n° 12525 | Fiche technique | 20785 caractères | 20785Temps de lecture estimé : 12 mn | 01/05/08 |
Résumé: Une jeune femme trompe son fiancé avec un inconnu lors d'un voyage en avion. | ||||
Critères: fh extracon inconnu avion toilettes fsodo | ||||
Auteur : Claxton (Homme de 40 ans) Envoi mini-message |
La jolie Béatrice avait pris place dans l’avion. Grégoire, son petit ami préférait se mettre près du hublot, aussi s’installa-t-elle dans le siège du milieu, celui côté couloir était occupé par un homme en costume, d’allure distinguée. Elle et son fiancé partaient en Grèce. Les parents de Grégoire avaient offert ce voyage pour les fiançailles du jeune couple. Ils partaient avec Air France, dans des conditions bien plus confortables que celles d’un vulgaire charter. C’était l’été, Béatrice portait une courte robe blanche boutonnée devant et des sandales argentées à talons hauts. Amatrice de bijoux, elle portait à l’annulaire gauche sa bague de fiançailles en or surmontée d’un petit diamant, au poignet droit un gros bracelet en argent et à la cheville droite, au-dessus de la sandale, un anneau en métal blanc. Béatrice était une grande blonde éblouissante, aux jambes immenses, aux seins opulents. Après les conseils d’usage, l’avion s’était engagé sur la piste d’envol. Grégoire commençait à se sentir nerveux et avait saisi la main de Béatrice.
Son fiancé s’était contenté d’avaler sa salive. Béatrice baisa la main de son chéri et échangea un sourire avec son voisin de droite qui avait posé son magazine et regardait Grégoire avec pitié. L’avion s’élança à toute allure et quitta le sol. Béatrice se sentait comme grisée. Elle adorait les décollages, la puissance développée par l’appareil à cet instant précis. Elle en ressentait presque un léger frisson entre les cuisses. Grégoire semblait souffrir, il était couvert de sueur. Personne ne dit mot lors de l’ascension et lorsque l’appareil atteint son altitude de croisière et que les voyants s’éteignirent, Béatrice sentit la main de son fiancé se décrisper dans la sienne. Le voisin de droite se pencha vers le jeune couple. Après les présentations, il s’adressa au jeune homme.
Tout en parlant, l’inconnu qui se prénommait Jean-Marc avait sorti de la poche de sa veste une flasque et tendait le bras vers Grégoire, frôlant au passage le sein droit de Béatrice qui ressentit comme une légère décharge électrique. Grégoire, reconnaissant, remercia l’homme et prit la flasque.
Le jeune homme ignora sa fiancée et porta le récipient à sa bouche. Il engloutit trois longues gorgées de rhum avant de la tendre à son propriétaire en le remerciant encore.
Grégoire sentit vite les effets de l’alcool et, alors que Béatrice et l’inconnu devisaient de leurs destinations respectives, sombra dans un profond sommeil. Béatrice se tourna vers lui et s’aperçut qu’il s’était effondré contre la vitre du hublot.
Celle-ci tourna la tête vers lui, sans bouger son genou. L’audace de son voisin l’avait surprise et flattée. Elle le regarda attentivement. La quarantaine, brun, cheveux courts bien peignés, des yeux noirs envoûtants, et un physique solide sous le léger costume beige. Elle regarda ensuite la main posée sur son genou.
Sa main avait glissé un peu plus haut et retroussait le bas de la robe blanche sur la cuisse de la jeune femme. Sa peau était douce, lisse. Béatrice se surprit à apprécier cette caresse, et la présence de son fiancé ajoutait du piquant à la situation. La main remontait lentement, entraînant le vêtement avec elle. Bientôt, Béatrice se retrouva troussée jusqu’en haut des cuisses. L’homme cessa ses caresses et, se penchant en avant, ôta sa veste.
Béatrice sourit intérieurement. Ce vicieux avait vu juste ! La perspective de se laisser caresser si près de son fiancé l’excitait prodigieusement. Sans répondre, elle passa ses mains sous elle et fit glisser son string sur ses fesses. Penchée en avant, elle souleva ses pieds l’un après l’autre pour faire passer sa culotte. Puis elle se rassit en étalant sa jupe autour d’elle, posant ses fesses nues sur le tissu du fauteuil. L’inconnu se pencha à son oreille :
Béatrice obéit et lui tendit son petit string en dentelle roulé en boule. L’homme le porta à ses narines et le huma :
Il réajusta la veste sur les jambes de la jeune femme et glissant sa main dessous, la posa de nouveau sur son genou. Cette fois, elle n’y resta pas longtemps et, retroussant la robe, elle gagna l’intérieur de la cuisse droite de Béatrice. La caresse était douce, la main se faisait légère, faisant des allers et retours le long de la cuisse, puis les doigts effleurèrent la peau en de petits attouchements rapides… Béatrice goûtait l’instant. Puis la main s’enhardit et du bout des doigts, le voisin se mit à caresser le sexe de la jeune voyageuse. Il sentit les lèvres nues, fines, et d’un doigt les écarta, pénétrant lentement le vagin déjà humide. La belle se mit à gémir. Glissant la main gauche sous la veste, elle saisit le poignet de son voisin et l’appuya plus fort contre elle, faisant pénétrer l’index plus loin dans sa chatte. Un deuxième doigt rejoignit le premier et pénétra le fourreau humide. Après un rapide coup d’œil à son fiancé, Béatrice ferma les yeux et gémit au rythme de la pénétration. Elle avait terriblement envie de se caresser les seins. L’homme, tout en continuant à la doigter, se pencha vers elle :
Mais l’homme dégagea sa main et se mit à lécher ses doigts enduits de mouille.
Il prit sa veste et se leva. Béatrice n’eut que le temps de rabattre sa robe sur ses cuisses afin de masquer sa chatte béante, luisante de mouille. Jetant un dernier coup d’œil à Grégoire endormi, elle suivit Jean-Marc jusqu’à l’arrière de l’appareil. Il s’engouffra dans les toilettes et l’attira contre lui avant de fermer la porte. Il se colla contre elle, les mains plaquées sur ses seins. Béatrice se mit à gémir :
Jean-Marc tira les bretelles vers le bas, faisant jaillir une poitrine opulente. Il se pencha et se mit à gober les tétons, l’un après l’autre, les mordillant entre ses dents. Béatrice ne resta pas inactive et baissa la braguette, libérant un gros pénis déjà excité. Elle se libéra de l’étreinte de son amant et s’assit sur la cuvette des toilettes. Elle prit la queue de Jean-Marc dans sa bouche et se mit à le pomper à toute vitesse.
Béatrice releva la tête, et tout en le branlant, lui dit d’un air polisson :
Elle se caressa les joues avec la grosse queue bandée, les yeux levés vers son amant de passage, puis reprit la fellation, que Jean-Marc accompagna de petits coups de reins. Ce dernier, bientôt gagné par la jouissance, attrapa la jeune femme par les épaules et la fit se relever et se retourner contre l’évier. Béatrice posa ses mains sur le miroir qui lui faisait face et cambra ses hanches. Elle sentit bientôt ses fesses écartées impérieusement par Jean-Marc.
Elle sentit son sphincter anal céder sous la pression d’un gland dur et impérieux et poussa un cri. Jean-Marc enfonça sa queue d’une traite dans le petit cul mal préparé de Béatrice. Celle-ci en eut le souffle coupé. Jean-Marc pouvait voir à travers le miroir, le visage de la jeune femme, les yeux exorbités, la bouche grande ouverte, cherchant à attraper l’air comme un poisson hors de l’eau. Le ventre collé contre les fesses de sa proie, Jean-Marc attrapa les grosses mamelles de cette dernière et se mit à les malaxer.
Il plaqua une main sur la chatte de la belle blonde. Toujours sans bouger sa queue d’un millimètre dans le cul de la jeune fiancée, il se mit à lui caresser la vulve, lentement, massant les lèvres intimes, débusquant un petit clitoris tout dur et le titillant entre deux doigts, investissant ensuite le vagin humide. Lentement Béatrice se mit à onduler le bassin, gagnée par le plaisir. Jean-Marc l’entendait haleter et épiait dans le miroir les signes du plaisir sur le visage de la jeune femme.
Béatrice obéit et glissa une main sous elle pour se branler. Jean-Marc se redressa et, empoignant les hanches de la blonde, commença à se décoller du bassin de cette dernière. Il ressortit sa queue, centimètre par centimètre et, alors que seul le gland était resté dans le boyau, s’enfonça à nouveau d’une traite dans le cul de la somptueuse jeune femme, lui arrachant un cri.
Jean-Marc recommença la manœuvre, et cette fois, Béatrice se mit à gémir :
L’homme ne se fit pas prier. Il appuya sur le dos de Béatrice pour la cambrer encore plus, logeant les belles mamelles dans l’évier, et tira les fesses de la jeune femme vers le haut. Là, elle était dans la position idéale. Il attrapa fermement le haut des cuisses de la blonde et commença un va-et-vient profond et puissant dans le cul somptueux. Les deux mains plaquées sur le miroir pour ne pas être écrasée, Béatrice ponctuait chaque coup de queue par un petit couinement et répétait comme un leitmotiv « Tu me remplis fort ! Tu me remplis fort ! ».
Jean-Marc besogna ainsi le rectum de la jolie fiancée pendant cinq bonnes minutes. Puis il lâcha les cuisses de Béatrice pour attraper sa robe retroussée autour de sa taille. Il s’en saisit comme si c’était les rênes d’une jument et se propulsa encore plus loin dans le cul. Béatrice se mit à crier :
C’était trop ! Dans un râle bestial, Jean-Marc sortit sa queue du fourreau brûlant et la logea entre les deux globes charnus. Il se mit à éjaculer à gros bouillons sur le dos de la jeune femme, la couvrant de sperme jusqu’aux cheveux longs et bouclés qui cascadaient entre les omoplates. Béatrice hoquetait :
Jean-Marc frotta sa queue sur les fesses de la jeune femme et tomba assis sur la lunette des toilettes, repu. Béatrice, quant à elle, affalée sur l’évier, recouvrait lentement ses esprits. Jamais elle n’avait été enculée, ni même baisée avec autant de violence ! Grégoire était un amant attentionné, pas comme tous ses autres copains auparavant, trop impressionnés qu’ils étaient par la beauté stupéfiante de la jeune femme. Retrouvant peu à peu son souffle, la jeune femme se rendait compte qu’elle avait pris un plaisir qu’elle n’avait jamais connu auparavant avec cet amant de passage ! Mais par contre, quel goujat ! Il lui avait joui dessus. On ne lui avait jamais fait ça, à Béatrice ! Et jamais de telles quantités ! La jeune femme se tourna vers Jean-Marc, alors que ce dernier remontait son pantalon.
Béatrice attrapa des serviettes en papier et les donna à son amant. Celui-ci essuya le dos du mieux qu’il put tandis qu’elle tournait sa robe sur sa taille et essuyait les traces sur le tissu.
La jeune femme éclata de rire. À l’admirer ainsi dépoitraillée, si belle, Jean-Marc se remit à bander.
La jeune leva les yeux, surprise, et les baissa vers la bosse qui déformait le pantalon.
Elle se laissa enlacer et les deux amants s’embrassèrent fougueusement. Jean-Marc caressa les seins de la jeune femme qui ponctua ses caresses de petits gémissements approbateurs. Le salaud bandait dur à nouveau et Béatrice l’aida à sortir son pénis de sa braguette. Elle posa le pied sur la lunette des toilettes, ouvrant sa chatte au passage du gland turgescent. Jean-Marc se guida en elle et l’investit d’une seule poussée. Au passage de la queue entre ses petites lèvres malmenées, Béatrice prit une profonde inspiration, ponctuée d’un « Ha ! » bref et sonore quand le gland vint buter au fond de la matrice trempée de mouille. Puis Jean la saisit sous les fesses et commença à la besogner, gobant les tétons pointus entre ses lèvres. La jeune fille avait passé ses bras autour de la taille de son amant et accompagnait les mouvements de celui-ci. Jean-Marc pilonnait la chatte trempée, la défonçant de féroces coups de queue, arrachant des cris de jouissance à sa proie consentante.
Jean-Marc sourit et, toujours abuté dans la chatte, l’aida à passer sa robe tire-bouchonnée par-dessus sa tête. Il profita de ce qu’elle avait les bras levés pour attraper ses seins à pleines mains et porter les tétons à sa bouche pour les dévorer, les enduire de salive, tout en reprenant les mouvements de son sexe dans le vagin de sa déesse. Cette dernière accueillit la voracité de son amant avec plaisir et l’attira à elle davantage en serrant ses bras autour de son cou. Il se dégagea au bout d’une minute et attrapa Béatrice sous les cuisses, la soulevant de l’évier. La jeune femme empalée sur sa queue dure, il pivota et s’assit sur les toilettes. Béatrice mit les pieds au sol et commença une houle délicieuse sur sa queue, frottant au passage ses seins sur le torse puissant de son baiseur acharné. Elle sentit bientôt le plaisir la gagner et blottissant son visage dans le cou de Jean-Marc, accéléra encore les mouvements de son bassin, les rendant désordonnés, avant d’exploser dans un cri. Jean-Marc eut le temps de faire agenouiller sa jeune maîtresse devant lui, et tenant sa queue d’une main, se mit à éclabousser les seins de son foutre épais. Béatrice soulevait sa poitrine en offrande à son amant, qui zébrait sa peau de traînées blanchâtres, qui s’écoulaient ensuite dans le sillon central et se répandaient sur le ventre plat.
Jean-Marc ramassa des traces de sperme avec son doigt et les porta sur les lèvres de la jeune femme.
Béatrice obéit et suça les doigts. Elle récupéra ensuite elle-même le foutre sur son corps et l’amena à sa bouche avec un air gourmand. Jean-Marc la félicita.
Béatrice acquiesça tout en continuant à lécher le sperme sur ses doigts. Enfin propre, elle enfila sa robe, tandis que Jean-Marc se rhabillait. Avant de sortir de la cabine, ils s’embrassèrent à nouveau.
Ils regagnèrent leur siège au moment même où Grégoire émergeait de son sommeil. Béatrice se blottit contre lui. Jean-Marc ouvrit un journal.