échapper quelques gouttes de sève à la surface de mon gland.



Elle attend patiemment un moment avant de poursuivre.

Puis, elle me dilate à nouveau et je ressens des sensations de plaisir et de douleur mêlés.

Sandra prolonge délibérément ce savant équilibre en me masturbant pour maintenir mon érection.

Elle reste immobile et attentive entre mes cuisses en regardant mon œillet frémir de plaisir.

Lorsqu’elle voit mon visage se crisper, elle me soulage en laissant s’échapper un peu d’air du ballonnet avant de le regonfler.

Je finis par m’habituer à ces dilatations successives et lui réclame des pressions de plus en plus fortes pendant qu’elle me suce divinement la queue.

Elle s’arrête de me pomper et me dit :



Elle me retire le plug et sort de dessous les draps un gode spécial recouvert d’imposants reliefs. Elle le lubrifie avec un regard lourd en me plantant sournoisement son orteil dans l’anus pour me faire patienter, puis, impassible, elle me montre le gourdin recouvert de sculptures saillantes qu’elle me destine.



Elle empoigne le gode avec un rire de gorge et un regard équivoque qui augure bien de ce qu’elle me réserve.

Je croise son regard brûlant et bande déjà comme un malade en sachant que mon anneau tiendra bientôt le rôle principal dans son scénario.

Déterminée, elle ouvre mes cuisses et contemple mon œillet qui s’ouvre comme une fleur.

Je tremble d’appréhension et de désir quand elle pose mes jambes gainées de nylon sur ses épaules.



Elle appuie le gode sur ma rondelle et lève mes dernières résistances en me masturbant d’une main experte. Satisfaite de me voir en son pouvoir, elle m’enfonce le pal en le tournant de droite à gauche pour me faire sentir son relief tourmenté.

Elle m’enfile lentement en voyant passer successivement dans mes yeux la surprise, la crainte, le plaisir.



Elle m’accorde donc un instant de répit et libère ma croupe pour faire retomber mon excitation.

Me sentant libre, je me tourne sur le ventre pour remettre de l’ordre dans mes dessous.



Un instant plus tard, me voyant détendue, elle écarte sournoisement la fente de mon slip et me transperce l’œillet en y plongeant le gode à deux mains. Prise par surprise et totalement relâchée, je n’ai pas le temps de réagir.

Je gémis lorsque le pieu termine sa course au plus profond de mes entrailles.

Clouée par ce dard qui me coupe la respiration, je n’ose plus bouger et Sandra en profite pour assurer sa prise. Insatiable, elle me pilonne avec insistance.

Je suffoque de plaisir lorsqu’elle amplifie les rotations du gode en explorant les moindres replis de mon fourreau. Je vois dans ses yeux qu’elle ne va pas tarder à me faire jouir.

Pour cela, elle me retourne sur le dos et s’allonge sur moi tête bêche.

La tête entre ses jambes, je suis sans défense, entravée par le poids de son corps pendant qu’elle m’ouvre les cuisses pour me baiser sous tous les angles.

Elle m’amène au bord de l’orgasme en posant un vibro sur mon gland qui laisse échapper quelques gouttes de sève sur ma guêpière.

Je m’agite frénétiquement, le corps tendu en arc de cercle dans l’attente de ma délivrance.

Surprise par ma réaction qui la déséquilibre, elle réagit en refermant ses cuisses sur mon visage pour garder le contrôle.

À moitié étouffée, je me calme très vite.



Avant de poursuivre, elle regarde dans quel état elle m’a mise.

La queue tendue, humide, tressautant de désir, elle sait qu’elle ne peut plus la toucher sans la faire exploser. Des gouttes de sperme perlent à la surface de mon gland sans me faire atteindre le point de non-retour.

Sandra continue à me goder en me déclenchant un plaisir qui m’envahit d’une manière diffuse et durable.

Elle fait tout pour retarder mon orgasme et remue imperceptiblement le gode dans mes fesses pour prolonger ma jouissance.

Puis, elle se redresse et me jette un dernier regard avant de m’achever.

Avec ardeur, elle avale ma queue gonflée de désir et pousse à fond le pal dans mon ventre en le tournant lentement. Malgré mes soubresauts, elle me tient fermement et me défonce sans fléchir ni s’arrêter.

J’essaye de retarder mon orgasme, mais je capitule vite devant son savoir faire et son obstination.



Elle me fait alors jouir très vite en faisant jaillir mon sperme à gros bouillons dans sa gorge.

Avec surprise, elle sent le gode tressauter de nombreuses fois dans sa main qui témoigne de mes fortes contractions anales liées au fabuleux orgasme qu’elle me donne.

Heureuse de m’avoir fait vibrer avec une telle intensité, elle me donne un long baiser profond auquel je réponds faiblement encore tout étourdie de plaisir.


Brûlante de désir, elle veut poursuivre nos jeux.

Elle s’enfonce un dong dans la chatte et s’allonge entre mes jambes pour m’embrocher avec l’autre extrémité.



Face à moi, ses yeux rivés aux miens, elle me sodomise lentement en s’aidant de sa main.

Lorsqu’elle gémit de plaisir, je saisis le gode qui nous empale l’une et l’autre en le faisant aller et venir dans son ventre.

Elle ne résiste pas à mon savoir faire et c’est elle qui jouit la première.

Gardant le dong dans son intimité, elle me défonce à son tour tout en accomplissant l’exploit de me sucer la queue. Sodomisée et pompée à la fois, je sens la sève monter très vite dans mes reins.

Au moment crucial, elle se retire de mes fesses.

Avec un sourire malicieux, elle plonge avec assurance son majeur dans mon fourreau en le recourbant vers le haut pour que la pulpe de son doigt presse ma glande intime.

Elle la masse avec insistance pour me faire éjaculer lentement.

Quand elle me voit les yeux mi clos et en extase, elle lèche mon frein en faisant perler mes premières gouttes de semence à la surface de mon gland.



Je pousse un long gémissement quand une coulée blanchâtre épaisse et continue sort lentement de ma verge en se transformant peu à peu en un mince filet qui inonde ma guêpière tandis que Sandra me caresse les bourses pour prolonger mon orgasme.

Lorsque je reprends mes esprits, elle m’implore du regard pour que j’apaise à mon tour sa libido.



J’introduis alors mon pouce dans sa chatte et mon index dans ses fesses.

Puis, je frotte doucement d’un mouvement circulaire la fine membrane interne qui sépare ses muqueuses.

Je sens très vite qu’elle apprécie mon massage.

Elle jouit quand je pose le vibromasseur sur son clito en amplifiant à fond ses vibrations.